| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://livresentete.vip-blog.com


ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

  • 976 articles publiés
  • 123 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TÉMISCOUATA, QUÉBEC
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Juillet  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    30010203040506
    07080910111213
    14151617181920
    21222324252627
    282930010203
    [ ESSAI ] [ Conte, FANTASTIQUE, FÉÉRIE, SCIENCE FICTION ] [ LIVRES AU JOUR LE JOUR # 1 ] [ Roman du genre thriller ] [ RÉCIT ] [ Thriller québécois ] [ Roman québécois ] [ Roman du genre thriller ] [ Roman genre polar ] [ Littérature étrangèr ] [ Roman polar québécoi ] [ MES POÈMES-GIL ]

    ****SHAFFER MARY A., ANNIE BARROWS, LE CERCLE LITTÉRAIRE DES AMATEURS D'ÉPLUCHURES DE PATATES

    24/03/2011 13:20

    ****SHAFFER MARY A., ANNIE BARROWS, LE CERCLE LITTÉRAIRE DES AMATEURS D'ÉPLUCHURES DE PATATES


    SHAFFER MARY ANN, ANNIE BARROWS
    LE CERCLE LITTÉRAIRE DES AMATEURS D’ÉPLUCHURES DE PATATES,

    Un moment de lecture sympathique
    « Sous forme de correspondances, Mary Ann Shaffer et sa nièce Annie Barrows nous narre les aventures de Juliet, jeune femme drôle et pleine d’entrain. Celle-ci va correspondre quelques mois avec ses nouveaux amis de Guernesey avant de s’y rendre.

    L’idée de construire un roman à travers une correspondance entre plusieurs personnes est inhabituelle. Par contre, bien que cela ne m’ait pas gêné, le style de chaque correspondant est identique. Il est difficile de distinguer les différents protagonistes. Il y en a parfois tellement qui n’interviennent qu’une ou deux fois qu’à certains moment, je me suis sentie un peu perdue entre les « vies » des habitants de Guernesey.

    Divisée en deux parties, ce roman est agréable à lire et les personnages, attachants (y compris Adelaïde, femme aigrie qui se fait un devoir de dénoncer les pratiques de ses semblables). J’ai beaucoup aimé Isola, une vieille fille excentrique et très ouverte aux autres. Juliet est amusante et son regard sur ce qui l’entoure se ressent. Il y a donc beaucoup de bonne humeur et de vie dans ce qu’elle peut raconter à travers ses lettres. J’ai également apprécié le fait que les auteurs ont su rendre si vivante le personnage d’Élisabeth à travers ce que les autres habitants disent ou écrivent sur elle alors qu’elle est le personnage absent de cette histoire.

    Quand à l'île de Guernesey respire le bien-être et on se laisse facilement transporter sur cette île. En ouvrant les pages de ce roman et notamment la deuxième partie, une impression d’être en vacances se faisait sentir. On embarquerait facilement sur un bateau pour partir y vivre !

    Le cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates est un bouillon d’humanité dans le contexte de la reconstruction entre les souvenirs douloureux et une envie de rebâtir. Un moment de lecture agréable. »source :www.critiqueslibres.com



    « Ce livre est un bon mélange d'éléments:
    Un roman épistolaire, mais dont la lecture n'est pas fastidieuse.
    Un roman avec des références historiques.
    Un roman de filles, avec des papotages, des ragots.
    Un roman d'amour, un peu mais pas trop.
    Un roman humoristique.
    Un roman sur les livres et la lecture en générale.

    J'ai apprécié la lecture de ce livre. Je ne le relirai pas plusieurs fois, mais j'ai été contente de succomber à son titre accrocheur et à sa couverture attrayante. Les échanges de lettres m'ont fait sourire. Les bavardages à la fois sérieux et amicaux s'enchainent sur un ton léger.

    Comme un autre des critiques, j'ai été étonnée des délais d'envoi des courriers. Ils se suivent très rapidement. Réaliste ou pas ?

    Livre à conseiller, sans hésitation.
    Kik (Rennes,26 ans) - 7 janvier 2011
    Source :www.critiqueslibres.com

    Personnellement j’ai bien apprécié la lecture de ce roman contruit de façon inhabituelle sous forne de correspondance entre personnes inconnues dans une période précise, celle du la dernière guerre mondiale. Au début j’ai trouvé ardu de me souvenir de tous ces personnages en majorité féminins et quelques-uns masculins. Finalement une fois cet effort fourni j’ai pris plaisir à découvrir des êtres à la recherche d’identité, d’amitié, d’un désir intense de prendre contact avec des personnes pouvant partager une autre réalité que celle de la guerre d’où le prétexe de ce cercle littéraire qui se voulait de rapprocher des gens isolés.
    Le style est fluide mais rapide, parfois des lettres très rapprochées ne serait-ce que d’un jour malgré les difficultés du service postal de l’époque. Le tout est sympathique et nous donne le goût de connaître ces personnes plus profondement et de leur rendre visite. Roman original, une approche humaine très louable et réussie.
    Gilles Lagrois, Auclair, Québec.
    "L'art de lire c'est l'art de penser avec un peu d'aide." inconnu




    ****BEIGBEDER Frédéric, UN ROMAN FRANÇAIS

    24/03/2011 22:28

    ****BEIGBEDER Frédéric, UN ROMAN FRANÇAIS


    BEIGBEDER Frédéric

    UN ROMAN FRANÇAIS, Grasset, 2009, 280 pages


    AU LECTEUR


    "L'idée de ce livre m'est venue le 20 janvier 2008, quand j'étais en garde à vue au commissariat du 8ème arrondissement de Paris. Pour oublier ma claustrophobie, je me suis réfugié dans le pays perdu de mon enfance. Je croyais avoir tout oublié, et puis…petit à petit, un monde m'est apparu. Je suis le fils d'une aristocrate limousine et d'un riche héritier américano-béarnais; mon enfance fut marquée par leur divorce en 1972. Mon paradis c'est la plage de Cénitz à Guethary, le parc de la Villa Navarre à Pau, la colline du château de Vaugoubert à Quinsac, les reflets verts des avenues de Neuilly et des allées du Bois de Boulogne : c'est un monde révolu. La France dans laquelle j'ai grandi n'avait rien à voir avec celle d'aujourd'hui, je la décris sans nostalgie, comme une contrée imaginaire, comme si mon passé était une fiction. Il m'a semblé redécouvrir quelque chose ou quelqu'un, une époque, une famille, un pays, mais je peux me tromper, je n'ai pas le recul nécessaire.
    Après avoir écrit un roman qui se passait en Amérique et un autre qui se déroulait en Russie, je voulais sans doute rentrer chez moi ; c'est souvent le cas des gens qui sont enfermés dans une cellule.
    Bizarrement, depuis vingt ans que je publie des livres, je n'avais jamais parlé de mon passé. J'attendais peut-être, pour écrire " Un roman français", de ne plus pouvoir faire autrement. Ou alors c'est plus grave : mon utopie est derrière moi."
    Source :www.editions-grasset.fr


    « Comme chacun sait car il en a beaucoup été question lors de sa sortie, ce roman a été inspiré à l'auteur par sa garde de vue très médiatisée suite à une consommation de stupéfiants sur la voie publique. Ainsi que Frédéric Beigbeder le dit, il a alors eu envie de remonter le temps et le fil de son histoire, pour ressusciter une mémoire profondément enfouie. A tel point qu'il se croyait amnésique et que ses proches le voyaient comme un dandy indifférent.

    Je pense que ce livre, très agréable à lire, entrera particulièrement en résonance chez les lecteurs de la même génération que l'auteur. Grâce à lui, je me suis remémoré certaines choses que je croyais moi aussi effacées de ma mémoire, comme le fait de manger au goûter des tartines beurrées saupoudrées de Benco. Beaucoup de souvenirs télévisuels ont également refait surface, et je me suis surprise à fredonner tous les jingles publicitaires évoqués.
    J'ai en revanche moins goûté les chapitres où il narre par le menu son interminable garde à vue, car j'ai eu l'impression que Frédéric Beigbeder revêtait alors l'armure qu'il s'efforçait de fendre dans l'évocation de ses souvenirs d'enfance.

    En résumé, ce livre nostalgique au doux parfum de bonbons aujourd'hui disparus m'aura fait vivre un agréable moment. Et même s'il ne figurera sans doute pas dans une bibliothèque idéale, ce n'est déjà pas si mal. »

    source : www.critiqueslibres.com
    Aliénor - 11 mars 2011


    « Moi aussi Beigbeder m'énerve, mais je trouve qu'il a du talent ! Ce livre prouve une fois de plus que quand il se met à écrire, Beigbeder efface totalement l'agaçant personnage bobo médiatique. J'ai bien aimé cette biographie sensible, honnête, qui fleure bon la France et surtout très bien écrite.
    Mais comme je le disais, il y a toujours un truc qui m'énerve chez lui... Dans ce bouquin, c'est le fait qu'il ose s'insurger contre le fait d'avoir été mis en garde à vue pour consommation de cocaïne sur la voie publique et sur les conditions de sa garde à vue. Je trouve cela indécent... Mais je lui pardonne à moitié car ce fut le déclic pour se mettre à écrire ce joli livre. »
    source :www.critiqueslibres.com
    Gnome (Paris, 7 décembre 2010)
    « Ce livre, contrairement à ce qui est annoncé, n’est pas un roman. Sauf si l’on se réfère à la phrase : « Ma vie est un roman «. Plutôt donc une autobiographie. Qui n’est pas sans intérêt, comme toute autobiographie, mais elle en reste là. Beigbeder nous dit qu’il est amnésique et pourtant que d’anecdotes, que de souvenirs. Il manque toutefois ici un peu de panache, de profondeur. Certains chapitres sont même assez insignifiants. L’auteur ratisse large et l’on reste (un peu) sur sa faim.
    J’ai bien aimé le chapitre « inventaire parental«.
    Mais sa " dénonciation " du système carcéral tombe à plat. Loupé !
    Catinus (Liège,- 9 octobre 2010 » source : www.critiqueslibres.com

    Ce roman autobiographique relate l’histoire d’un homme qui avoue avoir oublié son enfance c’est à dire tout ce qui s’est passé avant ses seize ans : il a un frère aîné qui est son modèle et son antithèse, des parents séparés, une vie avec différents beaux-pères. À travers ses confidences on retrace le véritable homme qui se cache sous son amnésie.
    Ce roman demeure un roman touchant où tous et chacun pouvons nous reconnaître face à une vie de famille divisée et confuse qui nous est imposée face à des événements hors de notre contrôle et celui de nos parents. On ne peut jeter la pierre à qui que se soit car ainsi sont les turpitudes de la vie.
    Gilles Lagrois, Auclair, Québec.


    « Il est difficile de se remettre d’une enfance malheureuse, mais il peut être impossible de se remettre d’une enfance protégée. »
    « page121
    « Chaque geste que nous faisons, chaque parole prononcée a des conséquences. Le silence de ma mère sur l’absence soudaine de mon père m’a fait vivre toute mon enfance dans une fiction, celle d’un papa en voyage et d’une maman délaissée qui finit par se consoler dans les bras d’un autre. » page130
    « J’ai été un garçon assujetti à un nouveau matriarcat, idolâtrant sa mère, mais avec une revanche à prendre sous toutes les femmes. » page 249
    « C’est l’histoire d’une Emma Bovary des seventies, qui a reproduit lors de son divorce le silence de la génération précédentes sur les malheurs des deux guerres.
    C’est l’histoire d’un homme devenu un jouisseur pour se venger d’être quitté, d’un père cynique parce que son coeur était brisé.
    C’est l’histoire d’un grand frère qui a tout fait pour ne pas ressembler à ses parents, et d’un cadet qui a tout fait pour ne pas ressembler à son grand frère. » page256
    « Un matin, je m’en souviens distinctement, je me suis rendu compte que j’avais grandi, que je faisais mes courses pour le soir, que j’étais adulte avant d’être majeur. Mon enfance s’arrête ce matin-là. J’ai été un adulte dans un corps d’enfant, puis un beau matin, je suis devenu un enfant dans un corps d’adulte. » page267






    *****SAUCIER Jocelyne, IL PLEUVAIT DES OISEAUX

    26/03/2011 21:56

    *****SAUCIER Jocelyne, IL PLEUVAIT DES OISEAUX


    SAUCIER Jocelyne

    IL PLEUVAIT DES OISEAUX, XYZ, 2011, 179 PAGES


    ARTICLE - 10 février 2011




    « 29 juillet 1916. Dans les forêts du Nord ontarien, les flammes prennent de l'ampleur. Le brasier sera bientôt connu sous le nom de Grand Feu de Matheson, l'un des feux qui ont ravagé la province au début du 20e siècle.
    Ce jour-là, le jeune Boychuck échappera de peu à la mort, et sera marqué à jamais par le spectacle de son coin de pays carbonisé. Bien des décennies plus tard, alors qu'il vit reclus au fond des bois en compagnie de deux autres vieillards, la brûlure est toujours vive au fond de lui.
    D'autres écorchés traverseront cette histoire de survivance et de dignité, qui révèle l'immense talent de conteuse de Jocelyne Saucier. En nous donnant accès à une très étonnante petite communauté, la romancière montre que l'amour, tout comme l'espérance et le désir de liberté, n'a pas d'âge. Une pure merveille » source : www.voir.ca

    Mourir dans la dignité

    "L’incendie de forêt a brûlé les pas des amants à tout jamais désunis. Pour fuir le brasier, qui a ruiné deux cent quarante trois vies à Matheson dans le Nord ontarien, les jumelles Polson se sont hissées sur un radeau alors que pleuvaient des oiseaux asphyxiés en plein vol. Les deux sœurs ont échappé à la mort, mais qu’est-il devenu de leur ami Boychuck, lui qui les avait de si près tenues, aurait écrit Rutebeuf ? La vie serait-elle une entreprise vouée à la disparition des êtres aimés ? Languir de les retrouver semblent la tâche des survivants, voire de leur inventer un destin en prêtant des oreilles aux murs comme le fait Madame Sullivan. Carburer aux souvenirs de gens peut-être encore vivants, c’est le calvaire des parents d’enfants disparus comme celui de Boychuck, un peintre qui a immortalisé les jumelles pour échapper à une tristesse parente de la folie. Les grands espaces s’offrent à l’artiste devenu vieux pour le consoler de ses amours mortes.

     Avec Tom et Charlie, il se terre près d’un lac dissimulé par la forêt. C’est leur ermitage secret, où ils espèrent connaître une douce fin à l’instar des oiseaux, qui se cachent pour mourir. Ils ne cherchent pas à être heureux, mais à protéger leur liberté contre les bonnes intentions de leur travailleuse sociale. Cette retraite n’empêche pas la venue de deux femmes en VTT. Leur présence illumine leur vie en les ouvrant à autrui en dépit de leur vieillesse. Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir ! Et quand vient le dernier moment, on ne se dépare pas de sa dignité comme dans L’Attraction terrestre d’Hélène Vachon, quitte à recourir à la strychnine pour alléger son départ. « Le sourire chez un mort, c’est une dernière politesse. »

    Le roman repose sur la technique que l’auteure avait utilisée pour "Jeanne sur les routes", un journaliste de Rouyn obsédé, dans les années 1930, par une communiste de passage. Dans sa dernière œuvre, c’est la photographe qui est hantée par les vieux. En joignant la petite communauté, son attention se porte sur les toiles de Boychuck mort quelques jours avant son arrivée. Tom et Charlie sont intrigués par son acharnement à vouloir reconstituer la vie et l’œuvre de leur comparse.
    Jocelyne Saucier garde le cap sur la quête de ce personnage. Elle ne déroge pas à son investigation en maintenant à son roman une force centripète, qui vrille constamment le cœur de la thématique. Bref, c’est un parangon qu’enrichit une écriture dépouillée, qui émet une petite musique harmonisée à une nature lénifiant les « blessures ouvertes »
    source :www.voir.ca



    Une découverte, un grand roman.Une grande qualité d’écriture, un style narratif poignant, confidentiel, intime tant les personnages deviennent réels, prennent vie, expriment leur réalité. Ils ont vécu, dorénavant ils veulent être les seuls maîtres de leur destinée. Une complicité, une amitié entre des survivants qui ont décidé du libre choix de leur vie et de leur mort en toute plénitude. À partir de faits vécus nous partageons la vie intime d’êtres qui ont été marqués par un événement marquant, décisif pour toute une population lors d’incendies de forêt dévastateurs en Ontario et en Abitibi au début du XXème siècle. Une auteure de talent nous raconte ce qui appartenait déjà à notre imaginaire collectif en tant que nordique et Abitibien : les feux de forêts.
    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    Du même auteure:

    LA VIE COMME UNE IMAGE, MONTRÉAL, ÉD. XYZ, 1996, COLL. ¨ « ROMANICHELS »


    LES HÉRITIERS DE LA MINE, MONTRÉAL, ÉD. XYZ, 2000, COLL. ¨ « ROMANICHELS »

    JEANNE SUR LA ROUTE, MONTRÉAL, ÉD. XYZ, 2006, COLL. ¨ « ROMANICHELS »






    ***Aventure, 12-15 ANS, ROBERT.J. HARRIS, LÉONARD ET LA MACHINE INFERNALE

    31/03/2011 20:24

    ***Aventure, 12-15 ANS, ROBERT.J. HARRIS, LÉONARD ET LA MACHINE INFERNALE


     

     

    HARRIS J. ROBERT

     

     

     

     

    LÉONARD ET LA MACHINE INFERNALE, Éd. Pocket Jeunesse, 2009, 12-15 ans, 250 pages.

     

     

     « Léonard de Vinci rêve de devenir un grand artiste.
    Malheureusement, son apprentissage dans l'atelier d'un peintre florentin n'a rien de très passionnant. Entre nettoyage de pinceaux, tissage de toiles et autres tâches ingrates, Léonard s'ennuie. Jusqu'au jour où il découvre par hasard les plans d'une mystérieuse machine. Pris dans l'engrenage d'un sinistre complot, c'est à un nouvel art qu'il sera initié : le crime... « source : www.decitre.fr

     

     

    « A l'époque de la Renaissance, Léonard de Vinci travaille comme apprenti dans l'atelier de Verrocchio. Ses maîtres ne lui confient que des tâches d'un intérêt mineur mais à l'occasion de ses missions qui lui font traverser la ville, il apprend que des hommes fomentent un complot contre Piero de Medici, le vénérable potentat de Florence. Il décide alors de mener l'enquête. » source :www.laprocure.com

     

     

     

     

    Roman pour jeunes de 12-15 ans ayant comme fond un personnage historique, Léonard da Vinci au 15e sciècle. Roman d’aventure, d’action. Personnages sympathiques surtout l’esclave FRESINA qui est un personnage clé. On nous présente Léonard da Vinci à l’époque où il était en formation chez  un maître peintre reconnu de l’époque, dans l’atelier d’Andrea del Verrocchio,  il a quinze ans. Il a de l’audace, de l’imagination, du courage et une excellente mémoire ce qui lui servira adéquatement dans cette aventure.

     

     

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec.    

     

     








    ****Polar-humour---PATRICE DARD---DES VERTES ET DES PAS MÛRES

    01/04/2011 15:33

    ****Polar-humour---PATRICE DARD---DES VERTES ET DES PAS MÛRES


    PATRICE DARD....LES NOUVELLES AVENTURES DE SAN ANTONIO

    Des vertes et des pas mûres (2009), Fayard, 271 pages
    Résumé
    « Les arnaques à la carte bleue, on commence à les connaître, à la Grande Cabane. Le collé marseillais, le miroir de Montpellier, la caméra des Ardennes, la touchette bordelaise, le recto de Clermont, la vire-volte toulousaine, la glu du Gévaudan, la pincette bayonnaise, le photocopié de Lille et le braqué à la niçoise, ont été répertoriés et éventés. Seulement, que tu le veuilles ou non, les truands rivalisent d’ingéniosité. Ils possèdent souvent un coup d’avance sur nous, les poulets. Figure-toi qu’un mariole vient de mettre au point l’« égorgé de Saint-Marcel ».

    Sa technique est simple, primaire, presque primate. Affublé d’un masque de singe, il surgit derrière ses victimes plantées face à un distribanque. Il leur ordonne de composer leur code, il vide leur compte de ses liquidités, et puis leurs carotides jusqu’à la dernière goutte de sang. Les caméras de surveillance n’ont pu enregistrer qu’un faciès de gorille, et les micros tout juste quelques éructements. Et question ADN, macache !

     Depuis, le meurtrier multiplie les agressions sanguinaires. Six femmes sont déjà mortes, égorgées au pied d’un guichet automatique. Mais le tueur vient, semble-t-il, de commettre sa première erreur : un achat sur internet avec la carte bleue de sa dernière victime. Alors on se lance sur sa trace, le gars Béru et ma pomme. Et on finit par le coincer sur un chantier. Au moment où on va l’alpaguer, le type réussit à piquer la perceuse d’un ouvrier et à se perforer la tempe. Un vrai suicide de bricoleur ! Le criminel s’est dézingué. L’action de la justice est donc éteinte. L’histoire semble terminée. Eh bien, non ! Elle ne fait que commencer... Et tu vas piger que l’espression « en voir des vertes et des pas mûres » semble avoir été taillée sur mesures pour ton San-Antonio préféré « source :www.archambault.ca

    Roman du genre polar humoristique très drôle surtout si vous comprenez l’argot car j’avoue que je n’ai pas pu apprécier à sa juste valeur ce roman hilarant bien que le contexte m’aide à comprendre et surtout à apprendre cette langue colorée enjolivée des néologismes qu’est la langue de Patrice Dard qui adore inventer des mots avec la méthode phonétique du genre « procès-suce ». Eh bien oui le texte est parfois grivois mais dans son contexte c’est permis ! Un bon moment de lecture, ça se lit d’une traite.
    Gilles Lagrois, Auclair, Québec.






    Début | Page précédente | 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact livresentete ]

    © VIP Blog - Signaler un abus