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MARQUEZ Gabriel Garcia---DOUZE CONTES VAGABONDS
21/10/2013 16:24
MARQUEZ Gabriel Garcia
DOUZE CONTES VAGABONDS, roman, Grassset, 1993, 284 pages
Douze contes, douze rencontres d'hommes, de femmes latino-américains dont les actions se déroulement principalement dans des pays contigus à la mer Méditerranée soit l'Espagne, la France, l'Afrique du nord.
Pourquoi douze, pourquoi des contes et pourquoi vagabonds: les sujets sont sans lien entre eux mais leur histoire nous touche car toutes les histoires humaines est une histoire qui pourrait être la nôtre.
Bon voyage, monsieur le Président.
La sainte.
L'avion et la belle endormie.
Un métier de rêve.
Je ne voulait que téléphoner.
Épouvantes d'un mois d'août.
Marìa dos Prazeres.
Dix-sept Anglais empoisonnés..
Tramontane.
L'été heureux de Mme Forbes.
La lumière est comme l'eau.
La trace de ton sang dans la neige.
Chaque histoire est touchante et magique car à l'image des histoires qui les animent, ces vagabonds sont d'étranges pèlerins lation-américains, projetés aux quatre coins d'une Europe insolite.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
Pour en savoir davantage:
"Gabriel García Márquez. Douze contes vagabonds dont:
Une femme prise en auto-stop par l'autobus d'un asile d'aliénés se retrouve enfermée. Un Colombien fait le siège du Vatican avec le cadavre imputrescible de sa fille, qu'il voudrait faire béatifier. Dix-sept Anglais sont empoisonnés à Naples par une soupe aux huîtres...
Le romancier de L'Amour aux temps du choléra, prix Nobel de littérature, se montre aussi souverain dans la brièveté que dans l'épopée.
Chacune des nouvelles de ce livre nous entraîne en quelques pages au coeur de situations ahuris- santes, où le « réalisme magique » cher à l'écrivain colombien imprègne tour à tour Vienne, Naples, Genève, Barcelone... Certains de ces contes vagabonds sont de purs bijoux. Des miracles qui suffisent à notre bonheur.
Frédéric Vitoux, Le Nouvel Observateur.
Drôle, émouvant, féroce, inquiétant, superbe, García Márquez connaît tous les registres.Pierre Lepape, Le Monde.
www.chapitre.com
Une poignée de ballons-récits pour entrer en lévitation
" Douze contes écrits sur dix-huit années (de 1974 à 1992) et qui ont pour point commun de rapporter des histoires qui se déroulent dans des villes européennes et dont le narrateur aurait été le témoin. La belle illustration
de couverture montre douze roses rouges plantées dans une corbeille remplie de feuilles de papier parcourues de lignes d’écriture Mais on s'imagine davantage, après lecture, douze ballons rouges s’échappant des mains d’un bonhomme qui aurait la silhouette du prix Nobel vers ses lecteurs du monde entier.
Douze récits entre voyage et exil qu’on lit, du fait sans doute de ce travail fait sur la durée et l’espace, comme des rêves imaginés. Relisant ses contes, Garcia Marquez déclare : « Les souvenirs réels
me paraissaient des fantômes tandis que les faux
souvenirs étaient si convaincants
qu'ils avaient supplanté la réalité ». Parlant de leur conception, il nous dit que « leur écriture était devenue si fluide
que par moments
il se sentait emporté par le simple plaisir de la narration, qui est peut-être l’état de l’homme qui s’apparente le plus à la lévitation ».
Parmi les récits les plus prégnants de ce recueil parfait : celui de cette femme qui perd son sang, à la suite d’une piqûre de rose au bout d'un doigt, tout le long d’un voyage en voiture, sous la neige, d'Espagne jusqu'à Paris ; celui de cette « belle endormie » qui sommeille dans un avion, convoitée en silence par le passager voisin; celui de cette autre femme
payée pour rêver ; celui
d'une maison envahie de lumière comme elle le serait par l’eau - ou l'art de naviguer dans la lumière- ; celui d’une dame qui, à la suite d'une panne de voiture, entre dans un asile pour téléphoner et qu'on ne laissera plus ressortir ; celui de cet homme venu à Rome avec dans une malle le corps mort de sa fille pour le faire sanctifier ; celui d'un président exilé en Suisse…
Entre donc faux souvenirs et souvenirs réels, une poignée de récits patiemment travaillés dans la pâte du temps et vraisemblablement faits pour durer. www.critiqueslibres.com
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GERMAIN Jean-Claude---LA FEMME NUE HABILLAIT LA VILLE, récit artistique
22/10/2013 17:35
LA FEMME NUE HABILLAIT LA NUIT, récit, nouvelles historiettes de la bohème, Éditions Hurtubise, L'arbre, 2010, 179 pages
JEAN-CLAUDE GERMAIN est un artiste, un auteur, un homme d'art comme il existe des hommes orchestre. C'est avant tout un historien, un raconteur, un conteur, un témoin important de son siècle, de son époque comme participant surtout car il était dans un monde à sa mesure.
Il a été un acteur important de l'époque artistique des années 1950 à Monréal et au Québec. Il a été un acteur principal dans la plupart des domaines artistiques car tout ce qui était de l'art l'attirait, le métamorphosait, l'impressionait, l'ennivrait.
Par lui et avec lui, on surplombe la vie artistique de la société complète de la vie culturelle de la ville de Montréa, une véritable métropole de la culture.
Il nous fait connaître la vie culturelle de jour comme de nuit car les nuits de Montréal sont très actives et recherchées. On découvre le Mocambo, un avant-poste du Red Light, "la lumière rouge ne s'éteignait jamais au Mocambo, à six heures du matin, elle y accueillait les travailleurs avec le dernier spectacle de la veille et le premier de la nouvelle journée."
L'auteur nous dévoile le rôle culturel important néfaste qu'a joué Mgr Bourget. " Désormais, sous peine d'excommunication, il sera défendu à tous les catholiques pratiquants d' appartenir à l'Institut canadien de Montréal.
"Le coup boutoir de Bourget va s'avérer funeste pour la liberté de pensée et d'expression."
Jean-Claude Germain nous présente tous les aspects de la vie culturelle de son époque:
les Clubs de nuit, la place et la vie du théàtre québécois, le théâtre de Variétés, le burlesque. Avec lui nous faisons le tour des galeries d'art, des librairies de la ville tant de l'est que de l'ouest car il les fréquente toutes. Il nous fait connaître lesMusées, la musique classique, les Beaux-Arts, la scène du Gayety, Lili St-Cyr et son spectacle de La Baignoire, le cinéma Alouette, le Théâtre Impérial, l'émergence de la photographie.
LA FEMME NUE HABILLAIT LA NUIT nous fait découvrir une vie culturelle qui fait surface, se dévoile, se manifeste à nous dans toute son activité et sa splendeur.
Un livre à découvrir si la vie culturelle d'époque vous intéresse; vous serez comblés.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
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SAVOIE Jacques---CINQ SECONDES, roman
26/10/2013 01:27
Jacques SAVOIE
CINQ SECONDES, roman, Libre Expression, 2010, 311 pages
Un roman du genre psychologique-polar de haute qualité, d'une écriture concise, efficace,frappante, profonde. Un personnage hors norme, une personnalité remarquée par son allure physique, c'est un enquêteur mulâtre, manchot car victime de la thalidomide et d'un amour éphémère racial; un être doté d'une grande intuition et d'un talent remarquable de déduction. Un mélange d'humain et d'un cérébral clairvoyant.
Jérôme Marceau se doit de remplacer sa supérieure hiérarchique aux prises avec un état de santé requerrant un congé prolongé.
Brigitte Leclerc, une accusée se présente devant la cour et par une gestuelle étudiée, spontanée, précise abat succinctement le policier escorte, le juge, l'avocat et un témoin en quatre secondes synchronisées, mortelles.
Quelle est la véritable raison ou cause de ses quatres meurtres spontanés, imprévisibles ? Seule la lecture de ce roman vous en dévoilera les causes multiples, personnelles et rationnelles.
Un roman d'une grande subtilité, d'un cheminement audacieux vers l'inconnu, le non-dit, le non plausible. Pourquoi un tel geste fatal, quels sont les liens entre Brigitte Leclerc et les quatres victimes ?
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
Pour en savoir davantage:
"Cinq secondes, c’est le temps qu’il a fallu à Brigitte Leclerc, alias Julie Sanche, pour tuer le juge, l’avocat et le témoin, ainsi que le garde de sécurité du Palais de Justice, qu’elle avait désarmés, avant de retourner cette arme contre elle-même.
Cinq secondes, c’est tout le temps qu’elle a eu pour voir sa vie défiler devant elle et tenter d’en trouver le sens, les tenants et aboutissants, avant l’échéance fatale.
Ces cinq secondes fatidiques de conscience extrême d’une vie mal barrée qui s’est mal terminée s’étalent sur les 300 pages d’un roman palpitant, captivant et troublant de Jacques Savoie, intitulé, on l’aura deviné, Cinq secondes.
«J’écris toujours mes romans sur des valeurs qui leur servent de thème, explique l’auteur. Le thème de Cinq secondes, c’est le pardon.» Un pardon qui était au-dessus des forces de l’héroïne, qui meurt au tout début du roman, mettant fin à une vie marquée par le mensonge, la duperie, la trahison.
Si Jacques Savoie insiste que «ceci n’est pas un roman policier», Cinq secondes en a cependant toutes les apparences. C’est qu’il y a une logique, organique, qui préside au développement d’un tel roman.
«Pour traiter du pardon, il me fallait un geste impardonnable. Un meurtre est un geste impardonnable. Mais un meurtre appelle inévitablement un policier, qui va vouloir le tirer au clair.»
Ce n’est pas un roman policier donc, sauf que c’est l’histoire d’un flic qui enquête sur un meurtre. Le flic, Jérôme Marceau, travaille très fort à comprendre pourquoi Brigitte a voulu tuer le juge, son avocat et son ex-amant. Mais le lecteur n’a pas vraiment besoin de lui : la meurtrière nous raconte toute son histoire, à mesure qu’elle la revit, en accéléré, juste avant de mourir. Leurs récits s’entrecroisent.
À MONTRÉAL
Ce qui fait l’intérêt soutenu de ce roman, c’est d’abord la maîtrise avec laquelle Savoie nous mène à travers cette histoire compliquée, qu’il nous révèle, une tranche à la fois, comme on pèle un oignon.
Savoie joue avec le temps en virtuose, à travers les souvenirs hachurés de l’assassin et les projections intuitives du détective. Son flic est intéressant. Il est mulâtre. Il est aussi infirme. Pas très sûr de lui, ni de l’ascendant qu’il a sur ses collègues et ses patrons. Un solitaire, aussi maladroit avec les femmes que dans les intrigues politiques.
Et il y a plein de trucs accessoires qui donnent de l’étoffe, de la couleur au récit. L’enquête se déroule durant une grosse tempête de neige et de verglas à Montréal. La météo devient un personnage. La ville souterraine, et ses nombreux passages secrets, inconnus du public, jouent un gros rôle aussi.
De nombreuses intrigues secondaires viennent brouiller les cartes: magistrat corrompu, avocat pourri, police politique, racket de cartes de crédit, usurpation d’identité. C’est comme dans la vraie vie, quoi: pas évident de savoir ce qui se passe pour vrai.
www.fr.canoe.ca
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Paulo COELHO---LE ZAHIR, roman
31/10/2013 17:01
Paulo COELHO
LE ZAHIR, roman, Flammarion, 205, 360 pages
Roman éclatant sur les principes de vie spirituelle de l'auteur qui fait le point sur sa vie d'homme, de couple, d'auteur: des leçons de vie très variées et adaptées au développement de chacun. Rien n'est définitif, il faut constamment se remetttre en question tant sa vie professionnelle que personnelle comme ma façon de penser, mes idées acquises, ma façon de voir les choses, mes intérêts, mes croyances, mes perceptions.
" Je sais que la liberté coûte très cher, aussi cher que l'esclavage; la seule différence, cest que vous payez avec plaisir et avec le sourire, même quand c'est un sourire mouillé de larmes."
"...à une époque où j'ai compris que je pouvais tout, sauf forcer l'autre à me suivre dans ma folie et ma soif de vivre."
" La liberté. La liberté d'être misérablement seul."
" Je veux croire qu'il est merveilleux d'être libre."
" ..la liberté n'est pas l'absence d'engagement, mais la capacité de choisir."
" L'être humain a deux grands problèmes: le premier est de savoir quand commencer, le second est savoir quand s'arrêter."
" ...ce qui existe, c'est la liberté de choisir et ensuite d'être engagé par sa décision."
" Quand je n'ai plus rien à perdre, j'ai tout reçu. Je me suis trouvé."
Un roman très éloquent sur nos choix de vie: devenir et être suffisamment adulte pour ne pas continuer à se tromper, à se mentir, à voir clairement la réalité et en supporter les conséquences.
Un grand roman sur l'homme en devenir par la voie, la vie de l'amour car l'amour modifie les lois de la nature et l'effort de séduire nous oblige à donner le meilleur de soi-même.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
Pour en savoir davantage:
« J’obtiens ce que je désire, mais je découvre que la stabilité tant rêvée s’accompagne d’un profond ennui »
RÉSUMÉ DU LIVRE
Un écrivain célèbre raconte la disparition de sa femme,Esther, correspondante de guerre. Elle devient son Zahir, son idée fixe, son obsession, sa seule raison de vivre. Au fil d'un périple qui le conduira de Paris jusqu'en Asie centrale, il traversera la steppe, son désert, sa magie et ses légendes pour retrouver celle qui donne un sens à sa vie. Un récit, à contenu autobiographique, sur l'état du monde moderne, sur l'amour, la liberté et la solitude, sur l'avenir de l'homme en quête de repères, d'amour et de spiritualité.L'éditeur.
Paulo COELHO est né en 1947 à Rio de Janeiro. Adolescent rebelle dans une famille conservatrice et étudiant contestataire plusieurs fois emprisonné, il devient parolier d'une des plus grandes stars du rock des années 70 au Brésil.
L'ALCHIMISTE, paru en 1988, s'impose comme un best-seller mondial. Ses livres, traduits dans 59 langues, se sont venus dans 150 pays. Reçu à l'Académie brésilienne des lettres en 2002, Paulo Coelho signe une chronique qui est publiées chaque semaine dans le monde entier.
L'éditeur.
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Daniel PENNAC---COMME UN ROMAN, essai
06/11/2013 15:37
Daniel PENNAC
COMME UN ROMAN, essai, Gallimard, 1992
"Ce livre est une excellente étude qui nous donne des pistes pour amener les plus jeunes à la lecture. Des vieilles idées comme "ne pas aimer lire" ou "ne pas avoir le temps de lire" sont effacées par l'auteur. Un texte très plaisant à découvrir et très instructif qui pourra en réconcilier certains avec les livres et confortera les lecteurs les plus assidus à assouvir leur passion. Cet essai est vraiment un livre à découvrir et à mettre entre toutes les mains, surtout celles de personnes qui sont un peu tièdes vis à vis de la lecture" www.babelio.com
Daniel PENNAC nous révèle, décrit dans son livre toutes les possibilités que nous pouvons rencontrer lorsque nous lisons, incitons à lire ou tout simplement apprenons à lire. L'histoire de la lecture et ses mondalités en un livre qui se lit COMME UN ROMAN. Adultes ou enfants nous découvrons tous des situations qui nous incitent à lire et d'autres à boycotter les moments de lecture.
À tour de rôle nous sommes enfants, parents, éducateurs, enseignants, auteurs de B.D, écrivains, éditeurs et découvrons les moments qui font de chacun de nous un lecteur émerveillé, conquis ou un illettré désillusionné et résigné.
La lecture comme de nombreuses aptitudes et métiers s'apprivoisent selon les bons moments passés en sa présence, par les plaisirs découverts par l'art de lire.
La lecture est magique ou hors d'atteinte selon les circonstances , les occasions qui se présentent pour nous émerveiller, nous conquérir ou tout simplement nous intéresser en touchant nos intérêts, nos émotions, nos sentiments.
Un livre pour celui et celle pour qui la lecture est utile, agréable, complémentaire ou tout simplement un guide et un compagnon de vie.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresente.vip-blog.com
Pour en savoir davantage:
RESUME
"Comme un roman est un essai de Daniel Pennac paru en 1992 aux éditions Gallimard . Cet essai se veut à la fois un hymne et une désacralisation de la lecture, ainsi qu'une invitation à réfléchir à la manière pédagogique de l'appréhender. Il constitue ainsi une critique des techniques, exigences et recommandations de l' éducation nationale. Comme un roman est découpé en quatre parties: Daniel Pennac raconte d'abord la détresse et le dégoût face à un livre d'un adolescent et les raisons que trouve sa famille pour se rassurer eux mêmes et excuser leur garçon. Puis il fait un retour en arrière dans la vie de l'enfant pour trouver les raison de cette aversion présente. Il montre d'abord les parents enchantés de faire la lecture à leur enfant et celui-ci, avec un appétit insatiable de lire. Il nous décrit alors la fatigue des parents au bout d'un moment et l' amour de la répétition chez l'enfant.
L'entrée à l'école est décrite tout d'abord comme un émerveillement pour le maternelle et comme un soulagement pour les parents qui délaisse la lecture du soir car après tout il peut lire tout seul. Et quand les parents reprennent la lecture à leur enfant,ce n'est pas pour le faire dormir mais pour qu'il analyse et comprenne le texte. Daniel Pennac dresse alors un portrait péjoratif des parents qui passe de la lecture sans aucune contrepartie à la lecture de compréhension. Il décrit alors la détresse des enfants face à ce changement si brusque et leur perte du goût de la lecture dû à celui-ci et écrit les manières de le faire renaître notamment par la lecture à haute voix. Daniel
Pennac nous conte à sa façon l'apprentissage progressif de la lecture et de la fascination. Il émet ensuite des hypothèses sur la diminution du plaisir de lire chez les adolescents. Dans la forme, Pennac décrit tout cela avec sensibilité et humour afin de toucher chaque lecteur dans son histoire personnelle. Voulant inciter les adolescents à la lecture, il tente de montrer que la lecture est avant tout un plaisir."
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