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HOMME DE MÉNAGE, de Anton VALENS, 2010, 358 pages, Néerlandais
04/02/2019 11:50
VALENS Anton
HOMME DE MÉNAGE, 20010, 358 pages, Actes Sud
Un roman qui m'a infiniment touché et plu pour son humour mais surtout par les réactions spontanées de BONI, l'auxiliaire de trente-cinq ans.Comme dans la vraie vie c'est du cas par cas. Chacun a son caractère. Chacun a son tempérament. BONO suit les lignes de conduite de l'association à la ligne et se sort de toutes les situations cocasses et imprévues de ses clients, hommes et femmes. Ses clients s'attachent à sa personnalité ouverte et à ses bons services.
Un style d'écriture adapté au sujet et très humaniste. On sent la compassion et le respect pour chaque personnage. J'ai eu beaucoup de plaisir à rencontrer chacun des personnages qui aurait pu être quelqu'un de mon entourage ou de ma ville.
Gilles LAGROIS, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com, à visiter
« Baisser les bras, à quoi ça sert? »
« Elle n'était pas d'un naturel sentimental. Elle tenait à son indépendance. Elle ne se laissait pas entraîner sur le terrain de la politique. »
« WAGHTO. Nous étions l'un pour l'autre un havre dans nos vies respectives, elle dans la mienne en tout cas. Un auxiliaire masculin, beau gosse et, de surcroît , exceptionnellement sympathique et gentil. »
« Dans les grands romans, le lavage de carreaux est également réduit à la portion congrue. Les deux protagonistes de cette activité utile : l'eau et le verre. Mieux vaut réparer et nettoyer que casser et polluer. L'association de ces deux éléments, l'eau e le verre, produit un effet hautement séduisant. »
« Chaque être humain est unique. »
« En tant qu'aide à domicile, il faut être capable d'adapter un rythme de travail aux désirs et aux critères du client. Chaque client a son tempo. Surtout ne pas se presser, ne pas se presser, dit-elle, tu n'a qu'à papoter ou traîner un peu. »
« Avec l'âge les hommes sont moins dégourdis que nous les femmes. »
« Il faut avoir du calme en soi pour peindre. »
« NIEUWKLAP. Eh oui, mon garçon, on en voit des choses avant de mourir de vieillesse. »
« Je me réjouissais de voir Nieuwklap, je n'avais plus l'impression d'aller au travail. »
« Ce que je vis, c'est une petite déprime ambulante, en costume de velours côtelé marron foncé, avec un toupet aile de corbeau. »
POUR EN SAVOIR DAVANTGE :
« Le narrateur de ce roman est un jeune peintre en mal d'inspiration et surtout qui, par l'intermédiaire d'une agence d'aide à domicile, gagne sa vie en faisant le ménage chez des personnes âgées. Passé maître en ce domaine, plus peut-être que dans l'art qui était sa vocation première, le jeune homme montre des aptitudes étonnantes et une bonne volonté sans pareille.. Très demandé, il passe ainsi de plus en lus de temps auprès de ces vieillards souvent acariâtres, toujours surprenants mais qui trouvent en lui un allié face à l'adversité d'un monde qui ne les comprends plus.
Neuf visages, neuf liens faits d'attachement et d'irritation qui se tissent chaque fois entre ces vieilles gens et leur aide-ménagère au masculin. Neuf histoires simples au fil desquelles se dessine et s'aiguise le singulier regard d'un artiste sur la fragilité des êtres proches de l'effacement. Neuf histoires qui s'achèvent sur une séparation définitive.
Avec empathie mais sans pathos, et souvent sans pitié, VALENS décrit la condition sociale , mentale et physique qui accompagne la vieillesse. Néanmoins, son regard anticonformiste, à la limite de l'absurde, son humour ravageur et son étonnante virtuosité d'écriture transcendent constamment l'apparente morosité de son sujet,offrant au lecteur l'un des plus beaux cadeaux dont soit capable la littérature, celui d'un rire fondé sur la bonté, l'intelligence et la lucidité. »LES ÉDITEURS
Résumé :
Un jeune artiste s'inscrit dans une agence d'interim : il sera dorénavant aide à domicile. Sa vie de bohême prend alors une tonalité inattendue et ses multiples employeurs, tous d'un âge plus que respectable, deviennent ses pires angoisses ou s'avèrent être ses plus belles rencontres. Humour explosif et regard radicalement anticonformiste portent ce roman tragico-comique inoubliable.
Www.babelio.com
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LIBÉRONS-NOUS! Des chaînes du travail et de la consommation, de Abdennour BIDAR, 2018, 104 pages, LLL
05/02/2019 17:05
BIDAR Abdennour, philosophe
LIBÉRONS-NOUS! Des chaînes du travail et de la consommation. 2018, 104 pages,
Les Liens qui Libèrent
Résumé
"La première grande lutte sociale du XXIe siècle sera pour l'instauration d'un
revenu universel, perçu à vie par chacun dès sa majorité et suffisant pour mener
une vie décente. Car ce revenu est le moyen le plus concret, le plus puissant,
dont nous disposons pour nous délivrer de la servitude capitaliste, qui nous
étrangle par la double chaîne du travail et de la consommation: " toute ta vie
dépendra de l'argent que tu gagneras dans nos entreprises, et tout ton bonheur
dépendra des produits que tu achèteras dans nos magasins ".
Or, la nécessité de travailler n'est plus aujourd'hui qu'une contrainte
artificielle, parce que nos technologies, nos machines, sont si puissantes
qu'elles réduisent toujours plus la part du travail humain. La revendication du
revenu universel n'est donc plus une utopie, c'est l'adaptation de nos vies aux
possibilités réelles du temps présent. Mais qu'allons-nous faire de ce temps
libéré, si nous l'obtenons ? Si c'est pour consommer encore plus, nous resterons
tenus par la seconde chaîne du capitalisme. Par conséquent, le combat pour le
revenu universel doit être en même temps une grande réflexion sur son usage.
John Maynard Keynes nous invitait dès les années 1930 à réfléchir à cette
mutation proche de l'histoire humaine où " le vieil Adam " n'aura plus à gagner
son pain à la sueur de son front et devra supporter le vertige formidable et
redoutable d'une liberté entièrement nouvelle. Saurons-nous la consacrer, comme
il l'espérait, " à nos vrais problèmes, ceux de la vie et des relations entre
les hommes, ceux des créations de l'esprit, ceux de la religion " et aux moyens
de " mener une vie judicieuse, agréable et bonne " ?
Bref, le défi du revenu universel est double : nous délivrer de l'esclavage
capitaliste, et nous donner le loisir de faire des questions essentielles de
notre condition non plus un supplément d'âme pour soirées et weekends mais la
quête quotidienne d'une vie douée de sens. »
https://www.chapitre.com/BOOK/abdennour-bidar/liberons-nous-des-chaines-du-travail-et-de-la-consommation,77758636.aspx
« Toute ta vie dépendra de l'argent que tu gagneras dans nos entreprises, et
tout ton bonheur dépendra des produits que tu achèteras dans nos magasins. »
Telle pourrait être la devise attribuée à cette servitude capitaliste qui nous
étrangle par la double chaîne du travail et de la consommation.
Libérons-nous de ces esclavages absurdes! Mais comment? Par l'instauration d'un
revenu universel, attribué sans conditions à tous ceux qui en font la demande et
suffisant pour mener une vie décente. Utopie? Hier oui, aujourd'hui non.Notre
niveau de développement produit désormais une telle quantité de richesses qu
c'est devenu parfaitement réaliste...si la répartition de ces richesses devient
équitable.
La vraie question est ailleurs : si nous ne passons plus l'essentiel de notre
vie à travailler, qu'allons-nous faire de tout ce temps libéré? Dès 1930, John
Maynard Keynes nous invitait à réfléchir cette mutation de l'humanité où le
/vieil ADAM » n'aurait plus à gagner son pain à la sueur de son front, mais
devrait apprendre à assumer le vertige d'une liberté entièrement nouvelle. Or
nous y sommes. Allons-nous donc être capables de nous consacrer enfin « à nos
vrais problèmes,ceux de la vie et des relations entre les hommes, ceux des
créations de l'esprit », et aux moyens de « mener une vie judicieuse, agréable
et bonne »?
LES ÉDITEURS
« C'EST SURTOUT AUX JEUNES ENGAGÉS DANS LA SOCIÉTÉ D'AVOIR À NOUS MONTRERR LE
CHEMIN, DE PRENDRE LES IDÉES RADICALES, UTOPIQUES ET DE LES POUSSER JUSQU'À CE
QU'ELLES DEVIENNENT SOUDAINEMENT RÉALISTES. »
Gilles LAGROIS, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com, à visiter
« Retenus en otages. Une usine de cellulose...émanations. »Une multinationale
indonésienne : Nous irons produire ailleurs , et vous vous retrouverez avec 250
chômeurs en plus sur votre territoire, qui souffre déjà terriblement sur le plan
économique. »
« Une possibilité nouvelle :disposer d'un « revenu universel » ou « allocation
universelle » sans conditions à tous les citoyens un revenu de base, cumulable
avec tout autre revenu. »
« Deux effets! Un, la mulltinationale perdrait son moyen de chantage, deux : se
poser la question de savoir s'il veut vraiment travailler dans cette usine."
« Une alternative fermée : emploi-argent, pas d'emploi-pas d'argent.
C'est-à-dire de renterer dans le rang! »
« On fabrique ainsi une armée de robots sur adaptés au système. »
« OSONS LE MOT ESCLAVAGE. »
« ARISTOTE : le fait qu'un homme libre ne pouvait pas se soumettre lui-même à la
nécessité de travailler : il lui fallait des esclaves...pour se débarrasser de
l'esclavage du travail! »
« Il y a esclavage quand il y a domination. »
« Les plus riches : ils sont asservi aussi bien les ressources naturelles que
les populations, la matière grise, les États eux-mêmes... dans leurs paradis
fiscaux.2
« Il faut que le travail coûte le moins possible et qu'il soit le plus
performant possible. »
« Ils font de l'employé un travailleur jetable. »
« Ils nous maintiennent dans le cadre d'une société du travail. »
« Système capitaliste de travailleurs. Les pauvres, sous-payés, sous protégés,
« ¼ des travailleurs Américains seraient des travailleurs pauvres, payés au 2/3
du salaire moyen. »
« Le capitalisme , en créant sans arrêt de nouveaux besoins, à vouloir désirer
toujours plus. »
« Pulsion de mort plutôt que pulsion de vie. »
« Il est inévitable que nous ne le soyons jamais heureux. »
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LIBÉRONS-NOUS! Des chaînes du travail et de la consommation, de Abdennour BIDAR, 2018, 104 pages, LLL
05/02/2019 17:05
BIDAR Abdennour, philosophe
LIBÉRONS-NOUS! Des chaînes du travail et de la consommation. 2018, 104 pages,
Les Liens qui Libèrent
Résumé
"La première grande lutte sociale du XXIe siècle sera pour l'instauration d'un
revenu universel, perçu à vie par chacun dès sa majorité et suffisant pour mener
une vie décente. Car ce revenu est le moyen le plus concret, le plus puissant,
dont nous disposons pour nous délivrer de la servitude capitaliste, qui nous
étrangle par la double chaîne du travail et de la consommation: " toute ta vie
dépendra de l'argent que tu gagneras dans nos entreprises, et tout ton bonheur
dépendra des produits que tu achèteras dans nos magasins ".
Or, la nécessité de travailler n'est plus aujourd'hui qu'une contrainte
artificielle, parce que nos technologies, nos machines, sont si puissantes
qu'elles réduisent toujours plus la part du travail humain. La revendication du
revenu universel n'est donc plus une utopie, c'est l'adaptation de nos vies aux
possibilités réelles du temps présent. Mais qu'allons-nous faire de ce temps
libéré, si nous l'obtenons ? Si c'est pour consommer encore plus, nous resterons
tenus par la seconde chaîne du capitalisme. Par conséquent, le combat pour le
revenu universel doit être en même temps une grande réflexion sur son usage.
John Maynard Keynes nous invitait dès les années 1930 à réfléchir à cette
mutation proche de l'histoire humaine où " le vieil Adam " n'aura plus à gagner
son pain à la sueur de son front et devra supporter le vertige formidable et
redoutable d'une liberté entièrement nouvelle. Saurons-nous la consacrer, comme
il l'espérait, " à nos vrais problèmes, ceux de la vie et des relations entre
les hommes, ceux des créations de l'esprit, ceux de la religion " et aux moyens
de " mener une vie judicieuse, agréable et bonne " ?
Bref, le défi du revenu universel est double : nous délivrer de l'esclavage
capitaliste, et nous donner le loisir de faire des questions essentielles de
notre condition non plus un supplément d'âme pour soirées et weekends mais la
quête quotidienne d'une vie douée de sens. »
https://www.chapitre.com/BOOK/abdennour-bidar/liberons-nous-des-chaines-du-travail-et-de-la-consommation,77758636.aspx
« Toute ta vie dépendra de l'argent que tu gagneras dans nos entreprises, et
tout ton bonheur dépendra des produits que tu achèteras dans nos magasins. »
Telle pourrait être la devise attribuée à cette servitude capitaliste qui nous
étrangle par la double chaîne du travail et de la consommation.
Libérons-nous de ces esclavages absurdes! Mais comment? Par l'instauration d'un
revenu universel, attribué sans conditions à tous ceux qui en font la demande et
suffisant pour mener une vie décente. Utopie? Hier oui, aujourd'hui non.Notre
niveau de développement produit désormais une telle quantité de richesses qu
c'est devenu parfaitement réaliste...si la répartition de ces richesses devient
équitable.
La vraie question est ailleurs : si nous ne passons plus l'essentiel de notre
vie à travailler, qu'allons-nous faire de tout ce temps libéré? Dès 1930, John
Maynard Keynes nous invitait à réfléchir cette mutation de l'humanité où le
/vieil ADAM » n'aurait plus à gagner son pain à la sueur de son front, mais
devrait apprendre à assumer le vertige d'une liberté entièrement nouvelle. Or
nous y sommes. Allons-nous donc être capables de nous consacrer enfin « à nos
vrais problèmes,ceux de la vie et des relations entre les hommes, ceux des
créations de l'esprit », et aux moyens de « mener une vie judicieuse, agréable
et bonne »?
LES ÉDITEURS
« C'EST SURTOUT AUX JEUNES ENGAGÉS DANS LA SOCIÉTÉ D'AVOIR À NOUS MONTRERR LE
CHEMIN, DE PRENDRE LES IDÉES RADICALES, UTOPIQUES ET DE LES POUSSER JUSQU'À CE
QU'ELLES DEVIENNENT SOUDAINEMENT RÉALISTES. »
Gilles LAGROIS, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com, à visiter
« Retenus en otages. Une usine de cellulose...émanations. »Une multinationale
indonésienne : Nous irons produire ailleurs , et vous vous retrouverez avec 250
chômeurs en plus sur votre territoire, qui souffre déjà terriblement sur le plan
économique. »
« Une possibilité nouvelle :disposer d'un « revenu universel » ou « allocation
universelle » sans conditions à tous les citoyens un revenu de base, cumulable
avec tout autre revenu. »
« Deux effets! Un, la mulltinationale perdrait son moyen de chantage, deux : se
poser la question de savoir s'il veut vraiment travailler dans cette usine."
« Une alternative fermée : emploi-argent, pas d'emploi-pas d'argent.
C'est-à-dire de renterer dans le rang! »
« On fabrique ainsi une armée de robots sur adaptés au système. »
« OSONS LE MOT ESCLAVAGE. »
« ARISTOTE : le fait qu'un homme libre ne pouvait pas se soumettre lui-même à la
nécessité de travailler : il lui fallait des esclaves...pour se débarrasser de
l'esclavage du travail! »
« Il y a esclavage quand il y a domination. »
« Les plus riches : ils sont asservi aussi bien les ressources naturelles que
les populations, la matière grise, les États eux-mêmes... dans leurs paradis
fiscaux.2
« Il faut que le travail coûte le moins possible et qu'il soit le plus
performant possible. »
« Ils font de l'employé un travailleur jetable. »
« Ils nous maintiennent dans le cadre d'une société du travail. »
« Système capitaliste de travailleurs. Les pauvres, sous-payés, sous protégés,
« ¼ des travailleurs Américains seraient des travailleurs pauvres, payés au 2/3
du salaire moyen. »
« Le capitalisme , en créant sans arrêt de nouveaux besoins, à vouloir désirer
toujours plus. »
« Pulsion de mort plutôt que pulsion de vie. »
« Il est inévitable que nous ne le soyons jamais heureux. »
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LA CONCUBINE, IMPÉRATRICE ORCHIDÉE. tome1, roman de Anchee MIN, 2006, 525 pages
15/02/2019 15:34
MIN Anchee
LA CONCUBINE, IMPÉRATRICE ORCHIDÉE, roman, 2006, 525 pages, gros caractères
Un roman à base historique qui m'a fait pénétrer de force dans la culture et l'histoire de la CHINE du X1Xe siècle. Un roman remarquable et rude comme l'était la vie soumise du peuple chinois asservi à son EMPEREUR. Les richesses de cette CHINE étaient illimitées autant par sa culture, sa civilisation, son mode de vie, son art , son pouvoir militaire mais surtout à cette époque par le pouvoir de son OPIUM qui avait déjà conquis les pays d' EUROPE et même d' AMÉRIQUE.
La CHINE était dès lors envahie par les conquérants européens qui déjà étaient des expansionnistes CAPITALISTES ambitieux recherchant par tous les moyens la fortune, la prospérité. .Seules les richesses immenses de la CHINE les portaient à s'imposer et ils le feront brutalement, sauvagement.
Un roman imposant qui nous fait découvrir la complexité de la culture de la CHINE et surtout de LA CITÉ INTERDITE de l'époque, la ville de la vie impériale somptueuse.
Gilles LAGROIS, Auclair, Québec
www.livresentee.vip-blog.com, à visiter
« Pour les paysans, la vie n'était pas meilleure que la mort. »
« De 1851 à 1864, des paysans cherchèrent à établir un royaume de justice et de paix. Riches et mandarins abandonneraient leurs propriétés u peuple, qui mettrait tout en commun—prémices ce la Révolution populaire de MAO. «
« Dès mon jeune âge, je fus témoin des luttes et des souffrances de mon père. »
« En vérité, le MANDCHOU n'était d'aucune utilité, telle une rivière morte où personne ne boit plus. »
« Orchidée. Yehonla.
Les eunuques étaient capables de crimes odieux et d'une cruauté sans limite. J'ai compris la nécessité de la discipline. »
« Dans la vraie vie, le mariage était un marché où les femmes cherchaient à trouver le meilleur acheteur. Seul le bien faisait l'homme. Le désir n'accorde pas la dignité.»
« La vie dans la Cité interdite n'était qu'une infinie succession de détails.Mon gros défaut, c'était le manque de patience. «
« L'EMPEREUR XIANFENG.
Depuis l'enfance, on lui répétait que les habitants de la Cité interdite étaient là pour satisfaire ses moindres désirs. C'est de la folie de faire porter le fardeau de la Chine à un nourrisson. »
« Pression et attaque de la Chine par les Britanniques, Français et Russes, accompagnés d'Américains, des observateurs impartiaux. »
« Le vainqueur impose ses règles, plus de commerce et plus d'opium. Ils ne parlent que de guerre. Changer la carte du territoire de la Chine. La Chine fut attaquée par le front de mer et le fleuve jaune puis Pékin. «
« L'annonce de la désertion de l'empereur XIANFENG avait plongé la ville dans le chaos, Pékin, la capitale. »
POUR EN SAVOIR DAVANTAGE
Résumé
« Devenir concubine de l'empereur de Chine, la jeune et jolie Orchidée en rêve pour arracher à la misère sa famille de petite noblesse, totalement ruinée.
Et elle pourrait ainsi échapper au mariage qu'on lui a arrangé avec un cousin débile. Mais elles sont des milliers de jeunes filles à l'espérer ! Elle tente malgré tout sa chance lorsque le palais annonce qu'il va recruter deux cents demoiselles pour les plaisirs du souverain... Sa beauté lui permet de figurer parmi les élues. Sans se laisser décourager par l'étiquette écrasante et rigide de la Cité interdite qu'elle découvre, ni par les humiliations venues de ses rivales et de l'impératrice douairière, Orchidée se lie avec un eunuque pour intriguer et rencontrer l'empereur.
Parvenue à la couche royale, elle apprivoise peu à peu cet homme malade et superstitieux et, par de longues conversations, s'initie aux affaires politiques. La naissance d'un fils lui assure bientôt une position solide... C'est l'ascension graduelle d'une femme envoûtante, à la volonté inflexible, que raconte Anchee Min avec un luxe de détails fascinants sur l'univers clos de la Cité interdite, en plein cœur de Pékin, et la vie quotidienne des concubines royales.
L'implacable Orchidée, grande séductrice et meurtrière sans scrupule, ignore que l'Empire du milieu s'écroule et que, sous le nom officiel de Tseu-Hi. elle restera dans l'histoire comme la dernière impératrice... »
« Cixi, ou Tseu-Hi, ou Ts'eu-hi (chinois : 慈禧 ; pinyin : CíxÇ ; wade-giles : Tz'u-Hsi), née le 29 novembre 1835 à Pékin et décédée le 15 novembre 1908 à la Cité interdite, est une impératrice douairière de Chine de la dynastie Qing qui exerça la réalité du pouvoir en Chine pendant 47 ans de 1861 à sa mort.
Choisie adolescente par l'empereur Xianfeng pour devenir concubine impériale, elle donne naissance à un fils, qui deviendra l'empereur Tongzhi après la mort de Xianfeng. Son véritable nom est Yehenala1 mais, après la naissance de l'héritier, elle prend le nom de Cixi (Ts'eu-hi) : « mère vénérable ». Cixi parvient à renverser le groupe de régents nommé par l'empereur défunt et assume elle-même la régence durant l'enfance de son fils aux côtés de l'impératrice douairière Ci'an. Cixi consolide ensuite son contrôle sur la dynastie et, à la mort de l'empereur Tongzhi, contrairement aux règles de succession, elle installe son neveu sur le trône sous le titre d'empereur Guangxu en 1875. Bien qu'elle refuse d'adopter un modèle de gouvernement occidental, elle soutient néanmoins le mouvement d'auto-renforcement technologique et militaire. Cixi rejette la réforme des Cent Jours de 1898 qu'elle considère impraticable et nuisible au pouvoir dynastique et place l'empereur Guangxu sous surveillance pour avoir apporté son soutien aux réformateurs. Après la révolte des Boxers et l'invasion des armées alliées, les pressions externes et internes forcent Cixi à effectuer des changements institutionnels qu'elle avait refusés jusque-là et elle nomme des réformateurs à des postes de fonctionnaires. La dynastie est déposée par la révolution chinoise de 1911, trois ans après sa mort (et la nouvelle ère républicaine commence le 1er janvier 1912).
Les historiens chinois et internationaux la représentent généralement comme un despote et comme la responsable de la chute de la dynastie, tandis que d'autres suggèrent que ses adversaires réformateurs ont réussi à en faire un bouc émissaire de problèmes qui allaient au-delà de son pouvoir, qu'elle est intervenue pour calmer les troubles, qu'elle n'était pas plus impitoyable que les autres dirigeants, et qu'elle était même résolument réformiste vers la fin de sa vie. » WIKIPEDIA.ORG
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Les artisans du huitième jour par
16/02/2019 16:40
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