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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES
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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

  • 976 articles publiés
  • 123 commentaires postés
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  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TÉMISCOUATA, QUÉBEC
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    *****PINGEOT MAZARINE---MARA

    02/09/2010 16:59

    *****PINGEOT MAZARINE---MARA


    PINGEOT Mazarine

    MARA, Julliard, 2010, 506 pages

    Présentation de l'éditeur
    « La surprise vient de la liberté et de l’inventivité avec lesquelles Mazarine Pingeot s’empare
    une fois de plus - d’un sujet tabou, pour en faire une épopée moderne et romanesque.
    Tanger la Blanche. Un mausolée sur un toit. Deux corps nus, enlacés, entre la vie et la mort. Mara et Manuel, le mannequin vedette et l’homme d’affaires brillant, sont étendus sur le lit, gisants tragiques d’une mise en scène suicidaire. Eux, qu’une beauté et une fortune trop arrogantes rendaient intouchables, ont choisi de se laisser mourir. Hicham, l’associé et l’ami de Manuel, qui les découvre et les sauve, veut comprendre comment ces deux êtres qu’il admire tant ont pu en arriver là.

    Ainsi s’ouvre l’histoire de Mara, cette jeune femme étrange, inaccessible à elle-même autant qu’aux autres, qui va se révéler au cours d’une longue et éprouvante quête des origines. Sortis de leur coma, Mara et Manuel sont séparés dans deux hôpitaux différents. Mara reste seule, incapable de surmonter la douleur qui la broie. Quand et où le désespoir a-t-il commencé ? À seize ans, le jour où elle a retrouvé Manuel, le frère dont elle avait été séparée après sa naissance ? Ce même jour où les deux jeunes gens sont tombés immédiatement amoureux l’un de l’autre, enfreignant un des tabous les plus terribles ? Ou bien son mal de vivre vient-il de plus loin : du jour où leur père les a abandonnés, à peine âgés de dix-huit mois ? Subjugué par la jeune femme, Hicham veut l’arracher à sa mélancolie et à Manuel. Avec lui, elle échafaude le rêve d’accomplir son désir d’enfant. Mais d’abord, elle doit partir à la recherche de ses origines dont elle ignore tout. Il lui promet de la soutenir durant cette quête.
    Pour elle, il abandonne sa famille et l’entraîne dans ce voyage halluciné qui les conduira jusqu’en Algérie d’où la mère de Mara était originaire. Dans cette Alger déchirée par les affres de la guerre civile, où plane l’ombre menaçante et désirée de l’amant, de l’ami, du frère. Après l’immense succès commercial de Bouche cousue, suivant la voie du Cimetière des poupées, Mazarine Pingeot s’aventure encore plus loin dans l’écriture romanesque, sans déroger à sa manière audacieuse d’explorer l’amour qui fait mal.

     Le secret, le trio, la filiation..., la romancière retrouve les obsessions qui lui sont propres pour tisser un nouveau portrait de femme. Mais cette fois, d’une rive à l’autre de la Méditerrannée, les générations s’affrontent et les voix se répondent sur fond d’une page noire de l’Histoire. Les récits s’entremêlent, lumières et décors prennent vie pour participer à l’invention d’un destin surprenant et délivrer à chacun, par des détours inattendus, une partie de l’énigme. C’est l’intrusion du cinéma qui se fait voir dans les mots de Mazarine Pingeot, son plaisir du suspense et sa fascination pour les amours tragiques et flamboyantes.
    Normalienne, agrégée et professeure de philosophie, Mazarine Pingeot a déjà publié, chez Julliard, Premier roman, Zeyn ou la Reconquête, Ils m’ont dit qui j’étais, Bouche cousue et Le Cimetière des poupées. »source :www.bibliosurf.com


    Que dire de ce roman bouleversant par son sujet tabou, l’inceste, vécu dans des pays arabes de croyance musulmane et en situation de guerre continue. Le style est poignant, réaliste à l’extrême, plongeant dans l’intimité de trois êtres liés par l’amour, l’amitié, le pouvoir social de l’homme sur la femme. Ce roman est une fresque détaillée de la vie intime de la vie de trois êtres par une description détaillée de leur vie intérieure, psychologique et sociale sans honte, sans gêne voire dramatique. Ces êtres sont à la fois fragiles, forts mais déséquilibrés par les événements souvent incrontrôlables qui les poursuivent. Un livre magistral et une auteure dévoilant un immense talent d’écriture. GiL






    **** R.J.ELLORY---VENDETTA---

    06/09/2010 16:49

    ****  R.J.ELLORY---VENDETTA---


    VENDETTA, Sonatine Édition, 2009, 651 pages

    Présentation de l’éditeur
    « Après Seul le silence, R. J. Ellory nous offre un thriller au suspense exceptionnel, doublé d’une impressionnante histoire de la mafia depuis les années 50 jusqu’à nos jours.
    2006, La Nouvelle-Orléans. Catherine, la fille du gouverneur de Louisiane est enlevée, son garde du corps assassiné. Confiée au FBI, l’enquête prend vite un tour imprévu : le kidnappeur, Ernesto Perez, se livre aux autorités et demande à s’entretenir avec Ray Hartmann, un obscur fonctionnaire qui travaille à Washington dans une unité de lutte contre le crime organisé. À cette condition seulement il permettra aux enquêteurs de retrouver la jeune fille saine et sauve. À sa grande surprise, Hartmann est donc appelé sur les lieux.
    C’est le début d’une longue confrontation entre les deux hommes, au cours de laquelle Perez va peu à peu retracer son itinéraire, l’incroyable récit d’une vie de tueur à gages au service de la mafia, un demi-siècle de la face cachée de l’Amérique, de Las Vegas à Chicago, depuis Castro et Kennedy jusqu’à nos jours. Quel est le véritable enjeu de cette confrontation ?

     Pourquoi Perez a-t-il souhaité qu’Hartmann soit son interlocuteur ? Alors que s’engage une course contre la montre pour retrouver Catherine et que, dans l’ombre, la mafia et les autorités s’inquiètent du dialogue qui s’établit entre les deux hommes, Hartmann ira de surprise en surprise jusqu’à l’étonnant coup de théâtre final.
    Avec ce roman d’une envergure impressionnante, R. J. Ellory retrace cinquante ans d’histoire clandestine des États-Unis à travers une intrigue qui ne laisse pas une seconde de répit au lecteur. Maître de la manipulation, il mêle avec une virtuosité étonnante les faits réels et la fiction, le cinémascope et le tableau intime, tissant ainsi une toile diabolique d’une rare intensité. «
    « R. J. Ellory est né en 1965. Après l’orphelinat et la prison, il devient guitariste dans un groupe de rock, avant de se tourner vers la photographie. Après Seul le silence (Sonatine Éditions, 2008), Vendetta est son deuxième roman publié en France. »
    source : www.bibliosurf.com

    Roman du genre polar très bien construit : à chaque chapitre le personnage Ernesto Perez présente un événement important de sa vie à l’inspecteur Hartmann qui a été contraint d’assister à la confession de Perez qui relate sa vie d’homme de main à la solde de la mafia. Nous sommes tenus en haleine d’un chapitre à l’autre autant par les événements qui s’enchaînent subtilement que par le style accrocheur de l’auteur. Un excellent polar. GiL






    *****THUY Kim---RU

    11/09/2010 16:18

    *****THUY Kim---RU


    THUY Kim

    RU, Libre expression, 2009, 144 pages


    « Sobre et pudique, Kim Thúy raconte l'exode de sa famille.

    Elle est venue au monde pendant l'offensive du Têt, "aux premiers jours de la nouvelle année du Singe". Dix ans après, la voici dans un ventre moins protecteur : celui d'un bateau fuyant le Vietnam. Kim Thúy est une boat people. Elle réside au Canada depuis trente ans et vient de publier Ru, un premier "roman" aux airs de récit autobiographique - un exercice de mémoire réussi, empli de poésie.
    En français, ru désigne un petit ruisseau. On le sait moins, en vietnamien ce mot veut dire "berceuse"... Ainsi, Kim Thúy berce le lecteur de ses mots, dans un beau français dépouillé, mâtiné d'expressions vietnamiennes et d'images fortes. Sur le bateau, une étoile polaire donne de l'espoir : une ampoule suspendue à un clou rouillé. Dans le camp de réfugiés, la cabane sur pilotis est recouverte d'une toile "bleu jouet".
    Nguyen An Thin, la narratrice, reste attachée au souvenir de sa mère : " Mon nom est une simple variation du sien puisque seul un point sous le i me différencie d'elle." Cette mère, fille de préfet, était une habituée des réceptions mondaines. Mais, en prévision de la chute, elle enseignait à ses enfants à s'agenouiller "comme les domestiques".
    Courageuse, comme le sont les femmes de son pays, la narratrice ne se plaint jamais de son sort. Elle compare les biscottes imbibées d'huile de moteur à du pain beurré. Elle retient, de l'amoncellement d'excréments dans le camp, la vision de sa babouche d'enfant. Elle constate, se souvient, avec toujours aux lèvres le sourire de la politesse : "Ma langue maternelle était devenue non pas dérisoire, mais inutile." Elle apprend l'anglais mais ne retient qu'une seule phrase ("my boat number is KGO338") et conclut, avec l'humour acidulé qui fait tout le charme de son récit, souvent burlesque : "Je n'ai jamais eu la chance de l'employer."
    En racontant l'histoire de sa famille, An Thin - ou Kim - nous rappelle aussi celle d'un pays "divisé en deux", l'entrée des communistes à Saigon, le chant des mouches, l'humiliation, les camps de rééducation. En comparaison de la guerre, le Canada français, terre d'exil, apparaît un paradis terrestre. La première image aperçue, à travers les hublots d'un avion, est celle d'un paysage "virginal".
    Le joli roman de Kim Thúy n'est jamais triste. Sa mère lui récitait souvent ce proverbe vietnamien : "La vie est un combat où la tristesse entraîne la défaite." Elle a livré ses combats sans tristesse. Et sa fille nous livre un récit apaisant. »
    Source : www.lexpress.fr


    Présentation de l'éditeur
    « Une femme voyage à travers le désordre des souvenirs : l’enfance dans sa cage d’or à Saigon, l’arrivée du communisme dans le Sud-Vietnam apeuré, la fuite dans le ventre d’un bateau au large du golfe de Siam, l’internement dans un camp de réfugiés en Malaisie, les premiers frissons dans le froid du Québec. Récit entre la guerre et la paix, Ru dit le vide et le trop-plein, l’égarement et la beauté. De ce tumulte, des incidents tragi-comiques, des objets ordinaires émergent comme autant de repères d’un parcours. En évoquant un bracelet en acrylique rempli de diamants, des bols bleus cerclés d’argent ou la puissance d’une odeur d’assouplissant, Kim Thúy restitue le Vietnam d’hier et d’aujourd’hui avec la maîtrise d’un grand écrivain. » source : www.bibliosurf.com


    • « Récit bouleversant d’une vie miraculeusement arrachée à la mort, le livre de Kim Thuy se lit sereinement parce que dénué de ressentiment, de rancœurs .Une écriture fluide et accrocheuse tant sur le plan de la langue qui « croise » les mots du français avec des expressions vietnamiennes que sur le plan des descriptions très imagées. Cette mémoire semble se repérer à la lueur des souvenirs les plus vivaces et Kim les évoque avec beaucoup de délicatesse pour mieux nous communiquer la sensibilité qui les transporte. Kim, c’est aussi ce « ruisseau » dont le murmure de l’eau « berce » notre lecture de sentiments qui exaltent la pudeur, le respect, ne laissant aucune place à la haine. Un récit en somme dédié à tous ceux dont l’exil a contraint à un perpétuel recommencement … Un livre pour apaiser la souffrance de ceux qui ne sont de nulle part … Kamel Kies »
    Livre vivement conseillé par kamel kies, une lectrice.
    Source : www.bibliosurf.com


    J’ai aimé ce roman genre récit par son réalisme, son objectivité, son humour. Ce texte nous touche car il est authentique, nous fait vivre toutes les émotions et les étapes que doit vivre une immigrante qui quitte son pays en détresse. Une belle qualité d’écriture, une façon bien particulière de nous faire comprendre son vécu et son adaptation dans un pays nouveau qu’est le Québec pour elle. Une belle révélation. À lire sans faute. Gilles Lagrois






    DADOUN Emanuel---LAZARUS

    14/09/2010 16:01

    DADOUN Emanuel---LAZARUS


    DADOUN EMANUEL

    LAZARUS, Éd. Sarbacane, 2010, 246 pages
    Résumé

    « Piquier tue dans les villes, sans logique apparente. Il obéit à un rituel : une victime anonyme, un doigt coupé et un signe cabalistique tracé au sang sur un mur. Il ignore pourquoi il agit ainsi, c'est une voix dans sa tête qui le force à commettre ces actes... L'inspecteur Kowalski enquête et dessine le portrait-robot d'un homme, mort depuis dix ans. Premier roman. » source : www.renaud-bray.com

    Roman du genre polar-thriller. Roman policier assez bien construit et intrigant, un mélange de culture vaudou à la mexicaine avec zombis, meurtre, recherche policière et science médicale. Si le genre t’intéresse. Gilles Lagrois





    ****AUSTER Paul---INVISIBLE

    17/09/2010 21:59

    ****AUSTER Paul---INVISIBLE


    AUSTER Paul, INVISIBLE, Actes Sud, 2010, 294 pages

    Actes sud, 3 mars 2010 304 pages ISBN 9782742789207

    Présentation de l'éditeur
    « Trois décennies après les événements, James Freeman, un écrivain américain renommé, raconte l’histoire dont l’a fait dépositaire un ancien condisciple, Adam Walker, du temps où tous deux étaient étudiants à Columbia University. De New York à Paris, cet étrange roman de formation, déroule, outre l’histoire d’Adam, un jeune Américain idéaliste dont la vie s’est trouvée bouleversée par la rencontre d’un personnage fascinant et ambigu, Rudolf Born, celle de quelques personnages qui, malgré le passage du temps, subissent toujours l’étrange et périlleux ascendant d’une figure maléfique. »
    Vous avez lu !
    • 8 mars 2010 15:23, par traversay
    « En très grande forme, Paul Auster, dans son dernier roman Invisible. La conduite de son récit est d’une virtuosité rare, avec un curseur qui se déplace à plusieurs reprises, en braquant l’objectif sur différents personnages liés par une intrigue qui court sur plus de trois décennies. Roman d’apprentissage, brûlot érotique (plusieurs pages chaudes comme de la braise), thriller psychologique, Invisible est tout à la fois, écrit d’une plume virevoltante, sans effort apparent (la marque des grands). Qu’Auster parle de sexe avec une certaine crudité est inédit mais ce n’est qu’anecdotique dans un livre qui contient bien d’autres piments. En maître alchimiste, Auster bâtit un livre à l’architecture complexe, réhaussé par une prose limpide, nettoyée de toutes scories, qui a entre autres qualités celle de laisser au récit de nombreuses zones d’ombre. Non seulement Auster est un auteur intelligent mais il donne au lecteur l’impression qu’il l’est lui-même, intelligent. Chapeau, l’artiste ! » source : www.bibliosurf.com

    Roman surprenant par son sujet autant que par son style sorti d’une autre époque, d’un autre temps….presque bourgeois.
    J’aime ce genre d’écriture, de contexte, de personnages mystérieux, secrets, énigmatiques, irréels voire imaginaires tant ils sont différents des gens ordinaires de cette époque, des anonymes. « Quelle loi interdit d’aimer un cinglé… » Ça frappe.
    La vie est faite de différences et de folie. En voilà un exemple. Gilles Lagrois





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