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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES
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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

  • 976 articles publiés
  • 123 commentaires postés
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  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TÉMISCOUATA, QUÉBEC
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    *****DJIAN Philippe---INCIDENCES

    20/09/2010 14:48

    *****DJIAN Philippe---INCIDENCES


    INCIDENCES, Gallimard, 2010, 232 pages
    Gallimard, 11 février 2010 240 pages ISBN : 9782070122127

    Présentation de l'éditeur
    « Il avait compris, bien des années plus tôt, qu’il était temps pour lui de profiter de certains avantages inhérents à la profession — à défaut d’obtenir de plus hautes récompenses qu’il ne fallait plus espérer. Un beau matin, par un étrange phénomène, l’une de ses élèves s’était mise à briller sous ses yeux — de l’intérieur, tel un lampion, d’une lueur magnifique —, une fille absolument infichue d’écrire deux lignes, au demeurant, pratiquement dénuée d’intérêt, d’ordinaire si fade, mais il s’était soudain senti aveuglé et frappé d’un souffle brûlant tandis qu’il raillait un peu férocement devant les autres un travail qu’elle avait rendu. Et cette fille s’était révélée la première d’une assez longue série et l’une des plus agréables partenaires sexuelles rencontrées au cours de son existence.
    Celle qui l’accompagnait ce soir-là, et dont le nom lui échappait, venait de s’inscrire à son atelier d’écriture et il n’avait pas cherché une seconde à lutter contre l’attirance qu’elle exerçait sur lui — qu’elle exerçait outrageusement sur lui. Pourquoi lutter ? Le week-end s’annonçait glacé, propice au feu de bois, à l’indolence. Des lèvres boudeuses. Des hanches profondes. Il fallait juste prier pour qu’elle soit en état le moment venu. Elle ne semblait guère consciente. La ceinture l’empêchait de s’effondrer d’un côté ou de l’autre. Il allait devoir préparer du café en arrivant.
    Les bas-côtés étaient blancs, les sous-bois d’un noir d’encre. Il roulait au milieu de la chaussée, mâchoires serrées, à cheval sur la ligne blanche continue qui se tordait sous ses yeux comme un serpent affamé dans la lune rousse.
    Elle avait vingt-trois ans. À l’aube, il s’aperçut qu’elle était sans vie, froide. Passé un instant de stupeur, il rejeta brusquement les draps, bondit hors du lit et s’en alla coller son oreille à la porte.
    La maison était silencieuse. Il écouta attentivement. Puis il se tourna de nouveau vers le lit et observa le corps de la fille. Au moins n’y avait-il pas de sang. C’était heureux. Sous la forte lumière matinale qui pénétrait la chambre, elle paraissait absolument intacte, laiteuse et lisse. »


    « Le dernier Philippe Djian s’intitule Incidences et c’est peut-être bien son meilleur livre. Concrètement, un roman qui ne fait que 233 pages, mais qui contient tellement de substances chimiques en suspension, des non dits en pagaille et des traumatismes à peine effleurés en rafales, qu’il en raconte plus que des pavés deux fois plus épais. Elle est proprement ébouriffante la façon dont Djian prend son héros à la gorge et ne le lâche plus. Un type plus tout jeune, professeur de littérature, écrivain raté, qui fait régulièrement son marché parmi ses jeunes étudiantes énamourées et entretient une relation au-delà du fusionnel avec sa soeur.
    C’est sa descente aux enfers que raconte l’auteur au travers de scènes tour à tour angoissantes, euphoriques ou drolatiques. Le tout avec un sens du politiquement incorrect très aiguisé mas assez subtil pour tenir la route (des pages entières pour glorifier la cigarette, stigmatiser la médiocrité ambiante dans la littérature française, se révolter contre le néo-conservatisme dans l’air du temps). Un Djian en colère contre l’époque qui trouve son seul refuge dans des promenades en forêt, on croit rêver.

    Quant au style, eh bien, il est plus ciselé que d’habitude. Au rasoir, même, y compris dans des scènes anodines à la tension sous-jacente. Le récit est fait d’embardées, de malaises vagaux, qui donnent un ton quasi mortifère au roman. C’est comme si Philip Roth écrivait des épisodes de Plus belle la vie. Plus laide la vie, oui, avec un quotidien qui se dérègle sans compter un passé moche comme tout, qu’on a glissé sous le tapis pour ne plus le voir, mais qui finit par revenir sous forme de nausée. C’est noir, c’est caustique, c’est brillant, c’est le dernier Philippe Djian. Qui vous laisse K.O pour le compte. »source : www.bibliosurf.com
    Roman bien écrit, bien construit dont l’intrigue nous tient en haleine jusqu’à la toute fin. Plusieurs sujets tabous y sont traités. Un bon Djian dont les attentes sont élevées mais dont le lecteur sort gagnant. GiL






    ******BARD Patrick---ORPHELINS DE SANG

    28/09/2010 15:19

    ******BARD Patrick---ORPHELINS DE SANG


    BARD Patrick
    ORPHELINS DE SANG, Seuil, 03.2010, 333 pages

    Seuil, 11/03/2010 ISBN : 9782020978651

    Présentation de l'éditeur
    « A Ciudad de Guatemala, l’une des villes les plus violentes du monde, deux jeunes femmes mayas gisent dans la boue d’un terrain vague à côté d’un jouet en peluche. L’une est morte. L’autre a survécu par miracle, mais sa fille de dix mois a disparu. C’est ce qu’elle confie à Victor Hugo Hueso, un officier des pompiers municipaux qui rêve de devenir journaliste. L’apprenti reporter décide alors de mener l’enquête, loin de se douter qu’il met ainsi le doigt dans l’engrenage infernal du négoce le plus florissant de son pays : le vol et le commerce de masse des enfants.
    Loin de là, en Californie, Katie et John Mac Cormack, désespérés par leur stérilité, font appel à une association d’adoption express au-dessus de tout soupçon.
    Entre les deux extrémités de la chaîne agissent de pitoyables crapules de bidonvilles, d’anciens tortionnaires reconvertis dans la police, des ex-militaires patrons de sociétés de sécurité privée, des avocats sans scrupule. Mais rien ni personne ne saurait arrêter Victor Hugo Hueso, résolu à aller jusqu’au bout pour retrouver la petite Claudia, fût-ce au péril de sa vie et pire, de celle des siens.
    Patrick Bard est écrivain et photographe. Son premier roman, La Frontière, a obtenu le prix Michel Lebrun 2002, le prix Brigada 21 (Espagne) du meilleur roman policier étranger 2006 et le prix Ancres Noires 2006. » source : www.bibliosurf.com
    • 7 juin 2010 17:36, par cynic63
    Patrick Bard connaît l’Amérique centrale. Ils nous le démontre encore ici avec Orphelins de sang, un grand roman à la fois poignant, documenté sans tomber dans le reportage journalistique et qui fait preuve d’une grande capacité d’analyse de l’Humain et des situations extrêmes qu’il doit parfois affronter au quotidien.
    En 2021, Maya, fille adoptée du couple Mac Cormack, est ce qu’on appelle communément une adolescente à problèmes. De disputes récurrentes en automutilations, elle est en totale rupture avec des parents qu’elle ne supporte plus. Lors d’une crise survenue à table, elle fait comme d’habitude : elle s’enferme dans la cave du cossu pavillon que cette parfaite famille américaine possède et aperçoit, dissimulée comme un secret, une étrange boîte en fer. Elle découvre alors de nombreux papiers, coupures de presse entre autres, en espagnol. Ne maîtrisant pas cet idiome, elle fait appel à son petit ami afin qu’il traduise les contenus de ces écrits.
    Quatorze ans plus tôt, dans la capitale guatémaltèque, Victor Hugo Hueso ne rêve que d’une chose : devenir journaliste afin d’assurer un salaire décent et la sécurité, tant matérielle que physique, à sa jeune famille. Pour l’instant, il est pompier et assure les relations avec la presse locale et nationale. Une presse friande de faits divers tous plus horribles les uns que les autres tant la mort paraît être une entité consubstantielle à l’existence de tout citoyen de ce pays d’Amérique centrale oublié de tous.
    Ses journées se ressemblent car dès 17h commence la longue litanie des décès violents, de la rage urbaine qui broie du maras, ce membre de gang pour qui la mort est presque un métier, à l’ouvrière du textile d’une multinationale dirigée à la baguette par des capitalistes coréens ou occidentaux.
    Ainsi, Hueso se rend sur ces différentes scènes de crime afin de photographier, de saisir sur le vif, si on ose dire, l’horreur paradoxalement banale de toute cette fureur. Au hasard, une affaire attire son attention : une Indienne est retrouvée morte, sa camarade se trouve dans le coma et un malheureux jouet gît sur le bas-côté. Il décide, alors que tout le monde, à commencer par des policiers débordés, désenchantés ou corrompus, se dit que cette affaire est d’une terrible banalité d’en savoir plus et se lance dans une véritable investigation. D’autant qu’Escarlet, la survivante, s’est réveillée et lui apprend que sa fille de dix mois a été enlevée.
    Au même moment, dans le vrai monde de l’Amérique yuppie, Katie et John Mac Cormack désespèrent. Toutes leurs tentatives pour avoir un enfant se soldent par des échecs. La médecine n’ayant pu assister le couple dans son désir d’enfant, il s’est tourné vers la seule solution restante : l’adoption. Les Mac Cormack y étaient presque : un petit roumain devait bientôt leur être confié mais avec l’entrée de la Roumanie dans l’U.E, le pays a décidé d’interdire les adoptions à l’étranger.
    Un peu par désoeuvrement, mais aussi parce qu’il en va de la survie de son couple dont les fondations ont été endommagées par la répétition des déceptions, John entrevoit, à l’issue d’une nuit à surfer sur le net, l’ultime solution : l’Amérique centrale. Il a, en effet, découvert que les choses pouvaient aller vite, qu’un enfant pouvait leur être confié rapidement et en toute légalité. Du moins selon l’agence qui se chargera de leur trouver le petit être qui sauvera son mariage.
    Malgré les descriptions et les scènes à la violence parfois insupportable, à l’image de ce rêve comateux d’Escarlet qui revoit les images fortes de son enfance, notamment ce jour maudit où les soldats sont venus se venger des guérilleros sur les habitants de son village ou encore le récit introspectif d’Edwyn, l’un des rouages de cette terrible mécanique, qui nous permet de saisir tout le conditionnement subi par certains jeunes afin qu’ils deviennent de véritables machines à tuer, on ne peut pas vraiment dire que le roman de Bard constitue un polar ou un thriller au sens strict. Et, effectivement, c’est bien à l’autopsie d’un monde que se livre l’auteur.

     D’abord d’un Tiers-Monde, dont on nous dit un peu trop souvent dans les médias ou ailleurs qu’il ne faut plus l’appeler comme cela, qu’on savait à la dérive certes mais pas aussi irrémédiablement embourbé, tels ces bidonvilles emportés par les glissements de terrain, dans un passé qui lui refuse de regarder vers un avenir ne serait-ce qu’acceptable. Si certains ne font que du business en kidnappant des enfants, si le Guatémala est gangréné par une classe politique au mieux incompétente, au pire partie prenante de ce désastre, d’autres s’interrogent, se battent comme ces femmes qui refusent le caractère inéluctable des violences qu’elles subissent ou bien comme Victor qui croit que tout ce cauchemar se terminera un jour.(...) »source :www.bibliosurf.com

    Très bon roman plus du genre autopsie d’un peuple que du genre polar-thriller. Un auteur à découvrir pour son style brillant, avec des images d’un grand réalisme, l’audace du sujet de ce roman vitrioleur qu’est l’adoptation d’enfants au Guatémama ou plutôt le vol d’enfants et l’extermination de familles entières pour ce trafic abject.

    Le Guatémala a été sous la coupole de plusieurs régimes politiques qui se sont concentrés sur l’extermination du peuple quatémaltèque car plus de 250 000 personnes furent massacrées durant cette période d’histoire. Une autre partie de l’humanité illiminée à des fins personnelles, politiques et militaires sans aucune compassion pour la population et civilisation guatémaltèque. Une honte pour l’histoire de l’humanité. Un autre livre dont la réalité dépasse la fiction.

     Gilles Lagrois, Auclair, Québec






    CREWS Harry---LA FOIRE AUX SERPENTS

    30/09/2010 14:54

    CREWS Harry---LA FOIRE AUX SERPENTS


    CREWS Harry

    LA FOIRE AUX SERPENTS, Gallimard, 1994, 206 pages
    Présentation de l'éditeur
    « Joe Lon est un sale type qui a grandi aux côtés d’une sœur folle et d’un père brutalisant ses chiens. La mère a disparu. Les potes se défoncent, attendent le soir et cherchent dans les excès un espoir d’ailleurs qui ne vient pas. Joe Lon est leur meneur égaré qui, un jour, pour écrabouiller l’ennui, noya dans le fleuve un voyageur perdu. Il habite désormais le camping avec ses deux gosses et tabasse sa femme. Joe Lon attend comme une bombe, caresse ses crotales et maudit l’univers. Un jour, il le sait, Berenice reviendra. Ce jour sera celui de la foire aux serpents. De purs déjantés arriveront de partout. La fête sera folle et ce sera la mort, l’hystérie et le sang. Berenice, alors, le capturera de nouveau de son regard d’absinthe et tout redeviendra possible : le pire, la passion brute, ce qui n’arrive qu’avec elle et fascine pourtant. » source : www.bibliosurf.com
    « Encore un roman terrible de l’enfant terrible de la littérature américaine moderne. Bien que daté de 1976, ce texte éprouvant n’a pas pris une ride. Cette foire aux serpents est l’occasion pour Crews de dresser le portrait d’un jeune homme handicapé de l’affect : encore un être de contraste extrême, d’un parfait aspect physique mais d’un psychisme ravagé par les terribles événements déclenchés par son taré de paternel. "Il ne savait pas ce qu’était l’amour. Il ne savait pas à quoi ça servait. Mais il savait qu’il se le coltinait partout où il allait, c’était une scabreuse tache de pourriture, de contagion, qu’on ne pouvait pas guérir. Que la rage ne guérissait pas. Que l’indulgence ne faisait qu’empirer, attiser, développer comme un cancer. Et ça avait fichu sa vie en l’air." Joe Lon aurait pu être un parfait psychopathe totalement privé d’empathie, mais non, il y a en lui ce germe d’humanité qui ne peut pas se développer et qui, paradoxalement, empoisonne sa vie de tourments insolubles. Son traumatisme est une montagne insurmontable, son humanité ne s’exprime que sous la forme d’une haine viscérale dont il a lui-même une peur bleue, mais qui finira quand même par prendre le dessus. » source : www.bibliosurf.com

    Roman très dur, personnages vivant à la dure, milieu social dur ou corrompu, combats d’hommes ivres ensanglantés, combats de Pitt Bull extrêmes, relations familliales et de couples tordues, un roman dont on en sort avec une impression de sale. Gilles Lagrois, Auclair,Québec.






    COBEN Harlan---MAUVAISE BASE....*****Excellent

    03/10/2010 16:41

    COBEN Harlan---MAUVAISE BASE....*****Excellent


    COBEN Harlan

    MAUVAISE BASE, France Loisirs 2008, 467 pages

    Présentation de l'éditeur
    « Plage de sable fin sur une île privée des Caraïbes, une bombe sexuelle pour seule compagnie, le célèbre agent sportif Myron Bolitar essaie d’oublier ses dernières mésaventures. Mais quand Win, richissime sociopathe et néanmoins meilleur ami arrive en jet privé, les ennuis ne sont pas loin. Fatalement. Esperanza, son associée, est accusée d’avoir assassiné un de leurs clients, une star du base-ball sur le déclin. Pas vraiment la publicité rêvée pour MB Sport… Ni une ni deux, Myron fait son come-back pour voler au secours d’Esperanza et prouver l’innocence de celle que tout accuse. Le seul problème, c’est qu’elle ne veut pas de son aide. Mais Myron n’est pas du genre à renoncer, surtout quand il considère le cas comme une affaire personnelle. Car entre un passage éclair dans un club de trans, une propriétaire des Yankees dont la fille a disparu, un contrôle antidopage truqué et l’image d’une adolescente en train de mourir sur son ordinateur, la propre investigation de Myron le conduit à un seul autre suspect : lui-même… » source : www.bibliosurf.com


    Mauvaise base : très bon roman
    »On ne va pas y aller par 4 chemins, une nouvelle fois Harlan Coben nous livre un excellent policier vraiment bien ficelé.

    Qu’est-ce que ça fait du bien après cette période de prix littéraires et sa horde de livres, certes bien écrits, mais tellement compliqués et déprimants.
    Là, avec « Mauvaise base » on ne se prend pas la tête entre les mains, on ne s’y reprend pas à deux fois avant de comprendre ce qu’on vient de lire. On s’immerge dans un bon polar, bien classique, avec des personnages centraux bien identifiés, stéréotypés juste ce qu’il faut. On a juste une enquête avec les codes classiques du roman policier : un meurtre, une coupable injustement accusée et son meilleur ami qui mène l’enquête. Suspens et rebondissements sont présents quasiment à chaque page. Comme souvent avec Harlan Coben, on appréhende ce livre comme un film qui nous captive.
    Coben abandonne pour un temps sa technique du « une personne disparue depuis longtemps réapparait brusquement » qui a fait le succès de « Dans les bois », «Ne le dis à personne » etc. Non rien de tout cela. Harlan Coben relance ici la série de ce bon vieux Myron Bolitar. Dans ce nouvel opus, Bolivar va devoir aider Esperanza, son amie et associée au sein de MB Sport, accusée du meurtre de l’un de leurs clients, une star du Baseball.
    CAP-TI-VANT. Seul bémol, ceux qui n’on pas encore lu le précédent roman de la série seront un peu perdu à certain moment, mais rien de grave qui ne gène vraiment la lecture. Ca nous donne juste envie de combler nos lacunes et de nous précipiter sur les précédents livres.
    Bon moment garanti ! » source : www.bouquiner.net

    Très bon voire excellent roman du genre polar-policier. Personnages attachants, intrigue magistrale, écriture imprégnée d’humour, de tendresse, de compassion. Nous devenons parti pris de l’intrigue, nous suivons la logique des événements avec passion et nous avons surtout une confiance indéfectible en Myron Bolitar pour qui l’amitié et la famille sont des valeurs indiscutables et non négociables, à la vie à la mort. À lire sans faute. Gilles Lagrois, Auclair, Québec.






    *****CHATTAM Maxime---LA PROMESSE DES TÉNÈBRES---

    07/10/2010 16:02

    *****CHATTAM Maxime---LA PROMESSE DES TÉNÈBRES---



    La promesse des ténèbres Maxime Chattam ……

    Albin Michel, 06/05/2009 432 pages ISBN : 9782226192226

    Présentation de l'éditeur
    « New York. Mégapole de tous les possibles. De tous les excès. Où la verticalité des buildings s’oppose à celle de souterrains, toujours plus profonds, peuplés de SDF. Où des hommes se déguisent en vampires pour se repaître de la vie de leur partenaire. Où l’industrie pornographique underground se développe à une inquiétante vitesse. Où l’on vend la mort filmée en direct.
    Au cœur de ce maelström, le journaliste Brady O’Donnel, dans le sillage de Rubis, femme envoûtante, plonge dans l’enfer. Celui de la Promesse des Ténèbres. »
    Source : www.bibliosurf.com


    Par Pomme01 "Pomme01" (France) -
    Ce commentaire fait référence à cette édition : La Promesse des Ténèbres (Broché)
    « New-York, hiver 2000.
    La vie de Brady O Donnel, journaliste indépendant, bascule le jour où il accepte de rencontrer une starlette de films X. Mais la jeune femme se tire une balle en pleine tête devant lui après avoir murmuré d étranges mots. Brady s enfuit. Sa femme, Annabel, flic à Brooklyn, se voit confier l enquête sur ce qui pourrait être un homicide déguisé. Commence alors une course poursuite vers la vérité, une enquête qui va disséquer l Homme dans ce qu il a de plus primitif
    Portrait d un couple confronté à ses démons, plongée dans le milieu du hard et des perversions les plus inattendues, une enquête où crime et sexualité sont indissociablement mêlés (les fans de la Trilogie y trouveront enfin la résolution de l énigme de la disparition de Brady).

    Encore un très bon livre de l'auteur, je suis fan depuis très longtemps. Le sujet est quelque peu déroutant mais l'intrigue prend vite le dessus ou devrais-je dire les tripes, nous tombons encore une fois dans les travers et la perversité humaine, nous en relèverons nous ...
    Le livre m'a tout de même moins passionnée que les autres de ces livres, c'est certainement du au milieu dans lequel on évolue, je vous le conseille tout de même vivement ne serait-ce que pour patienter jusqu'au prochain ;))....
    bonne lecture » source : www.bouquiner.net

    « Chattam a retrouvé l'esprit qui l'animait à ses début, et ce quatrième volume de sa trilogie du mal est vraiment excellent. Parfois insoutenable de cruauté, mais heureusement il ne dépasse pas la limite de l'horreur. »
    « Ce thriller nous amène dans les bas-fonds de New-York et de la pornographie "underground": âmes sensibles s'abstenir. Certains passages sont assez durs mais l'intrigue surpasse tout. »
    « Présentation de l'éditeur
    New York Mégapole de tous les possibles. De tous les excès. Où la verticalité des buildings s'oppose à celle des souterrains, toujours plus profonds, peuplés de SDF. Où des hommes se déguisent en vampires pour se repaître de la vie de leur partenaire. Où l'industrie pornographique underground se développe à une inquiétante vitesse. Où l'on vend la mort filmée en direct. Au cœur de ce maelström, le journaliste Brady O'Donnel, dans le sillage de Rubis, femme envoûtante, plonge dans l'enfer. Celui de la Promesse des Ténèbres. « www.bouquiner.net


    Très bon roman du genre polar-thriller de Chattam. Du début à la fin nous sommes tenus en haleine tant par l’intensité de l’intrigue que par notre attachement aux personnages. Sujet quand même difficile à traiter qu’est la sexualité et particulièrment les déviations sexuelles : femmes abusées, maltraitées par des hommes avides de pouvoir, d’argent et de plaisir extrême. GiL



    Commentaire de clairedelune (30/12/2010 19:34) :

    Bonjour et bienvenue sur vip, la promesse des ténèbres est certes, un bon roman thriller, Maxime Chattam est un peu le Stephen King de notre époque : il joue avec les mots, fais monter la pression et nous entrâine avec lui dans ses aventures plus gores les unes que les autres. Il y a cependant une triologie qu'il a écrit pour enfant cela s'appelle : "les trois mondes", " Malronce" et je ne sais plus le troisième ( désolé). En tous les cas, bonne continuation, je repasserais quand j'aurais plus de temps. clairedelune

    http://clairedelune.vip-blog.com/




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