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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

  • 19 articles publiés dans cette catégorie
  • 123 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TÉMISCOUATA, QUÉBEC
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    POBI Robert---L'INVISIBLE: thriller

    18/09/2012 22:05

    POBI Robert---L'INVISIBLE: thriller


    POBI Robert

    L’INVISIBLE, Sonatine Éditions, 2012, 425 pages

     

    Très bon roman  du genre polar-thriller car les grands frissons sont présents du début à la fin dans un style immuable, inaltérable d’écriture et l’élaboration de la succession des événements  est complètment démentielle. Les personnages sont intenses, concevables mais complexes, insaisissables tant ils sont hors de portée de notre dimension de vie réelle. Un grand roman, un auteur à découvrir, à garder en mémoire et à escorter.

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec  

     

    Pour en savoir davantage :

     

    « Montauk, Nouvelle-Angleterre. Jack Cole revient pour la première fois depuis près de trente ans dans la maison où il a grandi. Son père, Jacob Coleridge, un peintre reconnu et célébré dans tout le pays à lÂ’égal de Jackson Pollock, y vit reclus depuis des années, souffrant de la maladie dÂ’Alzheimer. Son état a récemment empiré et une crise de démence lÂ’a conduit à lÂ’hôpital. Si ses jours ne sont pas en danger, ses moments de lucidité sont rares. Jack, qui a le corps entièrement tatoué dÂ’un chant de LÂ’Enfer de Dante, souvenir dÂ’une jeunesse perturbée, est lui aussi un artiste en son genre.

    Travaillant en indépendant pour le FBI, il possède un don unique pour lire les scènes de crime et entrer dans lÂ’esprit des psychopathes. Alors quÂ’un terrible ouragan sÂ’approche des côtes, Dan Hauser, le shérif de la ville, profite de la présence de Jack pour lui demander de lÂ’aider à résoudre un double assassinat, celui dÂ’une femme et dÂ’un enfant dont on ignore les identités.

     Devant la méthode employée par le tueur, Jack ne peut sÂ’empêcher de faire le lien avec un autre crime, jamais résolu, le meurtre de sa mère lorsquÂ’il avait 12 ans. Alors que le village est bientôt coupé du monde par la tempête, les meurtres se succèdent et Jack est bientôt convaincu que son père connaît lÂ’identité de lÂ’assassin.

    La clé réside-t-elle dans les 5 000 mystérieux tableaux quÂ’il a peints inlassablement ces dernières années et qui semblent constituer une sorte dÂ’étrange puzzle ? CÂ’est dans lÂ’esprit de son père que Jack va cette fois devoir entrer, comme il entre dÂ’habitude dans celui des criminels, pour trouver une vérité complètement inattendue.
    Dans ce premier roman impressionnant, Robert Pobi sÂ’intéresse à un trait commun que partagent artistes, médecins et policiers, celui dÂ’interroger obsessionnellement les apparences afin dÂ’atteindre, peut-être, la vérité qui se cache derrière. Avec une efficacité et une maîtrise dignes des plus grands auteurs de thrillers, il tient le lecteur en haleine de la première à la dernière page, au fil dÂ’une intrigue machiavélique, jusquÂ’au coup de théâtre final, qui place le livre au niveau des plus grandes réussites du genre. »

    www.babelio.com

     

    ·« Christelle, 2012

     

    « Voilà le type de lecture que j'aime et qui me pousse à dévorer chaque page. Pour un premier roman, Pobi excelle dans cet écriture parfaitement maîtrisé et tenir en haleine le lecteur. Les personnages ont une personnalité attachante, l'intrigue montante sans jamais redescendre et les crimes qui peuvent choqués nous invitent dans une intimité avec ce tueur presque malsaine mais qui ne m'a pas dérangé.
    Je ne dévoilerais rien mais la fin est un revirement auquel on ne s'attend pas et qui fait de ce thriller, un petit bijou. Le suspens est bien construit qui me rappelle un genre Seven ou le silence des agneaux. On est simplement bluffé et ce sera mon coup de coeur du

               mois. »www.babelio.com

     

    « Avec son premier thriller, le Canadien Robert Pobi nous amène dans la ville de Montauk (Nouvelle-Angleterre) qui se prépare à "accueillir" un ouragan d'une force brutale et quasi sans précédant . L''agent spécial du FBI Jake Cole, acteur central de cette intrigue, est un homme au corps entièrement tatoué du 12ème chant de L'Enfer de Dante, réminiscence d'un passé tortueux qui n'a pas de mal à se rappeler à lui en la personne de son vieux père Jacob atteint de la maladie d'Alzheimer et qui vient de frôler la mort : celui qu'il a fui pendant trente-trois ans a besoin d'être maintenu en maison de repos quand débute l'action, soit trois jours avant le déchaînement des éléments et... de la "vraie" folie.

     Ce difficile retour dans la maison familiale, jonchée de détritus mais également des peintures de Jacob Coleridge, créateur visionnaire à l'égal de Jackson Pollock ou de Francis Bacon, ne serait rien si un appel à la collaboration de Mike Hauser, le shérif du coin, ne rappelait pas Jake à de sombres souvenirs de jeunesse.

     La macabre découverte de deux corps écorchés vifs fait alors écho à l'assassinat non résolu de la mère de cet agent fédéral, retrouvée dépecée de la même terrifiante manière en 1978, sans qu'aucun suspect ne soit appréhendé.

     A l'instar de ce père honni mais célèbre, Jake a développé un don particulier d'observation très développé pour lire les scènes de crime, comme si lui-même pouvait en reconstituer les moindres nuances à partir des indices laissés par la palette du meurtrier : "je peins les morts", résume-t-il justement.

    Fort de cette acuité exceptionnelle et malgré les mises en garde de son père, Jake ne tarde pas à identifier cette nouvelle affaire à son propre traumatisme qui l'a conduit à exercer ce métier, à tomber comme son père dans l'alcool et la drogue, puis à s'échapper à New York. Et si le fil invisible, la pièce manquante de ce puzzle sanglant se nichait dans l'héritage des milliers de portraits du même "homme sans tête" exécutés par ce père halluciné et abandonnés à l'intention de Jake, tel un vaste code à déchiffrer ? Pourquoi Jérémy, le fils de Jake venu avec sa mère le retrouver à Montauk avant l'imminence de la tempête, parle-t-il d'un mystérieux individu qu'il nomme "l'homme du sol" et qui ressemble étrangement à cet "homme de sang" (Bloodman est le titre original du roman) reproduit tant de fois par Jacob ?


    Quand le lecteur croit détenir une piste, deviner l'identité de l'écorcheur, sachez que vous n'êtes pas du tout au bout de vos surprises avec ce thriller machiavélique qui n'est pas sans rappeler, monde de l'art oblige, le premier roman de Jesse Kellerman, Les visages.

    Car la fin déjoue toutes les hypothèses échafaudées même si elle aussi n'est pas sans rappeler celle d'un excellent polar…

    L'ouragan qui touche terre insuffle alors une forte tension, les éléments se déchaînent, c'est tout le roman qui sombre dans la folie et le chaos, tandis que se multiplient les crimes sordides. Le rythme devient aussi frénétique que l'action, nous précipitant vers un dénouement aussi glauque qu'impitoyable »

    www.babelio.com






    KEPLER Lars--- L'HYPNOTISEUR ****

    04/11/2012 19:33

    KEPLER Lars--- L'HYPNOTISEUR ****


    KEPLER Lars

    L’HYPNOTISEUR, Actes Sud, 2010, 509 pages

     

    Très bon roman du genre polar-psychologique proche de la psychiâtrie comme science humaine. Un roman de 509 grammes d’une situation progressive poignante par son drame, ses relations humaines et intimes qui  dévoilent un gramme à la fois par page son  intensité.

    Un drame humain bouleversant qui se vit autant de l’intérieur que par le réalisme de cette tragédie  familiale accrocheuse, opiniâtre.

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

     

    Pour en savoir davantage :

     

    «    L'ouvrage:
    Stockholm.
    Une famille est sauvagement massacrée. Joseph, l'un des enfants, est retrouvé. Ce n'est plus qu'une plaie vivante. L'inspecteur Joona Linna souhaite l'interroger au plus tôt, car il a peut-être vu l'assassin. Celui-ci va peut-être tenter de retrouver la soeur aînée de Joseph, qui n'était pas à la maison. L'enfant restant inconscient, Joona fait appel à Erik Maria Bark, un hypnotiseur. Celui-ci refuse: voilà dix ans, il a juré de ne plus pratiquer l'hypnose. Cependant, il sera obligé d'obtempérer.

    Critique:
    Voilà un thriller comme je les aime! Il commence avec ce que nous croyons être une enquête banale. Mais le lecteur sera déboussolé tout au long du livre. L'auteur le promènera à sa guise. Il sera impossible de prévoir le prochain événement. Par exemple, nous savons très vite qui est l'assassin de la famille. Cela perturbe le lecteur qui s'attendait à être traîné d'une piste à l'autre. Cette façon de faire m'a fait penser aux meilleurs thrillers de Serge Brussolo. Le début n'est qu'un prétexte pour ouvrir tout un tas de tiroirs, et emporter le lecteur dans un tourbillon d'événements qui le dépassent.

    D'autre part, dans tout roman policier, il y a des ficelles plus ou moins grosses, destinées à faire patienter le lecteur ou à l'égarer. Ici, les procédés sont utilisés très subtilement. Par exemple, on nous conduit bien sur une fausse piste, à un moment, mais elle peut s'expliquer. Bien sûr, quand le lecteur connaît la vérité, il se dira qu'il était évident qu'Erik s'est fourvoyé, alors qu'il n'aurait pas dû. Cette ficelle est un peu expliquée par le fait que l'hypnotiseur est soumis à une forte pression, et doit exhumer des souvenirs qu'il s'est efforcé d'enfouir au fond de sa mémoire. Il est tout de même invraisemblable que l'hôpital n'ait pas enquêté sur chaque patient afin de mieux prévoir leurs actes, avant de les accepter dans un groupe expérimental.
    Il y a une autre chose que j'ai trouvée un peu grosse sur le moment, mais l'auteur finit par l'expliquer de manière satisfaisante.
    Seule, une chose reste floue, mais on peut trouver une explication. En bonne maniaque, j'aurais préféré que l'auteur l'explicite clairement.

    Par ailleurs, Lars Kepler explore un thème aussi étrange et mystérieux que l'hypnose. Je ne sais pas si les théories d'Erik ont été émises un jour, ou si le romancier les a inventées, mais tout est très intéressant. On se rend compte qu'on ne connaît pas grand-chose à l'hypnose. En outre, une personne hypnotisée peut-elle garder son libre arbitre? Erik faisait cela pour aider ses patients, mais qu'en serait-il si cette arme était maniée par une personne mal intentionnée? Jusqu'où peut-on violer l'intimité d'une personne grâce à l'hypnose? L'auteur pose toutes ces questions de manière assez délicate.

    Lars Kepler laisse entrevoir à son lecteur une espèce de société souterraine, composée d'enfants caïds qui édictent leurs lois aux autres enfants. Et personne ne voit rien... C'est assez effrayant, et malheureusement, cela semble réaliste.

    Comme dans certains romans de Lisa Gardner, on s'attache davantage aux personnages qui ne font que passer plutôt qu'à celui de l'inspecteur. (C'est ce qui m'arrive avec DD Warren chez Lisa Gardner.) Si Joona fait bonne impression sur le lecteur, il n'est pas très épais, comparé à Erik et à Simonne.
    On peut admirer la pugnacité de Joona, mais elle est la même que celle d'autres policiers rencontrés dans d'autres romans. On peut déplorer le fait qu'il soit complètement pris par son métier, et n'ait pas le temps d'avoir une vie. Mais on retrouve également ce thème dans beaucoup de romans policiers. Le lecteur peut peut-être mieux comprendre cela grâce à l'anecdote ayant trait à l'enfance de Joona.
    Il se distingue tout de même par sa propension à avoir toujours raison, et à bien le faire remarquer. ;-)

    Erik a un certain charisme. J'ai aimé sa capacité à s'analyser, notamment lorsqu'il se rend compte qu'il a été poussé à une certaine chose par la vanité. Il navigue entre deux eaux: il veut sauver son mariage, mais fait tout pour laisser les malentendus s'installer. Il se sait accro aux analgésiques, mais ne veut pas l'admettre. Et pourtant, lorsqu'une vie est en jeu, il se soumet à un sevrage draconien. Il a une conscience professionnelle, il tente d'oublier sa prétendue erreur, et pourtant, on la retrouve dans tous ses gestes: sa promesse, l'oubli facile procuré par les cachets, etc. Bref, un personnage très intéressant dont il est assez difficile de parler davantage sans évoquer des points clés du roman. »

       www.lalivrophile.net






    FLYNN Gillian--LES LIEUX SOMBRES

    31/12/2012 22:50

    FLYNN Gillian--LES LIEUX SOMBRES


     

    FLYNN Gillian

    LES LIEUX SOMBRES, Sonatine, 2010, 478 pages

     Un  roman exceptionnel  dans le genre thriller-grands frissons de Gillian Flynn, auteure de « Sur Ma Peau » et « Les Apparences ». L’auteure avec une écriture détaillée  d’analyste en psychologie nous dévoile tous les éléments d’un événement tragique qui a coûté la vie à une mère et à deux de ses filles dans une ferme en retrait de la vie sociale du Kansas.

    Libby la fille âgée de sept ans, lors des événements qui ont marqué ce drame, pour se reconstruire et recommencer à vivre, n’a pas d’autre choix que de faire la lumière sur l’affaire, quelles qu’en soient les conséquences pour elle, son père et son frère accusé de cette tragédie et emprisonné. 

    L’auteure nous offre ici une intrigue d’une densité extrême, des personnages complexes, dramatiques, terriblements humains.   

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

     

    Pour en savoir davantage :

    Résumé :

    « Début des années 1980. Libby Day a sept ans lorsque sa mère et ses deux sœurs sont assassinées dans leur ferme familiale. Rescapée par miracle, la petite fille désigne le meurtrier à la police, son frère Ben, âgé de 15 ans. Ce fait divers émeut tout le pays, et la jeune Libby devient un symbole de l’innocence bafouée.
    Vingt-cinq ans plus tard, alors que son frère est toujours derrière les barreaux, Libby, qui ne s’est jamais remise du drame, souffre de dépression chronique.

    Encouragée par une association d’un type très particulier, elle accepte pour la première fois de revisiter les lieux sombres de son passé. C’est là, dans un Middle West désolé, dévasté par la crise économique et sociale, qu’une vérité inimaginable commence à émerger. Et Libby n’aura pas d’autre choix pour se reconstruire, et peut-être enfin recommencer à vivre, que de faire toute la lumière sur l’affaire, quelles qu’en soient les conséquences.
    Bien loin des clichés et du manichéisme qui encombrent la plupart des thrillers contemporains, Gillian Flynn nous offre ici une intrigue d’une densité rare, des personnages complexes, tragiques, terriblement humains. Considérée dès son premier roman, Sur ma peau, comme l’une des voix les plus originales du thriller contemporain, elle confirme avec ce livre, où l’on retrouve son style intense et viscéral, son immense talent. » www.babelio.com

     

     

    Par pyrouette, une lectrice

     

    « Bien plus qu'une enquête pour découvrir le coupable, cette histoire raconte le déclin du monde agricole aux Etats-Unis dans les années 80. L'auteur alterne les chapitres avec le présent et le passé et en parallèle de la quête de Libby, nous suivons l'histoire de cette famille qui tombe dans une pauvreté extrême. Le père alcoolique a pris la fuite en voyant arriver les premières difficultés laissant sa femme et ses quatre enfants se débrouiller avec le travail de la ferme, la mère croule sous les dettes et le travail et malgré tous ses efforts et son amour n'arrive plus à assumer son rôle de mère.
    Ce roman noir mérite son nom. Au fil des pages, la complexité des personnages nous captive, nous intrigue et nous tournons les pages de ce roman avec avidité pour découvrir un épilogue surprenant…. Ou pas selon votre connaissance des années 80 et des différents faits divers de cette époque. Une lecture à conseiller vivement. »

    www.babelio.com 



    partage et amitieCommentaire de laloracorse2 (18/05/2016 16:30) :

    418je l ai lu celui ci trouve chez le bouquiniste, sourires

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    LE CERCLE, roman du genre thriller, de Bernard MINIER

    23/03/2014 20:41

    LE CERCLE, roman du genre thriller, de Bernard MINIER


     

    MINIER Bernard

    LE CERCLE, roman du genre thriller, XOEditions, 2012, 558 pages

     Après son roman GLACÉ, Bernard MINIER nous revient avec un roman du genre thriller reversant, exténuant magnifiquement mené par une écriture éclaboussante. Deux intrigues principales mènent la cadence: la mort d'une enseignante brillante, appréciée et la présence obsédante, obstinée de Julian Hirtmann, le prédateur sexuel et tueur en séries de jeunes femmes.

    Plusieurs personnages éclatés composent le tableau: Van Acker, quelqu'un de spirituel, de redoutable et d'arrogant, la belle détective Ziegler, fidèle, rusée, protectrice.

    Un roman aussi redoutable que ses personnages qui nous procurent  des émotions et des questions insurmontables.

     "Notre cher peuple fonctionne comme fonctionnait les premières tribus d'Israël: il adore les boucs émissaires."  

    " A vingt, elle avait découvert que le monde est un lieu coupant et blessant où la plupart des gens mentent- aux autres comme à eux-mêmes- que le monde est le terrain de jeux favori des salauds, un enfer pour les autres, et Dieu le champion du monde toutes

    catégories des enfoirés."

    " Vivre, c'est choisir, n'est-ce pas ?

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

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    Pour en savoir davantage:

     "Une atmosphère singulière et oppressante règne tout au long du roman : une pluie incessante, l'orage qui gronde, les sentiers de la mémoire, une vengeance, un serial-killer qui s'évade d'un hôpital psychiatrique, la musique de Gustav Malher qui résonne tel un letmotiv du début à la fin de l'histoire, une pléthore de personnages venus de tout horizon qui déstabilisent d'abord le lecteur pris dans une sorte de labyrinthe dont il ne voit pas la sortie. Les eaux troubles d'un lac. Un drame ancien. L'univers clos, cossu et secret de la petite ville universitaire de Marsac... Puis, les élément se mettent en place, s'imbriquent les uns dans les autres et donne au tout une parfaite cohérence. 

    Loin d'être mon genre littéraire préféré, ce thriller écrit avec habileté et intelligence a su captiver mon attention. Il y a bien certaines scènes proche de l'insoutenable pour moi mais le suspense est haletant, le personnage de Martin Servaz est magnifiquement incarné, les reflexions et autres pensées sur la société actuelle, la littérature, la politique, les évolutions techniques sont interessantes et sensées. Un thriller efficace."

     

    "Juin 2010. Le commandant Martin Servaz reçoit un énigmatique e-mail. Julian Hirtmann, le mystérieux pensionnaire de l'Institut psychiatrique Wargnier, dont personne ne sait, depuis son évasion il y a dix-huit mois, s'il est vivant ou mort, serait-il de retour ?

    Pendant ce temps, à une dizaine de kilomètres, un professeur de civilisation antique est assassiné, un artiste suédois brûlé vif, un éleveur de chiens dévoré par ses animaux. Que se passe-t-il autour de Marsac et de ce cercle d'étudiants qui réunit l'élite de la région et dont Servaz a fait partie ?

    Aidé par Espérandieu et Irène Ziegler, Servaz va découvrir l'existence d'un jeu sinistre et rouvrir de terribles blessures. 

    Confronté à un univers terrifiant de trahison, de bestialité, de perversité et d'intelligence, il n'en sortira pas indemne. Il devra également protéger ceux qu'il aime de la menace Hirtmann, à commencer par Margot, sa fille, étudiante à Marsac.
    Mais l'ennemi n'est jamais là où on l'attend..." www.babelio.com

     

    "Un thriller qui prend aux tripes et qui ne vous lâche pas une seconde !!!
    Le livre s'ouvre sur un prologue atroce qui va donner le ton de ce nouvel opus écrit parBernard Minier. Tout au long des pages, nous allons retrouver cette femme enfermée, qui se perd peu à peu dans l'atrocité de la folie.
    Le 11 juin 2010... On retrouve Martin Servaz, que nous avions connu dans le premier opus de Bernard Minier « glacé », nous sommes en juin, c'est la coupe du monde de football. Claire Diemar, 32 ans, prof à Marsac est trouvée morte dans sa salle de bain. Tout accuse Hugo, étudiant, un des élèves De Claire. Il est retrouvé sur les lieux du crime, on découvre Hugo assis par terre les pieds dans l'eau de la piscine de la propriété remplie de poupées.
    C'est Oliver Winshow, le voisin directe de la maison De Claire qui a découvert Hugo assis au bord de cette piscine, le regard vide.
    Claire est retrouvée dans sa baignoire ligotée par plusieurs mettre de corde, avec en guise de billon, une lampe troche dans la gorge ce qui éclaire sa bouche et ses dents.
    Hugo se souvient d'une musique, de la musique classique, rien d'autre. Mais pour Servaz, cela le remmène à sa dernière grosse enquête en 2008/2009 («glacé»)... neige, vert, blanc... ce lieu isolé à l'institut Wargnier... Alois Hirtmann avait en commun avec Servaz, cette musique de Muhler. On avait découvert chez cet ancien procureur de Genève des documents qui laissaient penser que le Suisse pouvait être l'auteur d'une quarantaine de meurtres sur une période de 25 ans.
    Ce livre est une grande enquête sur la mort de Claire Diemar, mais c'est aussi un grand retour en arrière sur la vie de Servaz. En effet on apprend que Servaz avait retrouvé son père mort dans un fauteuil... Nous apprenons aussi que Servaz était élève de cet établissement dans lequel Claire travaillait. Il était voué à faire de longues études et à devenir un très grand écrivain, mais après le mort de son père, il est entré dans la police... il a fait un virage 360°..."



    partage et amitieCommentaire de laloracorse2 (19/04/2019 10:00) :

    j'ai un peu de mal avec les auteurs francais, pourtant suis francaise, je prefere les auteurs americains, meme les auteurs du grand nord, c'est avec les noms que j ai du mal à suivre, mais bon, bonnes fetes de paques à vous

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    INÉLUCTABLE, roman noir de Patrick SÉBASTIEN

    19/04/2014 15:46

    INÉLUCTABLE, roman noir de Patrick SÉBASTIEN


    SÉBASTIEN Patrick

     INÉLUCTABLE, roman du genre thriller, XO Éditions, 2013, 327 pages

     Roman noir du genre thriller  de Patrick Sébastien bien écrit avec un style à la fois humoristique et tranchant qui explore l'âme humaine avec empathie tel un psychiatre dévoué à ses clients. Des personnages attachants et terriblement humains.

    Un roman noir à découvrir si la complexité de l'âme vous touche comme une maladie mentale génétique.

    Inéluctable donc inévitable et fatal dans tous les cas.

     " Tous les coupables sont aussi des victimes."

     " Il se fixa plus sur la perversion de la victime que sur son exécution. L'indifférence propre à la routine. Il en conclut que la misère sexuelle était un fléau. Un fléau sordide."

    "Il n'y a que dans le règne humain que les antilopes se complaisent dans les griffes du lion."

    " Ceux qui vous imposent ce qu'ils veulent sans autorité. Uniquement par la justesse de leur intonation."

     

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

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    Pour en savoir davantage:

                                              RÉSUMÉ DU LIVRE

     

    "Comprendrez-vous avant Jo ce qui le pousse à tuer ? JoSimon est un serial killer. A son corps défendant. Une force inconnue l'oblige à tuer. N'importe qui. Quand la pulsion est passée, il tente de comprendre ce qui la déclenche. Pour l'enrayer. Ce qu'il veut, c'est vivre son bonheur avec Rosa, dont il est fou amoureux. C'est une autre jeune femme, belle et mystérieuse, qui va l'aider à comprendre ses pulsions de meurtre. 
    Mais ce qu'il va découvrir est plus effroyable encore que ce qu'il imaginait..."



    partage et amitieCommentaire de laloracorse2 (19/05/2016 09:30) :

    j'ai vu ce livre chez le bouquiniste, j ai hesite, quand j y retournerai je le prendrai et donnerai mon impression, plus on lit plus on veut lire, sourires, mais la ca devient difficile de caser mes chers livres, je ne sais pas si chez toi ca existe, les boites à livres, tu mets des livres, et tu fais un troc, tu en prends un dans cette boite que tu n as pas lu bien sur, a aix en provence, il y en a plein, sur paris pas trop dans les gares, dommage, j ai bien envie de soulever l idee dans mon petit village coince entre les grands hotels et l aeroport CDG une façon de faire partager la lecture sa passion amities sous la pluie Paris est bien triste Christine

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