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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES
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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

  • 198 articles publiés dans cette catégorie
  • 123 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TÉMISCOUATA, QUÉBEC
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    CHAPUIS Bernard---LE RÊVE ENTOURÉ D'EAU

    12/06/2010 14:43



    CHAPUIS Bernard
    LE RÊVE ENTOURÉ D’EAU, Éd, Stock, 2009, 394 pages


    Avis de Iana « Charmeur et loufoque ! Quatre célibataires au grand coeur deviennent famille de remplacement de quatre enfants rendus orphelins par le crash du Boeing de la TWA. Bichot (archiviste dans un cabinet juridique) nous présente Talbeau (avocat international et pourvoyeur de fonds), Luca (photographe de charme et me-nuisier) et Valentine (figure de mère à la Mary Poppins). Le narrateur, Bichot avec la complicité de son chat Aramis, nous entraîne avec grâce et calme dans cette histoire foisonnante. Tout ce petit monde se retrouve au gré des saisons pour partager des repas, des moments précieux et transmettre… Des objets surgissent du passé raconté : la selle du cavalier du Brahmapoutre, la tacouba d’Ahamed, le matsu des Kotani et le lit Er-nest Boiceau. S’ensuivent des "chasses au trésor", prétextes à des voyages tribulations du Cap Ferret au Lac Léman, en passant par le désert de sable du Ténéré et la mer intérieure du Japon. L'essence même du ro-man : une vraie fiction dans laquelle on se laisse embarquer avec délectation. On vit, on rit, on s'émeut... C'est un hymne à la vie, à l'amitié, à la générosité, une bouffée d'air. En prime c'est très bien écrit, dans une langue élégante mais jamais pesante. Je me suis régalée »
    Source :www.evene.fr


    Lecture agréable. Personnages décontractés n’ayant pas de problème d’argent voire fortunés. Ils choisissent au jour le jour leurs projets, leurs amours, les responsabilités de la vie. Pour eux revoir une amie au Japon ou effectuer une fouille dans le désert n’est qu’une question de choix ou de priorité . Le style coule comme de l’eau de fontaine parfois de chute : le vocabulaire est recherché et précis. Une bonne lecture. GiL






    NOTHOMB AMÉLIE---LE VOYAGE D'HIVER

    12/06/2010 14:48



    Amélie NOTHOMB
    LE VOYAGE D’HIVER, Albin Michel, 2009, 131 pages

     
    Résumé du livre
    'Il n'y a pas d'échec amoureux.' Zoïle s'apprête à se faire exploser dans un avion. Dans l'aéroport, dans l'attente, il raconte... l'amour, la femme, les raisons de son geste...
    La critique [evene] par Thomas Flamerion


    « Trois fois rien : c'est à peu près ce que l'on trouve dans le dernier voyage d'Amélie Nothomb. Un rien de démagogie, quand l'écrivain assène quelques sentences réductrices sur le courage du kamikaze. Un rien de caricature, lorsqu'elle renvoie la complexité de l'autisme au génie d'une écrivain attardée qui se cure le nez et engloutit voracement de la nourriture. Un rien de manichéisme dans sa réflexion improba-ble sur la haine et l'amour, ramenée à la relation stérile entre un électricien et une secrétaire particulière trop dévouée à sa cause pour baisser sa garde... Et quel que soit l'art de la tournure - un peu éculé - de la fabuliste, ses fadaises trouvent dans la brièveté du texte leur ultime vanité. Parce que l'on voudrait bien croire à l'invraisemblable - c'est une des vertus de la bonne littérature - si Amélie Nothomb prenait le temps de creuser les questions qu'elle effleure. Si elle ne se contentait pas de détourner l'impact du 11 Septembre dans un conte aux accents faussement dickensiens qui assimile la misère affective aux dérives terroristes. Parce que quand, chez d'autres, la provocation fait mouche, chez Nothomb on reste consterné devant l'accumulation de raccourcis qui ne mènent nulle part. Sans parler de la scène où ses ennuyeux personnages qui ont ingéré des champignons hallucinogènes brûlent leurs dernières cartouches de crédibilité... Pire, Amélie Nothomb nous refait le coup de la marque du destin en piochant dans son Robert des noms propres. On lui saurait gré de cette pointe d'érudition si elle n'accentuait les carences de sa dialectique, qui sous des traits grand-guignolesques hésite entre lieux communs et mauvais goût. »


    « Un nouvel opus disons moyen... Mais l'humour ravageur de notre 'Folie Belge' nous laisse ravis ! » Un lecteur.
    Le Point - Jean-Paul Enthoven (13 août 2009) « Le millésime Nothomb 2009, qui se déguste en moins d'une heure, a un arrière-goût de champignons hallucinogènes, de sucs givrés et de ravissants délires. »


    Lire - Delphine Peras (Septembre 2009) « Si 'Le Voyage d'hiver', titre emprunté à Schubert, n'est pas un grand cru 'nothombien', c'est une fantaisie originale dont l'étrange saveur ne se dissipe pas de sitôt. «


    Les + Le style d'Amélie Nothomb est toujours aussi agréable. Le début nous entraîne dans une nouvelle folie :un attentat. L'imaginaire d'Amélie Nothomb a comme toujours aucune limite et nous plonge dans des pages quelques fois surprenantes. Un peu d'auto-dérision de l'auteure lorsqu'elle évoque les couvertures de romans. Les - Il ne se passe rien, en dehors des 20 premières pages, tout le reste est assez fade. Le passage merveilleux sur les champignons hallucinogènes, ne fait halluciner que les personnages, le lecteur ne voit rien, car rien n\'est décrit. Incohérence sur la fin, on ne peut pas transporter un liquide dans un avion


    Personnellement je ne suis pas d’accord avec ces commentaires car j’ai bien aimé ce monde irréel mais probable où nous entraîne Nothomb. Ce roman frappe par son mordant, son humour caustique, sa vision des relations humaines. L’amour et l’amitié se confondent et on ne sait plus à qui s’identifier. J’ai aimé. GiL






    MAVRIKAKIS CATHERINE---DEUILS CANNIBALES ET MÉLANCOLIQUES

    12/06/2010 15:19



    DEUILS CANNIBALES ET MÉLANCOLIQUES, 2000, Éditions Trois


    Catherine Mavrikakis est devenue un écrivain incontournable dans le paysage québécois depuis son roman Bay City, récom-pensé par le Grand Prix de la Ville de Montréal en 2008. Ce qu’on sait peut-être moins d’elle c’est qu’avant d’être ainsi recon-nue, elle comptait déjà à son actif quelques essais et cinq autres romans, dont Deuils cannibales et mélancoliques, publié en 2000 aux Éditions Trois. Ce premier roman n’avait pas rejoint un large public mais avait toutefois connu une sortie percutante grâce au critique littéraire Robert Lévesque - autrefois du journal Le Devoir- qui avait alors dit de l’auteur de ce roman qu’elle était le premier écrivain à l’avoir autant séduit depuis Hubert Aquin. Un hommage exceptionnel venant de ce critique reconnu pour son niveau d’exigence très élévé. D’autre part, Pierre Thibault, l’ancien directeur du journal Ici avait également salué ce livre comme « chef-d’oeuvre ».


    Le livre était resté introuvable depuis sa parution en 2000, mais après le succès de Bay City, l’éditeur actuel de Catherine Mavri-kakis, Héliotropis, a jugé bon de rééditer Deuils cannibales et mélancoliques, au grand plaisir de ceux qui avaient déjà décou-vert son talent exceptionnel. Ce livre peut fasciner ou, au contraire, entraîner un refus viscéral parce qu’il tire le lecteur vers des lieux intérieurs arides où il ne veut pas séjourner, ne serait-ce que le temps d’une lecture. On entre dans Deuils cannibales et mélancoliques comme dans un cinéma sombre, pour y voir un film sombre, réalisé par un cinéaste lui aussi sombre, mais plein de courage devant des réalités froides et dures et doté de plus d’un rare talent d’écriture. Et il en faut du courage pour aborder les thèmes favoris de Catherine Mavrikakis, la difficulté de communiquer ce qu’on est et la solitude qui en découle, et, dans le cas particulier de ce livre, la mort. La mort, uniquement la mort, celle de proches, d’amis sidéens qui, les uns après les autres, quit-tent prématurément la vie et dont le départ impose une brutale rupture des amitiés. Les deuils dont parlent le titre sont ceux qui rongent de l’intérieur les survivants et les marquent d’une tristesse profonde qui ne les quittera plus. Étonnamment, tous ces amis morts portent un prénom identique, « Hervé », par allusion, et peut-être en hommage, à Hervé Guibert, l’écrivain français lui aussi mort du sida il y a quelques années.


    Deuils cannibales et mélancoliques est un court roman, composé de très courts chapitres écrits dans un style essentiel, minima-liste, ce qui aide à atténuer la dureté du sujet traité. Qu’on aime ou pas, il faut reconnaître que Catherine Mavrikakis est dotée d’une voix exceptionnellement forte et courageuse, ce qui devrait faire d’elle un des écrivains les plus remarquables de la littéra-ture francophone contemporaine. Une forte personnalité littéraire, à recommander aux lecteurs qui recherchent la présence d’un livre et d’un auteur de grand caractère.
    Agathe Crevier, Lavaltrie, Québec.






    STRELECKY John P.---LE WHY CAFÉ

    12/06/2010 15:25



    STRELECKY John P.
    LE WHY CAFÉ, Le dauphin blanc, 2009, 154 pages


    Description « Pour fuir le stress et la pression au travail et dans la vie quotidienne, John prend la route pour quelques jours de vacances. Retardé par un accident, il se voit contraint de modifier son itinéraire et d'emprunter un chemin inconnu et isolé sur lequel il se perd. Contre toute attente, alors qu'il est sur le point de manquer d'essence et qu'il est affamé, il aboutit à un café au milieu de nulle part et dans lequel il fait la connaissance de trois personnes qui l'amèneront à réfléchir sur la vie d'un point de vue différent. Mais surtout, il découvre sur le menu du café trois questions qui le porteront à réévaluer sa propre existence: Pourquoi êtes-vous ici? Craignez-vous la mort? Etes-vous pleinement épanoui?


    De discussion en discussion, de réflexion en réflexion, l'homme voit sa vision de la vie se trans-former. Lorsqu'il quitte le café, tard dans la nuit, il sait qu'il ne sera plus jamais le même homme et que sa vie vient de prendre un tournant majeur. Best seller international vendu à plus de 300,000 exemplaires et traduit en 18 langues, Le Why café est une histoire au sujet des occasions que l'on trouve à la croisée des chemins. Ce livre, véritable phénomène international de l'édition, inspirera les lecteurs qui, dans la foulée du per-sonnage principal, partiront eux aussi à la découverte d'eux-mêmes et transformeront leur propre existence. » Source: www.livresquebecois.com/livre

    Livre sur le développement personnel. Intéressant, bien fait. Se lit facilement et peut être utile aux  personnes qui se questionnent sur leur vie, leur destin, qui se remmettent en question face à la routine et à la réalité de leur vie, qui ont besoin de faire le point.GiL  

     






    TESSON Sylvain---UNE VIE À COUCHER DEHORS et PETIT TRAITÉ SUR L'IMMENSITÉ DU MONDE

    13/06/2010 15:34



    TESSON Sylvain

     

     

    UNE VIE ÀCOUCHER DEHORS, Gallimard, 2009, 196 pages

     

    Sylvain Tesson

    Editions Gallimard, 12/03/2009 208 p ISBN : 9782070124664

    Tag(s) : Littérature francophone - Nouvelle - Rentrée littéraire hiver 2009

     

    « En Sibérie, dans les glens écossais, les criques de l’Égée ou les montagnes de Géorgie, les héros de ces quinze nouvelles ne devraient jamais oublier que les lois du destin et les forces de la nature sont plus puissantes que les désirs et les espérances. Rien ne sert à l’homme de trop s’agiter dans la toile de l’existence, car la vie, même quand elle ne commence pas très bien, finit toujours mal. Et puis une mauvaise chute vaut mieux qu’une fin insignifiante. » Sylvain Tesson.

     

    Quinze nouvelles qui nous portent à réfléchir aux aléas que la vie nous réserve peu importe notre condition humaine. GiL

     

     

    PETIT TRAITÉ SUR L’IMMENSITÉ DU MONDE, Éd, de la LOUPE, 2006, 167 PAGES

     

    Résumé du livre

     

    Pour ralentir la fuite du temps, Sylvain Tesson parcourt le monde à pied, à cheval, à vélo ou en canot. Dans les steppes d'Asie centrale, au Tibet, dans les forêts françaises ou à Paris, il marche, chevauche, mais escalade aussi les monuments à mains nues. Pour mieux embrasser la terre, il passe une nuit au sommet de Notre-Dame de Paris, bivouaque dans un arbre ou sous un pont, recourt aux cabanes. Cet amoureux des reliefs poursuit le merveilleux et l'enchantement. Dans nos sociétés de communication, Sylvain Tesson en appelle à un nouveau nomadisme, à un vagabondage joyeux.

     

    La critique [evene]
      
    par Céline Laflute

     

    Le ‘Petit traité sur l’immensité du monde’ porte bien son nom et son paradoxe. Sans être didactique ni abstraitement philosophique, la voix singulière de Sylvain Tesson épouse ces dimensions faramineuses et nous en apprend beaucoup. Pas sur les voyages comme nous, profanes, les pratiquons, mais sur ceux qui durent plusieurs mois, "by fair means", autrement dit sans moteur ! Sylvain Tesson rend hommage à tous les "baladins du monde occidental" auxquels il s’identifie. Il dissèque la philosophie du "wanderer", du nomade par excellence, à contre-courant de notre mode de vie. Avec force références artistiques et anecdotes issues de ses propres voyages en tant que journaliste notamment, l’auteur restitue ce parfum d’aventure au ralenti, pourrait-on dire, pour celui dont la vie se résume à cheminer. Tout coule de source dans cet essai loin de clopiner. Le lecteur se laisse emporter par ce flot de pensées, de réflexions et d’exemples originaux et véridiques. Le sens de la formule n’échappe jamais à Sylvain Tesson, conteur hors pair. Joli condensé d’expérience(s).

     






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