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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES
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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

  • 976 articles publiés
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  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TÉMISCOUATA, QUÉBEC
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    LES HÉRITIERS DU FLEUVE, roman, tome 1/4, de Louise TREMBLAY D'ESSIAMBRE, 2013, 347 pages

    05/08/2014 13:49

    LES HÉRITIERS DU FLEUVE, roman, tome 1/4, de Louise TREMBLAY D'ESSIAMBRE, 2013, 347 pages


     

    Louise TREMBLAY-D'ESSIAMBRE

    LES HÉRITIERS DU FLEUVE, Guy Saint-Jean, roman, tome 1/4, 1887-1893, 2013, 347 pages

     Roman d'époque d'une écriture sobre, descriptive, détaillée qui nous met bien dans l'atmosphère des événements de l'époque de la vie à la fin du  XIXème siècle au Québec.C'est l'époque de la vie de mes grands-parents mais située sur le bord du Fleuve Saint-Laurent des deux rives, celle du nord, celle du sud.

    Dans ce roman nous suivons l'évolution de jeunes familles qui s'installent, s'organisent une nouvelle vie, une famille neuve et un métier qui leur permettra de vivre et de survivre au gré des saisons.

    Nous suivons progressivement l'évolution familiale et sociale de chaque famille selon le métier du chef de famille: forgeron, marin, cultivateur. Nous découvrons les rôles indissociables de la femme, mère de famille nombreuse, administratrice, collaboratrice, soutien indispensable à la réussite familiale.

     Un roman qui nous dépeint de façon magistrale la vie tant sur le bord du fleuve qu'à Québec et Montréal à la fin de ce siècle.

    Un roman d'archives épique pour les générations passées et futures.

     Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

     Pour en savoir davantage:

                                                    " D’une rive à l’autre du Saint-Laurent, des familles attachantes aux destins entrecroisés voguent entre amitiés et rivalités, drames déchirants et bonheurs intenses.

    Nous voici au XIXe siècle, sur les rives du Saint- Laurent, là où le fleuve se mêle à la mer. Deux rives: celle du nord, aride, majestueuse, faite de falaises et de plages; celle du sud, tout en vallons, en prés verdoyants et en terres fertiles. Des couples et leur famille: Alexandrine et Clovis, Albert et Victoire, Emma et Matthieu, ainsi que James O’Connor, Irlandais immigré, seul membre de sa famille ayant survécu à la traversée.

    Ces personnages sont plus grands que nature, plus vrais que la rudesse de l’hiver, plus émouvants que les larmes et les sourires qui se succèdent au rythme des marées." www.louisetremblaydessiambre.com

    " D’une rive à l’autre du Saint-Laurent, des familles attachantes aux destins entrecroisés voguent entre amitiés et rivalités, drames déchirants et bonheurs intenses.

    Les héritiers du fleuve nous plonge au cœur de ce Québec de la fin du XIXe siècle. Grâce à l’écriture vive, colorée et unique de Louise Tremblay-D’Essiambre, le lecteur s’attache dès les premières pages à ces personnages plus grands que nature, plus vrais que la rudesse de l’hiver, plus émouvants que les larmes et les sourires qui se succèdent au rythme des marées.

    Les héritiers du fleuve nous transporte sur les rives du Saint-Laurent, qu’on utilisait à l’époque comme un large boulevard. Ce majestueux cours d’eau, où les goélettes, appelées voitures d’eau, étaient le lien entre villes et villages.

    Cette fois-ci, ce sont trois femmes qui sont avec elle, fin prêtes à prendre place dans son imaginaire, pour ensuite prendre vie par la magie de sa plume. Elle les écoute, qu’ont-elles à dire de cette époque où la femme n’a ni droits ni âme. Ou si peuSûrement beaucoup de choses, puisque les voilà vedettes de la nouvelle saga. Les trois femmes, nous dévoile l’auteure, connaîtront un parcours marqué par la passion et les tempêtes. Puis, une rencontre changera le cours de l’aventure…

    Le grand fleuve relie tous les personnages entre eux, toutes ces familles aux destins entrecroisés guidés par l’honneur et la fierté, tandis que les amitiés et les intrigues se nouent au gré du vent du large. Lorsque Alexandrine, Emma et Victoire, trois amies d’enfance, trois jeunes femmes aux destinées différentes feront la connaissance de James O’Connor, un jeune Irlandais immigré, seul membre de sa famille ayant survécu à la traversée, qui habite Montréal, leur vie et celle de leur petite communauté sera chamboulée…" www.info-culture.biz.






    L'AMOUR EST ÉTERNEL tant qu'il dure, roman de Franz-Olivier GIESBERT, 2014, 353 pages

    10/08/2014 23:24



     

    GIESBERT Franz-Olivier

    L'AMOUR EST ÉTERNEL TANT QU'IL DURE, roman, Flammarion, 2014, 353 pages

     Un roman brillant,  d'une écriture flamboyante dont l'unique propos est l'amour, les relations sexuelles à tout âge avec tout sujet apte à recevoir, à donner  un plaisir sexuel. Des relations sexuelles explicites et bien détaillées comme celui d'un homme Malien de soixante ans, père de vint-trois enfants, mari de quatre femmes dont la plus jeune a à peine treize ans, un homme marié avec un jeune homme de dix-huit ans, d'un homme croyant recevoir une fellation d'une jeune femme alors qu'en réalité il s'agit d'un beau travesti, d'une femme Alzhermer déconnectée de soixante ans  avec un jeune homme de trente ans, d'une femme mariée a un homme aîné  riche mais qui est  persuadée par le fils de celui-ci de dix-huit ans  à devenir son jouet sexuel et bien d'autres scènes d'amour dans toutes sortes de conditions invraisemblement impensables et hallucinantes. Pour adulte averti, touché par le sexe et ses fantaisies.

     

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

     

    " Il faisait partie de ces hommes qui ont besoin d'éprouver des sentiments pour copuler"

    " C'est ça,  l'amour, je crois: ne plus se poser de questions, être content ce qu'on a,   vivre les jours comme ils viennent ...à la fois le confort, la détente,  la tranquilité."

    " Le monde n'est pas une fabrique et les animaux ne sont pas des produits à l'usage de nos besoins."  Schopenhauer

    " Il y a une humanité chez les animaux comme il y a une animalité chez les humains."

    " Il s'aime trop pour pouvoir t'aimer un peu."

    " Les amours d'aujourd'hui sont les désamours de demain."

    " Ce sont toujours les femmes qui rompent; elles ont en elles les couilles que  les mâles portent à l'extérieur."

     

    Pour en savoir davantage:

                                              " L'amour est éternel tant qu'il dure, de Franz-Olivier
    Giesbert est publié aux éditions Flammarion. – Note : ***

    Résumé :  "Dans ce roman, l'amour court, meurt,
    renaît, élève ou démolit, sautant sans cesse d'un être à l'autre. Il brasse les
    classes sociales, traverse les océans, ne respecte ni codes ni frontières.
    C'est un démiurge qui transgresse tout. Un bonheur qui a la bougeotte. Une
    ronde qui forme une chaîne toujours renouvelée, joyeuse et vacharde à la fois.

    J'ai essayé de suivre sa course dans ce roman où
    s'entremêlent amours et désamours. Et si plusieurs de ces histoires sont
    vraies, toute ressemblance avec des personnages existant ou ayant existé
    serait, cela va de soi, totalement fortuite.
    " F.-O. G

     

     

              Franz- Olivier Giesberg, connu aussi sous le dyminutif de F.O.G. qui a écrit des romans plus ou moins estimés ( par ses confrères de la presse écrite qui veulent souvent rester en bons terme) n'est pas le journaliste- romancier le plus doué, mais pas le pire non plus, donnant L'Immortel ou le très grand amour des romans avec quelques faiblesses dans l''écriture mais qui se laissait lire sans problème.
    Dans son nouveau roman, ou plutot son receuil de nouvelles, ca se gate un peu, , Franz-Olivier Giesbert a l'ambition de décliner l'amour sous toutes ses formes: forcé, dilettante, passionné, éphémère, homosexuel et même zoophilique dans une séquence quand même assez ridicule...l'ensemble est quand même assez indigeste, manque de liant littéraire et est particulièrement difficile à lire jusqu'au bout lorsque comme moi on le lit entre deux chefs d'oeuvre de la littérature anglo saxonne...un lecteur de www.babelio.com

     

     

    Ce livre exprime tout sauf ce qu'est l'amour. C'est plutôt un condensé d'histoires sexuelles glauques et finalement un abécédaire de tout ce qui peut tuer le véritable amour. FOG est sauvé par la qualité de son écriture mais je ne peux m'empêcher de penser qu'il a une conception particulièrement tordue de ce qu'est l'amour qu'il réduit à un rapport de force construit quasi exclusivement autour du sexe dans ses dimensions les plus extrêmes. Un lecteur de

      www.babelio.com






    LE GRAND CAHIER, roman de Agota KRISTOF, 1986, 167 pages

    15/08/2014 01:59



    KRISTOF Agota

     LE GRAND CAHIER,roman, Seuil,  POINTS, 1986, 167 pages

     Un roman brillant, surprenant,surnaturel, déconcertant. Un  roman qui nous accroche par ses invraisemblances, ses démesures.   

    " C’est brillant, bien mieux qu’époustouflant, machiavélique, cruel à tous les niveaux : les personnages, l’auteur lui-même, l’histoire. C’est surtout le premier roman d’une grande Dame de la littérature qui a bouleversé à jamais le paysage littéraire."

    C'est l'histoire de deux frères jumeaux abandonnés à leur sort à une grand-mère sans coeurs, avaricieuse, sans hygiène corporel, sans principes, sans aucune démonstration affective envers quiconque.  

    Les jumeaux prennent tout au premier niveau et d'une façon extrême. Quand ils décident de jeûner, ils jeûnent comme des parias, quand ils décident de s'endurcir à la douleur, les coups sont impitoyables, quand ils décident d'étudier, ils le font comme des érudits. Les jumeaux vivent en accord avec des principes de survie extrême, ils vont jusqu'au bout de toutes décisions leur permettant de survivre à toute situation d'urgence et de menace.

    Un grand roman et une auteure de talent à découvrir pour son style d'écriture audacieuse ,sa forme de penser hors normes.

     

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

     

    Pour en savoir davantage:

                                               "Nous arrivons de la Grande Ville. Nous avons voyagé toute la nuit. Notre Mère a les yeux rouges. Elle porte un grand carton et nous deux chacun une petite valise avec des vêtements, plus le grand dictionnaire de notre Père que nous nous passons quand nous avons les bras fatigués.

     Ainsi commence Le Grand Cahier d’Agota Kristof, par l’arrivée de deux jumeaux chez leur Grand-Mère. Ils quittent la Grande Ville pour aller dans la Petite Ville à cause de la guerre. D’emblée on remarque la particularité des noms attribués aux personnages et aux lieux : la Grande Ville et la Petite Ville ne s’appelleront jamais autrement. Nous ne saurons rien de ces lieux et ne pourrons jamais les situer dans notre réalité.

    La Grand-Mère, la Mère, le Père n’auront pas non plus de prénom dans ce Grand Cahier. Soit qu’ils n’ont pas d’importance pour deux jeunes enfants par les yeux desquels nous voyons ce qui est, et seulement ce qui est ; soit qu’un nom ne soit pas suffisant pour exprimer l’essence d’un élément d’une histoire, d’une vie, un lieu. On ne connaîtra pas le prénom des deux jumeaux de tout l’ouvrage contrairement à ce qu’annonce la quatrième de couv. C’est bien plus tard que l’on apprendra que les deux enfants s’appellent Claus et Lucas. On ne se nomme jamais soit même, et l’on ne peut se voir et se décrire dans un récit qui ne concerne que ce qui nous entoure et ce que nous faisons.

    La narration se fait donc par le biais d’un nous in-scindable : c’est apparemment le principe de pensée de ces deux jumeaux qui ne font qu’un et se complètent dans tout ce qu’ils peuvent entreprendre, que ce soit le travail qu’ils accomplissent durement pour aider leur grand-mère dès leur arrivée, même si elle les appelle « fils de chienne », ou bien lorsqu’ils volent, ou encore défendent une petite voisine qui se fait attaquer. Ils écrivent ensemble ce qu’ils vivent, dans un Grand Cahier pour l’écriture duquel ils se sont fixés des règles :

    Pour décider si c’est « Bien » ou « Pas Bien », nous avons une règle très simple : la composition doit être vraie. Nous devons décrire ce qui est, ce que nous voyons, ce que nous entendons, ce que nous faisons.

    Plus loin :

    Il est interdit d’écrire : « La Petite Ville est belle », car la Petite Ville peut être belle pour nous et laide pour quelqu’un d’autre.

    Cette règle étant établie par les narrateurs, le récit se dégage de toute tentative émotionnelle. Ce cahier des charges narratif n’est autre qu’une mise en abîme des propres souhaits d’Agota Kristof : Le Grand Cahier, pourrait être interprété comme un simple exercice de style si seulement on oubliait tout ce qu’il contient de cruauté, de tragique, et de crudité. Les jumeaux ne montrent aucune émotion parce qu’ils doivent « décrire ce qui est ». Soit.

    Charge au lecteur de ressentir tout ce que le livre laisse passer. Charge au lecteur de suivre pas à pas, méthodiquement, ce qu’est la vie de deux jeunes garçons dans un pays en guerre en encaissant chaque fois davantage de chocs. C’est un incroyable roman qui s’acharne à laisser travailler les sens du lecteur, à ne lui laisser que ce dont il pourrait être témoin, sans donner les clés des coulisses, sans ouvrir inutilement la porte des pensées du/des narrateurs.

    Tantôt assassins, tantôt sauveurs, tantôt menteurs pour un bien, menteurs pour un mal : toutes les actions des jumeaux sont arbitraires et ne seront pas expliquées dans ce tome, car la moindre explication ferait appel à la raison, la déraison, qu’importe ! Une once de sentiment d’emblée bannie du récit.

    Jusqu’à l’ultime chapitre où l’impossible arrive, on saura tout des deux garçons et ils resteront un mystère à part entière. Qui sont-ils vraiment pour résister à toute empathie ? Pour s’entraîner à souffrir ? Pour s’entraîner, en somme, à ne jamais rien ressentir ? Pourquoi cet ultime affront qu’ils s’infligent l’un à l’autre en laissant en nous une déchirure si profonde, si incompréhensible ? Enfin, comment Agota Kristof a-t-elle réussi à faire en sorte qu’on s’attache à ces deux monstres ?"

     http://www.pariscilaculture.fr/






    LE FILS EMPRUNTÉ, roman, polar de Jacques SAVOIE, 2013, 328 pages

    25/08/2014 15:36

    LE FILS EMPRUNTÉ, roman, polar de Jacques SAVOIE, 2013, 328 pages


     

    SAVOIE Jacques

    LE FILS EMPRUNTÉ, roman, polar, une enquête de Jérôme Marceau, Libre Expression, 2013, 328 pages

    Un bon roman du genre enquête policière à la québécoise. Le commissaire Jérôme Marceau est un noir d'origine Haïtienne qui est maintenant à la tête des homicides. C'est un enquêteur du genre spontané, intuitif, instinctif qui garde pour lui des éléments d'enquête jusqu'au moment où il juge qu'il sûr et certain de sa démarche alors seulement il fait appel à des collègues de confiance.

    Un roman qui nous en apprend beaucoup sur le vaudou, la participation des gouvernants haïtiens sur la contrebande de la cocaïne à Miami, U.S.A., qui transite de la Colombie à Port-au Prince avec la complicité du régime au pouvoir.     

    Marceau est prénommé l'Aileron car il a un bras handicapé qui a la forme d'une aileron de requin. Marceau est un homme déterminé, maître de lui-même et insensible aux émotions de son entourage.

    Un bon roman qui nous fait découvrir un monde souterrain de Montréal inconnu et un auteur à découvrir.   

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

    Pour en savoir davantage:

    " La vengeance est au cour de cette enquête policière complexe, intense et humaine.


    Jérôme Marceau est maintenant à la tête des homicides, et le quarante-sixième meurtre de l'année vient d'être commis sur le territoire du SPVM. Dans un hangar souterrain jouxtant le tunnel ferroviaire sous le mont Royal, un amas de cendres et des cerceaux d'acier ont été retrouvés. Seraient-ce les traces d'un suicide ? Jérôme croit qu'il s'agirait plutôt du supplice du collier, une sorte de vengeance populaire qui consiste à passer un pneu autour du cou de la victime, à y verser de l'essence et à y mettre le feu. À part les quelques dents retrouvées, Jérôme a bien peu d'arguments à offrir pour défendre sa thèse. Ce qui ne l'empêche pas de s'obstiner.

    Sur le plan personnel, Jérôme traverse une période difficile. Après la disparition de sa mère, il a comblé le vide en se rapprochant de Gabriel Lefebvre, le jeune homme tourmenté qu'il avait rencontré au cours de sa précédente enquête.

    L'opiniâtreté de Jérôme Marceau à poursuivre ses recherches ainsi que la mission qu'il s'est donnée de neutraliser les élans de violence de Gabriel finissent par se confondre. Cette situation réveillera en Jérôme une soif de représailles aussi vive que celle de son « fils emprunté »

    www.renaud-bray.com


    Norbert Spehner
    La Presse

    Après le suicide de sa patronne impliquée dans un scandale (Une mort honorable), Jérôme Marceau est devenu le patron du Bureau des Homicides, une nomination qui ne fait pas que des heureux.

    À peine en poste, il doit enquêter sur un meurtre pour le moins horrible : la victime a subi le supplice du collier. On lui a mis un pneu rempli d'essence autour du cou et on y a mis le feu.

    Ainsi débute Le fils emprunté, troisième polar de Jacques Savoie mettant en scène son flic métis, au bras atrophié et que plus personne n'ose appeler «Aileron» depuis qu'il est le chef. Marceau soupçonne d'abord certains membres de la communauté sud-africaine d'être à l'origine du meurtre. Mais quand une deuxième victime est tuée dans des conditions similaires, ses recherches se tournent plutôt vers la communauté haïtienne où une guerre de clans oppose certains adeptes du vaudou.

    Jérôme Marceau est loin de se douter de ce qu'il découvrira dans cette affaire riche en rebondissements et qu'il mènera à terme malgré une vie personnelle tourmentée. Un des bons crus québécois de l'année. www.lapresse.ca






    LES HÉRITIERS DU FLEUVE, tome 2/4, de Louise TREMBLAY-D'ESSIAMBRE, 2013, 349 pages

    26/08/2014 20:01

    LES HÉRITIERS DU FLEUVE, tome 2/4, de Louise TREMBLAY-D'ESSIAMBRE, 2013, 349 pages


    D'ESSIAMBRE, Louise TREMBLAY

    LES HÉRITIERS DU FLEUVE, tome 2/4, 1898-1914, Guy Saint-Jean, 2013, 349 pages

    Ce nouveau tome de l’irrésistible saga Les Héritiers du fleuve nous transporte dans un monde de vents et de marées, d’émotions et d’intimité comme seule Louise Tremblay-D’Essiambre sait en créer.

    Le compte-rendu par la collaboratrice littéraire Lucienne Couture

    Nous voici à l’aube d’un siècle nouveau, témoins d’une ère où modernité et tradition s’affrontent. Tandis qu’Alexandrine et Clovis tentent de se remettre d’un deuil épouvantable, Albert et Victoire vivront l’envers de la tragédie qui frappe Emma, Matthieu et leurs enfants. De leur côté, James et Lysbeth doivent affronter la peur et la maladie, alors même qu’un amour impossible se transforme en une amitié sincère et salvatrice.

    Drames, joies, infortunes et espoirs fous ponctuent les jours de ces gens d’une autre époque, mais qui pourtant nous ressemblent. Comment parviendront-ils à s’accrocher à leur bonheur fragile ? Où trouveront-ils la force de surmonter les épreuves qui les guettent ?

    Emma avec sa grossesse risquée, elle  est prise pour demeurer au lit  jusqu’à l’accouchement.

    Lionel retourne au Collège et s’inquiet pour sa mère. Sa mère lui a remis une lettre que Lionel pourra lire plus tard car Emma a donnée sa fille Béatrice à Victoire. Lionel s’enfuit à Montréal pour aller visiter James O’Connor. La fille d’Alexandrine désire devenir religieuse et cela cause  toute une émotion à sa mère. Albert est obligé de vendre la forge qui va l’acheter ? Lionel est devenu médecin ou prêtre, pour le savoir il faut lire la saga historique.

    La belle pâtissière Victoire devient enceinte à 51 ans, qui est le père ? à suivre…

    « Le bruit des sabots sur la terre durcie de la cour se perdit peu à peu au bout du sentier, puis au bout du rang, et bientôt, seule la voix de Mamie qui fredonnait à la cuisine apporta une petite note de vie en s’associant au croassement des corneilles. Haut perchées dans les arbres, elles annonçaient à plein bec les froidures à venir. »

    www. http://info-culture.biz/






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