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TU ME MANQUES, roman polar**** de Harlan COBEN, 2015, 410 pages
23/04/2015 21:39
COBEN Harlan
TE ME MANQUES,roman, polar, BELFOND NOIR,2015, 410 pages
Un roman du genre polar, enquête policière, fracassant, essouflant, un halètement sans fin, du début à la fin en apnée. HALAN COBEN dans un style déconcertant nous prend en otage, nous rend témoin et complice d'un drame qui comprime depuis dix-huit ans et fermente dans l'âme de la policière Kat DONOVAN.
Un auteur auteur à suivre de près pour la qualité de son écriture et de ses romans audacieux.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
" Une seule personne suffit pour changer ta vie: TOI"
" Les imbéciles sont ceux qui se cramponnent à leurs certitudes."
" JEFF. En réponse à son subtil /Advienne que pourra/ elle lui balançait /Tu me manques/.Elle effaça, remplaça par : Tu me manques pas du tout, une plaisanterie récurrente entre JEFF et KAT "
"Jeff ne se souvenait pas d'elle sur son portable, ne la reconnaissait pas, son visage ne lui évoquait aucun souvenir."
" C'était un plan parfait à tout point de vue. On dégote des filles déjà malmenées par la vie, en cavale, peut-être même victimes d'abus sexuels. Des gazelles blessées, quoi. On les brutalise. On leur fait peur. On les rend accros à l'héroïne...
TITUS surgit pour les sauver."
POUR EN SAVOIR DAVANTAGE:
« Coben, tout simplement l'un des plus grands auteurs de tous les temps. »
Gillian Flynn, auteur des Apparences.
" Dix-huit ans que Kat a perdu son père, flic abattu dans une rue de New York. Et que son petit ami, Jeff, l'a quittée sans explication.
Aujourd'hui, Kat est flic à son tour. Toujours célibataire.
Sa meilleure amie l'inscrit sur un site de rencontres. Là, un visage. Le sien. Jeff, son premier amour.
Un contact. Froid. Étrange.
Le doute s'installe. Qui est-il ?
Et puis, cet adolescent aux révélations troublantes.
Pour Kat, c'est le début de l'enquête la plus effroyable, la plus sordide, la plus risquée de sa carrière.
Des femmes piégées sur le net ; un tueur sadique en liberté ; des événements sanglants déterrés du passé.
Les mensonges qui nous lient peuvent-ils aussi nous tuer ? Machiavélique, obsédant, terrifiant, le nouveau séisme du maître de vos nuits blanches."
http://www.belfond.fr/site/tu_me_manques
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VIOLENCE À L'ORIGINE, tome 4/4, roman polar, Québec, de Martin MICHAUD, GOÉLETTE, 2014, 442 pages
28/04/2015 16:44
MICHAUD Martin
VIOLENCE À L'ORIGINE, tome 4/4, 2014, Éd. Goélettes, 442 pages
"Postface: Ce roman marque la fin d'un cycle: plusieurs sous-intrigues laissées à dessein en suspens dans les premiers tomes de la série trouvent leur résolution dans VIOLENCE À L'ORIGINE. Et d'une façon ou d'une autre, VICTOR LESSARD continuera de cheminer....Par ailleurs, même si j'ai pris quelques libertés ici et là, ce roman s'appuie, dans une trop large mesure hélas, sur une réalité tangible. Le TRAFIC HUMAIN est un fléau auquel la ville de MONTRÉAL n'échappe pas."
Un roman très réussi de l'auteur qui nous entraîne dans une enquête qui suscite émotion et colère d'un bout à l'autre de ce roman audacieux par son personnage inflexible qu'est VICTOR LESSARD.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
" Il n'y a pas d'émotion plus pure, plus vraie que la peur. On ne peut la confondre avec aucun autre état."
"Celui des individus qui ont cessé de combattre leurs pulsions primales."
Mais il y a surtout cette pièce sombre enfouie au plus profond de chacun de nous , dans les entrailles de notre conscience, l'endroit où nous enfermons à double tour tous ces accommodements, ces mensonges et ces demis-vérités."
" Cessez de croire que vos actes vous refoulent hors de l'humanité...Vous ne pouvez échapper à votre nature profonde.Certains d'entre nous doivent tuer pour survivre."
"Les morts n'avaient plus de voix, alors VICTOR leur prêtait la sienne, jusqu'à ce que les coupables soient derrière les barreaux."
" Le libre arbitre n'est possible que si vous avez été en mesure de dominer votre inconscient."
Pour en savoir davantage:
"Responsable de la section des crimes majeurs en l'absence de son supérieur, le sergent-détective Victor Lessard se voit confier la mission d'enquêter sur la mort d'un haut gradé du SPVM dont on a retrouvé la tête dans un conteneur à déchets. Formé du jeune Loïc Blouin-Dubois, de l'inimitable Jacinthe Taillon et de Nadja Fernandez, avec qui Victor partage sa vie, le groupe d'enquête qu'il dirige doit faire vite, car l'assassin a laissé un message qui annonce de nouvelles victimes.
Confronté à un tueur particulièrement retors, qui peint de lugubres graffitis sur le lieu de ses meurtres et évoque un curieux personnage surnommé le « père Noël », pressé d'obtenir des résultats rapides par sa hiérarchie sans pour autant recevoir l'appui nécessaire, Victor Lessard s'entête envers et contre tout à résoudre « l'affaire du Graffiteur », dédale inextricable d'une noirceur absolue qui ravivera les meurtrissures de son âme, ébranlera ses convictions les plus profondes et le mènera au bord du gouffre. Peut-on vouloir le mal pour faire le bien ?"
http://www.archambault.ca/michaud-martin-violence-a-lorigine
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REBECCA, roman de Daphné DU MAURIER, Albin Michel, 1939, 349 pages
04/05/2015 23:16
DU MAURIER Daphné
REBECCA, roman, Albin Michel, 1939, 349 pages
Un roman bien mené, d'une écriture conventionnelle, classique. Le sujet est émouvant, touchant, écrit comme un récit d'époque qui coule et nous entraîne dans son courant telle une vague de la MANCHE,en ANGLETERRE.
L'écriture me semble celle du début de l'époque moderne par les installations et les usages du confort du vingtième siècle: électricité, le robinet de la baignoire,clinique, catalogues, auto Torpedo, de raisins noirs tout frais cueillis dans la serre, le château avec téléphone, les femmes en robe légère.
Un roman, une histoire touchante qui nous porte à continuer mais tout de même une histoire de bourgeois.
Gilles Lagrois.Auclair.Québec
www.livresentete.vip-blog.com
" Le démon ne nous tourmente plus. Certes, nous ne sommes pas sortis de la crise sans dommage; et je puis dire que nous avons payé notre libération.
Mais j'en ai assez du mélodrame pour cette vie. Le bonheur n'est pas un objet à posséder, c'est une qualité de pensée, un état d'âme."
" L'ennui vaut mieux que la peur."
" Elle me compare à REBECCA: et, aiguë comme une lame, l'ombre surgit entre nous...."
" C'est MAX DE WINTER. Le propriétaire de MANDERLEY. IL PARAÎT QU'IL NE SE CONSOLE PAS DE LA MORT DE SA FEMME."
" ...m'asseoir à côté de Mrs.Van Hopper, tandis que semblable à une grosse araignée, elle tissereait son filet d'ennui autour de l'étranger."
" UNE MAISON VIDE PEUT ÊTRE AUSSI SOLITAIRE QU'UN HOTEL REMPLI. LE MAL, C'EST QU'ELLE EST MOINS IMPERSONNELLE."
" Mon soulagement à l'entrée de Maxime était gâté par la crainte d'une insdiscrétion et je redevenais muette, un sourire stéréotypé sur mes lèvres.
COMME ELLE EST DIFÉRENTE DE REBECCA!
Pour en savoir davantage:
RÉSUMÉ
« J’ai rêvé l’autre nuit que je retournais à Manderley » : ainsi débute le plus célèbre roman de Daphné du Maurier, qu’Alfred Hitchcock adapta en 1940 et qui n’a rien perdu de son charme vénéneux. Dans une somptueuse propriété de la côte anglaise, qu’hante le souvenir d’une première épouse disparue, une jeune mariée intimidée, un veuf taciturne, une gouvernante vêtue de noir s’observent dans un huis clos étouffant… Entre conte gothique et suspense psychologique, Rebecca entremêle les passions et les haines, les silences et les menaces, avec en bruit de fond le ressac de la mer sur les galets de la crique…http://www.livredepoche.com/rebecca-daphne-maurier-
Résumé :
Sur Manderley, superbe demeure de l'ouest de l'Angleterre, aux atours victoriens, planent l'angoisse, le doute : la nouvelle épouse de Maximilien de Winter, frêle et innocente jeune femme, réussira-t-elle à se substituer à l'ancienne madame de Winter, morte noyée quelque temps auparavant ? Daphné du Maurier plonge chaque page de son roman - popularisé par le film d'Hitchcock, tourné en 1940, avec Laurence Olivier et Joan Fontaine - dans une ambiance insoutenable, filigranée par un suspense admirablement distillé, touche après touche, comme pour mieux conserver à chaque nouvelle scène son rythme haletant, pour ne pas dire sa cadence infernale. Un récit d'une étrange rivalité entre une vivante - la nouvelle madame de Winter - et le fantôme d'une défunte, qui hante Maximilien, exerçant sur lui une psychose, dont un analyste aurait bien du mal à dessiner les contours avec certitude. Du grand art que l'écriture de Daphné du Maurier, qui signe là un véritable chef-d'oeuvre de la littérature du XXe siècle, mi-roman policier, mi-drame psychologique familial bourgeois.
http://www.babelio.com/livres/Du-Maurier-Rebecca
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JOURNAL D'UN VIEUX FOU de Junichirô TANIZAKI, 1998, 214 pages
07/05/2015 03:07
TANIZAKI Junichiro
JOURNAL D'UN VIEUX FOU, Folio, Gallimard, 1998, 214 pages
Roman, du genre récit, d'une partie importante de la vie personnelle et intime d'un vieil homme Japonais, âgé de soixante et seize ans.
Le narrateur est Monsieur TOKUSUKE, né en 1883, nous sommes en 1959. JÔKICHI est son fils, SATSUKO, la femme de son fils, KEISUKE, l'enfant du couple, KUGAKO,sa fille. La mère de famille, l'épouse de TOKUSUKE partage la maison familiale avec leurs enfants.
Le personnage touchant d'un vieillard qui essaie de vivre des moments de tendresse, de passion, d'émotion refoulée malgré son âge avancé. Un roman qui témoigne d'un genre de vie au JAPON dont nous connaissons peu de leur mode de vie. Un auteur à l'écriture souple ancrée dans la tradition et culture japonaise. Un roman et un auteur à découvrir pour apprivoiser le JAPON.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog. com
" Quand elle veut tromper son monde, elle possède la dignité d'une grande Dame sous tous ses rapports.Ses paroles, ses gestes sont vifs et avisés, elle est à la fois très intelligente, chaleureuse et charmeuse, et elle sait entretenir les meilleures relations avec tous."
Pour en savoir davantage:
Résumé de l’histoire
Dans ce roman, qui se présente sous la forme d‘un journal intime, nous suivons les pensées, les faits et les gestes d’un vieil homme d’environ 70 ans.
Ce vieillard s’éprend de sa belle-fille, Satsuko, qui est une ancienne danseuse de music-hall à la morale assez libre. Cette passion que voue le vieil homme à Satsuko le rend peu à peu dépendant de sa belle-fille. Celle-ci, consciente des sentiments que lui porte son beau-père, décide de profiter habilement de la situation. En effet, elle n’hésite pas à lui réclamer un bijou d’une grande valeur au détriment de l’entourage du vieillard. Ainsi, elle réussit avec beaucoup d’intelligence à lui arracher des libertés extravagantes qui dès lors lui permettent de mener une vie luxueuse.
En échange de ces « cadeaux », Satsuko accorde à son beau-père des privautés limitées : un baiser, une caresse… Ces privilèges font monter l’excitation du vieil homme et contribuent à aggraver la santé, déjà fragile, du vieillard.
Cette passion aveugle pour sa belle-fille conduit peu à peu le septuagénaire vers la folie…
ésumé de l’histoire
Dans ce roman, qui se présente sous la forme d‘un journal intime, nous suivons les pensées, les faits et les gestes d’un vieil homme d’environ 70 ans.
Ce vieillard s’éprend de sa belle-fille, Satsuko, qui est une ancienne danseuse de music-hall à la morale assez libre. Cette passion que voue le vieil homme à Satsuko le rend peu à peu dépendant de sa belle-fille. Celle-ci, consciente des sentiments que lui porte son beau-père, décide de profiter habilement de la situation. En effet, elle n’hésite pas à lui réclamer un bijou d’une grande valeur au détriment de l’entourage du vieillard. Ainsi, elle réussit avec beaucoup d’intelligence à lui arracher des libertés extravagantes qui dès lors lui permettent de mener une vie luxueuse.
En échange de ces « cadeaux », Satsuko accorde à son beau-père des privautés limitées : un baiser, une caresse… Ces privilèges font monter l’excitation du vieil homme et contribuent à aggraver la santé, déjà fragile, du vieillard.
Cette passion aveugle pour sa belle-fille conduit peu à peu le septuagénaire vers la folie…
http://littexpress.over-blog.net/
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L'HOMME QUI MENT, récit de Marc LAVOINE, Fayard, 2015, 189 pages
08/05/2015 16:44
LAVOINE Marc
L'HOMME QUI MENT, récit, Fayard, 2015, 189 pages
L'auteur, dans le récit de leur vie familiale s'adresse directement à son père LULU comme dans un dialogue fils-père intermittent. Il se remémore, tel un condident, la vie de débauche de son père: les femmes et l'alccol jouent des rôles importants dans la vie active de son père. Son père, cet homme vaillant,SPONTANÉ, téméraire, pas toujours facile à vivre. Mais un PÈRE QU'IL AIMAIT.
Un récit touchant, un auteur qui dévoile des secrets de famille, un besoin urgent de se confier. Un auteur à découvrir pour la qualité de son écriture authentique, franche. Il écrit comme il a vécu, intensément.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
" Tu nous intriguais et tu nous parlais de la vie à grande échelle, pas celle du quotidien, celles des grandes décisions qui allaient se prendre, celles des grands combats qu'il faudrait mener pour en finir avec la DROITE. Tu nous racontais ta vie, elle se confondait avec l'histoire du pays et du monde."
" Te voilà en kaki sous les drapeaux, dans un pays, un Algérie, auquel tu ne veux aucun mal, et tu te retrouves infirmier,"
"...tu es en colère, mais au fond de toi tu gardes espoir, tu crois en l'humanité. Ta barbe pousse et tes idées font leur chemin. On t'appelle le BARBU. "
" Tu ne comprends pas cette guerre, elle est contre nature et ne génère que souffrance."
" Tu déteste DE GAULLE et l'empire colonial."
"Tout le monde picolait, tout le monde couchait, trompait. Une comédie. J'étais perdu."
" ..oubliant l'homme, le père de famille qu'il était. Cette relation faisait écran total."
"Peu importe, il aura une médaille posthume, celle du parfait salaud."
Pour en savoir davantage:
Résumé :
Communiste et charmeur, cégétiste et volage : tel était Lulu, mon père. Menteur aussi, un peu, beaucoup, passionnément, pour couvrir ses frasques, mais aussi pour rendre la vie plus belle et inattendue.
Lulu avait toujours une grève à organiser ou des affiches à placarder. La nuit venue, il nous embrigadait, ma mère, mon frère et moi, et nous l’aurions suivi au bout du monde en trimballant nos seaux de colle et nos pinceaux. Il nous faisait partager ses rêves, nous étions unis, nous étions heureux.
Evidemment, un jour, les lendemains qui chantent se sont réduits à l’achat d’une nouvelle voiture, et Che Guevara a fini imprimé sur un tee-shirt.
Le clan allait-il survivre à l’érosion de son idéal et aux aventures amoureuses que Lulu avait de plus en plus de mal à cacher ? Collègues, voisines, amies ; brunes, blondes, rousses : ses goûts étaient éclectiques. Lulu était très ouvert d’esprit.
Sans nous en rendre compte, nous avions dansé sur un volcan. L’éruption était inévitable.
L'éditeur.
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