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MISSING: NEW YORK, roman polar de Don WINSLOW, 2015, 302 pages, *****
17/07/2018 12:30
WINSLOW Don
MISSING : NEW YORK, roman polar, 2015, 302 pages,*****
Un roman du genre polar, enquête policière très réussie avec une rare maîtrise d'écriture et de narration.Un enquêteur acharné se doit de démissionner comme policier pour poursuivre cette enquête qu'il s'est donnée comme mission de réussir : sauver la vie d'une enfant de cinq ans.
Une enquête unique, une enquête tenace sur la disparition d'une fillette de cinq ans enlevée près du domicile familial. Qui dit enlèvement peut laisser supposer un réseau criminel organisé.
Une enquête policière qui souligne que parfois il faut parier sur la nature humaine.
Gilles LAGROIS, Auclaire, Québec
www.livresentete.vip-blog.com, à visiter
« On peut aisément pardonner à l'enfant qui a peur de l'obscurité; la varie tragédie de la vie, c'est lorsque les hommes ont peur de la lumière. » PLATON
« L'espoir ne meurt pas d'un seul coup, comme une branche qui se casse sous le poids de la neige. »
« C'est peut-être au coeur de la ville qu'on est le plus résolument seul-- dans l'anonymat , dans l'indifférence. Appelez cela « isolement » ou appelez cela « liberté »
« Et maintenant, les hommes de main de Massarano confirmaient la rumeur que la pègre était impliquée. »
« C'est dur de nos jours de trouver des hommes qui défendent des valeurs. »
« Des gens disparaissent. Certains parce qu'ils le veulent. D'autre parce qu'ils se font enlever. »
POUR EN SAVOIR DAVANTAGE :
Résumé :
« Frank Decker, sergent de police à Lincoln, Nebraska, capte sur sa radio de service un « Code 64 », soit un avis de disparition : Hansen, Hailey Marie. Afro-américaine. Âgée de cinq ans. Un mètre six. Seize kilos huit. Cheveux bruns, yeux verts.
Personne n’a rien vu, rien remarqué, rien entendu.
Près de la moitié des enfants assassinés par leur ravisseur sont tués dans l’heure qui suit leur enlèvement et Decker sait juste que Hailey s’est volatilisée avec Magique, son petit cheval en plastique.
Fouilles et interrogatoires, brigade cynophile, battues avec l’aide des flics des comtés voisins : la police fait de son mieux.
Jusqu’à un certain point. Car personne ne l’admet, mais on remue ciel et terre pour retrouver les petites filles blondes, pas les enfants métis de mère modeste et alcoolique.
C’est alors que Decker donne sa démission, fait son sac et part sur les routes à la recherche de Hailey.
Une quête désespérée et solitaire de plusieurs mois, de motels en stations-service, jusqu’à New York et son annexe pour VIP, les Hamptons.
Et là, tout bascule… » LES ÉDITEURS
UN LECTEUR;
« Missing et la naissance d'un policier/civil qui travaille en indépendant ou en marge des services de police. Oui c'est la première enquête de Franck Decker, Deck pour les amis, et celle-ci porte sur la disparition d'une petite fille afro-américaine. Decker est policier à Lincoln et lorsque les services de police, le FBI et le procureur semblent vouloir freiner l'ardeur des recherches, Decker abandonnera sa carrière pour poursuivre, seul . Depuis un an qu'il traque et chasse les indices, qu'il sollicite tous ses contacts, qu'il sillonne le pays, qu'il suit la moindre piste...y arrivera-t-il ? Se découragera-t-il ? Où nous mènera-t-il ? Chose certaine, cette année de chasse aux voleurs d'enfants est venue à bout de son mariage...Deck devient un homme seul, sans attaches, un chasseur solitaire. Une histoire déjà vu bien sûr, mais Winslow a une plume tranchante ici, incisive, qui dit ce qu'il faut sans passer par quatre chemins. C'est direct et sans relief. Bref, cette première enquête se lit bien, c'est clair, c'est concis, c'est rapide. « wwww.babelio.com
Commentaire de laloracorse2 (17/11/2018 15:02) :
bonsoir ou plutot bonjour pour vous, je viens de finir ce livre, j'ai
vraiment aime,
http://laloracorse2.vip-blog.com/
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L'INSTANT PRÉSENT, roman de Guillaume MUSSO, 2015, 363 pages
18/07/2018 18:35
MUSSO Guillaume
L'INSTANT PRÉSENT, roman, 2015, 362 pages
Un roman, une fiction fait de fantastique, de surnaturel. Un conte pour adultes qui croient à une quatrième dimension. ARTHUR COSTELLO accède à la quatrième dimension pendant vingt-quatre ans. À chaque fois il vit une journée puis il est transporté dans un monde parallèle.C'est l'homme qui disparaît contre sa volonté dû à une expérience dans le phare appartenant à sa famille depuis trois générations.
Un roman pour lecteurs qui aiment les romans fantastiques de MUSSO et faire un saut dans le temps.
« Souviens-toi que le Temps est un joueur avide. »
Gilles LAGROIS, Auclaire, Auclair
www.livresentete.vip-blog.com,à visiter
« Tu te bats contre le destin. C'est un combat à armes inégales qui est toujours perdu d'avance. »
« Je suis l'homme qui disparaît mais qui se souvient de tout. »
« Mais une décharge électrique foudroya mon cerveau.Le sol gelé se déroba sous mes pieds. Et je disparus. »
« Je me volatilise, c'est tout. Mais je n'étais déjà plus là. »
« J'étais à la fois dans ma vie et hors de ma vie. À la fois moi et hors de moi. »
« La cave du phare. La malédiction. La porte. Ne poussez surtout pas la porte.Lorsqu'un violent courant d'air a refermé la porte sur moi. Des jambes lourdes, une respiration difficile, la sensation d'une chute sans fin. Je me suis réveillé sur le toit d'un immeuble..à New York. Décembre 1995.
Vous aviez fait un bond d'un an. 24 heures plus tard je me suis évaporé de nouveau. Ça duré pendant vingt-quatre ans. Une sorte de labyrinthe infernal. Tu vas vivre 24 ans en seulement 24 jours. 24 voyages dans ale temps. C'est ça la malédiction du phare.
POUR EN SAVOIR DAVANTAGE :
Résumé :
« Lisa et Arthur n’ont rendez-vous qu’une fois par an.
Il passe sa vie à la chercher…
…  elle passe la sienne à l’attendre.
Lisa rêve de devenir comédienne. Pour payer ses études d’art dramatique, elle travaille dans un bar de Manhattan. Un soir, elle fait la connaissance d’Arthur Costello, un jeune médecin urgentiste. Leur complicité est immédiate.
Pour le séduire, Lisa est prête à tout. Dans une ville-labyrinthe qui n’offre aucun répit, elle prend tous les risques. Mais Arthur n’est pas un homme comme les autres. Bientôt, il révèle à Lisa la terrible vérité qui lui interdit de l’aimer :
"Ce qui m’arrive est inimaginable, et pourtant bien réel…"
Dans un New York plus imprévisible que jamais, Arthur et Lisa vont lier leur destin pour déjouer les pièges que leur impose le plus impitoyable des ennemis : le temps.
Un thriller psychologique vertigineux
au final stupéfiant. » Les éditeurs
UN LECTEUR :
« Guillaume Musso sait toujours bien manipuler ses lecteurs. Tous ses livres se terminent de façon semblable mais à chaque fois, on se fait prendre au piège et on s'imagine une finale différente. Encore une fois, je m'attendais à une conclusion spéciale et donc, ce que m'a donné l'auteur, m'a, au départ, ennuyé. Lorsque j'ai compris de quoi était question la fin, je me suis mise en pétard. Mais plus je tournais les dernières pages, plus j'étais heureuse d'avoir lus ce livre, plus j'étais satisfaite... Je déteste Musso autant que je l'aime!
Bon, commençons par le début. En lisant le résumé de ce bouquin, j'étais loin de m'attendre à ça. Je croyais avoir affaire avec un livre d'amour un peu compliqué mais ce qu'on m'a livré était totalement différent. Arthur soutient sur ses épaules une malédiction horrible qu'à également vécu son grand-père. Pendant vingt-quatre ans, il ne vit que vingt-quatre jours. Il ne vit qu'une journée par an, avant de disparaître dans le néant et de se réveiller l'année suivante. Seulement, pendant l'une de ces journées, il fait la connaissance de Lisa et tombe follement amoureux d'elle. Une histoire d'amour déchirante, tragique, émouvante... cette histoire m'a fait traversée toute la gamme d'émotion possible! Je sentais leur amour palpiter dans mes veines, je sentais à quel point leur lien était fort alors qu'ils ne sont que deux personnages de fiction. le fait qu'ils ne vivent leur amour qu'une fois par année m'a aidé à comprendre à quel point le temps est précieux : on ne peut le gâcher, la vie n'est pas éternelle. Lisa et Arthur ne passent que vingt-quatre jours ensemble sur vingt-quatre ans mais leur amour persiste à cet obstacle.
De la souffrance, de l'amour, de la passion, de la peur du futur, du chagrin, la perte... Tout y passe, on est gâté en émotions.
J'ai d'ailleurs apprécié l'insertion qu'à fait Musso, dans les derniers chapitres, où il a inséré le nom ''Tom Boyd'', ''auteur de la trilogie des Anges.'' Pour ceux qui n'auraient pas compris le lien, Tom Boyd est le personnage principal de ''La fille de papier'', un autre livre de Guillaume Musso paru il y a quelques années.
Enfin bref... Je suggère ce livre à tous le monde, prenez le temps de lire jusqu'à la toute fin même si vos larmes vous empêchent de voir correctement les mots sur le papier. Bonne lecture! »
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CELLE QUI FUIT ET CELLE QUI RESTE, L'amie prodigieuse 3, roman d'Elena FERRANTE, 2017, 479 pages
24/07/2018 09:10
FERRANTE Elena
CELLE QUI FUIT ET CELLE QUI RESTE, L'amie prodigieuse 111, roman, 2017, 479 pages
Un roman captivant et fascinant sur l'amitié de deux femmes. LENÙ est mariée, n'a pas encore écrit de second livre, elle se consacre à sa vie d'épouse, à son couple. Elle néglige son amie LILA qui continue de vivre sa vie en zigzag, elle suit son instinct, néglige son amie ELENA
ELENA ET LILA. Les années 1970. Roman à la dimension historique, volet politique pour l'Italie en marche vers la modernité. Naples.
Sans concession, sans chichis, sans faux-semblants ni effets de style mais avec une rigueur, une intransigeance et une authenticité sidérantes, Elena Ferrante vient encore une fois de porter un grand coup.
Gilles LAGROIS, Auclair, Québec
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ELENA.LILA.
« LILA , je dois l'avouer me fait un peu peur. La vieillesse avait pris le dessus.Elle dit beaucoup de mal des autres en vieille atrabilaire, colérique. »
NINO,ELENA.
« Il venait de l'enfance, était fait de mes désirs de gamine, n'avait rien de concret et n'était pas tourné vers un futur. »
PIETRO, mari d' ELENA. « Il détestait les plaisanteries salaces. Il détestait les bavardages, les conversations exaltées et le gaspillage. »
« ...le capital triomphera pour les siècles à venir et la classe ouvrière succombera à la consommation compulsive. Tout pouvait s'apprendre, y compris la passion politique. »
NINO.ELENA. » Tous deux, nous avions refusé de prendre modèle sur nos familles. »
LILA, ouvrière. »Tu dois faire peur à ceux qui veulent te faire peur, c'est coup sur coup, tu me voles, je te le reprends, ce que tu me fais, je te le fais à mon tour. »
« La femme est l'autre face de la terre.Se libère de la soumission. Ici, maintenant, dans notre présent. Carla Longi »
Selon LENÛ. Des femmes sont des modèles inventés par l'homme. Les femmes correspondent à l'image que les hommes se font d'elles. Ainsi elle sont acceptées, aimées. LENÙ écrit un livre dont le sujet est : Les hommes qui fabriquent les femmes. »
« ÈVE, c'est ADAM femme. »
POUR EN SAVOIR DAVANTAGE :
Résumé :
« Après l'amie prodigieuse et Le nouveau nom, Celle qui fuit et celle qui reste est la suite de la formidable saga dans laquelle Elena Ferrante raconte cinquante ans d’histoire italienne et d’amitié entre ses deux héroïnes, Elena et Lila.
Pour Elena, comme pour l’Italie, une période de grands bouleversements s’ouvre. Nous sommes à la fin des années soixante, les événements de 1968 s’annoncent, les mouvements féministes et protestataires s’organisent, et Elena, diplômée de l’École normale de Pise et entourée d’universitaires, est au premier rang. Même si les choix de Lila sont radicalement différents, les deux jeunes femmes sont toujours aussi proches, une relation faite d’amour et de haine, telles deux sœurs qui se ressembleraient trop. Et, une nouvelle fois, les circonstances vont les rapprocher, puis les éloigner, au cours de cette tumultueuse traversée des années soixante-dix.
Celle qui fuit et celle qui reste n’a rien à envier à ses deux prédécesseurs. À la dimension historique et intime s’ajoute même un volet politique, puisque les dix années que couvre le roman sont cruciales pour l’Italie, un pays en transformation, en marche vers la modernité. » Les éditeurs
UNE LECTRICE :
« Fin des années 60. Elena, forte du succès de son livre, écume les librairies et les conférences, le plus souvent épaulée par Adele, la mère de son fiancé et certainement futur mari, Pietro, un homme intelligent, cultivé et bienveillant. Alors qu'un journaliste critique ouvertement son roman, un homme dans l'assemblée se lève et prend la défense d'Elena. La jeune femme est étonnée de se trouver face à Nino, son amour de jeunesse avec qui Lila a eu une liaison. Une rencontre qui bouleversera la jeune femme promise à un avenir bourgeois et réconfortant...
Elena, elle, a quitté Stefano et vit désormais avec son fils, Gennaro, et Enzo. Elle travaille dorénavant à l'usine de salaisons. Mais les conditions de travail sont pénibles, le patron et certains employés ont la main baladeuse. La jeune femme s'intéresse de plus en plus au contexte social...
L'on retrouve avec plaisir Elena et Lila, bientôt la trentaine, dans l'Italie de la fin des années 60. Période ô combien trouble et agitée politiquement et socialement qui subit des attentats, des actions révolutionnaires et féministes. C'est dans ce contexte que les deux femmes, dont l'amitié sera plus que jamais soumise à rudes épreuves, tentent chacune de leur côté de s'en sortir. Elena dans son mariage bourgeois qui ne la satisfait pas complètement, Lila militante pour le droit des femmes et des ouvriers. Dans ce troisième volet, les deux amies ne se voient que sporadiquement et entretiennent des relations à la fois bienfaitrices et destructrices. Une amitié complexe et rare dans laquelle les deux femmes sont tiraillées de part et d'autre. Elena Ferrante décrit avec précision tous ces sentiments (jalousie, amour, amitié, désir, cruauté, vengeance... ) mais aussi avec force cette Italie tourmentée. Une écriture passionnante, dense et authentique. Un roman captivant et fascinant... « www.babelio.com
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LE PRISONNIER DU CIEL,roman de Carlos Ruiz ZAFON, 2012, 339 pages, La suite de l'OMBRE DU VENT
28/07/2018 16:03
ZAFON Carlos Ruiz
LE PRISONNIER DU CIEL, roman, 2012, 339 pages, 1957, La suite de l' OMBRE DU VENT
À lire sans faute la suite de l'Ombre du vent si vous l'avez aimé comme je l'ai apprécié, d'un auteur hors norme qui nous propulse dans un monde où tous les événements et personnages sont importants et à connaître pour découvrir une vérité si bien cachée. L'avenir est intrinsèquement lié au passé.
Gilles LAGOIS, Auclair,Québec
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« Un bon repas est comme une jeune fille en fleur! Il faut être goujat pour ne pas le savourer. »
« Dans ce monde, on pardonne tout, sauf dire la vérité »
FERMIN. Le prêtre.
« Peut-être que Dieu, lui, croit en vous, »
DANIEL.BEA » Ces événements s'étaient produits presque vingt ans plus tôt, et le temps m'avait condamné au rôle de simple spectateur d'une histoire où s'étaient tissés les fils de mon destin. »
« Le destin ne fait pas de visite à domicile et qu'il faut aller le prendre par la peau du cou.
De Julian Carax
« Vous m'avez rendu la vérité. Je vous rendrai votre nom. »
« Bienvenue, FERMIN, dans le CIMETIÈRE DES LIVRES OUBLIÉS. »
« DAVID MARTIN. DANIEL. « Rappelle-toi que dans mon histoire, comme dans la tienne, il y a eu un ange qui détient toutes les réponses. »
POUR EN SAVOIR DAVANTAGE :
Résumé :
« Barcelone, Noël 1957. À la librairie Sempere, un inquiétant personnage achète un exemplaire du Comte de Monte-Cristo. Puis il l'offre à Fermín, accompagné d'une menaçante dédicace. La vie de Fermín vole alors en éclats.
Qui est cet inconnu ? De quels abîmes du passé surgit-il ? Interrogé par Daniel, Fermín révèle ce qu'il a toujours caché.
La terrible prison de Montjuïc en 1939. Une poignée d'hommes condamnés à mourir lentement dans cette antichambre de l'enfer. Parmi eux Fermín et David Martín, l'auteur de La Ville des maudits. Une évasion prodigieuse et un objet volé.
Dix-huit ans plus tard, quelqu'un crie vengeance. Des mensonges enfouis refont surface, des ombres oubliées se mettent en mouvement, la peur et la haine rôdent.
Foisonnant de suspense et d'émotion, Le Prisonnier du ciel nous rapproche pas à pas de l'énigme cachée au cœur du Cimetière des Livres oubliés.
Quatrième de couverture
Barcelone, 1957. La sonnette tinte sur le seuil de la librairie Sempere. Le client s'approche de Daniel en boitant. L'objet de sa visite ? Un magnifique exemplaire du Comte de Monte-Cristo... Qu'il laisse à l'attention de Fermín, en congé, accompagné d'un curieux message du passé... C'étaient les heures noires du franquisme : à la prison de Monjuïc, parmi les damnés du régime, Fermín portait le numéro 13. Les fantômes refont surface. Dans l'ombre, le Cimetière des Livres oubliés cache toujours son secret... »Les éditeurs
UN LECTEUR :
« Le voile pudique posé sur les horreurs de la guerre civile et du franquisme, avec le concours de l'Église espagnole, se soulève encore un peu aujourd'hui grâce à ce roman de Zafon.
Cette piqûre de rappel se présente sous la forme d'un épisode intense d'une centaine de pages, le tiers du livre, sur les conditions de détention en 1939 du personnage principal Fermin dans la prison de Montjuïc à Barcelone.
Les pages, les courts chapitres passent très vite tant on se sent happé par les malheurs de Fermin et de ses compagnons d'infortune. Des prisonniers que l'on appelle par un numéro qui sont tenus sous la coupe de l'ignoble Mauricio Valls, un modèle de carriériste plus franquiste que Franco. Ce méchant cultivé, portant costume civil et connaissant les bonnes manières se détestera sans effort.
Pour terminer avec cet épisode, l'auteur n'oublie pas de citer ses références : le "Comte de Monte Cristo" de Dumas.
Commencer par ce troisième roman du cycle ne gêne pas la lecture. Les personnages sont ici suffisamment définis. Ils vivent en 1957, toujours sous la dictature, avec pour certains des secrets bien difficiles à garder et liés à la guerre civile qui les empoisonnent 20 ans après.
Cependant j'ai trouvé le dernier tiers du livre bien fade: un préparatif de mariage puis un mariage après ça...ça fait léger. Je n'ai pas été vraiment emporté par cette fin qui sert de transition au prochain tome.
Mais des mystères restent encore à éclaircir, le feuilleton continu « www.babelio.com
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LA VIE PRINCIÈRE, roman de Marc PAUTREL, 2018, 66 pages, ****
29/07/2018 09:12
PAUTREL Marc
LA VIE PRINCIÈRE, roman, 2018, 66 pages, ****
Une rencontre, une amitié spontanée qui naît avec facilité, toute en douceur. Une symbiose quasi instantanément. Harmonie de l'amitié, des échanges, des goûts en commun.Une rencontre facile, agréable sans complications, sans promesse, sans obligations. Juste goûter le plaisir d'être ensemble, d'échanger des expériences de vie.
Une écriture douce, poétique, pleine de sensibilité et d'altruisme. L'autre est important pour chacun.
J'ai adoré cette douce amitié presque amoureuse. Une rencontre trop courte.
Gilles LAGROIS, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com, à visiter
« Tout me semble plus facile et naturel avec toi, mon corps ne paraît pas avoir besoin de faire un quelconque effort, il suit ma tête qui discute avec toi , et tout simplement se tient à côté de toi , et cette cette seule proximité suffit à le stabiliser. »
« Les choses se passent avec tant de fluidité et si parfaitement avec toi, c'est tout ce qui compte,je ne veux pas briser notre cercle. »
« C'est cela que tu m'as donné, cinq jours de joie, cinq jours d'état de grâce intime et c'est pour cela que je veux te remercier, grazie mille, merci, mille mercis pour tout cela. »
« Oui, ici c'est vraiment la vie princière, la vie portée à son maximum, le lieu idéal et pour moi l'être qu'il faut c'est toi. »
POUR EN SAVOIR DAVANTAGE :
Résumé :
"Puisque le Domaine est une propriété privée et qu'il ne passe ici qu'un ou deux véhicules par jour, nous marchons en plein milieu de la chaussée, la route nous appartient, on dirait qu'elle a été tracée pour nous seuls au milieu des vallons, percée à flanc de coteau puis parfaitement aplanie, égalisée et goudronnée uniquement pour que toi et moi puissions y marcher tous les deux côte à côte le plus confortablement possible, et parler, parler sans cesse, expliquer, imaginer, se souvenir, inventer, interroger, démontrer, raconter, échanger nos idées, nos mots, nos vies".Les éditeurs
UNE LECTRICE :
« Quelles sont les limites de la séduction ? Ou encore, quel(s) élément(s) provoque(nt) sa dérive vers l'Amour sincère et durable ?
Ce court roman nous entraîne dans le tourbillon de la séduction entre une femme mariée qui parle ouvertement de son « compagnon » et un célibataire, le temps d'un séminaire au Domaine. Il est charmé par son allure, ses propos, sa façon d'être tout simplement. L'intellect, le physique, le feeling, tout les rapproche !
Elle est sa princesse, il est son mentor.
Lequel des deux succombera le premier à la tentation et croquera la Pomme d'Amour ? «La vie princière» ne sera-t-elle qu'éphémère ?
Je les ai volontiers suivis dans cette course poursuite de ce « conter fleurette » intellectuel et ravissant »
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