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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES
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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

  • 976 articles publiés
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  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TÉMISCOUATA, QUÉBEC
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    """""HUMOUR---WESTLAKE Donald---MAUVAISESS NOUVELLES

    04/11/2010 22:54



    WESTLAKE Donald


    MAUVAISES NOUVELLES, Ed. Rivages thriller, 2002, 278 pages

    Présentation de l'éditeur
    « John Dortmunder, l’homme qui a donné un nouveau sens au mot « récidiviste », est là, toujours aussi entreprenant, inoxydable, pitoyable. Cette fois, il est en quête d’un Indien mort depuis longtemps, et néanmoins kidnappé. Tout a commencé sur internet, par la faute d’Andy Kelp qui a fait la connaissance virtuelle, puis réelle, d’un maître manipulateur nommé Fitzroy Guilderpost et de ses associés, Irwin Gabel et Petite Plume. les trois acolytes ont fomenté un projet insensé et ils ont besoin de main d’oeuvre. C’est ainsi que Dortmunder se retrouve dans un cimetière de Long Island, muni d’une pelle, dans la boue jusqu’aux genoux. Et ce n’est pas une métaphore, plutôt un euphémisme. Est-il en train de creuser sa tombe, ou celle du lecteur déjà mort de rire ? Voilà, on pensait avoir un certain répit, mais les mauvaises nouvelles sont confirmées : Dortmunder est de retour. » source : ww.bibliosurf.com


    Vous avez lu !
    par Thierry Godefroid
    « Dortmunder tome 10. Deux arnaqueurs vaguement intellos (Fitzroy et Irwin) montent un plan très futé visant à ramasser le tiers des bénéfices d’un casino géré par des tribus indiennes. Pour cela, ils ont besoin de pousser sur le devant de la scène une certaine "petite plume", la prétendue dernière descendante des Potaknobee… et d’échanger quelques cercueils dans un cimetière, afin que les tests ADN qui ne manqueront pas d’être demandés attestent de cette descendance. Kelp et Dortmunder sont donc embauchés pour ces basses besognes par Fitzroy et Irwin ; ces deux là se prennent vraiment pour des pros, et le mépris condescendant qu’ils servent à leurs prestataires va bien sûr leur revenir en pleine tronche, à plusieurs reprises.
    On retrouve dans cette aventure toute la bande du génial serial looser John D., à savoir Andy Kelp, Tiny Bulcher, et Stan Murch, les deux premiers avec leur compagnes nouvellement acquises (cf. les épisodes précédents), et le dernier avec sa maman, toujours chauffeur de taxi. C’est un régal de bout en bout, sans le moindre moment de faiblesse. Tout ce qu’on aime dans un Dortmunder est là ; la tendresse manifeste qu’éprouve Westlake pour son personnage est très communicative. Peut-être le meilleur épisode de la série !
    source : www.bibliosurf.com
    Livre vivement conseillé par Thierry Godefroid, lecteur.


    Très bon roman du genre polar mais humoristique ce qui est une denrée assez rare. J’ai beaucoup aimé. Le style est fluide, le contexte est amusant, les personnages sont astucieux, l’intrigue est ingénieuse et le tout est hilarant. On a juste le goût d’en lire un autre. Un auteur à découvrir sans faute si vous voulez vous amuser, vous détendre et lire un texte bien monté et intelligent.
    Gilles Lagrois, Auclair, Québec.






    ***RUFIN Jean-Christophe---KATIBA

    12/11/2010 16:05

    ***RUFIN Jean-Christophe---KATIBA


    KATIBA, Flammarion, 2010, 391 pages

    Présentation de l'éditeur
    « Une katiba est un camp de combattants islamistes installé dans le Sahara c’est à la fois une cache et un relais, un lieu où l’on prie, où l’on négocie et tue.
    Repère invisible en avion ou par satellite, c’est là que les pièges se resserrent et que se décident les attaques. Le chef de la zone qui s’étend entre le Mali, l’Algérie et la Mauritanie, Kader Bel Kader, a décidé de court-circuiter les autres bandes de trafiquants qui sévissent, afin d’asseoir son influence auprès des chefs d’al-Qaida. Expédié en Mauritanie par l’agence de renseignements Providence (qui agissait déjà dans l’ombre, avec Le Parfum d’Adam), pour espionner les artisans de ces menaces terroristes, Dim trouve sur sa route une jeune femme, Jasmine.
    A la fois française et algérienne, connaissant de l’intérieur la diplomatie occidentale et les nouvelles lois de la guerre terroriste, elle marche à la frontière entre deux mondes ennemis, elle fascine et inquiète. Elle incarne à elle seule le proverbe sénégalais qui ouvre le roman et en tisse la trame principale : « Un chien a beau avoir quatre pattes, il ne peut suivre deux chemins à la fois. »
    Un grand roman où se croisent et s’affrontent deux civilisations. »source :www.bibliosurf.com
    Vous avez lu !
    • par traversay, un lecteur
    « Dans Katiba, comme dans Globalia ou Le parfum d’Adam, Jean-Christophe Rufin sacrifie délibérément le style pour la narration. L’efficacité immédiate est l’objectif recherché dans ces thrillers dans l’air du temps (le fondamentalisme religieux après l’écologie), très documentés et astucieusement fragmentés, pour y suivre de façon concomitante une action qui se déroule sur plusieurs fronts (une mise en place très cinématographique). Katiba est un roman dont les personnages ressemblent à des clichés sauf que, bien entendu, ils ne sont pas en réalité ce qu’ils paraissent être. Le livre suit les lois du genre mais Rufin y introduit son propre regard, la distance ironique de celui qui n’est pas dupe de ce qu’il écrit et qui s’autorise quelques clins d’oeil malicieux au lecteur. Ce dernier est ravi de s’introduire, façon petite souris, dans les arcanes du Quai d’Orsay ou, plus intéressant, au coeur des campements du Sahara où s’ourdissent de sombres complots. On sait gré à Rufin de se situer hors de tout manichéisme, dans un monde gris où innocence et culpabilité sont des notions qui se discutent. Jasmine, la figure centrale de Katiba, est à cet égard plus qu’un symbole : franco-algérienne, elle est un personnage ambigu et énigmatique qui donne du piment à ce livre dense et rythmé. Et dont la crédibilité, par son aspect documentaire, n’est pas la moindre des qualités. »source :ww.bibliosurf.com


    Bon roman d’aventures avec des personnages attachants mais prévisibles dans une région chaude qu’est l’Afrique du Nord. On apprend comment pourrait s’introduire et fonctionner un groupe islamiste en quête de vengeance et de pouvoir dans cette région stratégique. Ça se lit bien mais on ne retrouve pas la qualité et la profondeur de texte que l’on attend de Jean-Christophe Rufin. Gilles Lagrois, Auclair, Québec.





    *****HUMOUR---WESTLAKE Donald---LES SENTIERS DU DÉSASTRE

    15/11/2010 23:45

    *****HUMOUR---WESTLAKE Donald---LES SENTIERS DU DÉSASTRE


    WESTLAKE Donald

    LES SENTIERS DU DÉSASTRE, Rivages thriller, 2006, 295 pages
    Présentation de l'éditeur
    « Paria ! Voilà un mot que Monroe Hall, requin haï, malhonnête et milliardaire, voudrait voir rayé du vocabulaire. Est-ce sa faute à lui s’il a si bien su empocher l’argent des autres, au nez et à la barbe de la justice ? Sa réussite justifie-t-elle qu’on le traite en paria, le privant de vie mondaine car aucun employé de maison ne veut travailler pour lui ? Jusqu’au jour où son agence lui envoie une merveilleuse équipe de serviteurs : un majordome, un chauffeur, un secrétaire, un garde du corps... Mais Monroe Hall ne sait pas que son majordome est en fait John Dortmunder, et que lui et ses amis ont l’intention de le dévaliser. Malheureusement, Monroe Hall disparaît et la police rapplique. Or, comme tout amateur de romans policiers le sait, dans ce genre d’histoire, le principal suspect est toujours...le majordome.
    Dortmunder est de retour, toujours prêt à tout, à la hauteur de toutes les situations et plus inénarrable que jamais. Pour la presse américaine, Donald Westlake a, avec ce personnage, quasiment inventé un nouveau genre littéraire : la dortmundermania.
    "Un très grand Westlake, et un très grand Dortmunder." (Alexandre Fillon, Lire)
    "Juvénile et intarissable, Westlake s’amuse. Et ça s’attrape." (Judith Steiner, Les Inrockuptibles)
    source :www.bibliosurf.com


    Un autre Westlake très réussi avec un scénario plein de rebondissements, de surprise en surprise, de personnages les plus colorés les uns que les autres. Les événements se précipitent comme le malheur sur le pauvre monde. Pour passer un bon moment de détente rien ne vaut un bon Westlake.

    Dormunder est incomparable, ingénieux, déterminé et jamais en manque d’idées. La vengeance des uns peut enrichir les autres. Les gens malhonnêtes ont des raisons personnelles d’être malhonnêtes comme quoi les hommes richissimes sont souvent très malhonnêtes alors autant en profiter…aussi.
    Gilles Lagrois, Auclair, Québec.






    *****PROVOST Martin---BIFTECK

    17/11/2010 00:19

    *****PROVOST Martin---BIFTECK


    PROVOST MARTIN

    BIFTECK, Phébus, 2010, 124 pages

    « Une fable qu'on lit d'une traite en souriant, en riant de bon coeur, mais aussi par moment avec une pointe de tristesse.
    Si on se prend au jeu, un vrai plaisir ! »
    „X Les présentations des éditeurs : 15/06/2010
    « Chez Plomeur, à Quimper, on est boucher de père en fils. En pleine Première Guerre mondiale, le tout jeune André se découvre un don pour faire «chanter la chair» - et pas n'importe laquelle : celle des femmes, dont la file s'allonge devant la boucherie... Leurs hommes partis au front, celles-ci comptent sur André pour goûter au plaisir suprême. Hélas, le conflit touche à sa fin et les maris reviennent. Un matin, le boucher trouve sur le pas de sa porte un bébé gazouillant dans un panier en osier, puis un deuxième, un troisième... Du jour au lendemain, le voilà père de sept enfants, et poursuivi par un époux jaloux décidé à lui faire la peau. Avec la chair de sa chair. André s'enfuit à Concarneau et affrète un bateau. Direction l'Amérique !

    Martin Provost sort des sentiers battus pour nous proposer une fable savoureuse, où il est question de sensualité, de paternité et du rapport à notre terre nourricière. Il y a du Gargantua et du Robinson Crusoë dans ce Bifteck exquis et étonnant, à consommer sans modération !

    Né à Brest. Martin Provost est cinéaste et écrivain. Il a réalisé trois longs métrages, dont Séraphine, plébiscité par la presse comme par le public, et récompensé en 2009 par sept César. Il tourne actuellement une adaptation du roman de Keith Ridgway Mauvaise Pente (Phébus. prix Femina 2001), avec Yolande Moreau et Édith Scob dans les rôles principaux. Bifteck est son troisième roman. »
    Source :www.lechoixdeslibraires.com



    „X La revue de presse Jean-Claude Lebrun - L'Humanité du 4 novembre 2010


    « C'est un petit récit tonique et réjouissant que nous propose Martin Provost. Si l'on devine en lui un fin lecteur de Rabelais et de Daniel Defoe, adeptes des narrations longues, l'on est paradoxalement sidéré par sa rapidité d'exécution. Une multiplicité d'épisodes se succède à un rythme effréné, pour restituer en accéléré la trajectoire d'une vie...
    Après la grande traversée et l'envol de chacun sur la nouvelle terre, la tonalité joyeuse et gargantuesque des débuts fait son retour. À une inventivité et à un souffle narratif indéniables , Martin Provost ajoute en effet une jolie dose d'humour. Pour nous donner l'un des livres les plus singuliers de cet automne. »
    source :www.lechoixdeslibraires.com

    Une belle surprise, une belle découverte : un conte pour adultes, non pas du genre XXX, mais environnementaliste, quelque peu romantique ou sentimental et toujours jeune d’âme.
    Conte qui nous présente un adolescent précose doté d’un rôle de père fécond. Un beau conte relevant de la magie et de l’imaginaire collectif.Très inspirant pour futur père ou grand-père .La magie ça se partage. À lire sans faute.
    Gilles Lagrois, Auclair, québec.





    *****ADIGA Aravind---LE TIGRE BLANC

    19/11/2010 01:08

    *****ADIGA  Aravind---LE TIGRE BLANC


    ADIGA Aravind

    LE TIGRE BLANC. Buchet.Chastel, 2008, 318 pages
    Présentation de l'éditeur
    « Le tigre blanc, c’est Balram Halwai, ainsi remarqué par l’un de ses professeurs impressionné par son intelligence aussi rare que ce félin exceptionnel.
    Dans son Bihar natal miséreux, corrompu et violent, Balram est pourtant obligé d’interrompre ses études afin de travailler, comme son frère, dans le tea-shop du village. Mais il rêve surtout de quitter à jamais les rives noirâtres d’un Gange qui charrie les désespoirs de centaines de générations. La chance lui sourit enfin à Delhi où il est embauché comme chauffeur. Et tout en conduisant en driver zélé, au volant de sa Honda City, M. Ashok et Pinky Madam, de centres commerciaux rutilants en banques avenantes, d’hôtels de luxe en restaurants à la mode, Balram Halwai est ébloui par les feux brillants de l’Inde récente des nouveaux entrepreneurs. L’autre Inde, cependant, celle des trente-six millions et quatre dieux, celle des castes, des cafards, des taudis, des embouteillages monstres, des affamés, des éclopés et des laissés-pour-compte de la Shining India du XXIe siècle, finit par avoir raison de son honnêteté.
    Car, de serviteur fidèle, Balram bascule dans le vol, le meurtre et pour finir... dans l’Entreprise...
    Roman obsédant écrit au scalpel et à même la chair du sous-continent, Le Tigre blanc, conte moderne, irrévérencieux, amoral mais profondément attachant de deux Indes, est l’œuvre de l’un des jeunes auteurs indiens les plus doués. » source :www.bibliosurf.com
    Vous avez lu ! par Kathel
    « Autobiographie d’un indien à demi-cuit », Le tigre blanc est le portrait de Balram, jeune entrepreneur autodidacte, n’ayant fréquenté l’école que deux ans avant de devoir travailler à casser du charbon pour que sa famille puisse payer le mariage de sa cousine. A force de persévérance et d’intelligence, il réussit toutefois à apprendre à conduire et à se faire embaucher. Il devient un chauffeur de maître qui voit tout, entend tout et apprend énormément, passant peu à peu de pauvre et honnête à cynique et corrompu. C’est profondément amoral, bien sûr, mais on apprend nous aussi beaucoup de Balram à propos du système des castes en Inde, des relations entre maîtres et serviteurs, de l’aliénation dûe à la pauvreté, mais aussi au manque de culture et à la cruauté des puissants qui se vengent sur les familles de ceux, trop rares, qui osent se rebeller. Pourtant, pense Balram, « Dès l’instant où vous connaissez ce qui est beau en ce monde, vous cessez d’être un esclave »… Même si on sait depuis le début ce qu’il va advenir du Tigre Blanc, jusqu’au bout on s’intéresse à son évolution humaine et intellectuelle, qui n’est en rien idéalisée par l’auteur. On a aussi la gorge serrée de l’opposition entre les Ténèbres et la Lumière, comme Balram nomme la vie des pauvres et celles des riches. C’est un livre-choc, on ne sourit pas forcément de l’amoralité qui gagne progressivement le personnage, elle peut même choquer, mais qui peut le juger au regard de la vie inhumaine des basses castes en Inde ? »
    source :www.bibliosurf.com


    Quel beau roman. !!! L’Inde des castes. À ne rien y comprendre. Pourtant un homme d’une caste inférieure peut avec beaucoup d’humilité, d’obéissance, d’habileté parvenir à être …maître de sa destinée et…. Devenir riche.
    Ce roman c’est la destinée d’un homme « domestiqué » mais surtout celle d’un pays en mal de bien-être, en manque de soins médicaux, de dignité humaine, de respect de la vie soumis aux règles de l’enrichissement des castes supérieures.
    La réussite a un prix et c’est la vie des autres. Un grand roman.
    Gilles Lagrois, Auclair, Québec.






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