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FRÉCHETTE Louis, ORIGNIAUX ET DÉTRAQUÉS, douze types Québécois, 1892-2014, 259 pages
27/03/2020 22:35
FRÉCHETTE Louis
ORIGNIAUX ET DÉTRAQUÉS, douze types Québécois, 1892-2014, 259 pages
"C'est pour cela que j'ai écrit ces pages, où tu verras revivre quelques-unes de nos années de jeunesse, à côté des physionomies pittoresques qui ont égayé certains côtés un peu ternes parfois--je parle des physionomies. Il ne faut pa mépriser ces types bizarres."
Des histoires d'époque. Un tour d'histoire de Québec avant et après les Anglais. Un régal historique, une détente littéraire: humour québecquois, grivoiseries, vocabulaire excentrique. Des humoristes de tout calibre dans tout contexte, de bons souvenirs frais et de bons éclats de rire. Également des histoires de filous prêts à tout pour faire cracher un peu d'argent à leurs nombreuses victimes crédules. J'ai beaucoup apprécié ce moment de détente littéraire qui m'a fait sourire maintes fois surtout à cause de mots de vocabulaire qui j'ai reconnus avoir entendu dans mon enfance comme le mot, bull's eyes qui sont des boules noires, une sorte de bonbon. À lire pour passer un bon moment de délassement, sans faute.
J'ai été agréablement surpris par la qualité du vocabulaire et de l'écriture de l'auteur pour cette époque. Une découverte personnelle de lecteur. Premier livre de cet auteur Québécois que je lis.
Gilles LAGROIS, Auclair, Québec
www.livres.entette.vip-blog.com, à visiter
Originaux et détraqués
Douze types québécois
Louis Fréchette - Conte, Récit -
Dans une prose libre et sonore, attentive aux accents des Québécois du district de Québec – cette étonnante « patrie des originaux », – Louis Fréchette campe douze portraits relevés de héros populaires et légendaires : des « types bizarres », des « excentriques personnages à panache polychrome », des joyeux vivants, des bons garçons, des robinets « à plaisanteries ». À travers eux, c’est une partie de son enfance qu’il revisite, celle où ces figures morales se sont imposées ; elles seront restées vivantes dans sa mémoire, magnifiées par l’aura du souvenir.
Ces histoires comptent parmi les meilleures pages de Louis Fréchette. Toutes, alors que la jeunesse et « les dieux s’en vont », font entendre le talent naturel d’un conteur qui glisse quelques notes de tendre malice à travers la grande affection qu’il porte à ses compatriotes.
ÉCHOS DE PRESSE
« Enfant, j’ai découvert avec orgueil que le plus grand écrivain québécois du XIXe siècle était le petit cousin de mon arrière-grand-père. Depuis ce temps, je nourris une fascination grandissante pour Louis Fréchette. J’admire son engagement politique – il a été député fédéral de Lévis – et sa polyvalence littéraire ; poésie, dramaturgie, débats épistolaires, mémoires, il a touché tous les genres. Mais c’est avec le conte que la plume de mon ancêtre a pris son envol.
AvecOriginaux et détraqués, Fréchette nous présente une ville de Québec panachée, peuplée de personnages truculents, dont le verbe savoureux synthétise parfaitement l’ADN du Québec populaire. Étant moi-même natif de la Capitale, je poursuis avec fierté cette filiation originale et détraquée. »
— BIZ FRÉCHETTE,
Résumé :Fréchette atteint ici un sommet de son œuvre et donne l'impression de le faire presque par inadvertance, sans forcer ses moyens, sans abuser de la muse historique qui alourdit sa poésie et qui obsédé son époque. Et il produit du coup le plus bel effet de composition dans l'accumulation du détail, d'unité dans la diversité, de chaleur dans le détachement. La narration respire avec une liberté qui participe à l'humeur délinquante des héros qu'elle fait vivre, mais la complicité du narrateur ne va jamais jusqu'à négliger la dérision de leur révolte ou la puérilité de leurs frasques.
Extrait de la postface de Réjean Beaudoin
CITATIONS:
"C'est pour cela que j'ai écrit ces pages, où tu verras revivre quelques-unes de nos années de jeunesse, à côté des physionomies pittoresques qui en ont égayé certains côtés. Il ne faut pas mépriser ces types bizarres."
"J'ai dessiné mes personnages tels que je les ai vus, ou tels qu'on me les a racontés."
"Québec n'st pas seulement une ville typique par sa position géographique, par sa situation topographique spéciale, par son site sans parallèle en Amérique, par son aspect physique et ses conditions morales exceptionnelles, c'est la patrie des originaux, Qu'ils soient hommes d'esprit ou pauvres détraqués, c'est la patrie des originaux--c'est-à--dire de ceux qui sont quelqu'un, ce qui est plus rare qu'on pense. On dirait qu'elle les attire par quelque influence mystérieuse."
"Gros Perrin était un produit exotique, mais un produit étrange. "Moi? je suis philosophe cosmopolite, enfant de l'humanité, habitant de la planète qu'on appelle le globe terrestre." Il était poète. il était savetier."
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HUSTON Nancy, L'ESPÈCE FABULATRICE, essai, 2008, 191 pages
27/03/2020 22:50
HUSTON Nancy
L'ESPÈCE FABULATRICE, essai, 2008, 191 pages
Pour moi cet essai est un livre qui mérite 5 étoiles.Il nous permet de mieux nous connaître en tant qu'homme, en tant qu'humain. Notre condition, c'est la fiction.Cet essai démystifie le rôle important que souvent Dieu, l'Histoire, le Paradis, l'enfer, l'Avenir radieux peuvent jouer et influencer notre vie.Tout ce que l'Homme fait, a vécu, subit par l'Homme est et devient un fait pour être raconté.Le fait de croire en des choses irréelles nous aide à supporter la vie réelle.La fiction sauve l'Homme, rétablit un équilibre qui lui est salutaire.
Une contenance, c'est ce à quoi nous tenons plus que tout.Mon image, ma dignité.Tout récit de ce que nous vivons a besoin d'un public mais chaque humain a sa propre version qui correspond à l'image qu'il a de lui-même. Même en amour, nous aimons une image, une représentation de l'autre. Le mot personne,personnage est un mot emprunté aux ÉTRUSQUES signifiant MASQUE,civilisation apparue huit siècles avant. J.C.
Il faut lire cet essai attentivement et prendre le temps d'assimiler les connaissances que nous y découvrons car elles embelliront notre vie et nous aideront à mieux nous connaître et à mieux nous accepter comme personne. Nous vivons trop aux dépends d'Arché-textes qui sont des idées préconçues ou des archétypes , des concepts de récits primitifs.
Il faut lire des romans car les romans nous fournissent des modèles et des anti-modèles de comportement humain. Dans notre cerveau, les personnes vivantes sont des personnages.Chaque individu, chaque personne est un personnage.qui passe sa vie à jouer sa vie
Gilles LAGROIS, Auclair, Québec
wwww.livresentete.vip-blog.com, à visiter
Résumé :Ils disent, par exemple : Apollon. Ou : la Grande Tenue. Ou : Râ, le dieu Soleil. Ou : Notre Seigneur, dans Son infinie miséricorde. Ils disent toutes sortes de choses, racontent toutes sortes d'histoires, inventent toutes sortes de chimères. C'est ainsi que nous, humains, voyons le monde : en l'interprétant, c'est-à-dire en l'inventant, car nous sommes fragiles, nettement plus fragiles que les autres grands primates. Notre imagination supplée à notre fragilité. Sans elle – sans l'imagination qui confère au réel un Sens qu'il ne possède pas en lui-même – nous aurions déjà disparu, comme ont disparu les dinosaures. N.H.
Les éditeurs
UNE LECTRICE; *****
"Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi vous aimiez tant lire ?
Parce que le roman nous montre la vérité des humains, parce que le roman est civilisateur, en nous donnant d'autres points de vue, d'autres cultures, d'autres manières de voir le monde. Nous nous identifions aux personnages du roman, et nous devenons multiples. Nous acceptons donc la diversité, les autres cultures, les autres fictions.
Voilà le grand message de Nancy Huston dans cet essai salvateur, qui nous réconcilie avec notre condition d'hommes.
Elle retrace notre histoire, ou plutôt les histoires que l'être humain s'est toujours racontées pour créer son identité.
Oui, nous créons continuellement des fictions, nous fabulons. Depuis nos origines, notre nom, notre lignée, notre nation, notre religion, notre race, notre métier, et j'en passe, l'être humain invente des histoires. Il les dit réelles, il les croit réelles, alors qu'il ne fait que répéter ce qu'il a entendu, ce qu'on lui a dit dès sa prime enfance.
« Parce que nous sommes incapables, nous autres humains, de ne pas chercher du Sens. C'est plus fort que nous. Nous sommes les seuls, de toutes les espèces, à savoir que nous sommes nés et que nous allons mourir ». Donc nous avons peur. Donc nous inventons des fictions.
L'amour, la guerre, la religion, l'enfantement...tout est fiction. Il suffit de voir comment ils sont racontés dans d'autres cultures.
« Un être humain, c'est quelqu'un qui porte un masque.
Chaque personne est un personnage.
La spécificité de notre espèce, c'est qu'elle passe sa vie à jouer sa vie.
L'identité est construite grâce à l'identification. le soi est tissé d'autres ».
J'ai adoré cet essai car Nancy Huston nous donne vraiment un message optimiste. Elle part de notre réalité, l'analyse et en tire une conclusion positive, en y mêlant le roman, qui nous aide à « montrer la vérité de tous les humains » tout en ne nous emprisonnant pas, tout en respectant notre liberté de pensée et tout en la magnifiant.
Puisque notre vie est faite de fictions, autant en choisir des riches et belles, celles qui nous portent, nous élèvent et finalement nous rendent fiers d'être Hommes.
A cela, j'adhère totalement.
Je vous invite à lire cet essai très facile et très structuré, il vous aidera à vivre, pas à la manière de ces auteurs qui nous imposent leur vision de la « bonne vie », mais à la manière des philosophes accoucheurs de sens qui nous amènent à réfléchir et à nous libérer de nos entraves intellectuelles."
www.babelio.com
CITATIONS:
"Rien n'est humain qui n'aspire à l'imaginaire." Romain GARY
"Notre spécialité, notre prérogative, notre manie, notre gloire et notre chute, c'est le pourquoi.De ce que, seuls de tous les vivants terrestres, les humains savent qu'ils sont nés et qu'ils vont mourir. Le récit confère à notre vie une dimension de sens qu'ignorent les autres animaux."
"L'univers comme tel n'a pas de sens. Il est silence. Le Sens dépend de l'humain, et l'humain d.pend du Sens."
"Tout est par nous ainsi, métamorphosé, métaphorisé."
"Parler, ce n'est pas seulement nommer, rendre compte du réel`c'est aussi , toujours, le façonner, l'interpréter et l'inventer."
"Sans hommes: pas de nom."
"Dieu qui nomme les premiers hommes, etc, c'est une fiction. Nous me sommes pas Sa création. il est la nôtre.Dieu ne peut pas être, ailleurs que dans nos histoires. Pour être Dieu il faut parler et pour parler il faut une langue et pour avoir une langue il faut déjà faire partie de l'histoire humaine. Les êtres humains sont des magiciens qui s'ignorent."
"L'argent est une fiction. L'or est une fiction. La Bourse est une gigantesque fiction. C'est dans notre intérêt d'y croire."
"Le Sens est notre drogue dure."
"Cette chose ( religion, pays, lignée) est toujours une fiction."
"Moi, je est une fiction."
"La conscience, c'est l'intelligence, plus le temps, c'est-à-dire: la narrativité.J'apprends les mots individuels, ensuite à les enchaîner en des histoires; c'est ...moi, je: déjà toute une histoire!"
"On ne naît pas (un) soi, on le devient. Le soi est une construction, péniblement élaborée. Une configuration mobile, en transformation permanente, que l'on ne fixe que par convention."
"Pour disposer d'un soi, il faut apprendre à fabuler. C'est cela l'humanisation. Ses souvenirs seront eux aussi organiser en récits. Devenir soi-- c'est activer le mécanisme de la narration."
"Notre mémoire est une fiction. Elle passe son temps à ordonner, à associer, à articuler, à sélectionner, à exclure, à oublier, c'est-à-dire à construire, c'est-à-dire à fabuler."
"Vous créez la fiction de votre vie. Quartier libre à l,interprétation.Moi, je, est ma façon de (conce)voir l'ensemble de mes expériences..en faveur de ce qui est stable.continu, raisonnable et racontable.La réalité devient du n'importe quoi."
"Quand je dis fictions, je dis réalités donc construite.Nous sommes l'espèce fabulatrice."
"Le langage met de l'ordre. L'ordre n'est pas synonyme de vérité.Les tabous sont aussi des fictions. L'essentiel, c'est qu'il y en ait."
"Notre croyance en notre moi est pour ainsi dire impossible à contourner. Tous, nous fabulons ainsi, en toute bonne foi, sans le savoir."
"Nous sommes incapable, nous autres humains, de ne pas chercher du Sens. C'est plus fort que nous."
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MANUEL DE LA VIE SAUVAGE,Jean Philippe Baril Gérard, 2018, 311 pages,Québec
07/04/2020 16:06
Jean-Philippe BARIL GUÉRARD
MANUEL DE LA VIE SAUVAGE, 2018, 311 pages,Québec
«Manuel de la vie sauvage»: histoires sans morale,LE DEVOIR
Explorateur sans fard de la mécanique souvent grinçante des relations sociales,
sociologue masqué qui plonge au coeur d’écosystèmes très compétitifs — le monde
de la technologie, le milieu juridique —, Jean-Philippe Baril Guérard, 30 ans,
surfe encore sur le dessus de la vague.
Après Sports et divertissements (2014) et Royal (2016), roman campé dans
l’univers impitoyable des finissants en droit qui lui a permis de remporter plus
tôt cette année le Prix littéraire des collégiens, Manuel de la vie sauvage, son
troisième roman, nous fait assister à la naissance houleuse d’une start-up où
des « robots conversationnels » permettraient, en utilisant les traces
numériques laissées par une personne décédée, de continuer à communiquer avec
elle.
Kevin Bédard, le narrateur, président-directeur général de Technologies Huldu
Technologies inc., issu d’une famille de parvenus de Thetford Mines, nous
raconte en détail son expérience, de ses débuts d’étudiant en informatique
fauché jusqu’à la création d’une application révolutionnaire qui va le rendre
riche comme Crésus — ou comme Jobs. Une réussite éclatante, mais pas sans
taches.
Car on ne fait pas d’omelette sans casser des oeufs. Kevin nous le répète et ne
passe sous silence ni les morts ni les larmes qui ont ouvert la voie à sa
réussite. Entre mode d’emploi, leçon d’affaires et froid récit des événements,
Manuel de la vie sauvage distille son venin. « Je n’ai pas encore trouvé de
moteur d’innovation plus puissant que la haine. Ça a été le cas pour moi, et je
l’ai observé chez toutes les personnes qui ont réussi : elles entretiennent une
haine nourrie et constante envers quelqu’un ou quelque chose, et ce désir
d’écraser, ou de se venger, devient un mantra qui permet de garder les yeux sur
l’objectif, d’exciter leur esprit de compétition. »
Et son moteur à lui, c’est son prénom. Un prénom sans lequel, dit-il, il
n’aurait « pas travaillé aussi fort pour prouver qu’il est possible pour un
Kevin de finir autrement que maçon en Beauce ».
L’écrivain avait créé en 2017 à l’Espace libre une pièce de théâtre (La
singularité est proche) nourrie des thèmes similaires, carburant à la
transhumanité et à l’anticipation et explorant les possibilités de transcender
la mort au moyen de la technologie.
Dans un langage cru, résolument urbain et imprégné de l’air du temps, Manuel de
la vie sauvage vient cristalliser certaines préoccupations de l’époque. Faites
votre choix : le pouvoir de l’argent, les relations humaines jetables,
l’individualisme sans frein, la cannibalisation de la vie de chacun par les
réseaux sociaux.
Et derrière le romancier, on l’entend du début à la fin de son Manuel de la vie
sauvage, le dramaturge n’est jamais non plus très loin : les dialogues et les
phrases sonnent ici avec justesse et précision.
Aux commandes d’une machine narrative encore une fois bien rodée, mise à jour,
posant souvent, mine de rien, des questions à la fois crues et profondes,
Jean-Philippe Baril Guérard est une manière de moraliste contemporain — hybride
2.0 entre Michel Houellebecq et Jean-Simon DesRochers.
CITATIONS:
"Et c'est ce que vous désirez: plus que faire de l'argent,vous voulez surtout
sentir que vous êtes capable de laisser votre trace en innovant,..vous devez
naviguer avec soin pour vous rendre à bon port."
"Les échecs sont des succès qui se font attendre."
"Je n'ai pas encore trouvé de moteur d'innovation plus puissant que la haine,une
haine nourrie et constante envers quelqu'un ou quelque chose, et ce désir
d'écraser,ou de se venger, devient un mantra qui permet de garder les yeux sur
l'objectif,d'exciter leurs esprit de compétition."
"On a beau être une bonne personne,ce ne serait pas humain de ne rien détester."
"Je suis devenu entrepreneur parce que je voulais changer le monde.Pour
moi,l'argent est un moyen,pas une fin."
"Il faut faire à sa tête,mais on est rien sans le regard des autres."
"La crainte inspire le respect,et tout le monde ne demande qu'à se faire
respecter.Faites-vous respecter. C'est essentiel,si vous voulez réussir."
"Le premier pas vers la trahison est la confiance,"
"Les humains sont intrinsèquement inconstants."
"Si j'ai été trahi,c'est d'abord parce que je me suis exposé. Les humains ne
font que ça,briser leurs promesses."
"Toutes les relations humaines impliquent une forme de transaction. On fait des
concessions."
"La prédation. Le parasitisme.Le commensalisme.Le mutualisme. La symbiose. On
fait tous ça."
"La pire chose qu'on puisse faire à un enfant,c'est d'être trop généreux pour
lui."
"Il n'y a rien de plus puissant qu'une idée. Avec les idées,on arrive à
construire des fictions, et la fiction est le tissu de notre société."
"La capacité de façonner l'esprit humain."
"Mais c'est en se perdant qu'on trace de nouveaux chemins."
"Chaque moment est précieux. Qu'on a terriblement peu de temps. Parce que la vie
peut basculer en un instant. Tout change. Disparaît.Se transforme.
Les humains ont cette formidable capacité d'analyser,et une intuition
incroyable. Il ne faudra pas regarder en arrière; peu importe ce qu'on fait,on
emprunte toujours le meilleur chemin possible. Il y aura toujours un plan."
Gilles LAGROIS,Auclair,Québec
www.livresentete.vip-blog.com
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