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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES
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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

  • 976 articles publiés
  • 123 commentaires postés
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  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TÉMISCOUATA, QUÉBEC
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    OATES Joyce Carol---NOUS ÉTIONS LES MULVANEY

    25/08/2012 13:16

    OATES Joyce Carol---NOUS ÉTIONS LES MULVANEY


    OATES  CAROL JOYCE

    NOUS ÉTIONS  LES MULVANEY, 1998, 596 pages, édition Stock,

    Roman convenable du genre socio-historique des années 1950 à 1998 qui se déroule à Mont-Ephraim, petite ville de l’Étatt de New York. Nous faisons connnaissance avec tous les éléments d’une famille dont le personnage principal est le père Michael Mulvaney, d’origine modeste qui  a su, à force de travail, à obtenir sa place au soleil et se faire accepter par la bonne société de la ville. Grâce à sa femme, qu’il adore, la ferme qu’ils habitent est un coin de paradis, au milieu d’une nature spendide et d’immensément d’amour, où leurs trois fils et leur fille Marianne vivent une enfance inoubliable.

    Le père est très fier de sa réussite et de sa situation sociable prospère et enviable et tous doivent se conformer à ses ambitions et en aucun cas nuire à son image sociale dont il s'en fait une fierté et un hommage personnel à sa réussite.

    Mais le jour de la Saint-valentin 1976, un drame survient qui met un terme à cette existence idyllique, fait voler la famille en éclats et marque de manière indélébile chacun de ses membres et particulièrement Michael le père et sa fille unique Marianne.

                          Judd Mulvaney, le benjamin qui est devenu journaliste, retrace l’histoire des siens, avec humilité  puis raconte la désagrégation de la famille, la dureté de la société à l’égard des perdants et le parcours long, douleureux, émouvant, que suivront les Mulvaney avant de parvenir, chacun à sa façon, à retrouver l’amour et la sérénité.

    Un roman touchant, parfois injuste surtout à cause de l’attitude orgueilleuse et inconditionnelle du père où quand le bonheur vire au cauchemar.

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    Pour en savoir davantage :

    « Gros pavé à l'écriture dense et pour moi heureuse découverte, de cet écrivain.
    L'histoire est racontée par le plus jeune fils de la famille, Judd; vie insouciante et heureuse d'une famille unie dans une petite ville de l'état de New York.
    Le père a une entreprise florissante et accéde enfin à une certaine notoriété en temps que membre du Club local...
    La mère, Corinne, fantasque, s'occupant de la ferme et antiquaire du dimanche .
    Les 3 fils et la fille Mariane sont epanouis,entourés de chiens, chats et chevaux ...
    Toute cette harmonie éclate après le premier bal de Mariane qui finit en drame. Et plutot que de faire front, la famille se disloque, le père ne supporte pas le deshonneur de sa fille, celle ci bien qu'étant victime se comporte en coupable et l'opprobe d'une société de province fait le reste, trop contente de voir s'effondrer l'orgueil du "clan Mulvaney".
    Chaque membre de la famille va finalement se battre seul chacun à sa façon, et en particulier Mariane la préférée du père qu'il rejette et renie ,declenchant de ce fait la chute inexorable de la famille,c'est sans doute cela qui m'a le plus marqué, le poids du regard des autres et des prejugés dans cette société si puritaine, tout éclate et c'est terrible. Cela ne peut finir qu'avec la mort du père ...
    C'est intense, bien écrit, les personnages sont attachants et on ne lache le bouquin qu'à regret.
    La fin peut paraitre un peu à l'eau de rose, mais on peut aussi en conclure qu'on peut finalement se reconstruire, recréer les liens familiaux et croire au bonheur. »

    www.babelio.com

     

    « Oates nous propose une histoire d'une noirceur parfois difficilement soutenable. Son regard aigu et sans pitié décortique les moindres faiblesses et les pires bassesses dont les êtres humains sont capables, nous montrant ce qui se cache derrière le bonheur de carte postale et les politesses. J'avais beaucoup aimé ce parti-pris dans "Les chutes" ; cela m'a nettement plus gênée dans ce roman.
    En effet, non seulement les souffrances de Marianne m'ont énormément touchées mais le comportement de sa mère m'a heurtée. Face à cette mère si faible et qui lâche sa fille au profit de son mari, j'ai ressenti quelque chose qui ressemble à de la haine. Cela peut paraître invraisemblable puisqu'il ne s'agit après tout que d'un personnage de roman mais c'est sans compter le talent de Oates pour vous impliquer dans une intrigue.

    Je n'ai que très moyennement apprécié ce livre, notamment à cause de toute la souffrance qui le traverse et le gâchis qui ressort de cette histoire, sans compter la fin désespérément américaine… » www.babelio.com

     

    • « Une leçon d'analyse psychologique, lucide, tranchante, montrant du doigt le puritanisme d'une société bien pensante, soupesant la force du besoin d'intégration d'un homme, du besoin d'amour d'une femme et du poids effrayant de la culpabilité.
      Un roman passionnant qui bien que datant des années 70 ne perd rien de sa force tant l'analyse est pertinente et habile. On pourrait le proposer à tous les apprentis psychologues !
      Un seul bémol : que JC Oates signe une fin un peu trop angélique à mon goût. Mais c'est broutille, j'ai aimé les personnages, l'écriture, le rythme du roman. A lire assurément
      Je connaissais JC Oates à travers son journal et j'ai très envie maintenant de poursuivre la lecture de ses romans »
    • Par un lecteur : www.babelio.com





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