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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES
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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

  • 19 articles publiés dans cette catégorie
  • 123 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TÉMISCOUATA, QUÉBEC
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    J'AI AIMÉ. J'AIME. J'AIMERAI

    05/07/2010 12:49

    J'AI AIMÉ. J'AIME. J'AIMERAI


    J’ai aimé. J’aime. J’aimerai.
    Donc je suis amour,
    De la naissance à la mort.

    Peu importe qui tu es,
    Je t’ai aimé.
    Tu es aussi amour.
    L’amour est le principe
    De la vie
    Et la haine
    Son opposé en est le négatif.

    Tout est le fruit de l’amour :
    Les fleurs, les plantes, les oiseaux :
    Peu importe le règne,
    Tout est le fruit de l’amour.
    Tout est aussi le fruit de son contraire,
    La haine et l’indifférence.

    Je choisis l’amour.
    L’autre peut choisir la haine
    Ou l’indifférence.
    Le résultat sera la vie
    Ou la mort de l’un ou de l’autre.

    La haine tue la vie.
    L’amour donne la vie,
    L’amitié, le partage,
    La rencontre de l’autre.
    L’amour est le signe de la vie.
    L’agression est celui de la haine.
    L’un et l’autre peuvent
    Se développer, se répandre.
    Tout ne dépend
    Que de chacun de nous.
    J’ai aimé. J’aime. J’aimerai.
    Mon choix est fait.

    Archaos, Auclair, le 3 juillet 2010


    Commentaire de zhengwei (11/12/2010 07:45) :

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    JE L'AI PERDU

    05/07/2010 13:32

    JE L'AI PERDU


    Je l’ai perdu.
    Il n’est pas revenu
    Car il ne m’a jamais appartenu
    Mon chat Béru.

    Il en est ainsi de l’amour
    Car personne n’appartient à personne
    Quoique son nom on lui donne.

    Un jour le chant de la liberté résonne.
    Jamais plus nous ne voulons être considéré
    Comme une bête de somme
    Qui obéit à un maître.
    Sans jamais permettre à l’autre qu’il raisonne.

    La nature arrange tout et défait
    Ce qui est esclavage et mensonge.
    Tout arrive, peu importe la peine
    Que l’on se donne.
    Tout effort est vain, on récolte ce que l’on moissonne.

    Je l’ai perdu.
    Jamais je ne verrai son retour
    Car libre je l’ai connu,
    Libre est encore son amour.

    Nul ne peut exiger l’oubli de soi.
    Ni par amour, par devoir; aucune loi
    Ne peut t’obliger à te soumettre à un autre que toi.

    Seule la passion, la crainte, la peur, une grande émotivité,
    Nous réduit par besoin à autant se troubler
    Pour ainsi s’oublier.

    J’ai conscience de mes capacités parce que je suis libre.
    À la pensée d’appartenir à un autre je me vois à la dérive.

    Nul ne peut consciemment renier sa liberté
    Même sous le couvert de l’amour et de la prospérité.
    Jamais, sinon un jour tout va nous séparer.

    Amour que de sacrilèges on a commis en ton nom!
    On a camouflé ton nom par celui de l’intérêt et de la passion. P.12
    On a tué, assujetti, bafoué, peu importe les conditions , les raisons.
    Amour! Beaucoup blasphèment en prononçant ces beaux sons.

    L’homme insensé, irréfléchi, endurci, non mature,
    Se refuse à voir ce qui est tout démontré,
    Là dans la nature.

    Inutile de chercher des théories et des philosophies.
    Il suffit de regarder, de s’inspirer de la vie
    Pour comprendre que tout est dans l’individu.
    Chercher ailleurs ,même Dieu, est peine perdue.
    Ce qui a été fait est bien fait,
    Beau, bon, parfait car j’ai vu.

    Malheur à celui qui s’oppose à la liberté!
    Par sa propre nature il sera châtié.

    La nature est sans loi
    Tout comme toi et moi.

    Celui qui contraint
    Est plus vil que malin.

    Gilles Lagrois

    Kerkira, (Corfou), Grèce, 6 septembre 1978.


    Commentaire de zhengwei (11/12/2010 05:21) :

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    KORAKI

    05/07/2010 13:41

    KORAKI


    C’est souvent dans les moments de douleur et d’épreuves
    Que l’on découvre que la vie est belle. GiL

    KORAKI

    J’ai rencontré un ami
    Sur le bord du fossé.
    Je l’ai ramassé, compris,
    Quelques jours ont passé.

    Je nous voyais ensemble pour la vie.
    Je ne savais pas que la nuit passée
    Était la dernière car il est parti.
    Il me reste à l’oublier.

    J’ai rencontré un petit ami noir,
    Il a partagé ma couche quelques soirs.
    Quelques jours ensemble,
    Quelques moments tendres.
    La douleur n’est que tristesse,
    Déception. Il me manque sa tendresse.
    Sa douceur, son poil lisse, noir;
    Il me caressait chaque soir
    De la tête aux pieds, sans gêne.
    Sa présence, le plus beau des poèmes.

    Où est-il passé
    Mon ami Koraki ? Pou iné Korakimou ?
    Il est grec mon ami.

    Je l’ai rencontré en Kriti.
    Jeune, beau, noir comme un koraki.
    Affamé, abandonné, seul dans la vie,
    Un sourire, une caresse, il m’a suivi.

    Sans argent, mangeant le jour ou le soir,
    Marchant ensemble comme deux corbeaux noirs.
    De village en village, je cherche à travailler,
    De quoi pour survivre, à peine pour s’aimer.
    p.14

    Dans nos yeux douceur, joie de vivre,
    D’être heureux, de respirer ensemble, je suis ivre.
    Un seul regard, un seul sourire,
    Tout est désormais changé
    Même si par tous je suis jugé.

    Ma raison déraisonne, mon cœur agité
    Par sa seule présence, ses bonds agiles,
    Sa voix, ses cris de joie, sa démarche féline.
    Tout me ravit en ce nouvel ami,
    Je me souviens avec joie de Koraki.

    Koraki, je te rencontrerai encore,
    Il était trop tôt mais jamais trop tard
    Pour croire que la vie nous réunira,
    Peu importe quand, ici ou là.

    Je crois en la vie, je t’aime libre,
    Tu me manques, dans ma vie un vide.
    Je dois apprendre à aimer pour l’autre
    Sans exiger de se suivre comme apôtres.

    Sans contrainte, sans chaîne, sans promesse,
    Être unique et multiple dans l’ivresse.
    D’être, de tout partagé sauf sa liberté.
    Tout t’appartient, la terre comme tes pensées.

    Où es-tu allé mon petit ami noir ?
    Rendre un autre heureux il me faut croire.
    Il est si gai, sa voix une boîte à musique.
    Son corps doux et chaud, une toile d’artiste.

    Sa démarche souple, un véritable félin.
    Ses yeux perçants, le geste rapide; quel magicien !
    Mon cœur a rajeuni quand j’ai rencontré Koraki.

    Koraki, bel ami, bel animal,
    Quelles différences nous séparent ?
    Quelques ressemblances, le bien et le mal
    Pour nous sans importance; nul part
    Et partout la joie de vivre en harmonie
    De tout quitter même les amis
    Pour goûter à l’univers.

    Peu importe par terre ou par mer,
    S’il le faut par les airs; p.15
    Rien ne nous fait peur pour être heureux.
    Ni les moyens, ni les besoins,
    Tout est à notre portée quand on est amoureux.

    Ton âme est dans ton regard,
    Tes yeux ton seul trésor.
    J’ai connu une joie, je l’ai appelé Koraki.
    Sans nom, sans bagage, il est reparti.
    Libre comme au premier jour, je l’ai compris.
    Dans sa course vers la vie, il ne veut être suivi
    Ou limité; c’est pourquoi je l’aime Koraki.

    Koraki, ce que tu m’as apporté
    Est plus grand que de te posséder
    Car j’ai appris de ne rien exiger,
    De vivre, il me suffit pour continuer à aimer.

    Tu n’es pas le premier ni le dernier
    Que j’aime et l’amour ne peut se conjuguer
    À aucun temps car le présent est déjà passé.
    Demain me semble loin aujourd’hui
    Mais moins quand je fermerai les yeux pour la nuit.

    La vie n’a pas de temps
    Car tout est en mouvement.
    Rien n’est stable en ce moment,
    Tout peut changer en un seul instant.

    Tout est, tout recommence,
    Tout est sans âge, même l’enfance.
    Tout passe, tout est dans la mémoire,
    Tout se cache au fond de l’Histoire.

    Mon cerveau cherche en vain son âme
    Mon cœur bat comme une mécanique infâme.
    Seul mon esprit coordonne désormais ma Vie.

    Je ne pourrai t’oublier, cher ami, Koraki
    Car ce poème que j’écris en Kriti
    En me servant de toi comme alibi
    En demandant qu’on me serve un raki
    Me permet de me situer dans ma vie
    Avec les autres, avec toi, avec l’ennui.

    L’ennui me quitte quand je suis seul
    Mais revient quand j’aime comme un aveugle p.16
    Qui n’a pas encore appris à marcher,
    Qui craint sans cesse de trébucher.




    Tu me rappelles avec délices,
    Ti-pisou, Éloïse, Raquam, Boîte à malices.
    Tous les noms sont permis je crois
    Mais le tien, Koraki, le plus beau pour moi
    Car tu es plus un ami qu’un CHAT..


    Gilles Lagrois

    Kriti, Kalessa, Grèce, mi-août 1978


    cristalinette13 poésies - salwa rêveriesCommentaire de cristalinette13 (12/06/2013 12:31) :

    " ...C’est souvent dans les moments de douleur et d’épreuves Que l’on découvre que la vie est belle. GiL ..." : l'homme heureux est rarement conscient de son bonheur

    http://cristalinette13.vip-blog.com/




    Quelle est ma raison de vivre

    29/04/2011 18:36

    Quelle est ma raison de vivre


    Qu’elle est ma raison de vivre
    Sinon moi-même.
    Pour être heureux avec un autre
    Il faut d’abord l’être avec soi.
    Mon cœur est triste
    Ma solitude est lourde
    Mais point de larmes
    Pour moi. Non.
    On ne ment pas quand on est seul.
    Heureux malgré moi
    Heureux malgré tout
    Voilà pour moi le bonheur.
    Partager mes joies, mes jouissances,
    Mais non, mon bonheur!

    Le bonheur c’est à l’intérieur,
    Ça ne se voit pas.
    Ça se lit que dans les yeux.
    Pourtant ils sont parfois creux.
    Que ferai-je demain,
    Que ferai-je de mes matins,
    De mes mains qui ne retiennent rien ?

    Je bois à ma santé.
    Je goûte un peu à la fois de moi-même.
    Je suis pour l’autre un étranger
    Même pour mon frère et ma sœur de sang.
    Je suis grand et petit à la fois,
    Plein d’amour et vide de moi.

    L’amour est un grand mot
    Qu’on prononce pour se rassurer.
    S’aimer soi à chaque jour davantage
    Afin que chacun soit heureux.
    D’être d’abord,
    Après s’aimer.
    Je manque de solitude avec les autres.
    Je manque de me retrouver.
    Mais pourquoi vivre ainsi seul ?
    Bien ou mal, on est seul dans sa peau.
    Pourquoi unir deux solitudes ?
    Pour toi, je suis l’autre
    Et pour moi aussi.
     

    Je ne veux plus entendre parler d’aimer
    Car on aime tous à travers soi.
    On apprend à aimer l’autre d’abord
    Pour se retrouver seul ensuite. Désemparé.
    Rare celui qui est prêt à aimer
    Un autre que lui-même
    Et l’amour lui-même est égoïsme.
    Un enfant de son sang
    Ça ne veut rien dire.
    Avec les ans on se déteste, on s’oublie.

    Tout recommence, tout est à recommencer.
    On commet sans cesse les mêmes erreurs,
    Car on a oublié de s’aimer soi d’abord
    Et l’autre aussi se cherche et pense se trouver.
    Mais le bonheur ne s’atteint pas ainsi.

    Gilles Lagrois
    Val d’Or, décembre 1977.


    cristalinette13 poésies - salwa rêveriesCommentaire de cristalinette13 (12/06/2013 12:38) :

    j'ai beau m'aimer moi-même je ne suis pas aimée de la même façon en retour d'ou ce choix de solitude qui finalement n'est pas si mal que çà puisque la quiétude est là

    http://cristalinette13.vip-blog.com/




    Peu importe le soleil

    29/04/2011 18:42

    Peu importe le soleil


    Peu importe le soleil
    Si dans mon cœur il ne fait pas beau.
    Je souffre d’être seul, sans pareil,
    Différent des autres, meurtri sous la peau.

    Trop jeune pour me retirer solitaire
    Quoi d’autre que d’errer sur cette terre.

    J’ai connu l’amour maintes fois
    Il me manque encore parfois.
    J’ai connu l’amour sans âge,
    Différent besoin, différent visage.

    Je persiste à vouloir aimer
    Hors du temps, par le corps et la pensée.

    L’amour, propulsion du corps, de tous les sens,
    Troisième dimension, vérité ou croyance ?
    Tout après deux devient trois par essence.
    De l’artiste au sage, à l’amant
    Rien n’est pareil après et avant.

    Cette dimension est triple et réalisable
    Car je suis à la fois physique, émotif, cérébral.
    Je suis également minéral, végétal et animal.
    Ce que mon corps et mon esprit demandent
    À moi de trouver où se trouve la carence.

    Tout besoin s’exprime par une réaction.
    Tout cause tout, même ma raison.
    Mon cerveau ne peut fonctionner sans oxygène,
    Sans glucose; son déséquilibre me gêne.

    Peu importe le soleil
    Si dans mon cœur il ne fait pas beau.
    Chaque jour il est chaud mais point pareil
    Pourtant je suis nu, découvre ma peau.

    Un jour colombe, je vous vois corneille,
    Tous mes sens s’émerveillent par mon cerveau. p.18
    Ce que je ressens change la couleur de mes ailes.
    Quand je me sens mal, je vois aussi corbeau.

    Tout est à la fois beau et bon
    Seule la conscience d’être change le ton.


    Peu importe le soleil
    Si dans mon cœur il fait beau.
    Je suis bien au froid comme au chaud.
    Je m’adapte, chaque jour je m’émerveille
    Je m’habitue à voir avec un œil nouveau.

    Je continue à aimer comme un enfant
    À regarder autour de moi comme un amant.
    Rien n’a changé en moi sinon quatre fois de peau.

    Je vis déjà un peu de mes souvenirs
    En souhaitant autant de joies pour l’avenir.

    J’erre sur la terre clochette au pied
    En me demandant bien ce qu’il va m’arriver.
    Je rencontre de nouveaux amis, la plupart étrangers
    Ne sachant plus sur quel pied danser.

    Le temps ne s’arrête pas même pas pour se comprendre
    Tout va très vite à peine le temps se s’étendre.
    Quand on décide de voyager
    Il ne faut pas se surprendre de se quitter
    Sans s’être connu
    Seulement de s’être vu.

    Pourquoi ce besoin constant de changer
    De quitter son pays, sécurité, amitié,
    Pour aller ailleurs tout recommencer ?

    Que de fois, sans regret, j’ai voulu tout balayer,
    Pour me refaire, aller à une nouvelle source puiser.
    Le milieu change, tout change, sauf moi.
    J’évolue, je me bats, je continue à penser comme MOI.

    Je ne suis qu’un spécimen, rien d’autre,
    Tout à la fois du tyran à l’apôtre.
    Que de possibilités!
    Tout est en soi illimité.
    p.19
    Le bien et le mal
    Simple question d’idéal.

    Je repense avec regrets
    Aux torts que j’ai faits.

    Tout est dépendant de notre état général
    Que cela soit physique, émotif, sexuel ou mental.
    Toute désorganisation partielle ou permanente
    À sa cause profonde dans une ou l’autre et est évidente.

    Point d’excuse et de remords
    Nul besoin d’avoir raison ou tort.
    J’espère ne pas avoir trop blessé
    Surtout ceux que j’ai profondément aimés.

    Peu importe le soleil
    Si dans mon cœur il fait beau.
    La vie, chaque jour une merveille
    Si dans mon cœur il fait chaud.

    Peu importe le soleil
    Si je rencontre un ami pareil.
    Une amitié sans espoir est comme un amour perdu,
    Un nouveau vin oublié; seul le temps peut tout arranger.
    Les amants peuvent s’aimer et le vin être bu.

    Je tremble à la pensée que la vie puisse être
    Dure et amère;
    Tout à mes yeux me semble aussi beau
    Que l’oiseau et l’air.

    Si la vie me semble laideur
    Il me suffit peut-être d’aller ailleurs.

    Si je suis déçu par le présent
    Peut-être que j’en oublie les bons moments.
    Quoi de plus doux qu’un ami retrouvé,
    Un jour nouveau, l’orage passé.

    Peu importe le soleil
    Si dans mon cœur il fait beau.

    Gilles Lagrois.

    Kriti, Ellas, Grèce, août 1978


    cristalinette13 poésies - salwa rêveriesCommentaire de cristalinette13 (12/06/2013 13:23) :

    :)

    http://cristalinette13.vip-blog.com/




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