Frédéric DARD, alias Max BEETING
ON DEMANDE UN CADAVRE, Fayard noir, alias Max BEETING
Résumé de "On Demande Un Cadavre"
« Une nuit d'hiver dans la lande anglaise, deux truands à la solde du mafioso Alfredo Seruti se rendent dans un cimetière pour y déterrer un cadavre récemment inhumé. À leur arrivée, stupeur : ils trouvent le tombeau vide. Le corps de Peter Lanshill, savant de renom mort par accident en nettoyant son arme, a disparu.
Craignant la colère de leur patron, les truands rendent visite au gardien du cimetière en se faisant passer pour deux policiers. Ils apprennent qu'une belle et élégante dame, venue la veille dans une grande voiture bleue, a demandé des renseignements sur l'emplacement de la tombe pour s'y recueillir avant de repartir.
Ils font remplir au gardien une fausse déclaration mettant en cause des visiteurs venus dans une voiture bleue pour l'agresser. Au terme de l'interrogatoire, ils le tuent et placent la fausse déclaration sous son oreiller. Ils espèrent ainsi que la police retrouvera sans peine cette voiture bleue et sa belle propriétaire? pour le plus grand avantage de leur patron.
Qui est Peter Lanshill ? Pourquoi a-t-on fait disparaître son cadavre ? C'est dans une course-poursuite opposant le mafioso Seruti aux services secrets de Sa Majesté que nous l?apprendrons.
On demande un cadavre a paru pour la première fois en 1951 aux Éditions Jacquier à Lyon dans la célèbre collection « la Loupe » sous le pseudonyme de Max Beeting. Après les récentes parutions des oeuvres de jeunesse de Frédéric Dard, les Éditions Fayard ont décidé de rééditer les titres de ces ouvrages policiers parus sous pseudonymes qui n'ont jamais été publiés jusqu'à ce jour. »
source : www.chapitre.com
Très bon roman
Un peu glauque par moment et violent aussi ce roman mais il est tellement passionnant qu’on ne l’abandonne pas avant de découvrir la fin. Un lecteur
Un bon roman policier de Frédéric DARD sous le pseudonyme de Max BEETING. L’action se déroule comme un pavé lancé dans une mare d’eau….les actions rapides s’enchaînent parfois de façon lugubre, sinistre, sordide mais notre intérêt est maintenu par le talent de l’auteur. Un très bon roman un peu plus que policier, disons, du genre thriller, grands frissons. Pour l’époque je trouve cela remarquable.
Gilles lagrois, Auclair, Québec.