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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES
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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

  • 976 articles publiés
  • 123 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TÉMISCOUATA, QUÉBEC
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    *****BEAULIEU, Victor-Lévy, BIBI

    15/01/2011 16:46

    *****BEAULIEU, Victor-Lévy, BIBI


    BEAULIEU Victor-Lévy
    BIBI,
    Présentation de l'éditeur


    « Dans son enfance, le narrateur a contracté la poliomyélite. Il vit au Gabon, depuis près de trois ans, pour y retrouver les indices que lui a laissés Judith, son premier amour, afin qu’il la retrouve dans un jeu de piste mondial qui l’a mené du Québec à l’Afrique centrale en passant par l’île de Pâques. Après une vie de silence, après l’avoir abandonné tout jeune homme, Judith a repris contact avec lui.
    Pourquoi elle ne vient pas aux rendez-vous qu’elle lui fixe de pays en pays, il n’en sait rien. Il persiste à vouloir aller jusqu’au bout d’un voyage qui serait éprouvant, même pour quelqu’un qui ne serait pas infirme. Cette fois-ci, c’est la dernière étape. Tout au moins il le croit, et que Judith se montrera. Il l’attend dans un hôtel de Libreville, vidant verre de whisky sur verre de whisky.
    Et c’est à Libreville qu’il fait la rencontre de… Calixthe Béyala, une Camerounaise s’occupant d’enfants nécessiteux (rien à voir avec une romancière connue) et qui anime une petite librairie. Au moment où une intimité s’installe entre ces deux solitaires, Judith refait surface : elle donne rendez-vous à son ancien amant en Ethiopie, dans la vallée de l’Omo, berceau de l’humanité. Le narrateur doit aller jusqu’au bout de son voyage, vers ce commencement de l’histoire qui sera peut-être la conclusion de la sienne, pour enfin comprendre la femme en forme de devinette qui a marqué sa vie.
    Jeux typographiques, histoire dans l’histoire, cacophonies, jouissance du texte et de l’histoire, un livre-monde, résumé et apothéose d’une œuvre, dans la lignée de Sterne et de Joyce – à qui Victor-Lévy Beaulieu a d’ailleurs consacré un essai hilare de mille pages.
    Considéré comme un des plus grands écrivains québécois, Victor-Lévy Beaulieu est l’auteur de 75 ouvrages dont certains ont été publiés en France, comme Jack Kérouac (éditions du Jour, 1972) et Monsieur Melville (Flammarion, 1980). Bibi, son grand retour au roman, un roman d’un genre un peu particulier qu’il appelle « autoroman », est le premier ouvrage qu’il publie chez Grasset. Quand il n’écrit pas, Victor-Lévy Beaulieu est éditeur, gentleman farmer dans la bourgade de l’arrière-pays des Trois-Pistoles, et milite activement pour l’indépendance du Québec. » source :www.bibliosurf.com
    « Dans un roman foisonnant, l’auteur pratique une invention linguistique perpéturelle ».source : Le monde des livres, nov. 2010
    « À 65 ans, Victor-Lévy Beaulieu, le plus grand écrivain québécois vivant fait montre, dans son dernier roman, BIBI, d’une inventité hors du commun. » source : Le Figaro, sept. 2010
    «
    La recherche de l'identité québécoise
    Voilà un roman qui ne lasse pas malgré ses six cents pages car le lecteur est tenu en haleine par le sujet et par le style. Le style, c’est celui de quelqu’un qui laboure la langue comme on le ferait d’une prairie en y creusant des sillons pour y faire germer une nouvelle semence pleine de beaux mots nouveaux.
    Quant au sujet, en résumant un peu, on peut dire qu’il aborde le thème de l’aliénation par rapport à soi d’une part, soit le thème de la folie en d’autres termes, et celui de l’aliénation par rapport au nous d’appartenance d’autre part, celui-ci abordé à partir des effets dévastateurs du colonialisme. Sur le premier thème de l’aliénation personnelle, ce sont des textes d’Antonin Artaud qui viennent l’étayer pour en faire non pas un pôle négatif ou rébarbatif, mais pour projeter le lecteur dans un univers surréel. Sur le second thème, celui de l’aliénation collective, ce sont tous les méfaits du colonialisme sur les individus et les peuples qui sont pris à témoins, les développements se faisant parfois fort didactiques.
    Mais il y a une dimension qui englobe ces deux thèmes et qui relève quant à elle de la sociologie de la littérature. En y prenant appui, il appert que c’est la relation à l’identité québécoise qui tisse tout le canevas de ce roman. Les péripéties du narrateur autour du monde à la poursuite d’une femme qu’il a connue dans le passé et qui lui fixe des rendez-vous aux quatre coins du monde, ce sont les facettes de la relation de ce dernier avec un Peuple, celui du Kebec (sic) qui cherche son identité et qui se refuse à celui qui pourrait lui en donner une. Ce roman coup de poing n’a pas fini de faire parler de lui. Source :www:voir.ca
    Hugo, c'est géant! Victor-Lévy le devient!
    Un jour, la littérature reconnaîtra ce grand écrivain qu'est Victor-Lévy... Certes, je lisais ses oeuvres en joual à reculons... Toutefois, comme James Joyce, son pendant irlandais, il rafraîchit la langue français sans peur d'innover... il la sent, la vit, la fait vibrer au son de sa plume accoucheuse, productive et surtout progressive... Son oeuvre phénoménale continue de faire vibrer la littérature!
    J'ai hâte et le goût de lire ce roman le plus récent.source :www.voir.ca
    Marc Larouche, collaboration spéciale
    Le Soleil
    « (Rivière-du-Loup) Quelques semaines à peine après avoir été publié en France par les Éditions Grasset, Bibi, de Victor-Lévy Beaulieu (VLB), fait déjà beaucoup parler, et en bien. Le groupe Virgin, qui compte 50 librairies en France, ainsi que le magazine Lire en ont fait leur coup de coeur pour la rentrée.
    C'est dire que Bibi figure parmi les 31 romans à lire sur les 700 qui paraissent cet automne. «Grâce à une écriture délirante et riche, grâce notamment à l'utilisation du langage québécois, l'auteur nous conte sans voyeurisme cette histoire d'amour. [...] Roman d'initiation autant que d'aventures, Bibi nous emmène aux frontières d'un récit qu'il est impossible d'abandonner avant d'en voir le terme. [...] Une finale éblouissante», commentent les libraires de Virgin.
    «Un roman qui mérite qu'on s'y attarde, nous Français qui ne connaissons rien de cet auteur archiconnu au Québec et ayant publié plus de 70 livres», écrit pour sa part Annie Laure dans Là où les livres sont chez eux. «Je n'ai qu'une chose à dire, en fait : lisez-le, dévorez-le, amusez-vous et apprenez des tas de choses sur l'Afrique.» Mme Laure va jusqu'à qualifier Bibi «d'ovni, (pour nous Français en tout cas)!»
    Parallèlement, comme il l'avait promis, VLB a commencé sa «visite paroissiale», comme il l'appelle. Cette semaine, à Montréal, au micro de l'émission de Christiane Charrette, à la radio de Radio-Canada, il s'est dit très con¬tent de ce résultat, «d'autant plus qu'on parle de la langue québécoise comme d'une langue foisonnante. Parce que j'avais un peu peur. Même ici, au Québec, on me reproche d'employer des néologismes, des mots que l'on ne comprend pas toujours, alors que pour Bibi ça ne pose jus¬qu'ici aucun problème, en tout cas en France et en Suisse».
    L'auteur ne saurait si bien dire. Dans un long article consacré à VLB et intitulé Colosse aux mots de feu, Lisbeth Koutchoumoff dans Le Temps de Genève semble ébahie par cette découverte.
    «Et dire qu'on ne le connaissait pas! Tant d'ignorance étonne outre-Atlantique. Victor-Lévy Beaulieu est un homme-livre, un homme-mot, un homme-écriture : il faut se faire à l'idée qu'il est l'auteur d'une oeuvre large comme un continent.»source :www.cyberpresse.ca


    Un roman puissant par un auteur puissant dans un style puissant et éclaté écrit par une patte d’ours. La beauté et l’inventitivité du style dénotent parfois avec la démence des personnages plus grands que nature. L’auteur a l’audace et la force de ses idées personnelles et politiques. Il dénonce les rois-nègres en Afrique à la solde des puissances économiques étrangères alors que la pauvreté, la maladie et le crime organisé déciment les populations. Il prend position et dit ouvertement ce qu’il pense des événements qui se produisent en Afrique, dans le monde, au Québec. Il accuse ouvertement l’Église, les religions, les régimes politiques et économiques d’être responsable du chaos mondial dans lequel les populations du monde sont enlisées. L’argent tue la famille, la société, l’être humain au détriment de la bourgeoisie économique mondiale.
    Un roman gigantesque, audacieux mais réaliste et dénonciateur qui m’a conquis et bouleversé. À lire absolument selon votre ouverture d’esprit et votre appréciation de l’humain.Pour lecteurs avertis car il y a plusieurs « scènes d’érotisme explicites » dans ce roman. Alors si le sexe vous perturbe ou vous choque, à éviter.
    Gilles Lagrois, Auclair, Québec.






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