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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES
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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

  • 976 articles publiés
  • 123 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TÉMISCOUATA, QUÉBEC
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    EVANS NICHOLAS---LE CERCLE DES LOUPS

    12/06/2010 14:11



    EVANS Nicholas, LE CERCLE DES LOUPS, Albin Michel, 1998, 492 pages
    Page 2
    Roman polar
    Le Mot de l'éditeur : Le cercle des loups
    « Les loups sont revenus… Avec eux, la haine ancestrale des habitants du Montana. Helen Ross, chargée de protéger ces prédateurs, va devenir la proie des ranchers. Buck Calder sera son pire ennemi. Son fils, Luke, est prêt à tout pour la sauver. Et sauver les loups. Un grand roman, une histoire d’amour où l’homme joue son destin face à la nature et aux forces qui l’animent. Après l’immense succès de L’homme qui murmurait à l’oreille des che-vaux, le nouveau best-seller de Nicholas Evans. »
    Source : www.fnac.com


    Ce roman présente un conflit qui éclate après l’introduction de loups alpha dans le parc de Yellowstone. Les loups, qui sont protégés par la loi au grand ahurisse-ment des fermiers et producteurs bovins, se reproduisent outre-mesure et se rap-prochent des fermes lors de disette. Des spécialistes du Ministère des Terres et Forêts doivent intervenir dans ce conflit.
    Une zoologiste se voit attribuer la tâche de demeurer sur place pour faire une analyse approfondie de la situation. Évidemment elle est plus ou moins bienve-nue par les producteurs de bovins. Elle doit faire face à la brutalité et agressivité ouverte d’un leader qui est sans retenue contre la cohabitation avec les loups.
    Roman très intéressant par son contenu, son contexte et son déroulement. Éco-nomie versus écologie et problèmes environnementaux est un sujet très délicat voire chaud à débattre. Ce roman le fait de façon très réaliste. Il y a aussi le conflit entre les hommes au pouvoir, la défense des animaux par une femme de carrière en situation d’autorité. GiL



    partage et amitieCommentaire de laloracorse2 (13/09/2015 13:32) :

    je lis les memes livres que toi

    http://laloracorse2.vip-blog.com/

    partage et amitieCommentaire de laloracorse2 (30/07/2016 17:59) :

    j aime beaucoup cet auteur bisous

    http://laloracorse2.vip-blog.com/




    HARPER Lee---NE TIREZ PAS SUR L'OISEAU MOQUEUR

    12/06/2010 14:15



    LEE Harper
    NE TIREZ PAS SUR L’OISEAU MOQUEUR
    Résumé du livre
    Dans une petite ville d'Alabama au moment de la Grande Dépression Atticus Finch élève seul ses deux en-fants, Jem et Scout. Homme intègre et rigoureux, cet avocat est commis d'office pour défendre un Noir accusé d'avoir violé une Blanche. Celui-ci risque la peine de mort. Tout en situant son histoire en Alabama à une épo-que bien précise, Harper Lee a écrit un roman universel sur l'enfance confrontée aux préjugés, au mensonge, à la bigoterie et au mal. Racontée avec beaucoup de drôlerie, cet ouvrage tient du conte, de la court story et du roman initiatique. Publié en 1960 - au coeur de la lutte pour les droits civiques -, il connut un grand succès et reçut le prix Pulitzer en 1961.
    Source : evene.fr


    « Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur »: Un livre culte « En 1935, lors de la Grande Dépression, dans une petite ville d'Alabama, vit Atti-cus Finch - homme intègre - qui élève seul ses deux enfants, Jem et Scout. Cet avocat est alors commis d'office pour défendre un Noir accusé d'avoir violé une Blanche. A travers le regard d'une jeune enfant, la réalité du sud profond nous est offert sans concession ! Des personnages attachants que l'on n'a pas envie de quitter ! Une réalité abordée de façon totalement innovante ... Je vous invite à le découvrir. »
    Source.www.critiqueslibres.com


    « Le roman très fort, l’écriture est simple et directe, teintée d’humour, comme le regard de Scout. Les personnages sont attachants et nous les découvrons à travers le regard de l’enfant, au fur et à mesure qu’elle grandit, que les incidents lui révè-lent leur véritable personnalité, leurs mesquineries et leurs grandeurs, leur com-plexité secrète au-delà des apparences,. Je crois que c’est là l’essentiel du roman car, comme l’apprend Atticus à Scout et Jem : on ne connaît vraiment un homme que lorsqu’on se met dans sa peau. »
    Source :www.critiqueslibres.com


    Un roman universel qui touche par son contenu, ses personnages spécialement les enfants qui sont un élément clé de ce roman. Un roman qui nous rejoint, nous at-teint peu importe notre culture, notre milieu, notre âge dans un style à couper le souffle par son rythme, sa force, ses dialogues. Le racisme en est le sujet et la tolé-rance l’aboutissement. GiL



    partage et amitieCommentaire de laloracorse2 (25/05/2016 13:47) :

    je n ai pas lu ce livre mais en cherchant sur des sites de lecture j ai vu qu il etait en tete de liste des livres les plus lus en france, donc..... bonne journee chris

    http://laloracorse2.vip-blog.com/




    MAKINE Andrëi---LE CRIME D'OLGA ARBÉLINA---LA MUSIQUE D'UNE VIE

    12/06/2010 14:23



    Le crime d'Olga Arbélina
    Par Catherine Argand (Lire), publié le 01/03/1998

    « Olga Arbélina n'est qu'un nom tracé sur une pierre tombale, celui d'une princesse morte dans les années 60, celui d'une criminelle. Olga Arbélina, du nom de son époux un jour parti, est surtout une survivante de la révolution soviétique, née avec le siècle et réfugiée avec son fils hémophile près de Paris, au sein d'une communauté russe vieillissante et atone comme un matin de neige. Dans ce village de l'après-guerre français où seules les variations du ciel et des saisons apportent l'improbable, Olga vit hantée par le caractère irrémédiable de sa vie. Solitaire, renfermée, elle ira jusqu'à connaître la folie la plus sombre et la plus profonde, jusqu'à devenir étrangère à elle-même et à son propre fils. Toute la beauté de ce roman d'une facture très classique est là. Dans cette lente observation, entrecoupée d'événements blessants, d'un temps qui passe et ne passe pas et jamais plus ne s'accomplit. Dans ce crescendo somnambulique d'un crime bien plus grand que le meurtre... Après que son précédent livre, Le testament français, a obtenu le prix Goncourt, Andreï Makine réitère sa recherche du temps perdu. Une recherche singulière, éminemment proustienne, affranchie de la morale et des préoccupations confuses concernant l'écriture moderne. Provoquant, troublant, ciselé dans une langue presque froide mais sans cesse altéré par la profondeur des tourments, Le crime d'Olga Arbélina commence avec ces mots éternels et qui résonnent au long du récit:
    «Qu'as-tu fait de moi! Qu'as-tu fait de moi!»
    Source :www.lespress.fr

    Dans ce roman on sent toute l’intensité de l’âme russe, sa culture, son climat et la complexité de sa culture. Ce roman est d’une grande profondeur psychologique et d’une écriture magistrale. On risque parfois de s’égarer, de mélanger le temporel et l’intérieur émotionnel de l’héroïne. L’histoire est ambigue, double, énigmatique et trouble. C’est l’histoire d’une princesse russe déchue, abandonnée par son mari, vivant avec son fils adolescent hémophile dans le domaine du couple désuni.
    On entre dans la complexité relationnelle de la mère et du fils suivi par un ancien médecin de guerre.
    « Une maison accolée au mur d’in bâtiment sombre, à moitié habité, une nuit d’hiver, l’isolement infini, et tout au fond de cette solitude, une chambre, la vie silencieuse du feu. Et ce couple, une femme plongée dans un sommeil plus indéfectible qu’une léthagie, un adolescent aux gestes lents, au regard ébloui, lui-même surpris par la sorcellerie de son crime…Une mère et son fils. « Je suis donc folle… »» page 208.
    GiL

    LA MUSIQUE D’UNE VIE, Seuil, 2001, 127 pages
    Résumé du livre
    « Dans le dernier wagon d'un train se dirigeant vers Moscou, un pianiste, Alexeï Berg, raconte au narrateur la musique de son existence. Il devait donner un concert le 24 mai 1941 mais celui-ci n'a pas eu lieu et Alexeï a du prendre la fuite.
    La critique [evene]
    par M.A.
    C'est la vie d'un pianiste russe. Un futur virtuose, sans doute. Mais son destin sera tout autre. Le communisme, la guerre contre l'Allemagne : les cartes sont redistribuées. Malgré cela la musique est présente tout au long de l'histoire, même si on ne la voit pas : on la ressent, on l'entend. Elle est dans chacun des mots d'Andreï Makine, dans son style si beau, si noble, à l'image de la Russie, où il est né : il en écrit le visage sublime avec des mots français.
    Les pages fondent sous les yeux, on savoure, l'histoire a à peine commencé qu'elle est déjà terminée, on s'est fait avoir, comme d'habitude, on n'a pas vu le temps passer, on a beau se dire cette fois je vais lire lentement, on s'est laissé entraîner dans cette musique d'une vie, ce destin triste et fier, comme savent l'être les destins russes, avant de se rendre compte que non, on ne pourra pas la faire durer, cette musique, elle va se finir, quoiqu'on fasse. Et on termine la dernière page à regret, avec un peu du fatalisme russe, parce que la fin est inéluctable, le point final est là pour vous le rappeler, mais c'est sûr, vous le savez déjà au fond de vous, vous la réécouterez, cette musique. «





    HAENEL Yannick---Yan karski

    12/06/2010 14:27



    HAENEL Yannick
    JAN KARSKI, Gallimard, 2009, 186 pages
    Résumé du livre
    « Varsovie, 1942. La Pologne est dévastée par les nazis et les soviétiques. Jan Karski est un messager de la Résistance polonaise auprès du gouvernement en exil à Londres. Il rencontre deux hommes qui le font entrer clandestinement dans le ghetto, afin qu'il dise aux Alliés ce qu'il a vu, et qu'il prévienne que les juifs d'Europe sont en train d'être exterminés. Jan Karski traverse l'Europe en guerre, alerte les Anglais, et rencontre le président Roosevelt en Amérique. Trente-cinq ans plus tard, il raconte sa mission de l'épo-que dans 'Shoah', le grand film de Claude Lanzmann. Ce livre, avec les moyens du documentaire, puis de la fiction, raconte la vie de cet aventurier qui fut aussi un Juste. «
    « Laborieuse, la première partie se transforme en épreuve universitaire d'analyse et ne parvient jamais à justifier l'engagement de l'auteur dans sa direction. Quant à la seconde partie, difficile de ne pas s'interro-ger sur sa redondance, elle qui reprend l'épopée de Karski. Une mise en place pénible pour plonger dans la fiction "intuitive" d'Haenel, véritable coeur de ce roman. Esthétisant le désespoir, l'auteur entame une variation autour de la figure du messager, dénonçant l'immobilisme des Alliés et le combat d'un Juste. Mais traîne dans cette mise en scène de la réalité une âpre trahison. Pas question de remettre en cause l'absolue liberté de l'écrivain qui s'en donne à coeur joie et invente les pensées d'un homme à bout, terré dans le silence, atterré par celui du "monde libre". Si le message est louable, le sujet toujours aussi brû-lant de son urgence, si même 'Jan Karski' pose une foule de questions, une seule revient, lancinante et terrible : et si Yannick Haenel ne se contentait pas, finalement, d'écarter la parole du témoin pour s'oc-troyer la sagesse du sophiste et l'artifice du sentiment, annulant l'éloquence fondamentale du silence forcé de celui qui a tenté, en vain, de parler. »Source.www.evene.net
    Les deux premiers chapitres de ce roman nous rappellent en détails tous les événements qui ont provo-qué la deuxième guerre mondiale : l’occupation de la Pologne par l’Allemagne donc les nazis sous le do-mination d’Hitler et la complicité de la Russie dans ce conflit.
    Le troisième chapitre nous démontre les démarches de JAN KARSKI auprès des gouvernements britan-niques et américains , sous le règne du président Roosevelt, pour les prévenir que les Juifs d’Europe sont en train d’être exterminés.
    La question la plus importante qui suit est : »Pourquoi les Alliés ont-ils laissé faire l’extermination des Juifs d’Europe ? »


    La réponse pourrait être que ni les Européens ni les Américains ne voulaient accueillir les Juifs dans leur pays respectif.
    A lire sans faute si vous voulez une fois pour toutes connaître les aléas de la deuxième guerre mondiale. J’ai enfin eu des réponses possibles et pertinentes à ces questions. GiL






    HAGE Rawi---PARFUM DE POUSSIÈRE---LE CAFARD

    12/06/2010 14:33



    HAGE Rawi………….PARFUM DE POUSSIÈRE,


    « Alors qu'on annonce la parution de son deuxième roman quelque part cette an-née, le Montréalais d'origine libanaise Rawi Hage voit son Parfum de poussière, déjà couronné des prix McAuslan et Hugh MacLennan pour sa version originale anglaise, figurer parmi les finalistes du Prix des libraires 2008, après avoir été finaliste aux Prix du GG. Un succès initial éclatant et justifié - les deux ne vont pas toujours de pair - qui doit d'abord à la langue fougueuse et à l'indéniable sens du récit de son auteur, et auquel la très bonne traduction de Sophie Voillot n'a certainement pas nui. Que trouve-t-on dans ce pétaradant récit qui a pour décor le Beyrouth bombardé des années 80? De la violence, oui, de l'horreur, mais aussi beaucoup d'humour, les beautés et les limites de l'amitié, et des instants suspendus où la vie se cueille com-me un fruit rare. Le tout servi par un style effronté mais maîtrisé, qui permet à Hage d'embrasser cinq sujets dans la même phrase et de retomber pourtant sur ses pieds. Une trajectoire littéraire à suivre de près. Éd. Alto, 2008, 362


    PARFUM DE POUSSIÈRE, Alto, 2007, 350 pages »
    Description « Il pleut des bombes sur Beyrouth. Par légions de dix mille, les fléaux s’abattent sur cette ville déchirée par la guerre civile. Sous un soleil de plomb, on se livre une guerre sans merci pendant que les innocents se terrent dans les abris comme des rats. Bassam et Georges sont deux amis d’enfance qui ont grandi au milieu de cet enfer de gravats et de sang, dans l’écho assourdissant des détonations. Les deux voyous vivent de menus larcins jusqu’au jour où la dure réalité de la guerre vient les rattraper et les contraindre à un choix diffici-le: prendre les armes ou prendre la fuite. Tandis que Georges est séduit par les idéologies guer-rières de la milice, Bassam, de son côté, rêve de s’enfuir en Europe. Mais ceux qui partent ne re-viennent jamais… « Salué par la critique anglo-saxonne comme l’un des romans les plus puissants jamais écrit sur la réalité de la guerre, Parfum de poussière a révélé un écrivain doté d’un talent de conteur brut et d’une plume sauvage, hallucinée. Cru et fort comme un direct à l’estomac, ce premier roman dresse un portrait cinglant de l’absurdité de la violence qui n’est pas sans évoquer L’étranger de Camus, dont le spectre flotte sur ses pages, tachées par la poussière et le sang des hommes. » « Né à Beyrouth, au Liban, Rawi Hage a survécu à neuf ans de guerre civile. Il a immigré au Ca-nada en 1992. Il pratique avec succès l’écriture, les arts visuels, le commentaire politique et le métier de curateur. Son travail a remporté plusieurs prix. »
    Ce que nos libraires en pensent Dans cette oeuvre magistrale, Rawi Hage nous plonge au coeur de la guerre civile du Liban. Mais Parfum de poussière représente bien plus qu’une simple chronique des affres de la guerre: on y plonge dans les méandres de la nature humaine. Une balade dans le quotidien d’une guerre, non pas sur un front distant entre deux armées distinctes, mais dans une guerre qui se déroule sur le pas de sa porte. Que l’on cherche à la fuir ou à l’investir, il n’y a aucun gagnant ni perdant, uni-quement des hommes et des femmes qui cherchent à survivre et qui tentent de donner un sens à une existence dont les repères s’estompent peu à peu. Écrit dans une langue crue mais poéti-que, ce roman de Rawi Hage est à la fois matière à réflexion et portrait d’un monde déchiré. Une oeuvre qui traversera l’épreuve du temps. » Une oeuvre magistrale qui va nous marquer. GiL David Murray, Monet ….source: www.livresquebecois.com

    LE CAFARD, octobre 2009, 306 pages, Rawi HAGE
    « Montréal en hiver. Les rues sont désertes, livrées à un froid mordant. Dans un parc, un homme se pend à une branche pour tenter de mettre un terme à sa vie d’insecte. Il échoue. On l’oblige à entreprendre une thérapie avec une psychologue pleine de bonnes intentions à qui il livre malgré lui une confession de vo-leur solitaire, révélant peu à peu son enfance, ses rêves, l’espoir et la haine qui l’habitent, et comment sa soeur le transforma en cafard…
    Ce récit sans concessions, porté par un humour noir et un puissant souffle lyrique, confirme que l’auteur de Parfum de poussière (Prix des libraires du Québec, prix IMPAC Dublin) figure parmi les plus grands écrivains de sa génération.Le cafard instille dans l’esprit du lecteur son doux venin, altère sa perception de l’âme hu-maine et illumine les ténèbres de notre époque d’une bien étrange lumière.Traduit de l’anglais (Canada) par Sophie Voillot
    Rawi Hage Né à Beyrouth, au Liban, Rawi Hage a vécu aux États-Unis puis a immigré à Mon-tréal en 1992, où il vit toujours. Il pratique avec succès l’écriture, les arts visuels, le commentaire politique et le métier de curateur en plus de participer à des expo-sitions solos et collectives. Il a fait une remarquable entrée sur la scène littéraire mondiale avec Parfum de poussière (De Niro’s Game), publié dans une vingtaine de pays, finaliste à de nombreux prix, récipiendaire, entre autres, du Prix des libraires du Québec 2008, du prix IMPAC Dublin 2008 en plus de remporter le Combat des livres de la radio de Radio-Canada en 2009. Salué unanimement par la critique, Le cafard, (Cockroach) a été finaliste au Prix littéraire du Gouverneur général du Canada et au prix Scotiabank Giller.
    Quelques échos :« Parmi les qualités qui font à la fois de Rawi Hage un auteur im-mense, et du Cafard une lecture aussi essentielle que Parfum de poussière, citons la fraîcheur, l’audace, un lyrisme à vous tordre les tripes, une profonde intelligen-ce, un sens aigu de l’histoire et une vision politique subversive, auxquels s’ajou-tent la pudeur des émotions et une compassion sans compromis. »The Globe and Mail source: editionsalta.com/catalogue/cafard

    « On retrouve dans Le cafard l’intérêt caractéristique de [Rawi] Hage pour les losers, les dépossédés, les tourmentés, les désespérés de l’existence… Dans un roman em-preint d’humour noir et de dérision pour la somme de souffrance que tolère la société contemporaine, Hage dissèque le vécu des immigrants avec une grande justesse et une bonne dose d’audace. »London Free Press


    Roman d’une grande intensité. L’action se déroule à Montréal. Des immigrants tentent de s’intégrer dans un pays à l’opposé des leurs à tous les points de vue. Le personnage principal est arabe , son amie et maîtresse est Iranienne. Tous tentent de survivre dans des conditions difficiles de travail, de climat, de conflits entre eux. Ce roman est remarquable par son sujet et par son écriture profonde et vive. Le contexte est difficile et la survie de chacun dépend des autres. Un grand roman. GiL






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