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MAMIKONIAN AUDOIN Sophie---La danse des obèses
14/06/2010 15:44
Sophie Audoin-MAMIKONIAN LA DANSE DES OBÈSES Source : www.fnac.com Le Mot de l'éditeur : "La danse des obèses" Un serial killer qui cuisine (et tue) avec la virtuosité d’un toqué trois étoiles, un suspense macabre aussi raffiné que cruel : tel est le « festin » concocté par une romancière à l’imagination… insatiable. Dans la même journée, le capitaine Philippe Heart tombe amoureux – alors qu’il n’y croyait plus – et se trouve chargé de l’affaire la plus tordue de sa carrière : une série de meurtres atroces qui ne touchent que… des obèses. Apparemment, aucun rapport entre son histoire d’amour naissante et la disparition de ces cinq hommes. En réalité, lui comme la belle Elena sont partie prenante de la vengeance mise en œuvre par l’ « obèse killer ». Particulièrement manipulateur et pervers, celui-ci choisit des victimes tout sauf innocentes et sa cruauté n’a d’égale que l’inventivité de ses crimes et la minutie de psychopathe avec lesquelles il les met en scène. Pour remonter sa piste, Heart devra accepter d’entrer dans un jeu macabre dont il ignore toutes les règles.  "Très beau livre, un suspens jusqu'à la fin du livre ! Au fur et à mesure du roman, elle nous incite à croire à des coupables et ce n'est qu'à la fin que l'on se rend compte que l'on s'est trompé sur toute la ligne !!! Très exaltant !!! à lire absolument !!! A QUAND SON PROCHAIN LIVRE ???"
Ce roman du genre thriller est absolument renversant par ses péripéties, revirements subits de situation et toutes ses horreurs. GiL
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INDRIDASON Arnaldur---LA VOIX---LA FEMME EN VERT---L'HOMME DU LAC---HIVER ARCTIQUE
14/06/2010 16:00
INDRIDASON Arnaldur :
LA VOIX : Ed. Métaillé. Noir, Fr. 330 pages. 2002-2007 Un très bon polar. Excellent suspense. Sujet bien traité. Bon style. ……..Et ça se passe en Islande. Belle découverte.
LA FEMME EN VERT, Éd. Métaillé, 2006, 298 pages.
Bon suspense, bon polar, bonne intrigue. Le père est violent, bat sa femme au moindre regard, les enfants sont soumis et terrorisés. Que de drames, de souffrances au-dessus de ce qu’on peut imaginer de la part d’un humain qui lui-même avait eu une enfance difficile. C’est lent mais bien mené. La violence engendre la violence. GiL
LA CITÉ DES JARRES,
L’HOMME DU LAC, Éditions Métailié, 2008, 348 pages
Indridason maîtrise très bien l’art du polar : enquête bien menée, indices à la petite cuillère, époque datant de relations politiques entre la Hollande et l’Allemagne de l’est, atmosphère bien adaptée au mystère en milieu nordique et isolé. Résumé du livre « A la suite des tremblements de terre qui ont eu lieu en Islande en juin 2000, le lac de Kleifarvatn se vide peu à peu. Une géologue chargée de mesurer le niveau de l'eau découvre sur le fond asséché un squelette lesté par un émetteur radio portant des inscriptions en caractère cyrillique à demi effacéefs. La police est envoyée sur les lieux, Erlendur et son équipe se voient chargés de l'enquête, ce qui les mène à s'intéresser aux disparitions non élucidées ayant eu lieu au cours des années 1960 en Islande. Les investigations s'orientent bientôt vers les ambassades ou délégations des pays de l'ex-bloc communiste. Les trois policiers sont amenés à rencontrer d'anciens étudiants islandais qui avaient obtenu des bourses de l'Allemagne de l'Est dans les années 1950 et qui ont tous rapporté la douloureuse expérience d'un système qui, pour faire le bonheur du peuple, jugeait nécessaire de le surveiller constamment. Peu à peu, Erlendur, Elinborg et Sigurdur Oli remontent la piste de l'homme du lac dont ils finiront par découvrir le terrible secret »
« Par Mikaël Demets ‘La Dame du lac’ de Chandler avait sa place au panthéon du roman noir, il faudra désormais compter avec ‘L’Homme du lac’ d’Indridason. Moins lugubre que son précédent ouvrage ‘La Voix’ - puisqu’ici, ô miracle, le soleil estival apparaît pour réchauffer le lecteur - ce roman reste dans la droite veine des enquêtes d’Erlendur. Toujours fasciné par les disparitions, le commissaire taciturne prend en charge une affaire complètement hors du temps, puisqu’il s’agit cette fois d’un squelette vieux de 40 ans. Si les intrigues d’Arnaldur Indridason possèdent toujours un lien très fort avec le passé et la mémoire, révélant une Islande beaucoup plus torturée que celle des publicités touristiques, celle-ci va plus loin, sortant du carcan insulaire pour raconter la Stasi, la peur, la haine, la vengeance et le traumatisme silencieux d’une île que l’on croyait à l’écart de ces histoires d’espionnage. Récit à deux voix, celle du présent et l’autre, mystérieuse, surgie du passé, ‘L’Homme du lac’ impressionne par la tension dramatique palpable qu’il dégage, et ce malgré l’absence totale d’effets : l’enquête dure presque un an (!), et l’on n’assiste à aucune course-poursuite ni échange de coups de feu. Quant à l’écriture d’Indridason, elle est sèche, froide. Elle raconte la cruauté impitoyable de l’histoire, les blessures qui ne se referment jamais avec une telle simplicité que la puissance tragique de ces destins est décuplée. Certes policier, le roman de l’Islandais ne se réduit pas à ce créneau, et marque par le soin apporté aux personnages, très fouillés. L’amplitude majestueuse qui se dégage de ces lignes, alliée à la force de l’écriture et à la richesse de l’intrigue fait de cet ‘Homme du lac’ un chef-d’oeuvre pénétrant, dont la présence subsiste longtemps après la dernière page. » source :www.evene.fr
HIVER ARCTIQUE, Métaillé, 2009, 334 pages » ACCUEIL » LIVRES » LITTÉRATURE POLICIÈRE - SCIENCE-FICTION » ROMANS POLICIERS Résumé "Le corps d'un petit garçon était couché dans la neige lorsque la voiture d'Erlendur est arrivée au pied de l'immeuble de banlieue, en cette fin d'après-midi glaciale de Reykjavik. II avait douze ans, rêvait de forêts, ses parents avaient divorcé et sa mère venait de Thaïlande, son grand frère avait du mal à accepter un pays aussi froid. Le commissaire Erlendur et son équipe n'ont aucun indice et vont explorer tous les préjugés qu'éveille la présence croissante d'émigrés dans une société fermée. Erlendur est pressé de voir cette enquête aboutir, il néglige ses autres affaires, bouscule cette femme qui pleure au téléphone et manque de philosophie lorsque ses enfants s'obstinent à exiger de lui des explications sur sa vie qu'il n'a aucune envie de donner. La résolution surprenante de ce crime ne sortira pas Erlendur de son pessimisme sur ses contemporains. Dans cet impressionnant dernier roman, Indridason surprend en nous plongeant dans un monde à la Simenon. Il a reçu pour ce livre et pour la troisième fois le prix Clé de Verre du roman noir scandinave."
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COOK Thomas H.---LES FEUILLES MORTES
14/06/2010 16:25
COOK Thomas H.
LES FEUILLES MORTES, 2008, roman du genre thriller, frissons,. Le Mot de l'éditeur : "Les feuilles mortes"
"Eric Moore a toutes les raisons apparentes d'être heureux : propriétaire prospère d'un magasin de photos et d'une jolie maison dans une petite ville sans problème de la côte Est, il mène une vie de famille épanouie auprès de sa femme Meredith et de son fils Keith, un adolescent de quinze ans. Cet équilibre parfait va pourtant voler en éclats à jamais. Un soir comme les autres, ses voisins demandent à Keith de garder Amy, leur fille de huit ans. Au petit matin, Amy est introuvable. Très vite, l'attention de la police se porte sur Keith et ce dernier, pataud et mal dans sa peau, se défend maladroitement. Du jour au lendemain, Eric devient l'un de ces parents qu'il a vus, à la télévision, proclamer leur foi dans l'innocence de leur enfant. Alors que l'enquête de la police se recentre autour de Keith, Eric doit lui trouver un avocat et le protéger contre les soupçons croissants de la communauté. Mais est-il tout à fait sûr de l'innocence de son fils ? Si Keith était coupable, et s'il était prêt à répéter son geste. Quelle devrait être alors la responsabilité d'un père? Les feuilles mortes est le récit d'une confiance brisée et celui des efforts héroïques d'un homme pour retenir coûte que coûte les liens qui l'unissent à tous ceux qu'il aime. « Un thriller psychologique éblouissant et oppressant
"Les Feuilles mortes est un chef d'oeuvre de suspense psychologique qui envou te le lecteur dès la première page et l 'hypnotise jusqu' à la toute fin. En écrivant à la 1ère personne du singulier, avec sa plume épurée, racée, directe et fluide, Cook plonge le lecteur dans l'esprit de ce père de famille paisible qui, à cause d'une fêlure - son manque de confiance en soi, source du doute qui va le ronger peu à peu - va voir sa vie, les êtres qu'il aime, basculer en plein cauchemar. Sans effet spectaculaire ni grosses ficelles, mais avec une grande subtilité, Cook construit son polar de manière magistrale et installe par petites touches successives une ambiance oppressante, un suspense vertigineux dans lequel la tension, les doutes, les suspicions, l'angoisse, la peur et le sentiment de l’ inéluctable vont enfler au fur et à mesure que les rebondissements se succèdent. Au fil du récit, le lecteur, captivé, fasciné, passe par toute une palette d'émotions parfois contradictoires : suspicion, angoisse, mais aussi empathie, pitié et attachement pour ces êtres brisés, dont les portraits sont brossés par l'auteur avec une grande finesse psychologique. Impossible de refermer ce superbe polar tant Cook tient son lecteur par les tripes d'une manière aussi subtile que diabolique, et l' hypnotise tandis que le suspense haletant et oppressant monte crescendo jusqu' à la toute dernière page, un dénouement qui fait l' effet d' une claque et laisse sonné - et admiratif devant le talent de l' auteur. Impossible de ressortir indemne de ce formidable thriller psychologique très noir, poignant, bouleversant », aussi envoûtant et fascinant que vénéneux. Une réussite éblouissante : l'un des meilleurs polars de ces dernières années." SOURCE : www.livre.fnac.com VOUS NE SEREZ PAS DÉÇUS SI VOUS AIMEZ LES ROMANS DU GENRE THRILLER.GiL
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WESTLAKE Donnald---LE COUPERET---LE CONTRAT
17/06/2010 15:04
WESTLAKE Donald
LE COUPERET, Éd. Rivages Thriller, 1998, 2005, 246 pages
« Burke Devore, un ingénieur dans la cinquantaine qui travaille pour une papetière perd son emploi, nous sommes au début des années 90 - l'industrie du papier souffre - l'automatisation et les alliances font mal! Après 2 ans sans emploi et à la fin de ses compensations salariales, et suite à la lecture d'un article dans une revue spécialisée, Burke met sur pied un plan diabolique, il décide de tuer l'homme qui a "son emploi" de rêve et de tuer tous ses compétiteurs potentiels, il place une offre d'emploi bidon et il "élimine" les candidats qui lui semblent avoir les mêmes qualifications que lui.
"C'est très bon et très prenant! Un homme qui est supposé prendre soin de sa femme et de sa famille se retrouve incapable de subvenir à leurs besoins - financiers et autres - Burke réagit un peu drastiquement mais c'est très intéressant de lire, entre autres, comment il réussit à parfaire ses crimes au fur et à mesure qu'il les met à exécution. » Source : Club des rats de biblio-net
« Il fut une époque où c’était considéré comme malhonnête, l’idée que la fin justifie les moyens. Mais cette époque est révolue. Non seulement nous y croyons, mais nous le disons. » Tel est le constat que fait Burke Devore. Cadre supérieur dans une usine de papier pendant vingt-cinq ans, il vient d’être licencié. Pas pour faute professionnelle. Il a toujours été compétent dans son travail;, il a toujours joué le jeu. Non, il est tout simplement victime des compressions, dégraissages, fusions, restructurations. Avec la perte de son emploi, c’est toute l’existence de Burke qui s’écroule : son couple, l’avenir de ses enfants, sa place dans la société. Pour retrouver ce bonheur qu’il croit avoir mérité par son labeur, il est prêt à tout. Même à franchir les barrières de la morale. Quelle morale au fait? Que la société ne s’avise pas de lui demander des comptes. C’est elle qui a dicté ces nouvelles règles du jeu, cyniques et inhumaines. Il n’y a plus qu’à pousser jusqu’au bout la terrifiante logique d’un système absurde. Bien connu pour son humour, Donald WESTLAKE a choisi de faire le procès d’un monde uniquement tourné vers le profit. Dans ce roman très noir et parfaitement d’actualité, il s’attaque au problème du chômage sous un angle pour le moins inattendu. "
LE COUPERET a été salué par la critique américaine comme un chef-d’œuvre. « Si notre sinistre société avait une autre échelle de valeurs, WESTLAKE aurait reçu le prix Pulitzer…et il y aurait sa statue dans les jardins publics. » source : Washinton Post Book World.
LE CONTRAT, Éd. Rivages-/Thriller, 2000,337 pages.
« Bryce et Wayne sont écrivains. Bryce est un chouchou de l'édition mais est en panne d'inspiration. Wayne écrit de bons bouquins dont pas un éditeur ne veut. La solution est simple: Bryce va publier le roman de Wayne sous son nom et ils vont partager l'argent. Mais il y a Lucie, la future ex-femme de Bryce, une vraie s....., qui a droit aussi à sa moitié tant que le divorce n'est pas prononcé. Il va donc falloir tuer Lucie. Un roman sur le métier d’écrivains, sur le petit monde de l’édition, sur le métier de tuer qui n’est pas facile non plus (et impossible de se confier au un psychopathe). »
« C’est la première fois que je lis cet auteur et je crois que je vais continuer. Il est vraiment très fort pour raconter une histoire, pour la rendre crédible malgré l'apparence rocambolesque de l'intrigue, car il décrit parfaitement bien les personnages, ce qu'ils ressentent. » source. www.ratsdebiblio.net
« Deux hommes liés par un secret et celui qui "faiblira" n'est pas celui qu'on pense - Wayne, l'homme faible du début, celui qui est en panne, celui qui ne connaît pas de succès deviendra confiant et en pleine possession de ses moyens alors que Bryce, écrivain connu connaissant le succès depuis plusieurs années est en panne d'inspiration et il dépendra de Wayne pour s'en sortir. » « L’iée est intéressante, l'analyse de la psychologie des personnages est bien faite. Il n'y a pas de moralité dans ce livre. C'est ce qui est intéressant aussi. J'ai passé un bon moment, même si je pense que l'auteur aurait pu aller encore plus loin... « source :Odilette
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MAMIKONIAM Sophie AUDOUIN---LA DANSE DES OBÈSES
18/06/2010 16:16
LA DANSE DES OBÈSES Source : www.fnac.com Le Mot de l'éditeur : "La danse des obèses" Un serial killer qui cuisine (et tue) avec la virtuosité d’un toqué trois étoiles, un suspense macabre aussi raffiné que cruel : tel est le « festin » concocté par une romancière à l’imagination… insatiable. Dans la même journée, le capitaine Philippe Heart tombe amoureux – alors qu’il n’y croyait plus – et se trouve chargé de l’affaire la plus tordue de sa carrière : une série de meurtres atroces qui ne touchent que… des obèses. Apparemment, aucun rapport entre son histoire d’amour naissante et la disparition de ces cinq hommes. En réalité, lui comme la belle Elena sont partie prenante de la vengeance mise en œuvre par l’ « obèse killer ». Particulièrement manipulateur et pervers, celui-ci choisit des victimes tout sauf innocentes et sa cruauté n’a d’égale que l’inventivité de ses crimes et la minutie de psychopathe avec lesquelles il les met en scène. Pour remonter sa piste, Heart devra accepter d’entrer dans un jeu macabre dont il ignore toutes les règles. GENIAL !!! "Très beau livre, un suspens jusqu'à la fin du livre ! Au fur et à mesure du roman, elle nous incite à croire à des coupables et ce n'est qu'à la fin que l'on se rend compte que l'on s'est trompé sur toute la ligne !!! Très exaltant !!! à lire absoluement !!! A QUAND SON PROCHAIN LIVRE ???" Ce roman du genre thriller est absolument renversant par ses péripities,revirements subits de la situation et toutes ses horreurs. GiL
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