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EGOLF Tristan----LE DÉMON DE BLUE BALL
12/06/2010 13:15
Tristan EGOLF - Kornwolf : le Démon de Blue Ball
Dans la Pennsylvanie profonde peuplée d’amish rigoristes et d’une middle class rétrograde, ressurgit le démon de Blue Ball, bête mystérieuse qui jadis ravagea la région. A nouveau, des incendies, meurtres et dévastations diverses mettent le pays sens dessus dessous. Le démon de Blue Ball, caméléon doué d’ubiquité ou nouvel avatar du loup-garou, est un responsable tout désigné. Loup-garou ? Risquons une définition : créature mi homme, mi bête, érotomane à la peau translucide néanmoins parsemée de scrofules qui parcourt de grandes distances à la vitesse de l’éclair pour assouvir des pulsions meurtrières les nuits de pleine lune. Ouf ! La bête, dont les premières apparitions datent du Moyen âge, s’abrite de la lumière des périodes de haute civilisation dans des refuges troglodytes et ressurgit dans les phases de violence et d’obscurantisme. La population ravagée par la fureur et la crainte lui prête vite le visage d’Éphraïm Bontrager, jeune membre de la communauté amish, muet légèrement débile qui porte les stigmates de la créature (voir ci-dessus) En réalité une pure victime des névroses collectives et du corset asphyxiant des règles amish. Des hordes gorgées de Budweiser, armées de faux et de marteaux se livrent à une chasse à l’homme pleine de fracas et de haine. Éphraïm échappe à la curée. Dans cette société décomposée, seuls les parias méritent d’être sauvés. Ce livre est-il une pure fantasmagorie ou l’allégorie d’une Amérique profonde et de ses poches d’inculture et d’arriération ? Tout est ouvert. Chacun lira ce qu’il voudra. Il faut parfois attaquer le récit à la pioche mais quand on atteint le point d’incandescence, quel bonheur ! Des approximations dans la construction du récit et quelques provocations inutiles - simples péchés de jeunesse - sont peu de choses à côté du souffle du démiurge, marque des grands écrivains trop rarement rencontrée. Tristan Egolf, jeune Américain « découvert » en France par Patrick Modiano dans des circonstances romanesques, aura été l’éphémère auteur de deux livres dont le baroque-flamboyant Seigneur des porcheries. Il s’est suicidé il y a quelques années à l’âge de 27 ans. Une grande perte pour la littérature contemporaine. Il est difficile d’écarter l’idée que la puissance de l’écrivain a trouvé un écho dans la fragilité de sa vie. Edouard BERLET
Kornwolf : Le Démon de Blue Ball, Gallimard, 2009
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STEVENS Shane---AU-DELÀ DU MAL
12/06/2010 14:56
STEVENS Shane AU- DELÀ DU MAL, ÉD. SONATINE, 2009, 757 PAGES,
« Le « Citizen Kane » du roman de serial killer Après plus de vingt-cinq ans de malédiction éditoriale, nous avons le plaisir de vous présenter pour la première fois en langue française Au-delà du mal, de Shane Stevens, l’un des livres fondateurs du roman de serial killer, avec Le Dahlia noir de James Ellroy et Le Silence des agneaux, de Thomas Harris.
À 10 ans, Thomas Bishop est placé en institut psychiatrique après avoir assassiné sa mère. Il s’en échappe quinze ans plus tard il entame un périple meurtrier parti-culièrement atroce à travers les États-Unis. Très vite, une chasse à l’homme s’organise : la police, la pres-se et la mafia sont aux trousses de cet assassin hors norme, remarquablement intelligent, méticuleux et amoral. Les destins croisés des protagonistes, en particulier celui d’Adam Kenton, journaliste dangereuse-ment proche du meurtrier, dévoilent un inquiétant jeu de miroir, jusqu’au captivant dénouement.
À l’instar d’un Hannibal Lecter, Thomas Bishop est l’une des plus grandes figures du mal enfantées par la littérature contemporaine, un « héros » terrifiant pour lequel on ne peut s’empêcher d’éprouver, malgré tout, une vive sympathie. Au-delà du mal, épopée brutale et dantesque, romantique et violente, à l’intri-gue fascinante, constitue un récit sans égal sur la façon dont on fabrique un monstre et sur les noirceurs de l’âme humaine. D’un réalisme cru, presque documentaire, cet ouvrage, hanté par la figure de Caryl Chessman, n’est pas sans évoquer Le Chant du bourreau de Norman Mailer et De sang-froid de Truman Capote. Un roman dérangeant, raffiné et intense. Shane Stevens (probable pseudonyme) est né à New York en 1941. Il a écrit cinq romans entre 1966 et 1981 avant de disparaître dans l’anonymat. On ne sait pas grand-chose d’autre de lui » Source : www.bibliosurf.com
« Thomas Bishop n’était pas un monstre diabolique venu d’une autre planète, mais un enfant martyrisé avec une telle brutalité que son esprit avait fini par trouver refuge dans la démence la plus complète « Page 744 « …il apprendrait à connaître l’homme aussi bien que le monstre. Pour finir, il brosserait avec brio le por-trait d’un homme assailli par des démons, d’un homme qui ressemblait aux autres hommes et n’était pourtant pas comme eux, d’un homme, enfin, qui tuait non pas de sang-froid, mais par démence. »…désespérément seul…solitude infinie…paranoïa mégalomane… »page 756.
Ce roman est un chef d’oeuvre par son intensité, son style incomparable, son intensité, son souffle soute-nu, sa psychanalyse insoutenable car un être d’une telle souffrance dépend de la psychiâtrie, de la démen-ce. L’auteur rejoint les grands maîtres de roman « genre thriller ». À lire sans faute pour son contenu, ses grands frissons et par son humanisme même dérangée. GiL
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ELLORY R.J.---SEUL LE SILENCE
12/06/2010 15:12
ELLORY R.J. SEUL LE SILENCE, Éd. Sonatine, 495 pages
« Joseph Vaughan, écrivain à succès, tient en joue un tueur en série, dans l’ombre duquel il vit depuis bientôt trente ans. Joseph a douze ans lorsqu’il découvre dans son village de Géorgie le corps horrible-ment mutilé d’une fillette assassinée. La première victime d’une longue série qui laissera longtemps la police impuissante. Des années plus tard, lorsque l’affaire semble enfin élucidée, Joseph décide de chan-ger de vie et de s’installer à New York pour oublier les séquelles de cette histoire qui l’a touché de trop près. Lorsqu’il comprend que le tueur est toujours à l’oeuvre, il n’a d’autre solution pour échapper à ses démons, alors que les cadavres d’enfants se multiplient, que de reprendre une enquête qui le hante afin de démasquer le vrai coupable, dont l’identité ne sera révélée que dans les toutes dernières pages. Plus encore qu’un roman de serial killer à la mécanique parfaite et au suspense constant, Seul le silence marque une date dans l’histoire du thriller. Avec ce récit crépusculaire à la noirceur absolue, sans concession aucune, R. J.Ellory évoque autant William Styron que Norman Mailer par la puissance de son écriture et la complexité des émotions qu’il met en jeu. » Source : bibliosurf.com
Roman d’une écriture remarquable par son style, son contenu, les émotions et les réflexions intérieures intenses. Ce roman est plus qu’un polar, un thriller par son sujet, c’est un grand livre qui vibre par son style à l’image d’un Carlos Ruiz ZAFON. GiL
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KATZENBACH John---L'ANALYSTE
14/06/2010 15:18
KATZENBACH John L’ANALYSTE, Presses de la Cité, 2002, 501 pages « Le jour de son 53° anniversaire, la vie, jusque là si paisible du docteur Starks, va basculer dans le chaos du fait d'une mysterieuse lettre lui souhaitant la bienvenue au premier de sa mort. Le psychanalyste se retrouve subitement entrainé dans un jeu de piste morbide, concocté par un certain Rumplestilskin (du nom d'un mauvais genie dans un conte de Grimm), dont les regles sont simples : Il dispose de deux semaines pour identifier Monsieur R en usant de ses talents d'analyste ... Mais s'il échoue, une personne de sa famille mourra, ou il devra metre fin à ses jours ... C'est donc une course contre la montre qui s'engage pour cet homme si ordinaire et si tranquille ... Un jeu de piste haletant dont personne de sortira indemne, pas même le lecteur !!
Et c'est là que réside tout le génie de Katzenbach ... Il a choisi comme héros un homme tout à fait ordinaire, un monsieur-tout-le-monde auquel le lecteur ne cesse de s'identifier ... Un cinquantenaire bercé par sa routine quotidienne que rien ne prédisposait à devenir un homme traqué. D'autant que le jeu est morbide; Il cache un fort desir de vengeance d'un homme prêt à tout pour parvenir à ses fins : Une plainte à l'encontre du docteur sera deposée à l'ordre des medecins pour abus sexuel sur une patiente , ses comptes bancaires seront vidés les uns apres les autres, son appartement sera cambriolé, et l'un de ses patients ira même jusqu'à se suicider ; Une incroyable machination pour qu'il accepte enfin de se donner la mort ... Acculé dans ses derniers retranchements, le docteur va alors simuler sa propre mort, afin de renaitre sous une nouvelle identité qui lui permettra de découvrir qui est en realité Rumplestilskin et de mettre au point sa vengeance. Au travers de son analyste, Katzenbach nous entraine dans les meandres de la pensée humaine ;Jusqu'ou peut-on aller pour assouvir sa soif de vengeance ? Ce livre , tout en jeu de miroir ("Rickie est ici, Rickie est par là, mais vous ne le trouverez pas") est d'un suspense haletant. C'est aussi un veritable jeu de piste pour le lecteur qui va tenter de dechiffrer en vain les enigmes de Monsieur R . La lecture est facilitée par une écriture fluide et tres plaisante qui nous empeche de poser livre jusqu'au denouement. Autrement dit un roman machiavelique, une intrigue savemment orchestrée, le tout servi par une écriture des plus remarquables. Un chef d'oeuvre du genre !!!! »
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MANKELL Henning---TEA BAG---LE CERVEAU DE KENNEDY---LA LIONNE BLANCHE---LE FILS DU VENT---LES CHAUSSURES ITALIENNES---LES CHIENS DE RIGA---
14/06/2010 15:29
MANKELL Henning :
LES CHIENS DE RIGA , Éd. Seuil Policiers, 2003.
Intéressant. Bien mené. Totalitarisme en Lettonie. Contrôle extrême de la population lettone par les Russes + La Mafia. J’ai aimé.
LE FILS DU VENT, Seuil, 2004, 346 pages
« Vers 1875 un jeune amateur de collection d'insectes arrive en Afrique australe dans le désert du Kalahari pour rechercher un spécimen rare. En fait ce qu'il découvre c'est un jeune noir orphelin, il décide de le ramener avec lui en Suède pour prouver à ces compatriotes (dits civilisés) qu'il existe bien des races à peau noire. Pendant la traversée tous ses efforts tendront à ce que l'enfant qu'il a surnommé Daniel oublie son passé mais qui n'a qu'un rêve c'est-à-dire marcher sur l'eau pour retourner chez les siens pour pouvoir communiquer avec ses parents morts. Recueilli chez les uns et les autres il ne trouve pas sa place jusqu'au jour où il rencontre Sanna, une attardée mentale et l'entraîne dans sa fuite pour rejoindre ses ancêtres mais ils se font rattraper, grâce à Sanna. Il tombe gravement malade et dans son délire habité par la vengeance, il entre en contact avec les esprits de ses parents qui le motivent dans ses efforts pour rentrer en Afrique.
Mon avis: J'ai lu ce livre comme un conte mais avec beaucoup d'attention et j'ai ressenti la souffrance de cet enfant. Je me pose la question, pourquoi cette exhibition des noirs à cette époque par des gens qui les prenaient pour des animaux? » « Ce n'est pas un policier, bien qu'il y ait un meurtre au début de l'histoire. On suit surtout le garçon et son père adoptif: Le voyage à travers la Suède, où jamais on n'a vu d'enfant noir, les réactions des habitants, le délire (entomologique) du père, la détresse du petit qui revoit sans cesse ses parents en rêve, deux mondes totalement différents, une barrière infranchissable. » source :www.ratsdebiblio.net
LE CERVEAU DE KENNEDY, roman, Seuil, 2009, 390 pages
• ZOOM Le cerveau de Kennedy Henning Mankell
Automne 2004. Louise Cantor quitte son chantier de fouilles du Péloponnèse pour rentrer en Suède. Impatiente de revoir son fils, elle le trouve mort dans son appartement de Stockholm. Qui a tué Henrik? Pas un instant Louise ne veut croire que son fils unique se soit suicidé. Avec l’énergie du désespoir et une obstination d’archéologue, elle va tenter de reconstituer, fragment par fragment, les dernières années d’une vie brutalement interrompue. Secondée par Aron, le père d’Henrik, qu’elle est allée chercher au fin fond de l’Australie, Louise découvre que son fils avait une vie secrète, émaillée d’inquiétantes zones d’ombre. Pourquoi Henrik s’intéressait-il tant au cerveau du président Kennedy, disparu lors de son autopsie? Pourquoi avait-il un appartement clandestin à Barcelone? D’où provenaient les grosses sommes d’argent dont il disposait? Que faisait-il au Mozambique dans un mouroir pour malades atteints du sida? Quand Aron disparaît brusquement sans laisser de traces, Louise comprend qu’elle est aux prises avec des forces occultes qui la dépassent.Au bord du gouffre mais plus déterminée que jamais, elle se laisse conduire par ses pas jusqu’au coeur de l’Afrique. Une vérité effroyable l’y attend. À travers ce thriller palpitant et lucide, Henning Mankell exprime sa colère contre le cynisme du monde occidental face au lent naufrage d’un continent rongé par le sida.
AUX ÉDITIONS DU SEUIL :
COMÉDIA INFANTIL, 2003, COL. POINTS, # P1324
TEA-BAG, ROMAN, 2007, # P1887, Seuil, 2007, 330 pages. Résumé du livre « Tea-Bag, jeune Nigériane, traverse l'Europe à pied, persuadée que tout là-haut, en Suède, une porte s'ouvrira pour elle. Tania, venue de Smolensk, a franchi la Baltique à la rame, portée par le même espoir. Leyla est arrivée d'Iran alors qu'elle était enfant. Ensemble elles se démènent pour survivre dans une banlieue de Göteborg. Pendant, ce temps, le célèbre auteur Jesper Humlon, qui attend l'inspiration en surveillant son bronzage et le cours de ses actions en Bourse, tente d'échapper à la tyrannie de sa petite ami et de sa mère. Le jour où sa trajectoire croise celle de Tea-Bag, Tania et Leyla, c'est le choc. Il découvre l'existence d'une Suède inconnue, clandestine, comme un double 'en négatif' de la Suède officielle, laquelle ignore tout de la première. Aussitôt il envisage de détourner cette expérience à ses propres fins. Mais les jeunes filles n'ont pas dit leur dernier mot... « Source :www.evene.fr
Dans ce roman de Mankell, comédie et tragédie s’entrecroisent et produisent un effet surprenant sur nos conceptions face aux migrants clandestins spécialement pour les femmes. C’est cotoyer une réalité qui nous dérange socialement parfois grave, dérisoire et engagée. Cette histoire pleine de personnages, de rebondissements, de larmes est un fait du XX1ème siécle et non un conte inspiré. C’est un véritable hommage à ces humains sans papiers, sans visage, sans domicile. J’ai beaucoup aimé la lecture de ce roman. GiL
PROFONDEURS, ROMAN, 2008, #P2068111111
MEUTRIERS SANS VISAGE, COL. POINTS POLICIERS, 1994, # P1122
LA LIONNE BLANCHE, 2004, #P1306 Résumé du livre Scanie, avril 1992. Louise Akerblom, agente immobilière et jeune mère de famille, disparaît dans des conditions mystérieuses. Pendant ce temps, en Afrique du Sud, un groupe d'Afrikaners fanatiques prépare avec soin un attentat contre une importante figure politique. Quelques jours plus tard, le corps de Louise, le front troué d'une balle, est repêché dans un puits. L'inspecteur Wallander et son équipe enquêtent. Mais le passé de la victime est limpide et les recherches piétinent. C'est alors que les policiers découvrent près des lieux du crime le doigt tranché d'un homme noir. Y aurait-il un lien entre la réalité quotidienne de la province suédoise et la lutte politique sanglante qui se déchaîne à un autre bout du monde ? Un bon roman de Mankell. GiL
L’HOMME QUI SOURIAIT, 2005, #P1451
LE GUERIER SOLITAIRE, 1999, #P792
LA CINQUIÈME FEMME, 200, #P877
LES MORTS DE LA SAINT-JEAN, 2001, #P971
LA MURAILLE INVISIBLE, 2002, #P1081
AVANT LE GEL, 2005, #P1539
LE RETOUR DU PROFESSEUR DE DANSE, 2006, #P1678 ou Points, 2007
LES CHAUSSURES ITALIENNES, Seuil, 2009, 340 pages
Présentation de l'éditeur « A soixante-six ans, Fredrik Welin vit reclus depuis une décennie sur une île de la Baltique avec pour seule compagnie un chat et un chien et pour seules visites celles du facteur de l’archipel. Depuis qu’une tragique erreur a brisé sa carrière de chirurgien, il s’est isolé des hommes. Pour se prouver qu’il est encore en vie, il creuse un trou dans la glace et s’y immerge chaque matin. Au solstice d’hiver, cette routine est interrompue par l’intrusion d’Harriet, la femme qu’il a aimée et abandonnée quarante ans plus tôt. Fredrik ne le sait pas encore, mais sa vie vient juste de recommencer. Le temps de deux solstices d’hiver et d’un superbe solstice d’été, dans un espace compris entre une maison, une île, une forêt, une caravane, Mankell nous révèle une facette peu connue de son talent avec ce récit sobre, intime, vibrant, sur les hommes et les femmes, la solitude et la peur, l’amour et la rédemption. » Seuil, 08/10/2009 352 p ISBN 9782020944656
Un médecin à la retraite pour des raisons professionnelles reçoit la visite de quatre femmes de façon consécutive qui vont bouleverser sa quiétude et lui apporter aussi quelques bonheurs. Bon style, sujet intéressant et touchant. Un roman insulaire et non un roman policier qui ne nous laisse pas indifférents car dans la vie tout peut nous arriver selon des circonstances hors de notre contrôle. GiL
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