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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES
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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

  • 976 articles publiés
  • 123 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TÉMISCOUATA, QUÉBEC
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    PARCE QUE JE T'AIME, roman de Guillaume MUSSO. 2007,296 pages

    22/07/2015 00:02

    PARCE QUE JE T'AIME, roman de Guillaume MUSSO. 2007,296 pages


    MUSSO Guillaume

    PARCE QUE JE T'AIME , roman, 2007, 296 pages

     Musso a le don de mélanger la réalité et le fantastique pour mieux nous faire comprendre et vivre ce qui nous arrive. Rien n'est jamais définitif. Il suffit seulement parfois d'y croire. Imagine, crois en toi. Donne-toi une chance, ouvre ton coeur et libère tes pensées positives. Crois en la vie et la vie croira en toi.

    Gilles Lagrois,Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

     

    "Cette douleur, je ne veux pas la surmonter, car c'est la seule chose qui me retient en vie. C'est tout ce qui me reste d'elle, tu comprends."

    "Connor. Ce soir, il sentait en lui sa vieille pulsion autodestructrice refaire surface."

    "Parfois, les choses arrivent simplement parce que c'est l'heure."

    "COMME AVANT.Avant que MARK ne perde sa fille.Avant qu'ALYSON n'écrase LAYLA.  Avant qu'EVIE ne perde sa mère. C'est tellement étrange d'avoir remonté le temps et de revoir le VIEUX NEW YORK."

    " Ils avaient affronté leurs démons, revivant mentalement les moments décisifs de leur existence, essayant tous les trois de prendre du recul sur leur parcours...pour se préparer à...la MORT."

    "Une sorte de jeu de rôle thérapeutique  imaginé par CONNOR  pour soigner les trois personnes."

    " Le corps "débranché", l'esprit connecté à une sorte de réalité virtuelle."

    "Parfois, la réussite d'une vie tenait à pas grand-chose: une rencontre, une décision, une chance, un fil..."

     

    Pour en savoir davantage:

                                              "Layla cinq ans disparaît, ce qui provoque la séparation de ses parents. Cinq ans plus tard elle est retrouvée au même endroit. Qui l'a enlevée ? Elle sait lire, qui lui a appris ? A t-elle été maltraitée ?
    Dès les premières lignes, Musso nous transporte dans l'histoire. On veut tellement savoir ce qui s'est passé qu'on n'arrive pas à lâcher le livre des mains.
    On suit la vie de trois personnes à qui il leur est arrivé des choses qui les ont rendus malheureux. Mark, le père qui a perdu sa fille, Evie une jeune fille de 15 ans qui est dans la rue qui veut se venger d'une personne. de qui et pourquoi ? Et Alyson 26 ans qui a perdu son père et qui fait la une de la presse à scandale. Il y a cinq, elle a fait une chose terrible qui la hante jusqu'à aujourd'hui. Et on va découvrir qu'ils ont un point en commun.
    On file l'histoire, on découvre les flashbacks des trois personnes, pour comprendre ce qu'il leur est arrivé. Avec les flashbacks de Mark, on va découvrir de Connor son meilleur ami depuis l'enfance. Connor est lié à tout ça puisque qu'il connaît aussi Evie et Alyson. Après cinq ans, quand Layla est retrouvée, sa mère ne veut pas la voir maintenant. Pourquoi ?
    Mark avec Layla, Evie et Alyson vont se retrouver dans le même avion, mais ce voyage va changer la vie à tous."

    http://www.babelio.com/livres/Musso-Parce-que-je-taime






    ÇA, roman, genre thriller, angoisse de STEPHEN KING, 1988, 799 pages

    31/07/2015 22:15

    ÇA, roman, genre thriller, angoisse de STEPHEN KING, 1988, 799 pages


     

    KING Stephen

    ÇA, roman, thriller, tome 1, Albin Michel. 1988, 799 pages

     ÇA est un roman du genre thriller, grand frissons écrit dans un style flamboyant par un maître incontestable dans le genre horreur, STEPHEN KING.

     

    1957 " ÇA,  qui était accroupi, prêt à bondir, une créature prête à manger ...de petits garçons."

    " Un clown se tenait dans l'égoût..comme dans un cirque, ou à la télé. Un mélange de Bozo et Clarabelle.M. BOB GRAY connu sous le nom  de GRIPPE-SOU,le clown cabriolant"

    "D'un seul coup de patte griffue, sa raison avait été détruite. DAVE GARDENER ..ne vit qu'un petit garçon en ciré jaune qui hurlait et se tordait dans le caniveau.""

    "Le type en tenue de clown. Celui avec les  ballons."

    "La mort de son frère GEORGE. C'est tellement énorme et tellement horrible."

    "...une telle peur qu'à la fin de l'histoire quand quelque chose venue des ténèbres jaillit des boiseries pour venir prendre des forces en vous dévorant, bien sûr."

    "Les faire, revenir, le leur montrer..oui. cela pourrait tuer l'un d'entre eux. Ou même tous."

    "Un diable avec les yeux aussi brillants que de vieilles pièces de monnaie. Un vieux diable hirsute, la bouche pleine de dents sanguignolentes.

    Six enfants morts en 1957 et neuf enfants morts mutilés vingt-sept ans plus tard, en 1984. Des meurtres restés sans solution.

     

    Gilles Lagrrois, Auclair, Québec

    www.livresentet.vip-blog.com

     

    Pour en savoir davantage:

                                             Résumé du livre


    "Dans la petite ville de Derry, de tragiques événements semblent se répéter dans le temps : Meurtres d’enfants, disparitions, incendies... Soudainement, après avoir cessé pendant des années, ces événements recommencent et de enfants sont tués ou enlevés. Mike Hanlon, le bibliothécaire, téléphone à ses amis d’enfance, leur rappelant la promesse qui les liait. Il les appelle pour de nouveau combattre Ça, créature démoniaque, se métamorphosant tantôt en Clown haineux, en oiseau ou encore en monstre de cauchemar. Il y a 30 ans, Ça a tué le jeune frère de l’un d’entre-eux. Ils pensaient s’en être débarrassés, ils vont devoir recommencer à lutter. Sauf que cette fois-ci, ils sont adultes, et cela joue en leur défaveur..."

    http://www.stephenking999.com/

     

    Résumé :

    Tout avait commencé juste avant les vacances d'été quand le petit Browers avait gravé ses initiales au couteau sur le ventre de son copain Ben Hascom.

    Tout s'était terminé deux mois plus tard dans les égouts par la poursuite infernale d'une créature étrange, incarnation même du mal. Mais aujourd'hui tout recommence. Les enfants terrorisés sont devenus des adultes. Le présent retrouve le passé, le destin reprend ses droits, l'horreur resurgit.

    Chacun retrouvera dans ce roman à la construction saisissante ses propres souvenirs, ses angoisses et ses terreurs d'enfant, la peur de grandir dans un monde de violence.

     

    " Encore un magistral Stephen King. Toutes les formes de peur passent dans ce roman.
    "Ça" extrait tout ce qui fait peur à ceux qui l'affrontent et ils sont terrifiés (nous aussi).
    Le roman est aussi une peinture sans complaisance, sans masque d'une Amérique moyenne, raciste, homophobe, lâche. La violence d'un monde enfantin, dont les brutalités passent sous le radar des adultes indifférents, m'a frappé
    La trame est très bien construite : dans une sorte de spirale, les personnages adultes, puis enfants, puis adultes ... se rapprochent de nouveau de "Ça". Car ce qui est arrivé lors de l'enfance se dévoile au fur et à mesure. Les adultes redécouvrent leur enfance.
    La grande force du roman est d'être celui d'une profonde amitié qui traverse les années, voir les décennies."

    "Peut-être que ces histoires de bons et mauvais amis, cela n'existe pas ; peut-être n'y a-t-il que des amis, un point c'est tout, c'est-à-dire des gens qui sont à vos côtés quand ça va mal et qui vous aident à ne pas vous sentir trop seul. Peut-être vaut-il toujours la peine d'avoir peur pour eux, d'espérer pour eux, de vivre pour eux. Peut-être aussi vaut-il la peine de mourir pour eux, s'il faut en venir là. Bons amis, mauvais amis, non. Rien que des personnes avec lesquelles on a envie de se trouver ; des personnes qui bâtissent leur demeure dans votre coeur." 
    Cette amitié est le rayon de lumière de cette histoire, car il y a dans cette ville de Derry une très grande place occupée par la haine."

    www.babelio.com






    TIREZ SUR LE CAVISTE, Éditions La Branche, 2007, 78 pages

    01/08/2015 16:10

    TIREZ SUR LE CAVISTE, Éditions La Branche, 2007, 78 pages


    PELLETIER Chantal

     TIREZ SUR LE CAVISTE, Éditions La Branche, 2007, 78 pages

     TIREZ SUR LE CAVISTE est un livre du genre conte pour adultes, moralisateur avec humour, sans méchanceté, sans hargne, juste une réalité moralisante, un fait qui passe inaperçu, qui nous échappe facilement. Un monde éclaté mais discret qui porte la devise: TEL EST PRIS QUI VOULAIT PRENDRE. Un délice, un dessert bien mérite pour lecteur affligé.

     

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

     

    "Le céleri rémoulade était dégueulasse, et ma femme vraiment trop mauvaise cuisinière, je n'en pouvais plus, j'ai tiré. elle est tombée, net, sans crier..."

    "VIVIANE et moi, on jouait les prolongations depuis un bon moment, sans aucun espoir de marquer un penalty."

    "Désormais, VIVIANE n'aurait plus ni regret ni ennui, c'était bien mieux comme ça."

    "Bien reposé, j'aurais tout mon temps le lendemain matin aux aurores pour rendre un dernier hommage à ma femme et décidai de lui laisser une dernière nuit tranquille.

    CIAO, BELLA."

    "...pour souhaiter bon anniversaire à JÉSUS, auquel plus grand monde ne croyait, crise de foie pour crise de foi, ça coûte surtout en électricité."

     

    Pour en savoir davantage:

                                             ""Le céleri rémoulade était dégueulasse et ma femme vraiment
    trop mauvaise cuisinière. Je n'en pouvais plus, j'ai tiré"...
    Du bon côté du flingue, il y a "le patron", gros viticulteur bourguignon,
    la cinquantaine bien sonnée. Il lui reste deux passions dans la vie :
    son rouge maison et les nourritures terrestres qui vont avec.
    Sur ce dernier point, monsieur est particulièrement pointilleux;
    d'où son geste tardif, regrettable mais assumé.
    Viviane prend le chemin d'une cuve de macération.
    Officiellement, elle est partie au Rwanda s'occuper d'un orphelinat.
    Et le patron commence à se nourrir au resto du coin.
    Ça va cinq minute.

    Heureusement ou pas, il croise Aline, une paumée moitié SDF,
    qui a le bon goût d'être excellente cuisinière.
    Les voilà qui cohabitent, en tout bien tout honneur.
    Car mademoiselle est lesbienne et le patron pas porté sur la gaudriole.
    Tout est pour le mieux... jusqu'au artichauts à la barigoule. Ratés.
    Les feuilles noircies, pas les bons champignons et en plus sans lard fumé.
    Fureur de monsieur, qui sort son feu pour la deuxième fois en un mois.
    Pas de chance. Car Aline est bonne cuisinière mais aussi une bonne tueuse,
    et pas seulement de volaille ou de gibier." chantalpelletier.free.fr






    CASIMIR MÈNE LA GRANDE VIE, roman de Jean D'ORMESSON, 1997, 201 pages

    03/08/2015 00:00

    CASIMIR MÈNE LA GRANDE VIE, roman de Jean D'ORMESSON, 1997, 201 pages


     

    D'ORMESSON Jean

    CASIMIR MÈNE LA GRANDE VIE, roman, Gallimard, 1997, 201 pages

     Un roman éblouissant autant par le style que par l'histoire formidable du GROUPE. Ce roman a comme sujet principal, l'ALTRUISME, qui est un élément important dans la vie de l'auteur.l'acceptation de l'autre, des différences. JE SUIS QUI JE SUIS.

     Ce roman nous entraîne ailleurs. dans le passé de notre civilisation, dans d'autres époques de l'humanité, d'autres siècles.d'autres continents.

    L'auteur imagine un GROUPE qui a comme but premier de rendre service aux humains dans le besoin, de vivre autrement en ignorant le pouvoir, la violence, l'argent.

    L'important, l'objectif  est d'améliorer le sort des humains, des êtres dans le besoin, de régler les conflits sans violence, sans éclat, sans soumission,

    L'imagination joue un rôle capital dans la résolution des problèmes. Résoudre l'obstacle, la difficulté autrement qu'en éliminant la confrontation par l'imagination, la subtilité, la plaisanterie, LE PLAISIR.

    Une fable pour adultes qui nous fait comprendre que nous pouvons régler les conflits sans éliminer  l'indésirable.

    Un grand roman, un auteur de talent par son écriture et sa vison de l'humain.

     

    Gilles Lagrois, Auclair. Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

     

    "L'irascible vieillard faisait de son mieux pour m'aider. Il croyait se rappeler que les jeunes gens ont à faire des études."

    "Mon grand-père appartient à une famille très ancienne. Une famille qui traverse les siècles, les régimes, les guerres, les révolutions."

    "Des jours entiers et des nuits, mon grand-père me racontait la famille.L'histoire était remontée comme une horlogerie suisse."

    "Mon grand-père aimait le passé. Moi..le préférais les filles, et les baiser.Je venais d'avoir seize ans. "

    "Ce que je voulais faire ? Rien du tout, tête de lard. Mon avenir me faisait horreur."

    " Mes parents s'étaient tués ensemble, en voiture. J'étais derrière, dans la voiture, attaché à mon siège. J'avais huit mois."

    "La psychologie m'assommait, la logique m'assommait, la morale m'assommait."

    "Mon grand-père c'était la fureur contre son temps. La vertu d'indignation. Tout l'indignait."

    "ÉRIC et LAILA entrèrent dans la société bourgeoise par la cuisine du même nom."

    "Ce qui nous unissait c'était l'amitié. C'était aussi le mécontentement...sentiment dominant de notre temps. Les gens ne sont pas heureux. Ils se plaignent. Ils ont peur."

    " Ils créent des problèmes qui n'existent pas au lieu de résoudre ceux qui existent."

    "Le GROUPE est une organisation révolutionnaire secrète. Il lutte pour plus de justice contre une société sans principes."

    "Le GROUPE n'a ni statuts, ni chef, ni règles, ni appareil directeur,  ni organisation administrative. Il est indépendant de toute attache. Il respecte les opinions et croyances diverses."

    " Le GROUPE était né par accident. Il se développait par erreur. Il était devenu une association de bienfaiteurs par la force des choses... une milice privée, un commando parallèle."

     

    Pour en savoir davantage:

     

      Une aventure qui occulte la réflexion

    Casimir, orphelin, est élevé par son grand-père. Casimir aime bien cet être charmant, irascible, gueulard, râleur et indigné. Leur cohabitation se déroule très bien, car Casimir n'est pas non plus à sa place dans la société :

    " De temps en temps, à la maison, un imbécile bénévole me demandait ce que je voulais faire lorsque je serai grand. J'étais déjà assez grand : j'avais un mètre quatre-vingt-neuf. Je le regardais avec fureur. Ce que je voulais faire? Rien du tout, tête de lard. J'avais plutôt envie de mourir. Et, à défaut, de baiser. Baiser est la plus jolie des façons de mourir.
    Mon avenir me faisait horreur. Il tourmentait mon grand-père."

    Malgré cet extrait, il ne faut pas croire que le livre tourne en récit de débauche. Certains amis : un membre de l'Académie, Éric, un jeune trotskiste, et sa compagne Leila, se joignent régulièrement à l'irascible vieillard et à Casimir lors de soirées de discussions animées. Le groupe est indigné de l'injustice qui prévaut dans la société, et décide de fonder... le Groupe, dans le but de combattre les iniquités.

    Leur action se limite d'abord à quelques protestations, mais elle évolue en coups d'éclat de casseurs socialement responsables, jusqu'à se transformer en activités d'une petite armée organisée. Le Groupe cherche toujours à faire triompher la justice et la vérité, sans s'affilier à aucune politique, quitte à réparer leurs erreurs lorsqu'ils commettent des bourdes. Sur son lit de mort, l'irascible vieillard exprime sa dernière volonté à Casimir :

    " - Tu l'écriras, me dit d'une voix basse l'implacable vieillard. Tu emmerderas tout le monde et tu écriras l'histoire du Groupe. Ce sera un succès énorme. La vérité et la justice en sortiront renforcées et je saurai, d'où je serai, que je n'ai pas vécu pour rien."

    " - Et une fois que je les ai écrites, grand-père, qu'est-ce que je fais de mes deux cent pages?
    - Tu les envoies à un connard. À un confrère du Membre [de l'Académie, tel Jean d'Ormesson]. À un de ces penseurs qui font les mariolles dans la littérature. N'importe lequel fera l'affaire."

    Le début du livre me captivait, j'aimais la complicité entre les deux êtres rebelles que deux générations séparent, une sorte de "La vie devant soi" destroy. Toutefois, après la fondation du Groupe, le livre se transforme en roman d'aventure rocambolesque. Il y a toujours discussions sur les injustices du monde, mais l'intrigue se concentre sur la planification des prochaines actions.

    On assiste au glissement d'un groupuscule intellectuel en bande de casseurs, puis en armée de mercenaires, mais la réflexion sur ce sujet est bien dissimulée dans le récit des actions du groupe. Le ton demeure satirique, de nombreux passages font sourire et réfléchir, mais l'aventure me semblait occulter le second degré.

    http://www.critiqueslibres.com/






    LES NEUF CERCLES, roman, thriller de R.J.ELLORY, 2013, 573 pages

    09/08/2015 17:59

    LES NEUF CERCLES, roman, thriller de R.J.ELLORY, 2013, 573 pages


     

    ELLORY R.J.

    LES NEUF CERCLES, roman, 2013, Sonatine, 573 pages,

    titre original: THE DEVIL AND THE RIVER, ORION BOOKS

     Un autre roman réussi, brillant  du genre roman thriller, grands frissons du maître R.J. ELLORY. Avec son écriture serrée, minutieuse, brillante il nous étourdit avec un grand roman du genre angoisse, nous comprime par sa minutie, sa lenteur, sa psychologie profonde de l'humain et de ses capacités insoupçonnées .

     

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

     

    "Quand la pluie arriva, elle rencontra le visage de la jeune fille. Juste son visage. C'est du moins ce qu'il sembla au début. Puis ce fut sa main-petite et blanche, ausi délicate que de la porcelaine."

    "Mais GAINES avait fait la guerre. Il avait vu LES NEUF CERCLES."

      " UNE JEUNE FILLE MORTE. PEUT-ÊTRE NOYÉE, PEUT-ÊTRE ASSASSINÉE, ET ENTERRÉE DANS LA VASE."

    "Le souvenir des morts est le plus lourd des fardeaux."

    "Ses cheveux étaient un amas dense de mèches irrégulières---on aurait dit une photo monochrome d'une statue érodée par le temps.C'était une image surréaliste et perturbante."

    "Elle avait 16 ans, mais c'était une fille sérieuse.Je lui faisais confiance. Elle n'a pas été agressée sexuellement. Je crois qu'elle avait les mains et les pieds ligotés. Où est son coeur? Elle n'en avait pas."

    "Parce que vous croyez que j'ai fait à NANCY DENTON quelque chose que je n'aurais pas dû faire ..."

    " ...la conscriptionn, c'étaient des BLANCS, qui envoyaient des NOIRS se battre Contre des JAUNES pour protéger la terre qu'ils avaient volée à des ROUGES."

    "MATTHIAS est le seul que j'ai rencontré, il m'a tout à fait l'air d'un tas de merde dans un costume bien fait."

     

    Pour en savoir davantage:

     

                                             Résumé :

    "1974. De retour du Vietnam, John Gaines a accepté le poste de shérif de Whytesburg, Mississippi. Une petite ville tranquille jusqu’au jour où l’on découvre, enterré sur les berges de la rivière, le cadavre d’une adolescente. La surprise est de taille : celle-ci n’est autre que Nancy Denton, une jeune fille mystérieusement disparue vingt ans plus tôt, dont le corps a été préservé par la boue. L’autopsie révèle que son cœur a disparu, remplacé par un panier contenant la dépouille d’un serpent. Traumatisé par le Vietnam, cette guerre atroce dont « seuls les morts ont vu la fin », John doit à nouveau faire face à l’horreur. Il va ainsi repartir au combat, un combat singulier, cette fois, tant il est vrai qu’un seul corps peut être plus perturbant encore que des centaines. Un combat mené pour une adolescente assassinée et une mère de famille déchirée, un combat contre les secrets et les vérités cachées de sa petite ville tranquille. Si mener une enquête vingt ans après le crime semble une entreprise périlleuse, cela n’est rien à côté de ce qui attend John : une nouvelle traversée des neuf cercles de l’enfer." SONATINE, éditeur

     

    "Un nouveau roman de R.J. Ellory est toujours un événement. Une fois de plus, celui-ci est à la croisée des genres, entre roman noir et thriller, pour un résultat qui ne ressemble pas à ses précédents romans et qui est pourtant du Ellory pur jus.
    L'auteur n'a pas son pareil pour nous plonger dans une part de l'Amérique et fouiller à ce point la psychologie humaine. A ce stade, c'en devient un art !
    1974, sud des États-Unis. Un pays qui peine à se remettre de la guerre au Vietnam et une région où tensions raciales et ségrégation sont encore totalement ancrées dans les moeurs.
    John Gaines, shérif de son état, est surtout un jeune vétéran de cette guerre lointaine qui a renvoyé des hommes détruits à la maison.

    Avec ces personnages qui souffrent de stress post-traumatique (même si le terme n'était pas encore usité à l'époque), et ce récit sur la difficulté de survivre (à la perte de l'être cher ou bien à la violence du monde), Ellory construit pas à pas une intrigue forte, une vraie enquête policière avec de puissantes thématiques (sur la culpabilité du survivant ou encore la persévérance…).
    Autant son précédent et magnifique roman (Mauvaise étoile) faisait briller quelques lueurs dans l'obscurité, autant Les neuf cercles (The devil and the river en VO, j'aime beaucoup le titre original) est un récit profondément ténébreux.
    La mort y rode à chaque page, pas un chapitre sans que la Fossoyeuse n'y fasse planer son ombre.
    Cette ambiance pesante en devient quasi-hypnotique, tant l'auteur prend le temps de sonder l'âme humaine à travers ces 575 pages. Très vite, nous ne sommes plus simplement là à suivre le personnage de Gaines, nous devenons Gaines ! Nous plonger avec un tel réalisme au plus profond de ses pensées, de ses meurtrissures psychologiques, est l'une des grandes réussites de ce roman. Un tel degré de rapprochement, alors que le récit est écrit à la troisième personne, démontre une fois de plus que l'auteur fait preuve d'un talent hors normes."

     www.babelio.com



    partage et amitieCommentaire de laloracorse2 (24/08/2015 11:53) :

    j ai adore mauvaise etoile c est prenand meme si c est dèur, mais je n ai pas les memes imaginations un film avec les memes scenes me font fuir mais pas le livre, donc j en reviens à un super livre je l ai achete samedi apres midi et je l ai finbi cette nuit, sourires

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    partage et amitieCommentaire de laloracorse2 (09/09/2015 13:32) :

    j adoreeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

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    partage et amitieCommentaire de laloracorse2 (26/10/2015 20:30) :

    ca y est je suis en train de lire les neuf cercles, tres prenant merci pour vos articles bonne soirée amicalement

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    partage et amitieCommentaire de laloracorse2 (05/11/2015 13:29) :

    ImageProxy (10)j adore cet auteur contrairement à maxime chatam sourires

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