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BROUILLET Chrystine---SACCAGES, roman, une enquête de Maud Graham
13/07/2013 12:25
Chrystine BROUILLET
SACCAGES, roman, Une enquête de Maud Graham, la courte échelle, 2013, 319 pages
Notre auteure prolifique québécoise nous présente une autre enquête de Maud Graham très réussie qui se déroule dans un contexte de rivalité entre deux villages qui défendent leur droit de s'affirmer, de maintenir leur pouvoir de propriété, leur tradition et leur caractère particulier hérité de leur droit ancestral.
Un roman efficace, une enquête raffinée dans un style d'écriture habile.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
POUR EN SAVOIR DAVANTAGE:
Résumé :
"Dans sa maison d'une rue paisible de Québec, un homme est retrouvé mort, poignardé. Tout le voisinage est sous le choc.
Pourquoi ce comptable, si dévoué et si tranquille, a-t-il été tué ? Mais cet homme était-il si innocent? C'est ce que la détective Maud Graham se demande.
Elle ne tardera pas à découvrir que Jean-Louis Carmichaël a fait beaucoup de victimes sur son passage. Des vies brisées, saccagées, détruites.
Pendant ce temps, ailleurs dans la ville, une jeune femme est bouleversée par cette mort qui réveille en elle de douloureux souvenirs.
Pour elle qui se débat pour reconstruire sa vie, c'est la descente aux enfers. Mais autour d'elle, les vautours rôdent?Une enquête troublante où la détective Maud Graham sonde encore une fois le côté sombre du coeur des hommes" la courte échelle
L'INTRIGUE
" Contrairement aux polars classiques, il y a beaucoup d'information dès les premiers chapitres de Saccages, qui commence avec le meurtre à l'arme blanche d'un homme apparemment sans histoire. On apprend ainsi rapidement que Jean-Louis Carmichaël était loin d'être un ange, que plusieurs de ses voisins avaient des raisons de lui en vouloir, et qu'une jeune femme, Rebecca, tente d'oublier le passé douloureux qui la relie à lui.
«On sait beaucoup de choses dès le début du livre parce que je trouvais important d'expliquer pourquoi une victime d'agression peut souhaiter ne rien dire, explique l'auteure. Oui, la parole peut être salvatrice, mais ça peut être légitime de se taire. Les victimes ont droit à leur intimité, entre autres parce qu'elles ne veulent pas être considérées seulement comme des victimes.»
Difficile d'en dire plus sans révéler les ficelles de Saccages - disons seulement que si on comprend le choix de Rebecca, le silence des victimes et de leur entourage a aussi été bénéfique pour l'agresseur. Chrystine Brouillet est d'accord, mais ne veut pas ajouter à la culpabilité des gens et refuse de se poser en juge ou en donneuse de conseils. «Mon propos est d'abord de montrer le désarroi des victimes.»
" LE PLAN
Le fait de connaître si bien Maud Graham permet à Chrystine Brouillet de créer des structures de plus en plus compliquées. «Elle me simplifie l'existence. Saccages se déroule sur deux intrigues, et je réussis à faire ça depuis quelques années parce que je ne suis plus obligée d'expliquer tout depuis le début.»
Chrystine Brouillet se décrit comme une «psychorigide angoissée». Impossible de commencer à écrire un livre sans avoir un plan précis - elle l'enferme même dans un coffre-fort lorsqu'elle part pour une fin de semaine! «Je peux faire des plans très compliqués; à la fin, ça ressemble à une toile d'araignée!»
Chaque roman de Chrystine Brouillet a sa structure: cercles qui s'emboîtent, zigzags, vagues...Saccages est en escalier, son prochain roman sera «saccadé», La chasse est ouverte était circulaire et Le collectionneur était une montée qui se terminait avec un précipice. «Mais souvent, je peux décrire la structure seulement quand j'ai fini d'écrire.» www.lapresse.ca
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LE FILS EMPRUNTÉ, roman, polar de Jacques SAVOIE, 2013, 328 pages
25/08/2014 15:36
SAVOIE Jacques
LE FILS EMPRUNTÉ, roman, polar, une enquête de Jérôme Marceau, Libre Expression, 2013, 328 pages
Un bon roman du genre enquête policière à la québécoise. Le commissaire Jérôme Marceau est un noir d'origine Haïtienne qui est maintenant à la tête des homicides. C'est un enquêteur du genre spontané, intuitif, instinctif qui garde pour lui des éléments d'enquête jusqu'au moment où il juge qu'il sûr et certain de sa démarche alors seulement il fait appel à des collègues de confiance.
Un roman qui nous en apprend beaucoup sur le vaudou, la participation des gouvernants haïtiens sur la contrebande de la cocaïne à Miami, U.S.A., qui transite de la Colombie à Port-au Prince avec la complicité du régime au pouvoir.
Marceau est prénommé l'Aileron car il a un bras handicapé qui a la forme d'une aileron de requin. Marceau est un homme déterminé, maître de lui-même et insensible aux émotions de son entourage.
Un bon roman qui nous fait découvrir un monde souterrain de Montréal inconnu et un auteur à découvrir.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
Pour en savoir davantage:
" La vengeance est au cour de cette enquête policière complexe, intense et humaine.
Jérôme Marceau est maintenant à la tête des homicides, et le quarante-sixième meurtre de l'année vient d'être commis sur le territoire du SPVM. Dans un hangar souterrain jouxtant le tunnel ferroviaire sous le mont Royal, un amas de cendres et des cerceaux d'acier ont été retrouvés. Seraient-ce les traces d'un suicide ? Jérôme croit qu'il s'agirait plutôt du supplice du collier, une sorte de vengeance populaire qui consiste à passer un pneu autour du cou de la victime, à y verser de l'essence et à y mettre le feu. À part les quelques dents retrouvées, Jérôme a bien peu d'arguments à offrir pour défendre sa thèse. Ce qui ne l'empêche pas de s'obstiner.
Sur le plan personnel, Jérôme traverse une période difficile. Après la disparition de sa mère, il a comblé le vide en se rapprochant de Gabriel Lefebvre, le jeune homme tourmenté qu'il avait rencontré au cours de sa précédente enquête.
L'opiniâtreté de Jérôme Marceau à poursuivre ses recherches ainsi que la mission qu'il s'est donnée de neutraliser les élans de violence de Gabriel finissent par se confondre. Cette situation réveillera en Jérôme une soif de représailles aussi vive que celle de son « fils emprunté »
www.renaud-bray.com
Norbert Spehner
La Presse
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Après le suicide de sa patronne impliquée dans un scandale (Une mort honorable), Jérôme Marceau est devenu le patron du Bureau des Homicides, une nomination qui ne fait pas que des heureux.
À peine en poste, il doit enquêter sur un meurtre pour le moins horrible : la victime a subi le supplice du collier. On lui a mis un pneu rempli d'essence autour du cou et on y a mis le feu.
Ainsi débute Le fils emprunté, troisième polar de Jacques Savoie mettant en scène son flic métis, au bras atrophié et que plus personne n'ose appeler «Aileron» depuis qu'il est le chef. Marceau soupçonne d'abord certains membres de la communauté sud-africaine d'être à l'origine du meurtre. Mais quand une deuxième victime est tuée dans des conditions similaires, ses recherches se tournent plutôt vers la communauté haïtienne où une guerre de clans oppose certains adeptes du vaudou.
Jérôme Marceau est loin de se douter de ce qu'il découvrira dans cette affaire riche en rebondissements et qu'il mènera à terme malgré une vie personnelle tourmentée. Un des bons crus québécois de l'année. www.lapresse.ca
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IL NE FAUT PAS PARLER DANS L'ASCENSEUR, roman polar, de Martin MICHAUD, Éd. Goéletttre, Québec, 2010, 392 pages
04/04/2015 15:03
MICHAUD Martin
IL NE FAUT PAS PARLER DANS L'ASCENSEUR, ÉD. GOÉLETTE, 2010, 392 pages
Un roman du genre polar, enquête policière, très réussi mais dans un style d'écriture spontané, inattendu, réinventé. Il y a l'inspecteur-enquêteur, VICTOR LESSARD, du genre marginal en conflit avec son supérieur contrôlant et vedettaria, il a des victimes, peu de témoins, des archives mais surtout trois victimes qui ont eu des rencontres alors qu'ils étaient dans le COMA. Ils font partie du drame mais comment les rejoindre. Tel est le problème de l'inspecteur Lessard. Qui sont-ils? Où sont-ils?
Un roman impressionnant, un véritable tourne-pages qui nous entraîne dans une aventure difficile à suivre, à décoder, à inter relier les événements et les personnages entre eux. Un roman brillant, disjoncté qui nous fait perdre la tête à nous rendre fou, nous étourdir comme certains personnages inaccessibles.
Un roman remarquable et un auteur particulier à découvrir sans faute.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
" C'est SARTRE qui a raison.Rien ni personne d'autre que toi n'a la pouvoir de changer ta vie."
" La ligne est parfois mince entre une bonne et une mauvaise décision."
" Que peut-on ajouter lorsque la violence parle ?
" La vie n'est qu'une succession de choix. Dès qu'on emprunte la mauvaise route, il n'y a pas de retour en arrière possible."
" J'étais entrée en contact avec MILES, GEORGES et JAMAL alors que j'étais dans le coma."
" Un homme était étendu derrière cette porte, un esprit prisonnier d'un corps."
" C'est en cas de coup dur qu'on découvre la vraie nature de ceux qui nous entourent."
" La plus grande erreur, cest la négation de l'existence de l'erreur. Le MENSONGE...DE CONTINUER À VIVRE COMME SI RIEN NE S'ÉTAIT PRODUIT."
" On ne reconnait plus ses erreurs dans notre société. C'est la loi du moins pire."
" Nous voulons des réponses. Nous ne savons même pas poser les questions, mais nous exigeons des réponses."
Pour en savoir davantage: AVOCAT ROMANCIER
"Dans le roman policier, l’auteur est Dieu. Il est le seul à savoir ce qui s’est passé. Les mortels (le flic, le lecteur) en sont réduits à collectionner les pièces du puzzle, en se demandant, jusqu’à la fin, qui, quoi, comment, pourquoi…
Il ne faut pas parler dans l’ascenseur,de Martin Michaud, suit les règles des classiques. Le roman s’amorce sur un meurtre qui a l’air d’un règlement de compte, ou d’une vengeance bien exécutée, par un meurtrier qui demeurera sans visage jusqu’à la toute fin. Classique.
«Il y a deux romans dans un», concède l’auteur, qui a écrit toutes sortes de choses depuis vingt ans, mais fait paraître son premier livre cette semaine.
Dans le roman, il y a aussi une jeune femme qui sort d’un coma avec des souvenirs très précis d’un personnage disparu depuis longtemps, et des images d’endroits précis qui sont différents de ce qu’ils sont aujourd’hui. Elle essaie de comprendre.
Mais, rapidement, cette histoire de fantômes s’insère dans une autre intrigue, plus vaste, et plus compliquée.
TRANCHES COURTES
C’est que la fille qui a vu des fantômes dans son coma semble être sur la liste du tueur, pour des raisons que le commun des mortels ne comprendra que beaucoup plus tard.
Dans son rôle de Dieu qui sait tout (mais qui nous niaise), l’auteur, Martin Michaud, s’exécute avec une maîtrise rare chez un débutant. Il mène le lecteur par le bout du nez dans une intrigue pleine de rebondissements, dont le sens lui échappe, mais dont le fil le retient.
L’histoire est racontée en tranches courtes au style rapide (le classique puzzle de 1000 morceaux) qui nous obligent à tourner les pages, jusque trop tard le soir.
L’ENQUÊTEUR LESSARD
L’auteur est originaire de Québec, mais a passé sa vie d’adulte à Montréal, une ville qu’il aime, manifestement.
Les lieux du livre sont surtout situés dans Côte-des-Neiges et NDG. Il triche avec la géographie des rues, mais décrit assez bien la vie de ces quartiers cosmopolites, urbains, et sympathiques.
Et il y a son personnage, l’enquêteur Lessard, un classique du genre: bourru, désabusé, alcoolique, rebelle et impeccablement moral, dans un monde de plus en plus cynique, politisé et médiatisé. Son Lessard est un flic sympathique.
«Il est capable de se connecter avec ses sentiments, contrairement à bien d’autres», assure Michaud.
Mais, depuis l’inspecteur Maigret, on en a vu plusieurs, des flics comme lui.
«Simenon était le maître, on l’oublie un peu aujourd’hui. Tous les auteurs s’en sont inspirés.»
LA CHORALE DU DIABLE, 2011
JE ME SOUVIENS, 2012
VIOLENCE À L'ORIGINE, 2014
S.A.S.H.A., VOL 459, 2014, ÉD. VLB
SOUS LA SURFACE, 2013, ÉD, GOÉLETTE
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VIOLENCE À L'ORIGINE, tome 4/4, roman polar, Québec, de Martin MICHAUD, GOÉLETTE, 2014, 442 pages
28/04/2015 16:44
MICHAUD Martin
VIOLENCE À L'ORIGINE, tome 4/4, 2014, Éd. Goélettes, 442 pages
"Postface: Ce roman marque la fin d'un cycle: plusieurs sous-intrigues laissées à dessein en suspens dans les premiers tomes de la série trouvent leur résolution dans VIOLENCE À L'ORIGINE. Et d'une façon ou d'une autre, VICTOR LESSARD continuera de cheminer....Par ailleurs, même si j'ai pris quelques libertés ici et là, ce roman s'appuie, dans une trop large mesure hélas, sur une réalité tangible. Le TRAFIC HUMAIN est un fléau auquel la ville de MONTRÉAL n'échappe pas."
Un roman très réussi de l'auteur qui nous entraîne dans une enquête qui suscite émotion et colère d'un bout à l'autre de ce roman audacieux par son personnage inflexible qu'est VICTOR LESSARD.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
" Il n'y a pas d'émotion plus pure, plus vraie que la peur. On ne peut la confondre avec aucun autre état."
"Celui des individus qui ont cessé de combattre leurs pulsions primales."
Mais il y a surtout cette pièce sombre enfouie au plus profond de chacun de nous , dans les entrailles de notre conscience, l'endroit où nous enfermons à double tour tous ces accommodements, ces mensonges et ces demis-vérités."
" Cessez de croire que vos actes vous refoulent hors de l'humanité...Vous ne pouvez échapper à votre nature profonde.Certains d'entre nous doivent tuer pour survivre."
"Les morts n'avaient plus de voix, alors VICTOR leur prêtait la sienne, jusqu'à ce que les coupables soient derrière les barreaux."
" Le libre arbitre n'est possible que si vous avez été en mesure de dominer votre inconscient."
Pour en savoir davantage:
"Responsable de la section des crimes majeurs en l'absence de son supérieur, le sergent-détective Victor Lessard se voit confier la mission d'enquêter sur la mort d'un haut gradé du SPVM dont on a retrouvé la tête dans un conteneur à déchets. Formé du jeune Loïc Blouin-Dubois, de l'inimitable Jacinthe Taillon et de Nadja Fernandez, avec qui Victor partage sa vie, le groupe d'enquête qu'il dirige doit faire vite, car l'assassin a laissé un message qui annonce de nouvelles victimes.
Confronté à un tueur particulièrement retors, qui peint de lugubres graffitis sur le lieu de ses meurtres et évoque un curieux personnage surnommé le « père Noël », pressé d'obtenir des résultats rapides par sa hiérarchie sans pour autant recevoir l'appui nécessaire, Victor Lessard s'entête envers et contre tout à résoudre « l'affaire du Graffiteur », dédale inextricable d'une noirceur absolue qui ravivera les meurtrissures de son âme, ébranlera ses convictions les plus profondes et le mènera au bord du gouffre. Peut-on vouloir le mal pour faire le bien ?"
http://www.archambault.ca/michaud-martin-violence-a-lorigine
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LA NATURE DE LA BÊTE, roman polar de Louise PENNY, 2016. 477 pages, Québec
09/03/2017 17:29
PENNY Louise
LA NATURE DE LA BÊTE, roman ****+, 2016, 477 pages, Québec
Un roman du genre polar, une enquête policière de l'inspecteur ARMAND GAMACHE, époustouflante mais surtout de "petits moments de bonheur" pour le lecteur engagé. On retient son souffle à la lecture de l'enquête comme un noyé qui se sent menacé, en danger avant de perdre conscience.
Une écriture compacte, une psychologie de l'humain impressionnante,brillante.
Gilles Lagrois. AUCLAIR, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
"Courir, courir, trébucher, courir.Un bras levé pour repousser les branches souples qui lui cinglaient le visage.Dans le noir, il ne vit pas la racine. il tomba."
"Lorsque deux camps ont la capacité de se détruire, ni l'un ni l'autre n'ose appuyer sur la détente."
"Savoir ne rimait pas toujours avec pouvoir.Savoir était parfois paralysant. ARMAND savait que c'était faux. Parce que JOHN FLEMING était lui-même le démon."
"De débusquer un meurtrier qui tentait désespérément de rester dans l'ombre?"
LAURENT, 9 ans."En voilà un qui avait compris que la réalité est insaisissable."
"Pour un tueur, le chaos est un refuge. Ne lui conférez pas cet avantage."
GAMACHE."...un tueur qui panique est un tueur qui risque de se trahir. L'heure n'est ni à la timidité ni aux secrets."
"Un canon inexistant dans un village inexistant, en somme. L'endroit le plus improbable sur terre."
"Vous ne vous définissez pas par les habits que vous portez, monsieur.Ils ne sont qu'un costume. Peut-être même un déguisement."
Pour en savoir davantage: résumé
"Chaque jour, Laurent Lepage invente une catastrophe : des arbres qui marchent, un débarquement d’extraterrestres… Plus personne ne croit le garçon de neuf ans. Pas même Armand Gamache, qui a pris sa retraite à Three Pines. Cependant, quand l’enfant disparaît, il faut bien envisager que l’une de ses histoires soit vraie. Une traque effrénée et digne des plus grands romans d’espionnage se met en branle lorsque Gamache et ses anciens lieutenants de la SQ, Jean-Guy Beauvoir et Isabelle Lacoste, déterrent l’authentique canon géant de Gerald Bull, ingénieur en armement assassiné à Bruxelles il y a vingt-cinq ans. Un monstre est autrefois venu à Three Pines, il y a semé le malheur et ce dernier est de retour. En refusant de prêter foi à un enfant, l’ex-inspecteur-chef n’a-t-il pas joué un rôle funeste dans ce qui est arrivé ?" Les éditeurs.
« La romancière québécoise, au sommet de son art, mène son intrigue avec doigté, semant des indices et racontant une histoire de meurtre et de trahison avec grand style. »
Marie-France Bornais, Le
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Un lecteur
" L'ex inspecteur-chef Gamache, à peine a-t-il posé ses valises de retraité, qu'un événement sordide le rappelle à la réalité. La mort d'un enfant. Très vite, d'accident, cette mort devient meurtre. La communauté de Three Pines est bouleversée et le sera encore plus par la découverte d'un objet sans précédent…
Dans ce onzième volume de la série consacré à Armand Gamache, Louise Penny va plus loin dans l'horreur. Infanticide, armes de destruction massives, massacre, tueur en série… Cependant, que l'habitué se rassure, tout est en non dit, tout est doucement mentionné et à peine esquissé. Mais l'horreur est là et, une fois de plus, elle vient troubler la vie paisible de cette charmante commune du Québec.
Dans ce roman, nous découvrirons de nouveaux côtés sombres chez certains personnages ; Ruth, M. Béliveau… et ce pour notre plus grand plaisir, pervers je vous l'accorde.
Fidèle à son style inimitable, Louise Penny tient une intrigue redoutable, qui fait son effet. Nul doute que nous reverrons certains personnages apparus dans ce volume. le style est clair, agréable et l'humour british ,comme toujours, fait mouche.
Je le conseille aux amoureux de Louise Penny et de son excellent inspecteur-chef à la retraite."
Un lecteur.
www.babelio.com
Commentaire de laloracorse2 (18/05/2017 08:22) :
bonjour Gil, me voila de retour apres une grande
convalescence j avais emmene mon bac de livres, sourires, et en plus il y
avait une bibliotheque dans cette clinique donc pendant mes rares moments
de liberte car dans ce genre d etablissement on est occupé à se reeduquer
que ce soit en salle ou en balneo, donc, je pouvais lire le soir
tranquille, amities à vous
http://laloracorse2.vip-blog.com/
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