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FAUNES, nouvelles, Christiane VADNAIS, 2018, 136 pages, Québec, première oeuvre
11/04/2019 14:24
VADNAIS Christiane
FAUNES, nouvelles, 2018, 136 pages, première oeuvre, Québec
Oeuvre dans laquelle l'homme se retrouve au besoin de survivre à lui-même et
surtout aux autres humains de son clan.
Il faut se prendre en main, autant de son corps que de son esprit. Les lieux
nous influencent.
Nouvelles sous forme de contes sans âge de femme en transformation de vie, en
mutation normale et attendue, accompagnées de la présence d'animaux familiers.
Une Ogresse qui se nourrit de lapins. Des mangeurs d'animaux des bois de toutes
sortes même du genre écureuil et papillon, les insectes, les couleuvres, les
cerfs. L'humain en mode de survie. La condition humaine de l'heure actuelle si
l'homme ne réagit pas à la menace environnementale.
Combat de l'homme et de ses parasites, la douleur finale d'une civilisation
menacée. Une oeuvre réaliste et une vision futuriste de la condition humaine.
Gilles LAGROIS, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com, à visiter
Citations:
"Tu as compris qu'il ne faut pas s'en fire. Tu es prête pour la fin du monde."
"Plus l'humain grandit, plus ses rêves sont complexes. Sa propension naturelle à
fabriquer des images s'entremêle aux événements de chaque seconde qui passe et à
tous les récits qu'on lui murmure à l'oreille."
"On dit que lorsqu'il s'occupe même aux choses les moins signifiantes, l'esprit
garde son calme."
"Il ya une sorte de paix à vivre au coeur de cette averse à la fois précieuse et
violente."
"On dit que les animaux blessés ou malades jeûnent d'instinct."
"Le temps de la survivance est éternel."
"Dans les prunelles des animaux bat l'instinct noir de la vie qui doit en
détruire une autre pour survivre."
"Il y a plus de bactéries dans l'intestin que d'humains sur terre."
Résumé
"À une époque où la nature a été entièrement cataloguée, colonisée ou
assujettie, on peut encore découvrir quelques espaces insoupçonnés à la lisière
de la civilisation : des chemins effacés par la neige, des villages mauvais. Il
faut rester à l’affût pour les débusquer.
Sinon il suffit de suivre Laura sur les routes menant à la brumeuse cité de
Shivering Heights ou vers le hameau flottant au milieu d’un lac infesté de
dangers sous-marins. Dans ces lieux fuyants, là où les histoires se tissent
comme des constellations, cette biologiste embrasse la fulgurance de la nature
comme les secrets de la science avec la force d’une conquérante et l’innocence
d’une volontaire promise au sacrifice. Scientifique têtue, amoureuse inquiète,
Laura mène un combat pour la survivance sans se douter que le brouillard estompe
les frontières entre les humains et les monstres, que l’eau charrie des menaces
qui enflent avec la pluie.
Il n’y aura pas de vivant sans dévoration.
Première œuvre fiévreuse, séduisante et imprévisible, Faunes dresse un
inventaire fascinant de spécimens humains ballottés au gré d’instincts
premiers."
LES ÉDITEURS
UNE LECTRICE:
"Une courte lecture, mais très intéressante et surtout différente.
J'ai adoré son côté merveilleux et étrange. Les nouvelles semblent unies à la
nature d'une façon belle et confuse. Ce style nous rend perplexe tout en
menaçant de franchir la limite du merveilleux lui-même.
Par contre, l'écriture est un peu redondante puisque plusieurs mots sont
réutilisés dans la même histoire. Mais elle est tout de même mignonne, cette
écriture, surtout pour un premier livre.
J'ai moins aimé l'ennui que j'ai ressenti à la moitié du livre. Il me semblait
que rien n'avait de sens et que rien n'était sur le point d'arriver. J'ai été
fortement tentée de le laisser tomber... mais j'ai persévéré car il est rare
qu'une auteure québécoise écrive du fantastique/merveilleux. Et quelle chance !
La fin était géniale et explosive ! Elle était sur la même longueur d'ondes que
le thème de la nature, mais en version hyper-poignante.
La grossesse, l'accouchement et la mention des menstruations qu'on lit dans
cette histoire méritent une mention. J'ai trouvé cela très bien écrit et cela
apportait une touche définitivement féminine que plusieurs livres n'ont pas.
Très intéressant !
Verdict ? Je lui donne un 4.5 sur 5 pour le sentiment de fascination que j'ai
ressenti face à ces histoires." www.babelio.com
ÉCHOS
« Mais, au contraire des paysages souvent dévastés de la science-fiction, ce que
propose ici Christiane Vadnais est une vision, en forme d’hommage aux rêves
primitifs, celle de la vie qui s’adapte férocement, coûte que coûte, que ça nous
plaise ou non. […] Voilà ici une fin du monde dynamique, qui rappelle qu’un
nouveau en naîtra, aussi sauvage et vivant que l’ancien à ses débuts. […] Une
nouvelle romancière qu’il faudra suivre.»
★★★★
Chantal Guy, La Presse +
«Faunes évoque tour à tour Ovide, Kafka et Wells, tandis qu’entrent en scène de
fabuleuses créatures qui provoquent l’effroi lorsqu’elles émergent du dense
brouillard ambiant.»
Manon Dumais, Le Devoir
«L’auteure de 32 ans propose un livre à la forme éclatée et à la prose
luxuriante avec un climat déstabilisant, mélange improbable, mais réussi de la
tension à la Stephen King et le réalisme magique à la Gabriel Garcia Marquez.»
Éric Moreault, Le Soleil
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FÉLIX ET LA SOURCE INVISIBLE, d' Éric-Emmanuel SCHMITT, 2019, 226 pages
16/04/2019 14:36
SCHMITT Éric-Emmanuel
FÉLIX ET LA SOURCE INVISIBLE, 2019, 226 pages
Son écriture me touche car je partage cette vision de la vie collective, de la
vie dans la nature et se son énergie vitale.
Une vision réaliste de la vie de l'humanité qui vote des lois ineptes, élit des
primates corrompus et saccagent la planète.
Gilles LAGROIS, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com, à visiter
L'animisme. Le monde appartient à ceux qui ont décidé de ne rien posséder
Résumé :
Félix, 12 ans, est désespéré. Sa mère, la merveilleuse Fatou, qui tient à
Belleville un petit bistrot chaleureux et coloré, est tombée dans une dépression
sans remède. Elle qui incarnait le bonheur n'est plus qu'une ombre. Où est
passée son âme vagabonde ? Se cache-t-elle en Afrique, près de son village natal
? Pour la sauver, Félix entreprend un voyage qui le conduira aux sources
invisibles du monde.Dans l'esprit de Oscar et la dame rose et de Monsieur
Ibrahim et les fleurs du Coran, Eric-Emmanuel Schmitt interroge les mystères de
l'animisme, la puissance des croyances et des rites issus d'une pensée
spirituelle profondément poétique. Il offre aussi le chant d'amour d'un garçon
pour sa mère.
Un lecteur:
"Ce court ouvrage vient compléter le cycle de l'Invisible d'Eric-Emmanuel
Schmitt.
Cette fois, après le bouddhisme tibétain, le bouddhisme zen, le christianisme ou
le judaïsme, l'auteur explore l'animisme.
A trjuavers le destin d'un enfant de 12 ans dont la mère s'est subitement
éteinte à la suite d'une contrariété, il nous emporte dans les arcanes des
traditions africaines et des rites magiques attachés à cette terre.
On trouve dans ce court roman des personnages attachants et l'inimitable sens du
récit de cet auteur qui a l'art de bien raconter les histoires.
Un moment agréable, même si ce livre n'est pas mon préféré dans le cycle de
l'Invisible." www.babelio.com
LeFigaro 01 février 2019
Dans «Félix et la source invisible», Éric-Emmanuel Schmitt donne à voir une
sacrée galerie de personnages. Un petit Parisien de Belleville aide sa mère,
sénégalaise, à retrouver ses racines. Une grande fable animiste
LIRE LA CRITIQUE SUR LE SITE : LEFIGARO
LeJournaldeQuebec 22 janvier 2019
Après avoir abordé à sa façon le bouddhisme, le soufisme, le christianisme, le
judaïsme, le bouddhisme zen, le confucianisme et la symphonie d’émotions liées à
la musique, Eric-Emmanuel Schmitt nous offre ainsi un huitième volet, qui se
penche cette fois sur l’animisme, une croyance surtout présente en Afrique grâce
à laquelle animaux, objets et phénomènes naturels peuvent être dotés d’une âme.
Citations:
"Mais aimer ne revient pas à comprendre."
"Qu'elle m'ait conçu avec le Saint-Esprit m'arrangeait bien. Félicien
Saint-Esprit mon géniteur, Antillais, capitaine de bateau commercial."
"Madame Simone était une pute et un homme. Un homme et une pute qui s'appelait
Jules. Il avait hérité le corps d'un garçon quoiqu'il se sentit fille dans
l'âme, Madame Simone effrayait! Faire la pute alors qu'elle détestait le sexe.
Faire la pute quand elle se rêvait expert-comptable."
"Noirs en Afrique Noire, nous perdions nos privilèges; je préférais être noir à
Paris."
"Le cosmos ignore la paix: toujours des forces s'affrontent, un équilibre ne
dure jamais."
"Regarde au-delà du visible. Regarde l'invisible. Cherche l'esprit qui fait tout
apparaître derrière l'apparition. Et nourris-toi de la force du monde qui le
sous-tend. La source invisible demeure partout, toujours où que tu te trouves,
et tu peux la capter."
"Il faut user de méthode pour remettre de l'irrationnel dans le rationnel."
"Les arbres, les suppiants, car ils tendent leurs branches au ciel pour demander
de l'eau et enfoncent leurs racines en terrre pour mendierr de la nourriture.
Ils ne mènent pas une vie facile, les suppliants, cette pollution qui filtre le
soleil."
"Les mauvaises odeurs n'existent pas. Ce qui est mauvais, c'est de n'avoir plus
d'odeurs."
"L'apparence n'est pas l'apparence de rien, plutôt l'apparence d'un univers
dérobé."
"L'Afrique, c'est l'imagination su Terre. L'Europe, c'est la raison sur Terre."
"Le monde appartient à ceux qui ont décidé de ne rien posséder."
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MAKARIUS, roman de Sergio KOKIS, 2014, 481 pages, Québec
29/04/2019 20:55
KOKIS Sergio
MAKARIUS, roman, 2014, 481 pages,Québec
Les aventures du mime MAKARIUS Steiner alias MAKAR Liechen, fin du X1Xe siècle
mort au milieu des années 1950.
Résumé :
« J’ai tenté de retracer ici la jeunesse, les années de formation et les
aventures du mime Makarius Steiner. Il s’agit d’un personnage qui était déjà
présent dans les pages de deux de mes romans, Saltimbanques (2000) et
Kaléidoscope brisé (2001), où il jouait un rôle majeur. Cette nouvelle mise en
scène s’est avérée nécessaire parce que je ne l’avais pas alors exploré dans
toute sa profondeur et comme il le méritait. De ce fait, il avait continué à
hanter mon esprit et exigeait une reprise de parole. Ce nouveau roman est ainsi
un exercice de fouilles archéologiques dans mon propre imaginaire, à la
recherche des éléments qui faisaient de lui un personnage aussi fascinant. »
(Sergio Kokis)
En racontant la vie du mime Makarius Martijnus Steiner, alias Makar Liechen, né
dans une province balte de l’empire de Russie à la fin du XIXe siècle et mort à
Rio de Janeiro au milieu des années 1950, Sergio Kokis nous fait vivre
d’importants moments de l’Histoire : les horreurs vécues par les soldats
allemands lors de la Première Guerre mondiale, les « années folles » à Berlin et
à Hambourg, les premiers stalags nazis et la guerre civile espagnole.
LES ÉDITEURS
LaPresse 10 février 2014
Un personnage éloquent dans son silence. Un mime qui cherche à dire, sans les
mots, les horreurs du siècle dernier. Un livre sur les limites de la création
artistique et de la vie, puis de la mort qui en rit.
LaPresse 20 janvier 2014
Sorte d'immersion dans les profondeurs de l'art, d'exploration des arcanes de la
création, ce roman de près de 500 pages aurait pu facilement en faire un millier
tellement sa matière est riche et féconde. Sergio Kokis a pensé à son éditeur.
Il a retenu sa plume.
MAKARIUS est un mime qui s'est formé par lui-même. Dans ce roman, l'auteur nous
révèle un personnage du circuit de l'amusement prolétaire qui nous fait part de
son mysticisme, de sa culture, de son cheminement en tant qu'artiste philosophe.
MAKARIUS est un solitaire, sans cause, sans parti politique et social. Il est
né libre et il veut le rester.
Un personnage authentique qui veut vivre selon ses normes, ses plaisirs, ses
découvertes personnelles . Il ne veut pas partager la vie des autres ni partager
sa vie pour les autres. Il est solitaire et heureux de l'être. C'est son choix
de vie.Sa vie ne dépend que de lui-même. Il ne peut rien promettre à qui que se
soit. Il se veut libre,sa grande joie et richesse.
Ce personnage nous démontre la grande érudition de l'auteur de ce roman qui nous
porte à la réflexion sur des sujets que nous avons parfois abordés, survolés
sans jamais les approfondir.L'auteur est un maître de l'écriture, de la pensée
intérieure.
Nous entrons dans un monde à part: celui des artistes et artisans dont le but
commun est d'exercer leur art.
Un monde et des personages que j'ai aimé fréquenter ,même en fiction, par leurs
aspirations.
Un roman d'une grande profondeur littéraire, métaphysique, philosophique et
artistique.
Un livre qui nous marque et surtout nous révèle à nous-mêmes. Tout est là,
présent en nous mais caché.Il nous manque un révélateur, des images intérieures
pour nous faire réagir.
Un roman, une immersion dans les profondeurs de l'humain, d'images intérieures
pour nous faire réagir.
Gilles LAGROIS, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com, à visiter
CITATIONS;
"CARLOS ne pouvait pas se cacher que ses dessins de la fillette mourante à a
l'hôpital étaient ce qu'il avait exécuté de plus émouvant de toute sa vie
d'artiste."
"Avec son mètre quatre-vingt- dix, il ne passait pas inaperçu. Il s'appelait
MAKARIUS STEINER.Il avait dix-sept ans et il était arrivé à Berlin en compagnie
d'une troupe de forains originaire des provinces baltes."
"D'un naturel silencieux, renfermé même, il évitait autant que possible le
contact avec les gens. Sa voix très grave.Il possédait un talent naturel de mime
qui étonnait chaque fois; le visage fortement fardé de céruse."
"Alors, fais-les vibrer, fais-les te désirer comme mâle et comme artiste."
"Un talent naturel donc, ce qui est bien rare pour un mime. Vous nous avez
captivés, jeune homme. Un mime qui aime la poésie."
"Je suis né dans les provinces Balte de Russie, un village perdu, de culture
allemande.J'ai été élevé dans une troupe de forains. Les saltimbanques russes
jouent parfois en chantant dans les villages ou en récitant de la poésie quand
il n'y a pas de musiciens pour animer les foires."
"MAKARIUS avait partagé la vie des forains et avait été séduit par les
performances des clowns.Mais depuis longtemps déjà il vivait dans le silence.
Il n'acceptait plus aucune aide depuis qu'il était tombé dans le mutisme le plus
complet.Il n'avait plus toute sa tête, le pauvre Makarius."
"Sa rage contre les fascistes après le camp de concentration était furieuse et
il désirait uniquement combattre sur le front. Il paraissait ravi de pouvoir se
battre. Makarius avait le grade qui équivaut à celui de sergent."
"Dans la vie. on ne collectionne pas des aventures, on les vit au fur et à
mesure que les opportunités apparaissent. Le plaisir qu'on y trouve est tout
entier dans l'acte de faire."
"Le vrai artiste est toujours un dégénéré aux yeux des bourgeois et des
politiciens, un être qui dérange et qui inquiète les êtres repus."
"MAKARIUS STEINER. Un homme sans illusions, entièrement absorbé par son art et
par les aventures de son temps, fuyant les attaches et les chimères
idéologiques, pour qui l'existence authentique signifiait avant tout le désir de
transformer le maximum d'expériences en conscience."
"L'âme humaine est un abîme assez profond pour contenir plus de mystères que
notre courte vie est en mesure d'en concevoir."
"La solidarité et l'engagement social conviennent davantage à ceux qui n'ont
rien de mieux à faire. à ceux qui ont besoin du groupe pour se sentir en
sécurité. l Il vaut mieux vous en éloigner, garez votre indépendance."
"Le remède du vulgaire est de n'y pas penser."
"Nous nous expatrions pour fraterniser avec l'univers."
"Les carences peuvent servir, elles nous apprennent l'humilité, la patience."
"L'âme humaine, immuable et authentique est un simple mythe, elle n'existe pas."
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BESTIAIRE, confessions animales de Serge BOUCHARD, 2006, 123 pages, Québec
04/05/2019 13:47
BOUCHARD Serge
BESTIAIRE, confessions animales,2006, 123 pages, Québec
Poésie et humour. Chaque animal a sa fable, sa renommée, son historique, ses histoires à raconter.
Chaque animal a sa réalité et sa fiction, ses dictons, ses images du présent et du passé.
Chacun joue un rôle de jeune premier dans la nature.Chacun a son histoire à raconter, la réalité
de sa vie.
Les animaux nous parlent, se racontent dans ce Bestiaire. Chaque animal joue un rôle dans la nature.
Chaque animal a sa poésie. Les animaux sont heureux sans l'homme.
"La finesse d'hier n'est plus à la mode quand il s'agit de penser aux animaux sauvages."
Gilles LAGROIS, Aucclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
Résumé :Des profondeurs de nos forêts, les éditions du passage présentent un splendide ouvrage qui devrait séduire la moyenne des ours : Confessions animales, BESTIAIRE. Vingt-trois textes du fameux anthropologue Serge Bouchard, écrits de sa plus belle plume, ludique et savante, et abondamment illustrés d'œuvres de Pnina C. Gagnon, artiste peintre qui possède également sa propre patte, dans un style oscillant du réalisme à l'art naïf.
"Je suis le loup, je suis la loutre, je suis le caribou, je suis le pékan... " Vingt-trois bêtes des espaces sauvages prennent la parole, se confient à nous. Leurs joies, leurs appétits, leurs travers et nostalgies. Saviez-vous que la mouffette a donné son nom à la ville de Chicago, et que, s'il est coupé, le pénis du lièvre repousse ?! L'ours avoue qu'il pue et le castor qu'il prend un malin plaisir à voir un humain tenter hystériquement de défaire à mains nues ses barrages. Mais plus qu'un recueil de propos et confidences, ce bestiaire est l'appel de la grande Nature et de ses habitants qui crient pour ne pas être oubliés. Un livre idéal pour faire connaître et aimer notre patrimoine naturel ; aux plus jeunes par les illustrations, aux plus vieux par la richesse des textes.
Confessions animales, BESTIAIRE : Une couverture vert feuillage portant la trace fraîche d'un carcajou qui passait par là... Un ouvrage griffé !
Un lecteur:
"Quel beau livre à lire et à relire, il devrait faire partie de l'enseignement dans les écoles. Chacun leur tour, les animaux de nos plaines, océans, villes et forêts viennent nous parler de leur passé, de leur présent et de leur futur qui pour la plupart, semble plutôt sombre. L'auteur propose une façon ludique et très poétique de nous instruire et de nous faire connaître ceux que l'on a malheureusement oublié. Ce livre m'a fait rire, sourire et m'a beaucoup appris. Il m'a aussi troublé et rendu triste puisque le dommage causé par l'humain et qui menace la survie de ces belles créatures est considérable et bien présent. Nous gagnerions beaucoup à apprendre de la résilience et de la force qu'elles possèdent. Nous connaissons très peux ceux qui nous entoure, ceux qui étaient là avant... qu'elle triste constat." www.babelio.com
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LES AMANTS DE L'ALFAMA, roman de
07/05/2019 13:42
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