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BILÉ Serge---QUAND LES NOIRS AVAIENT DES ESCLAVES BLANCS---ET SI DIEU N'AIMAIT PAS LES NOIRS ?---
22/06/2010 15:01
BILÉ Serge
QUAND LES NOIRS AVAIENT DES ESCLAVES BLANCS, Éd, Pascal Galodé, 2008, 120 pages. Si l’histoire de l’humanité vous intéresse. Un renversement de mentalité, de cliché : le Noir maître et le Blanc…..esclave. La rivalité noirs-blancs est-elle génétique ou historique ?? Crainte héréditaire ? L’esclave se souvient ? La peur nous lie.
« On ne peut pas s’imaginer, en regardant l’Afrique aujourd’hui, qu’elle a été le berceau de grandes inventions humaines et politiques. On lui doit, pourtant, les mathématiques, les droits de l’homme, le ministère de l’intégration, la parité homme femme, voire la découverte de l’Amérique! C’est ce passé, glorieux et méconnu, que retrace ce livre, en prolongeant au cœur des grands empires soudanais du Moyen Âge. On découvre, au fil des pages, des civilisations, riches et puissantes, où l’écriture, les sciences, et les arts tenaient une place de choix. On découvre, au passage, les rapports, étonnants, qu’entretenaient Noirs et Blancs, et le cheminement, qui les mena à s’affronter au nom d’une domination et d’un pouvoir absolu. On découvre, enfin, des souverains, épris de conquêtes et de progrès, dans une Afrique flamboyante, dont la marche en avant sera stoppée, net, par les invasions arabe et européenne! Un grand moment d’histoire, qui tord le cou aux idées reçues, et aux clichés sur « l’homme africain qui ne serait pas assez entré dans l’Histoire ».
JOURNALISTE, SERGE BILÉ, EST L’AUTEUR DU BEST SELLER «NOIRS DANS LES CAMPS NAZIS » ET DE L’ESSAI À SUCCÈS « LA LÉGENDE DU SEXE SURDIMENSIONNÉ DES NOIRS ». > (Afrik.com) - Faste, érudition et puissance, le nouveau livre de Serge Bilé, Quand les noirs avaient des esclaves blancs, nous ramène au temps des empires de Ghana, du Mali et du Songhay, qui illuminèrent le Soudan occidental entre le 9ème et le 16ème siècle. Civilisations riches et fortes, où l'écriture, les sciences, la médecine et les arts tenaient une place de choix. « Je n'ai pas la prétention d'être un historien mais plutôt un vulgarisateur. Je cherche à mettre à la portée de tous, des faits historiques, quelquefois connus que par quelques initiés, souligne Serge Bilé. C'est mon côté journaliste qui veut ça. Ce qui m'importe, c'est de faire sauter les verrous de l'Histoire de l'Afrique, qui reste mal connue en dehors de la traite négrière. » > On découvre ou redécouvre, au fil des pages de l'essai, une pléiade de souverains africains, épris, les uns autant que les autres, de conquêtes et de progrès, dans une Afrique flamboyante. C'est le cas de Soundiata Kéïta, qui fit adopter, au 13ème siècle, une charte des droits de l'homme, stipulant, dans son article 16, que « les femmes, en plus de leurs occupations quotidiennes, doivent être associées à tous nos gouvernements ». La parité politique avant l'heure…Afrique fastueuse et conquérante > On y apprend par exemple, que l'empereur Aboubekr II, entreprit, bien avant Christophe Colomb, de traverser l'Atlantique et fit équiper pas moins de deux cents navires, remplis d'hommes, d'or, d'eau et de vivres. L'histoire ne dit pas comment s'est terminée l'expédition. Mais Serge Bilé rapporte que l'explorateur espagnol Vasco Nuñez de Balboa a rencontré des Noirs en 1513, sur l'isthme de Panama, et que ces derniers, d'après les témoignages, « ne pouvaient s'être installés dans cet endroit qu'avant l'arrivée de Christophe Colomb au Nouveau-Monde ». > D'autres monarques, cités dans ce livre, ont laissé une trace dans les mémoires africaines. Kankan Moussa, tout d'abord, qui fit un pèlerinage fastueux, en 1324, à la Mecque, et fit connaître l'empire et l'or de Mali dans le monde entier. Il s'illustra par ailleurs en instituant l'école obligatoire pour tous les enfants âgés de sept ans et plus. Cela, bien avant… la colonisation française ! > L'Askia Mohamed fut aussi un précurseur. Il créa, dès le 16ème siècle, une armée de métier et un ministère de l'intégration pour les… Blancs, comme on désignait alors les Arabes et les Berbères ». Certains d'entre eux, réduits en esclavage, se retrouvèrent au service des empereurs noirs. D'autres Blancs, comme les mamluks turcs, furent également achetés en Egypte. > Serge Bilé rappelle, en outre, que la vie intellectuelle était intense à Tombouctou. L'enseignement, dispensé à l'époque, à l'université de Sankoré, n'avait rien à envier à celui de Cordoue, Damas, Grenade ou au Caire, dans les domaines aussi bien de l'astrologie, de la géographie, que de la rhétorique. Léon l'Africain, qui la visita en 1526, indique, d'ailleurs, qu'on tirait, dans cette ville, « plus de bénéfices de la vente des livres manuscrits que de tout le reste des marchandises ». > Appel à la renaissance africaine ologie, de la géographie, que de la rhétorique. Léon l'Africain, qui la visita en 1526, indique, d'ailleurs, qu'on tirait, dans cette ville, « plus de bénéfices de la vente des livres manuscrits que de tout le reste des marchandises ». > On pourrait énumérer encore les informations, plus précieuses les unes que les autres. Cet essai est truffé de révélations qui invitent, en réalité, à penser autrement l'Histoire de l'Afrique et la place de l'homme qui n’a pas été que des esclaves et des colonisés. Ils ont aussi joué, bien avant tout cela, un rôle important dans la marche du monde. Et, ça, aussi, il ne faut pas l'oublier. », nous a confié Serge Bilé.
> Cet ouvrage, qui connaît un succès en librairie, arrive si l’on devait le rappeler, quelques mois après le discours de Dakar de Nicolas Sarkozy. Véritable somme sur les empires de Ghana, de Mali et du Songhay, d'autant plus intéressant qu'il n'invite pas à la nostalgie d'un passé glorieux et regretté, il exhorte, in fine, à la renaissance de l'Afrique.
Et si Dieu n'aimait pas les Noirs ? - Enquête sur le racisme aujourd'hui au Vatican
« En janvier 1944, alors que les armées alliées font route pour libérer Rome occupée par les nazis, le pape Pie XII exige, curieusement, qu'aucun soldat noir, africain, antillais, ou américain, ne soit déployé aux portes du Vatican. En août 1988, le secrétaire particulier de Jean-Paul II, l'évêque zaïrois Emery Kabongo, est sauvagement agressé, officiellement par des inconnus, à Castel Gandolfo, la résidence d'été du souverain pontife pourtant si bien gardée. Aujourd'hui, les prêtres africains, en poste ou de passage au Saint-Siège, se disent discriminés. Plusieurs ont même été bannis, pour avoir prolongé leur séjour italien, au-delà de la limite autorisée. Ils sont désormais mendiants et sans papiers. Quant aux religieuses africaines, que les congrégations romaines font venir, pour palier la crise des vocations, elles constituent une main d'oeuvre corvéable à merci. Désemparées, beaucoup d'entre elles échouent dans la prostitution ! Ce livre, fruit d'une minutieuse enquête, dévoile les ombres et contradictions d'une institution, qui n'arrive toujours pas à se débarrasser de ses propres préjugés sur les Noirs, qu'elle considérait jadis à l'image, non pas de Dieu, mais du diable !. » Source :www.decitre.fr
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BISMUTH Nadine---SCRAPBOOK
22/06/2010 15:03
BISMUTH Nadine:
SCRAPBOOK, Boréal, 2004, 492 pages.
Milieu de l’écriture , étudiants, professeurs, écrivains, correcteurs et leurs histoires d’amour personnelles. Léger. Monde que je ne connaissais pas du tout. Bien mené mais les histoires d’amour…….pas mon genre. GiL
LES GENS FIDÈLES NE FONT PAS LES NOUVELLES, BORÉAL, 2001.
LES GENS NE SONT PAS FIDÈLES, BORÉAL, 1999, 227 PAGES.
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BOUCHARD Gérard---MISTOUK
22/06/2010 15:05
BOUCHARD Gérard MISTOUK, BORÉAL Compact, 2009, 502 pages, plus un glossaire. Le grand roman de l’américanité québécoise. Commentaire sur le livre MISTOUK Il y a plusieurs façons de faire revivre l’histoire. Gérard Bouchard s’est acquis une réputation internationale pour ses travaux savants portant sur la société québécoise. Fondateur du projet Balsac, ce vaste fichier généalogique de la population du Québec, il recevait il y a deux ans le Prix du Gouverneur général pour Genèse des nations et cultures du Nouveau Monde. Aujourd’hui, Gérard Bouchard a voulu incarner la société qui fait l’objet de ses études depuis de nombreuses années dans un grand roman historique. Depuis l’arrivée en Saguenay des premiers colons originaires de Charlevoix jusqu’à la Grande Guerre, Gérard Bouchard nous raconte l’histoire des Tremblay de Mistouk, et surtout celle du fils aîné, Méo, le géant, celui qui incarnait tous leurs espoirs, toutes leurs forces vives. Mêlant légende et vérité historique, c’est toute une société que Gérard Bouchard fait revivre, sa parole, ses mentalités, ses craintes, ses rêves, son courage. Il nous en donne, contrairement à ce qu’on en a véhiculé, non pas l’image d’une société étouffée sous le poids du souvenir et du clergé, mais au contraire celle d’une société en ébullition, passionnée par son avenir, où tout était possible et qui était chez elle partout en Amérique. Mais surtout, Mistouk est la rencontre de personnages inoubliables. J’ai beaucoup aimé me plonger dans la vie de Méo, ce personnage original physiquement et socialement. Grâce à Méo on est plongé dans la vie du Saguenay fin X1Xsc.-début XXsc. avec la colonisation, la politique gouvernementale de l’époque, l’influence de l’Église , la vie et la misère des gens, l’attrait des États-Unis et de ses usines, les affres de la Première Guerre mondiale. Méo mène une vie de solitaire, prend des risques, côtoie les Amérindiens, part souvent en voyage. C’est un être qui se cherche, qui prend des risques : c’ est un être très instinctif, courageux et instable. On y côtoie également Alexis Le Trotteur, dit l’innocent, un autre original. Les personnages de ce roman sont authentiques par leur vécu, leurs croyances, leur cheminement. Ce roman est un grand roman, un beau chant de la terre, notre histoire, une partie de chacun de nous, nos racines mêmes. À lire sans faute.GiL
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BRESSANT Marc---LA CITERNE
22/06/2010 15:23
BRESSANT MARC
LA CITERNE, Éd. De Fallois, 2009, 365 pages
Editeur : Fallois Publication : 18/8/2009
Résumé du livre « Appelé à faire son service en Algérie comme tous ceux de sa génération, le sous-lieutenant Werner est affecté en 1960 dans un coin de montagne avec mission d'y maintenir l'ordre et d'en assurer l'administration. Depuis 1954, la mort par ici a inlassablement frappé. L'armée française a multiplié les opérations, interdit des zones immenses, regroupé la population dans des camps, sans réussir à extirper les rebelles qui bénéficient désormais de la complicité active de la population. Dans le fortin où Werner s'installe, vivent trente harkis hors d'âge, un médecin passionné de botanique et un instituteur arabe qui fait apprendre 'Le Dormeur du val' à ses élèves. Tous les trois n'ont guère plus de 20 ans. Ils vont affronter ensemble, malgré tout ce qui les sépare, la folie qui se déchaîne autour d'eux. « Source :www.evene.fr « Dans ce coin montagneux de l'Algérie, coups de main des rebelles et ratissages musclés de l'armée française se succèdent depuis 1954. Il n'est pas jusqu'à la vieille citerne, source immémoriale de la vie dans la vallée, qui ne soit devenue un symbole de la mort omniprésente. Quand le sous-lieutenant Werner débarque dans ces parages en 1960, les autorités considèrent que la contrée est pacifiée. Appelé comme tous ceux de sa génération à faire son service militaire en Algérie, il se voit donner instruction d'administrer les villages et d'y faire régner l'ordre. Installé dans un fortin que protègent trente harkis hors d'âge, Werner s'efforce de remplir sa mission, sans illusion ni faiblesse. De loin en loin, il descend reprendre souffle dans la ville la plus proche où rien apparemment n'a changé, hors de rares attentats vite classés. Arrive le moment où Français et Algériens se décident enfin à ouvrir en Suisse de discrètes négociations de paix. Jusqu'alors Werner avait appliqué la politique officielle. Désormais, tranche-t-il, ce qui se passe sur le terrain ne changera rien à l'issue du conflit. Qu'on arrête donc de s'entretuer ! Tandis que le carnage se poursuit alentour, une étrange trêve va s'instaurer dans la vallée. Traversé de personnages inoubliables, La Citerne offre une vision de l'intérieur, dure, ironique et grave, des ultimes convulsions du drame algérien. Au fil des pages, le roman s'élargit en une parabole sur la folie des hommes et le devoir de résistance face aux logiques meurtrières. » Source :www.decitre.fr Ce roman nous transporte en Algérie à l’époque des conflits avec la France sous De Gaulle dans les années 1954-62 dans ce que nous appelons la Guerre d’Algérie. La France occupe l’Algérie depuis cent trente années, a essayé de la coloniser, de l’occuper, de la franciser et surtout d’y imposer la culture française. L’Algérie a été antérieurement occupé par les Romains sous Jules Cesar, par Alexandre Legrand, par les Arabes qui à tour de rôle ont laissé leurs traces dans la culture algérienne mais jamais l’Algérie n’a été complètement soumise et colonisée. Cette guerre qui est surtout celle de l’occupant nous montre un peuple qui refuse une soumission totale surtout par les peuples d’origine comme les Berbères qui occupent le dessert et résistent à l’envahisseur. Ce grand roman nous brosse un tableau réaliste de l’occupation française en Algérie par une armée de soldats qui souvent manquent d’expérience, qui viennent y faire leur service militaire obligatoire ou comme certains généraux qui imbus de pouvoir ignorent la réalité du peuple algérien au détriment de leurs intérêts personnels. Ce roman dénote une grande qualité d’écriture, de réflexion sur une guerre par intérêt, nous en fait une description intime de l’âme des Algériens encore aux prises par un envahisseur intéressé par ses richesses naturelles. L’auteur nous présente des personnages authentiques tant français qu’autochtones qui se voient imposer une vie sous régime militaire. Le roman nous amène dans l’intimité des personnages au pouvoir, des relations avec ceux qui y sont déjà en place. GiL
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BROUILLET Christine---LES 4 SAISONS DE VIOLETTA---
22/06/2010 15:26
BROUILLET Christine :
LES 4 SAISONS DE VIOLETTA, 2002, ÉD.DENOËL, 702 PAGES. « Dans ce livre, il y a plein de petits détails relatant de l'époque des gangsters à Chicago et de la guerre. Je trouve que les atmosphères sont incroyablement bien décrites et on peut facilement se figurer la vie de tous les jours dans cet environnement. De plus, l'histoire est accrochante et sans longueurs bien que la fin, en effet, soit un peu rapide. « source :www.livre.fnac.net
Violetta naît des amours de Flora et du compte Lorenzo, sorcier, qui a caché sa véritable nature à Flora et l'a tuée ensuite. S'ensuit un tournoi magique entre Lorenzo et Violetta, qui s'étalera dans ses quatre vies. Violetta, le personnage principal aura 400 ans pour remporter un tournoi. Hybride(demi-humaine, demi-sorcière), elle doit survivre à un père qui a pour but de la tuer et dévorer ses entrailles afin d'obtenir plus de pouvoirs. Notre héroïne se promène dans l'histoire de Vivaldi à l'an 2000, où elle réussira de façon phénoménale à survivre à ce sorcier que l'on déteste de plus en plus, tout au long de cette lecture. J'ai adoré ce roman, tout se tient merveilleusement bien, le début a un lien direct avec la fin, et toutes les vies de Violetta ont un lien entre elles. La fin est inattendue, surprenante et merveilleuse. Un excellent roman que je recommanderai fortement à des amies friandes de romantisme et de mystère! Source :www.guidelecture.com
TBIEN. J’ai beaucoup aimé. Mélange d’histoire et de sorcellerie. Génial.
SOINS INTENSIFS, roman 1996 , LA COURTE ÉCHELLE, # 18, 2000, 251 PAGES.
MARIE LAFLAMME, 1991, ED. DENOEL,
NOUVELLE-FRANCE, 1992
LA RENARDE 1994
LE POISON DANS L’EAU, 1987, ÉD, SUEURS FROIDES.
PRÉFÉREZ-VOUS LES ICEBERGS, 1988.
LE COLLECTIONNEUR, ÉD. LA COURTE ÉCHELLE, 1995, 215 PAGES.
J’ai aimé, un bon polar.
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