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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES
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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

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  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TÉMISCOUATA, QUÉBEC
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    MAVRIKAKIS Catherine---DEUILS CANNIBALES ET MÉLANCOLIQUES---*****

    08/08/2010 14:32

    MAVRIKAKIS Catherine---DEUILS CANNIBALES ET MÉLANCOLIQUES---*****


    DEUILS CANNIBALES ET MÉLANCOLIQUES, 2000, Éditons Trois, 200 pages.

    Catherine Mavrikakis est devenue un écrivain incontournable dans le paysage québécois depuis son roman Bay City, récompensé par le Grand Prix de la Ville de Montréal en 2008. Ce qu’on sait peut-être moins d’elle c’est qu’avant d’être ainsi reconnue, elle comptait déjà à son actif quelques essais et cinq autres romans, dont Deuils cannibales et mélancoliques, publié en 2000 aux Éditions Trois. Ce premier roman n’avait pas rejoint un large public mais avait toutefois connu une sortie percutante grâce au critique littéraire Robert Lévesque - autrefois du journal Le Devoir- qui avait alors dit de l’auteur de ce roman qu’elle était le premier écrivain à l’avoir autant séduit depuis Hubert Aquin. Un hommage exceptionnel venant de ce critique reconnu pour son niveau d’exigence très élévé. D’autre part, Pierre Thibault, l’ancien directeur du journal Ici avait également salué ce livre comme « chef-d’œuvre ».

    Le livre était resté introuvable depuis sa parution en 2000, mais après le succès de Bay City, l’éditeur actuel de Catherine Mavrikakis, Héliotropis, a jugé bon de rééditer Deuils cannibales et mélancoliques, au grand plaisir de ceux qui avaient déjà découvert son talent exceptionnel. Ce livre peut fasciner ou, au contraire, entraîner un refus viscéral parce qu’il tire le lecteur vers des lieux intérieurs arides où il ne veut pas séjourner, ne serait-ce que le temps d’une lecture. On entre dans Deuils cannibales et mélancoliques comme dans un cinéma sombre, pour y voir un film sombre, réalisé par un cinéaste lui aussi sombre, mais plein de courage devant des réalités froides et dures et doté de plus d’un rare talent d’écriture. Et il en faut du courage pour aborder les thèmes favoris de Catherine Mavrikakis, la difficulté de communiquer ce qu’on est et la solitude qui en découle, et, dans le cas particulier de ce livre, la mort. La mort, uniquement la mort, celle de proches, d’amis sidéens qui, les uns après les autres, quittent prématurément la vie et dont le départ impose une brutale rupture des amitiés. Les deuils dont parle le titre sont ceux qui rongent de l’intérieur les survivants et les marquent d’une tristesse profonde qui ne les quittera plus. Étonnamment, tous ces amis morts portent un prénom identique, « Hervé », par allusion, et peut-être en hommage, à Hervé Guibert, l’écrivain français lui aussi mort du sida il y a quelques années.

    Deuils cannibales et mélancoliques est un court roman, composé de très courts chapitres écrits dans un style essentiel, minimaliste, ce qui aide à atténuer la dureté du sujet traité. Qu’on aime ou pas, il faut reconnaître que Catherine Mavrikakis est dotée d’une voix exceptionnellement forte et courageuse, ce qui devrait faire d’elle un des écrivains les plus remarquables de la littérature francophone contemporaine. Une forte personnalité littéraire, à recommander aux lecteurs qui recherchent la présence d’un livre et d’un auteur de grand caractère.
    Agathe Crevier, Lavaltrie, Québec.

    Ce livre bouleversant par son audace, sa franchise et surtout son sujet principal, la mort, nous amène à penser à ceux, que nous connaissions et aimions et qui sont morts , d’une façon plus personnelle et intense que la simple cérémonie et événements qui ont marqués leur mort. L’auteure nous confie ses réflexions personnelles et même passe aux aveux en nous relatant tous les morts qui ont partagés sa vie sans pudeur, sans retenue avec une grande persuasion.
    « Le suicide ne me paraît ni lâche, ni courageux. Il est souvent tel que fut toute notre vie, et dans le cas de mon grand-père, son suicide fut un ratage et une saloperie de plus » page 58.
    « Je veux des mots qui me fassent souffrir quand je parle de mes morts, des mots qui me fassent grincer des dents, qui me fassent mal, encore et toujours, des mots que je sente vains, des mots que je sente traîtres. Je refuse la parole anesthésiante. La parole qui console, la parole qui pardonne. » p. 76
    Un sujet hors du commun par une auteure hors du commun. GiL





    NDIAYE Marie---TROIS FEMMES PUISSANTES******

    19/08/2010 14:58

    NDIAYE Marie---TROIS FEMMES PUISSANTES******


    NDIAYE Marie

    TROIS FEMMES PUISSANTES, Galliamrd, 2009, 316 pages
    Résumé du livre
    « Trois récits, trois femmes qui disent non. Elles s'appellent Norah, Fanta, Khady Demba. Norah, la quarantaine, arrive chez son père en Afrique. Le tyran égocentrique de jadis est devenu mutique, boulimique, et passe ses nuits perché dans le flamboyant de la cour. Fanta enseigne la français à Dakar, mais elle a été obligée de suivre en France son compagnon Rudy. Rudy s'avère incapable d'offrir à Fanta la vie riche et joyeuse qu'elle mérite. Khady Demba est une jeune veuve africaine. Sans argent, elle tente de rejoindre une lointaine cousine, Fanta, qui vit en France. Chacune se bat pour préserver sa dignité contre les humiliations que la vie lui inflige avec une obstination méthodique et incompréhensible.
    La critique [evene]
    par Maud Denarié
    Puissance. Tel est le mot qui suffirait à condenser, à caractériser le génie d'une telle oeuvre. Alliant élégance et douceur du verbe à une exploration presque impudique des introspections, le nouveau roman de Marie Ndiaye fait l'effet d'un véritable coup de poing littéraire. Il y a Norah, Fanta et Khady Demba que la vie a malmenées, ici ou là. En France, en Afrique, l'amertume, la souffrance et la désillusion se confondent, inéluctablement, au rythme de leurs destins déchirés, fouillés à la loupe jusqu'aux tréfonds de l'intimité. Observatrice affûtée à la plume de velours, Marie Ndiaye part sur les traces des uns et des autres, traduisant avec précision la lourdeur volontairement insoutenable des atmosphères. Menant ses récits à l'image de ses "phrases fleuves", elle offre une mise en scène quasi cinématographique et multi-sensorielle. Car derrière l'écoulement des mots se révèle la profondeur des non-dits. Déployant un style cousu au rythme des circonvolutions de l'âme, elle se meut délicatement dans les flots remuants de la conscience pour y disséquer les moindres tourments. Se juxtaposent ainsi des tableaux mouvants et riches, puisés à la source d'un réalisme troublant, où la subtilité des personnages n'a d'égale que la juste résonance des sensations. Une rare prouesse littéraire qui, au-delà de la fiction, rend hommage avec force et dignité à l'humanité déchue, à ces bafoués de l'ombre en quête de lumière. »
    Sourec :ww.evene.fr
    | »Mais, comme chacun des héros de ce livre, Khady Demba aura droit à ce sursaut de conscience qui fait qu'un jour chacun trouve en soi-même le courage de prendre en main son destin. »
    « Ce thème, c'est la force intérieure que manifestent les protagonistes féminins. Norah, Fanta, Khady sont reliées par leurs capacités communes de résistance et de survie." Déchirements intimes, identitaires, interrogations sur l'appartenance et la condition humaine sont autant au cœur de ce triptyque troublant, vertigineux, composé dans un style éminemment élégant et épuré, qui en fait toute sa force, sa puissance. »
    Source :www.lemonde.fr

    Un roman dur, des vies à la dure. La survie, l’espoir, la détermination font de ces femmes des gagnantes même dans le désespoir et l’horreur de la vie. Un roman d’une grande qualité de récit et d’écriture. La réalité, une fois de plus, dépasse la fiction. GiL


    Commentaire de xinqing001 (18/12/2010 11:02) :

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    CREWS Harry---LA MALÉDICITON DU GITAN*****

    19/08/2010 23:21

    CREWS Harry---LA MALÉDICITON DU GITAN*****


    CREWS Harry

    LA MALÉDICTION DU GITAN, 1974, 1993 Galliamrd, 238 pages
    Présentation de l'éditeur
    « Marvin Molar aurait de quoi l’avoir mauvaise. Muet de naissance, sourd par accident, abandonné à l’âge de trois ans et recueilli par un vieux lutteur bizarre qui s’est fait rouler sur la tête par un camion, Marvin est également nain, une curiosité de foire au buste puissant et aux bras monstrueux. Pire, il ne pèse rien et ses jambes de sept centimètres traînent sous son ventre comme les résidus d’une mue de têtard. Ses amis, boxeurs schizophrènes ou sonnés par les coups, vivent avec lui dans un gymnase saturé de testostérone et fréquenté par des fous de la fonte. Un monde à part. Fragile. Un univers dans lequel débarque une très jeune femme, a priori normale, belle à rendre idiot ; une femme à laquelle il ne manque rien. Rien ? Sauf peut-être le cœur...
    Traduction de l’ anglais : Philippe Garnier
    Harry Crews, un maître du grotesque

    Thierry Godefroid
    "Il fallait qu’Esther et Aristote apprennent à pas trop me baiser la gueule. Me baiser la gueule un petit peu, je dis pas. Quand on a traîné dans les galères où j’ai traîné, on s’attend bien à se faire baiser la gueule un petit peu. Mais pas trop".
    Ainsi va la vie de Marvin Molar, cumulard du handicap (car cul-de-jatte sourd et muet), qui fraye néanmoins avec une superbe créature nommée Esther. Il faut dire que pour compenser sa déficience, Marvin est un vrai paquet de muscle capable de tours époustouflants. Il gagne sa vie en se produisant ainsi comme attraction, managé par le vieux tenancier d’un gymnase miteux peuplé de boxeurs et d’amoureux de la fonte.
    Ce septième roman de Harry Crews publié en 1974 aux Etats Unis est un drame magistral, peut-être son chef d’oeuvre le plus indiscutable. Ecrit à la 1re personne, un incroyable personnage tout droit sorti du Freaks de Tod Browning s’y raconte sans retenue. L’aspiration légitime de Marvin à un minimum de dignité est le fondement d’un malaise qui le conduit à des actes extrêmes lorsqu’il réalise que les échantillons de bonheur auxquels il pense pouvoir prétendre ne sont que des mirages, que l’amour ne lui sera jamais délivré que sous une forme déviante et malsaine, de la part d’une femme normalement constituée dans les apparences mais ô combien dérangée dans son psychisme. Tous les personnages sont parfaitement dessinés, aucun second rôle n’est laissé à moitié en friche. En particulier, le vieil Al Molarski et les deux boxeurs à moitié décérébrés qui entourent Marvin acquièrent une densité incroyable et bouleversent toujours plus à chaque apparition.
    Utilisant plus que jamais le ricanement contre le désespoir, Crews dépeint une humanité globalement irrécupérable, polluée qu’elle est de ses individus désaxés ou néfastes. Sous cet aspect, la malédiction du gitan rappelle les meilleurs romans de Jim Thompson, le cynisme en moins et la compassion (insufflée avec une discrétion et une intelligence rares) en plus.
    Un monument du roman noir, servi dans une traduction (Philippe Garnier) absolument parfaite. Indispensable à tout amateur du genre, ça va sans dire. «
    Livre vivement conseillé par Thierry Godefroid. Source : www.bibliosurf.com

     
    Un grand roman du genre grands frissons-thriller ….je dirais même remarquable par la construction du roman, son style haletant, sa progression, ses personnages biscornus et un sujet tabou les êtres difformes, marginaux au passé lourd et ténébreux dont l’intensité me rappelle le magistral LE PARFUM de Patrick Süskind. Des esprits tordus mais des humains à part entière. À lire sans fautes . GiL






    HUMOUR---DARD Patrice---ÇA SENT LE SAPIN

    23/08/2010 15:17

    HUMOUR---DARD Patrice---ÇA SENT LE SAPIN


    ÇA SENT LE SAPIN, Fayard, 2010, 300 pages

    « Mekèl Belboul massacré à coups de flash-ball.
    Corde sabotée, Situva Tuvaniké plonge dans le vide. Vaszy Kaszilpô déchiqueté par une balle de golf piégée. Un chewing-gum au cyanure foudroie Pipo Fellacci. Il ne fait pas bon être sportif dans ce petit bled de montagne. Et encore moins flic... Pour San-Antonio et son infatigable Bérurier, ça sent le sapin «
    Sourec :www.decitre.fr

    VOUS AVEZ LU :
    par Paul Maugendre
    « Mais que font donc San-A, son fils Toinet, l’impayable Béru et l’inénarrable Berthe sur les pistes de ski de La Toussuire en cette veille de Noël ? Pour skier me rétorquerez-vous ! Accessoirement répondrai-je, mais surtout pour accomplir une mission. Vous me croirez ou pas mais ils doivent refroidir un dénommé Pipo Fellaci, moniteur de ski. C’est pour de faux, mais vous ne le direz pas, promis ? Seulement voilà qu’un grain de sable sous la forme de Lanturleau vient semer la pagaille dans une opération bien huilée. Lanturleau qui fut un collègue de promotion de San-A et est actuellement en poste à Albertville. Un choc percutant incontrôlé contre le traineau qui emmène le corps de Pipo à la station, et l’homme est définitivement réduit en cadavre. Enfin pas vraiment. Pipo a la vie dure, mais le chewing-gum qu’il vient d’ingérer lui est fatal. On n’échappe pas au cyanure. Mission ratée pour San-A et ses acolytes, qui devaient simuler une agression afin de mettre Pipo à l’abri d’un agresseur coriace, ingénieux et fétichiste. En effet depuis le mois d’août, le 23 de chaque mois exactement, un homme est assassiné dans des circonstances spécifiques et raffinées. Le premier de la liste, Mekèl Belboul, moniteur de rafting, est abattu à coups de flash-ball alors qu’il essayait d’enseigner les rudiments de ce sport à des adolescents. Le 23 septembre, Situva Tuvaniké décède lors d’un saut à ski, sa corde ayant été sabotée. Le 23 octobre, Vaszy Kaszilpö est déchiqueté par une balle de golf piégée, et pourtant le golf n’est pas réputé pour être un sport extrême. Le 23 novembre une jeune femme en goguette décède des inhalations d’une cigarette empoisonnée. Mais il ya eu erreur sur la personne, c’était Pipo qui visé et qui n’écoutant que son bon cœur avait offert la cibiche mortelle à la défunte, en attendant des relations moins tabagiques et plus charnelles.
    L’enquête sera courte dans le temps mais réservera de nombreuses surprises à nos protagonistes, les cadavres s’essaimant dans la station de ski et ses alentours comme des cailloux noirs et roses sur la neige virginale. Berthe saura alimenter la jalousie de Béru en surfant sur les vagues du plaisir tandis que son mari rongera son frein en ne la retrouvant pas dans le lit conjugal et hôtelier. Patrice Dard qui a repris le flambeau à la disparition de Frédéric Dard, et peut-être même avant, possède le ton, la verve, le sens des dialogues et des situations qui nous étaient chères, redonnant aux aventures de San-Antonio ce côté bon enfant que l’on appréciait dans les années 60. La bonne humeur, quelques coups de gueule, des parenthèses comme celle concernant le pourquoi du S à essuie-glaces alors que le pare-brise n’est que d’un seul tenant, mais beaucoup moins de digressions pessimistes qui engluaient les aventures de San-A dans les années 90. Un bon cru placé sous le signe du tabac, en témoignent les têtes de chapitres, tandis que les différentes parties du roman font référence à des films. »source :www.bibliosurf.com

    Personnllement j’ai trouvé ce livre très marrant, j’ai dû le fermer à plusieurs reprises tellement les épaules me sautaient….surtout à cause des expressions suaves de l’auteur et les personnges tellement colorés. À lire si vous voulez vous détendre et passer un bon moment…GiL





    MEZRICH Ben---LA REVANCHE D'UN SOLITAIRE: la véritable histoire du fondateur de FACEBOOK.COM

    25/08/2010 15:01

    MEZRICH Ben---LA REVANCHE D'UN SOLITAIRE: la véritable histoire du fondateur de FACEBOOK.COM


    MEZRICH Ben

    LA REVANCHE D’UN SOLITAIRE, ÉD. Max Milo, 2010, 312 pages
    La revanche d’un solitaire
    « La véritable histoire du fondateur de Facebook
    Ben Mezrich
    Traduit de l’anglais (USA) par Lucie Delplanque

    Mark Zuckerberg est un étudiant de Harvard brillant et talentueux, particulièrement doué en informatique. Mais le génie ne suffit pas à le rendre populaire. Sa vie sociale et sexuelle est presque inexistante. Un soir, il pirate le trombinoscope de l’université et crée en quelques heures un site pour noter les filles du campus sur leur apparence. Le succès est immédiat. Le prototype de Facebook est né.

    Aidé de son unique ami Eduardo Saverin, il développe le projet. S’ensuit une aventure hors du commun, peuplée d’investisseurs agitant des millions de dollars, de femmes superbes, de jumeaux de deux mètres qui accusent Mark de plagiat et en veulent à sa vie. Alors que Facebook prospère, l’amitié entre Mark et Eduardo dégénère. Aujourd’hui, 350 millions de personnes sont connectées mais… les deux amis ne se parlent plus.

    La Revanche d’un solitaire est le récit fascinant d’un simple geek devenu milliardaire et surtout celui de l’un des plus grands succès de l’histoire d’Internet. Une vue imprenable sur les coulisses du capitalisme numérique.

    Né en 1969, diplômé de Harvard, Ben Mezrich a publié onze livres vendus à des millions d’exemplaires dans le monde. L’un d’eux a donné lieu au film Las Vegas 21 »source : www.fnac.com

    Résumé de La revanche d'un solitaire. La véritable histoire du fondateur de Facebook


    « A l'origine, Eduardo Saverin et Mark Zuckerberg sont deux amis, geeks ringards, étudiants à Harvard, qui ne désirent qu'une chose : être enfin populaires et séduire le sexe opposé. Pour ce faire, Mark pirate le système interne de l'Université, créé une base de données répertoriant toutes les filles du campus, photo à l'appui, et l'ouvre aux étudiants avec un espace de notation « sexy or not ». Découvert, il échappe de justesse au renvoi. C'est Eduardo qui aura le premier conscience de l'énormité de l'innovation. Mark vient d'inventer ce qui, dans les années à venir, a révolutionné la manière dont les humains se connectent les uns aux autres. S'ensuit une véritable aventure contemporaine, peuplée d'investisseurs agitant des millions de dollars, de femmes superbes et vénales, de jumeaux de deux mètres qui accusent Mark de plagiat et en veulent à sa vie. Au fil des mois, l'amitié entre Mark et Eduardo dégénère, l'insouciance de leur jeunesse ne résiste pas aux pièges de l'argent et de la gloire. Pendant ce temps, leur bébé, Facebook, devenait l'un des plus grands succès de l'histoire d'Internet. Aujourd'hui : 200 millions de personnes sont connectées, mais les deux amis ne se parlent plus. Dans la veine du Loup de Wall Street de Jordan Belfort, un récit véridique sur les coulisses du capitalisme numérique. Divertissant, truculent et rythmé, l'un des documents les plus captivants de l'année. « Source : www.myboox.fr


    Roman très intéressant écrit d’une façon très objective: on ne sent pas de parti pris par l’auteur. Le livre est fluide, la chronologie des évènements est facile à suivre et le texte est direct, compact, efficace. Marck Zuckerberg est un personnage très intéressant à connaître même s’il n’est pas très loquace, c’est un silencieux, un introverti avec une tendance à l’autisme. Il ne tient pas vraiment compte de l’autre, ses sentiments sont rarement exprimés, il fonctionne mentalement comme un ordinateur et son humour est parfois caustique, mordant, incisif. C’est intéressant de vivre la naissance d’un phénomène planétaire qu’est devenu www.facebokk.com. À lire avec plaisir.






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