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OVALDÉ Véronique---CE QUE JE SAIS DE VERA CANDIDA et autres
12/06/2010 13:55
OVALDÉ Véronique
CE QUE JE SAIS DE VÉRA CANDIDA, Éd. De l’Olivier, 2009, 292 pages Résumé du livre « Quelque part dans une Amérique du Sud imaginaire, trois femmes d'une même lignée semblent promises au même destin : enfanter une fille et ne pouvoir jamais révéler le nom du père. Elles se nomment Rose, Violette et Vera Candida. Elles sont toutes éprises de liberté mais enclines à la mélancolie, téméraires mais sujettes aux fatalités propres à leur sexe. Parmi elles, seule Vera Candida ose penser qu'un destin, cela se brise. Elle fuit l'île de Vatapuna dès sa quinzième année et part pour Lahomeria, où elle rêve d'une vie sans passé. Un certain Itxaga, journaliste à L' Indépendant, va grandement bouleverser cet espoir. « Source :www.evene.fr La critique [evene] par Emilie Vitel Etonnante, Véronique Ovaldé, qui de livre en livre saute audacieusement d'un univers à l'autre. Après s'être brillamment essayée au polar dans 'Et mon coeur transparent', où elle mêlait avec subtilité intrigue et sentiments, c'est aux confins de l'Amérique latine qu'elle nous embarque dans 'Ce que je sais de Vera Candida'. Un roman brut, trivial, qui dévoile sans fard l'indignité humaine. Ici, les personnages évoluent dans des contrées préservées et portent des prénoms homériques mais subissent de plein fouet la cruauté du monde moderne. Enfants de viols, enfants d'incestes... Débarrassée de son halo d'exceptionnel, la progéniture apparaît sous son vrai visage, celui d'un fardeau qui scelle le sort de ses aînées. » source :www. evene.fre
« Ce que je sais de Vera Ovaldé » est un grand roman enveloppé de fable, de légende, d’un imaginaire tellement réaliste qu’il nous atteint en plein cœur, nous prend à témoin de ce drame qu’est la vie de ces trois femmes dont le pays est indéfini. Un ton d’une vitalité bouversante, un rythme affolant et une écriture enchantée. Cette fable a une portée universelle : l’histoire de trois femmes, trois générations avec leurs hommes et leurs enfants plus précisément des filles au destin ambigu.GiL
ET MON CŒUR TRANSPARENT, Éd. De l’Olivier, 2008, 233 pages
« Sait-on jamais avec qui l’on vit ? Lancelot ne cesse de se heurter à cette question depuis que sa femme, Irina Rubinstein, a été victime d’un accident qui l’a précipitée au fond de la rivière Omoko. Déjà ébranlé par sa mort, il va immédiatement vivre un second « Très Grand Choc Supplémentaire » en découvrant quels mystères entourent cette disparition. Un à un se dévoilent les secrets que sa femme avait pris soin de lui cacher. Devant la révélation qu’il existe bel et bien une autre Irina, inconnue de lui, il ne lui reste qu’à mener l’enquête et élucider cette énigme : que faisait Irina,ce jour-là, à Catano, au volant d’une voiture qui ne leur appartenait pas et dont le coffre contenait des objets pour le moins suspects… De livre en livre Véronique Ovaldé a bâti son univers, qu’elle habite par sa fantaisie et son goût pour le merveilleux. Avec Et mon coeur transparent » Source :www.bibliosurf.com BiblioMan(u) - le Mai 2008 Le roman d’Ovaldé est vraiment bien, vraiment très très bien. Un peu fâchée avec la littérature ces derniers temps, c’est vraiment (encore !) le genre de bouquin qui vous réconcilie d’un coup, qui donne (...) Telerama n° 3032 - 23 février 2008. Par Christine Ferniot Et mon coeur transparent est un roman enchanteur placé sous le double signe de Verlaine et de Boris Vian. Un pied dans la réalité, l’autre dans la fantaisie. L’Humanité du 31 janvier 2008. Par Pascal Jourdana Confirmons-le : si Véronique Ovaldé a un sens remarquable du merveilleux, elle excelle surtout comme exploratrice des sentiments de l’être humain, mobiles et aux infinies variations. Libération : jeudi 31 janvier 2008. Par PHILIPPE LANÇON Faire de chagrin légèreté, c’est une raison d’écrire. La violence frappe, l’imagination ouvre, la délicatesse emporte : on peut enfin se sentir comme Lancelot « démuni et comblé ». Pour la première fois dans un roman de Véronique Ovaldé, le cinquième, c’est le cœur d’un homme qui fuit.
Roman au rythme lent, posé, on passe d’une surprise à l’autre en même temps que le personnage principal dévoile des faits concernant sa femme décédée. Style qui coule. GiL
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