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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES
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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

  • 198 articles publiés dans cette catégorie
  • 123 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TÉMISCOUATA, QUÉBEC
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    ****RUSSO Richard---LE PONT DES SOUPIRS---

    01/11/2010 14:54

    ****RUSSO Richard---LE PONT DES SOUPIRS---


    RUSSO Richard
    LE PONT DES SOUPIRS, La table ronde, 2007, 726 pages
    Présentation de l'éditeur
    « Louis C. Lynch, dit Lucy, n’a jamais quitté Thomaston, une bourgade proche de New York, où il vit depuis toujours avec son épouse Sarah. D’origine irlandaise, il a hérité un « empire » de petits commerces, qu’il s’apprête à son tour à léguer à leur fils unique. Le couple prépare le premier voyage de sa vie en Italie, où un ami d’enfance, Bobby Marconi - devenu peintre de renom - s’est exilé. La perspective de ces retrouvailles amène Lucy à porter un regard inédit et lucide sur sa ville, son existence, et la nature exacte de l’amitié qui le liait à Bobby. Après Le déclin de l’empire Whiting, Richard Russo poursuit son exploration de l’Amérique provinciale, où l’humanité se dresse comme l’ultime rempart contre le désenchantement. »source :www.bibliosurf.com

    « Une fois de plus, c'est du très très beau travail. C'est incroyable comment ce type qui écrit sur le quotidien, les histoires de famille, sur l'amour, sur l'amitié, peut captiver à ce point son lecteur. C'est intelligent, c'est bien dit, c'est tour à tour tendre et mordant, à la fois porteur d'espoir et réaliste... C'est aussi, pour ceux que je connais qui sont en train de douter (je vous ai à l'oeil, bande de petits sceptiques !), le plus riche au niveau du nombres de personnages et de l'intrigue. Alors, à tous, n'hésitez pas !

    Je pense toujours que moins l'on en sait sur un livre avant de commencer la lecture, mieux c'est. Mais pour les curieux qui voudraient quand même avoir quelques informations, voici ce que l'on peut lire sur la 4e de couverture :
    Louis C. Lynch, dit Lucy, a toujours vécu à Thomaston, une petite bourgade proche de New York. D'un père optimiste et d'une mère plus terre à terre, il a hérité d'un petit commerce qu'il s'apprête à léguer à son fils unique. Tandis que sa femme Sarah prépare leur premier vrai voyage, un séjour à Venise où ils espèrent retrouver leur plus vieil ami, Bobby Marconi, devenu un peintre de renom, Lucy met la dernière touche à l'histoire de sa vie. Une existence marquée par une anecdote d'enfance qui le hante encore. Poids des origines, violence des désirs inassouvis, frustrations du couple, turpitudes de la vie provinciale, tels sont les thèmes qu'explore Richard Russo dans cet ample roman, où se rejoignent l'intime et l'universel. »source :www.johnmayo.canalblog.com

    Œuvre magistral, un texte lent, progressif et une écritrure, franche, nette. Le sujet principal est la famille : on est selon notre lieu de naissance peu importe les changements de domiciles, on reste marqués par nos racines. On y rencontre des hommes doux, patients, silencieux d’autres violents, dominants, corrompus. On y rencontre des femmes belles, superficielles, sensuelles d’autres dominantes, touchantes, dévouées. L’amitié joue un rôle important dans l’évolution des jeunes et crée des liens aussi solides que ceux de la famille. Le racisme non avoué est présent dans la vie quotidienne et la pauvreté se démarque par le quartier où on vit : les riches à l’ouest de la ville, au centre les noirs et à l’est la classe moyenne et ouvrière. Ce roman est une peinture descriptive des liens entre les individus de différentes classes et le succès, la réussite des dominants. Un roman d’une grande sensiblité avec une écriture révélant l’être humain tel qu’il est.
    Gilles Lagrois, Auclair, Québec.





    ***RUFIN Jean-Christophe---KATIBA

    12/11/2010 16:05

    ***RUFIN Jean-Christophe---KATIBA


    KATIBA, Flammarion, 2010, 391 pages

    Présentation de l'éditeur
    « Une katiba est un camp de combattants islamistes installé dans le Sahara c’est à la fois une cache et un relais, un lieu où l’on prie, où l’on négocie et tue.
    Repère invisible en avion ou par satellite, c’est là que les pièges se resserrent et que se décident les attaques. Le chef de la zone qui s’étend entre le Mali, l’Algérie et la Mauritanie, Kader Bel Kader, a décidé de court-circuiter les autres bandes de trafiquants qui sévissent, afin d’asseoir son influence auprès des chefs d’al-Qaida. Expédié en Mauritanie par l’agence de renseignements Providence (qui agissait déjà dans l’ombre, avec Le Parfum d’Adam), pour espionner les artisans de ces menaces terroristes, Dim trouve sur sa route une jeune femme, Jasmine.
    A la fois française et algérienne, connaissant de l’intérieur la diplomatie occidentale et les nouvelles lois de la guerre terroriste, elle marche à la frontière entre deux mondes ennemis, elle fascine et inquiète. Elle incarne à elle seule le proverbe sénégalais qui ouvre le roman et en tisse la trame principale : « Un chien a beau avoir quatre pattes, il ne peut suivre deux chemins à la fois. »
    Un grand roman où se croisent et s’affrontent deux civilisations. »source :www.bibliosurf.com
    Vous avez lu !
    • par traversay, un lecteur
    « Dans Katiba, comme dans Globalia ou Le parfum d’Adam, Jean-Christophe Rufin sacrifie délibérément le style pour la narration. L’efficacité immédiate est l’objectif recherché dans ces thrillers dans l’air du temps (le fondamentalisme religieux après l’écologie), très documentés et astucieusement fragmentés, pour y suivre de façon concomitante une action qui se déroule sur plusieurs fronts (une mise en place très cinématographique). Katiba est un roman dont les personnages ressemblent à des clichés sauf que, bien entendu, ils ne sont pas en réalité ce qu’ils paraissent être. Le livre suit les lois du genre mais Rufin y introduit son propre regard, la distance ironique de celui qui n’est pas dupe de ce qu’il écrit et qui s’autorise quelques clins d’oeil malicieux au lecteur. Ce dernier est ravi de s’introduire, façon petite souris, dans les arcanes du Quai d’Orsay ou, plus intéressant, au coeur des campements du Sahara où s’ourdissent de sombres complots. On sait gré à Rufin de se situer hors de tout manichéisme, dans un monde gris où innocence et culpabilité sont des notions qui se discutent. Jasmine, la figure centrale de Katiba, est à cet égard plus qu’un symbole : franco-algérienne, elle est un personnage ambigu et énigmatique qui donne du piment à ce livre dense et rythmé. Et dont la crédibilité, par son aspect documentaire, n’est pas la moindre des qualités. »source :ww.bibliosurf.com


    Bon roman d’aventures avec des personnages attachants mais prévisibles dans une région chaude qu’est l’Afrique du Nord. On apprend comment pourrait s’introduire et fonctionner un groupe islamiste en quête de vengeance et de pouvoir dans cette région stratégique. Ça se lit bien mais on ne retrouve pas la qualité et la profondeur de texte que l’on attend de Jean-Christophe Rufin. Gilles Lagrois, Auclair, Québec.





    *****PROVOST Martin---BIFTECK

    17/11/2010 00:19

    *****PROVOST Martin---BIFTECK


    PROVOST MARTIN

    BIFTECK, Phébus, 2010, 124 pages

    « Une fable qu'on lit d'une traite en souriant, en riant de bon coeur, mais aussi par moment avec une pointe de tristesse.
    Si on se prend au jeu, un vrai plaisir ! »
    „X Les présentations des éditeurs : 15/06/2010
    « Chez Plomeur, à Quimper, on est boucher de père en fils. En pleine Première Guerre mondiale, le tout jeune André se découvre un don pour faire «chanter la chair» - et pas n'importe laquelle : celle des femmes, dont la file s'allonge devant la boucherie... Leurs hommes partis au front, celles-ci comptent sur André pour goûter au plaisir suprême. Hélas, le conflit touche à sa fin et les maris reviennent. Un matin, le boucher trouve sur le pas de sa porte un bébé gazouillant dans un panier en osier, puis un deuxième, un troisième... Du jour au lendemain, le voilà père de sept enfants, et poursuivi par un époux jaloux décidé à lui faire la peau. Avec la chair de sa chair. André s'enfuit à Concarneau et affrète un bateau. Direction l'Amérique !

    Martin Provost sort des sentiers battus pour nous proposer une fable savoureuse, où il est question de sensualité, de paternité et du rapport à notre terre nourricière. Il y a du Gargantua et du Robinson Crusoë dans ce Bifteck exquis et étonnant, à consommer sans modération !

    Né à Brest. Martin Provost est cinéaste et écrivain. Il a réalisé trois longs métrages, dont Séraphine, plébiscité par la presse comme par le public, et récompensé en 2009 par sept César. Il tourne actuellement une adaptation du roman de Keith Ridgway Mauvaise Pente (Phébus. prix Femina 2001), avec Yolande Moreau et Édith Scob dans les rôles principaux. Bifteck est son troisième roman. »
    Source :www.lechoixdeslibraires.com



    „X La revue de presse Jean-Claude Lebrun - L'Humanité du 4 novembre 2010


    « C'est un petit récit tonique et réjouissant que nous propose Martin Provost. Si l'on devine en lui un fin lecteur de Rabelais et de Daniel Defoe, adeptes des narrations longues, l'on est paradoxalement sidéré par sa rapidité d'exécution. Une multiplicité d'épisodes se succède à un rythme effréné, pour restituer en accéléré la trajectoire d'une vie...
    Après la grande traversée et l'envol de chacun sur la nouvelle terre, la tonalité joyeuse et gargantuesque des débuts fait son retour. À une inventivité et à un souffle narratif indéniables , Martin Provost ajoute en effet une jolie dose d'humour. Pour nous donner l'un des livres les plus singuliers de cet automne. »
    source :www.lechoixdeslibraires.com

    Une belle surprise, une belle découverte : un conte pour adultes, non pas du genre XXX, mais environnementaliste, quelque peu romantique ou sentimental et toujours jeune d’âme.
    Conte qui nous présente un adolescent précose doté d’un rôle de père fécond. Un beau conte relevant de la magie et de l’imaginaire collectif.Très inspirant pour futur père ou grand-père .La magie ça se partage. À lire sans faute.
    Gilles Lagrois, Auclair, québec.





    *****MABANCKOU Alain, DEMAIN, J'AURAI VINGT ANS

    02/12/2010 21:44

    *****MABANCKOU Alain, DEMAIN, J'AURAI VINGT ANS


    DEMAIN, J’AURAI VINGT ANS, Gallimard, 2010, 381 pages
    « Vous avez lu !
    « Changement de registre pour Alain Mabanckou avec son nouveau roman : Demain j’aurai vingt ans. Mais modéré, hein, que les fans se rassurent, l’auteur de Verre cassé, Mémoires de porc-épic ou Black bazar n’a toujours pas sa langue dans sa poche et son style, toujours imagé, rebondit comme une balle de ping pong dans des figures cocasses à l’irrésistible saveur. Simplement, le genre est neuf pour lui, celui du roman à hauteur d’enfant, auto-biographique forcément, du coté de Pointe- Noire, au sud du Congo sur la façade atlantique. Michel, le jeune narrateur, alter ego de Mabanckou, découvre littéralement le monde en ces années 70. Le petit monde qui l’entoure, avec ses personnages hauts en couleur et le grand combat entre le capitalisme et le communisme (l’injure suprême étant de traiter son ennemi "d’opium du peuple") et le vaste monde, à travers la radio, et les nouvelles qui traversent les ondes : l’exil du Shah, les diamants de Giscard, la saga de Mesrine ... Et puis bon, il y a les filles, continent à explorer. La tendresse est le sentiment qui irrigue le livre mais attention, sans mièvrerie, avec juste une naïveté désarmante qui cache une ironie mordante. Demain j’aurai vingt ans est le roman le plus "gentil" de Mabanckou, dépourvu de noirceur (quoique) et de cynisme. On a déjà lu ailleurs de tels souvenirs de jeunesse, Mabanckou ne prétend pas révolutionner le genre et c’est cette modestie, alliée à cette langue fluide et revigorante, qui donne tout son intérêt à un livre au doux parfum d’enfance. » source :www.bibliosurf.com


    « Alain Mabanckou écrit en français, mais sa littérature est africaine, son français est africain, résistant à la colonisation par la langue de la colonisation elle-même. Un jeune garçon, Michel, raconte son enfance au Congo comme en direct, il dit ce qu’il vit, ce qu’il pense, ce qu’il comprend, ce qu’il interprète à sa façon, c’est extrêmement drôle, mais aussi d’une grande ironie. Il réussit à travers les questions du père et de la mère à faire un récit très intelligent de l’Afrique, terre sur laquelle des Africains, en quelque sorte morts-nés parce que la mère Afrique ne pourrait pas enfanter des enfants viables du point de vue de la réussite occidentale et serait répudiée par un mari polygame ne sachant que faire d’elle, commenceraient à respirer comme ce jeune Michel. Il y a une dimension métaphorique dans ce roman, et la proposition d’un paradigme avec ce jeune Michel africain qui, contre toute attente, respire, grandit, apprend, pense, avec ses blessures qui ne le plombent jamais dans le victimisme.
    Alain Mabanckou fait donc passer à travers les paroles enfantines du jeune Michel des jugements implacables sur la politique internationale, sur l’Afrique et l’Occident. En même temps, c’est le regard d’un enfant sur sa famille, la place qu’il a, le fait qu’il n’est pas comme les autres, alors est-il aimé pareil ? traité pareil ? Un père adoptif, est-ce que c’est un vrai père ? Ce père polygame, aime-t-il autant son fils adoptif que les enfants qu’il a eus avec maman Martine sa première femme ? Maman Pauline, la mère de Michel, pourquoi ne peut-elle pas avoir d’enfants avec papa Roger le père adoptif de Michel ? Qu’est-ce que c’est, cette histoire de clef du ventre de maman Pauline perdue à la naissance de son fils de sorte qu’aucun autre enfant ne peut y grandir ? Le jeune Michel retrouve une clef, et on suppose que son Demain j’aurai vingt ans évoque une coupure du cordon ombilical entre mère et fils, en lui donnant la clef, mais aussi en donnant une petite clef à Caroline, une fille de son âge dont il est amoureux, qui ouvrira, on imagine, son ventre… » source :www.e-littérature.net

    Très beau roman du genre poétique. Toujours touchant ce genre de roman ayant comme personnage principal un jeune enfant et son monde restreint qu’est sa famille et ses amis.
    La magie est présente dans la vie quotidienne de ce jeune congolais qui entre autre possède la clé du ventre de sa mère. Mabanckou toujours maître de son style d’écriture imagée, sensuelle voir ennivrante nous propulse dans le monde d’un jeune garçon dont la vie est une continuelle découverte de la magie, des mots, de l’histoire, de personnages politiques célèbres et d’avions rejoignant tous les pays du monde et dont il connaissait toutes les capitales. Un beau livre qui nous rappele le sens de la vie et du genre humain. À lire comme un regarde une toile d’un grand maître. Un des romans en lice pour le prix Goncourt. Gilles Lagrois, Auclair, Québec.






    *****BLAS DE ROBLÈS Jean-Marie---LA MONTAGNE DE MINUIT

    11/12/2010 18:16

    *****BLAS DE ROBLÈS Jean-Marie---LA MONTAGNE DE MINUIT


    JEAN-MARIE BLAS DE ROBLÈS                               

    LA MONTAGNE DE MINUIT, Zulma, 2010, 167 pages
    Présentation de l'éditeur
    « Au cœur de ce roman, un personnage hors du commun : Bastien, gardien d’un lycée jésuite et secrètement passionné par tout ce qui concerne le Tibet et le lamaïsme. Tenu à l’écart de son voisinage pour d’obscurs motifs, le vieil homme vit plus solitaire qu’un moine bouddhiste.
    L’aventure commence à Lyon, par la rencontre entre le vieux sage et Rose, nouvellement emménagée avec son petit Paul. Séduite par l’étrangeté du personnage, cette dernière s’attache à lui au point de lui permettre d’accomplir le voyage de sa vie...
    Vérités et mensonges, fautes et rédemption s’enlacent et se provoquent dans ce roman qui interroge avec une désinvolture calculée les « machines à déraisonner » de l’Histoire contemporaine. Roman à thèse si l’on veut, sous les bonheurs du romanesque pur, la Montagne de minuit se lit comme une exploration intrépide des savoirs et des illusions. »Source :www.bibliosurf.com


    Revue de presse
    « "Blas de Roblès excelle, chemin faisant, dans ses impressions de voyage, vivantes, colorées et terribles, sur le Tibet opprimé. (...) Rien n’est unilatéral dans ce roman délicat comme un effeuillement, grâce à sa composition tressée à plusieurs voix. » Par David Fontaine du Canard enchaîné.
    "Le véritable guide de cette histoire est la plume de Blas de Roblès, extrêmement précise et évocatrice. L’auteur laisse le temps au lecteur de le suivre et de regarder les paysages. On peut lire un récit où il est question d’inhumanité et dire que c’est sublime". Par Mohammed Aïssaoui du Figaro littéraire.
    "L’une des grandes forces de La Montagne de minuit est de poser plus de questions qu’elle n’offre de réponses - car la plupart d’entre elles, préparées et prémâchées par la pensée d’autrui, seraient trop aisées, tronquées et forcément trompeuses. Avec une élégance et une sorte d’évidence émouvante qui parle au coeur autant qu’à la raison, elle se révèle un formidable appel aux pouvoirs de la connaissance face aux dangers de l’obscurantisme. En peu de pages, Blas de Roblès parvient à ouvrir tellement de portes dans l’esprit de son lecteur que son roman, s’échappant de son cadre et de ses circonstances, se fait merveilleuse matière à réflexion et à apprentissage." Par Benjamin Fau dans Le Monde.
    "Dans (son) éloge de l’ombre des âmes, (il) peint des estampes de personnages dont la convalescence est plus importante que la guérison ou que leur propre mort". Par Olivier Maison dans Marianne.
    "Quête de sens, fausse théorie, mise en abîme, incidence de l’Histoire sur nos vies privées : autant d’ingrédients que l’auteur réutilise à merveille dans un style précis et poétique. (…) Il s’agit de littérature, celle qui avance, qui creuse et nous réjouit de connaître." Par Olivier Badoy dans Page des libraires de septembre »
    source :www.etonnants-voyageurs.com


    Une amité spontanée entre une historienne et un gardien d’un collège jésuite mis à la retraite et sans le sou se concrétise par un voyage au Tibet offert par la jeunne femme. Il s’ensuit des événements et des dialogues d’une grande intensité, d’une grande sagesse.
    Le viel homme est un érudit des coutumes, de l‘histoire du Tibet dont il parle même couramment la langue. Un roman de chevet d’une grande qualité d’écriture dénotant une grande générosité d’âme. Roman touchant sur l’ouverture aux autres. On y voit perçoit la présence de la toute puissante Chine en Tibet où il y a autant de soldats que de Tibétains et surtout le désastre culturel de cette présence contrainte.
    « Les liens entre les nazis et le Tibet étaient de l’ordre du fantasme, une invention pure et simple, un mythe moderne fondé uniquement sur deux ou trois extraits de mauvaise littérature : de la pure fiction, née de la fiction, s’engendrant et se métamorphosant elle-même à l’infini » p. 132
    Gilles Lagrois, Auclair, Québec.






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