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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES
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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

  • 108 articles publiés dans cette catégorie
  • 123 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TÉMISCOUATA, QUÉBEC
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    ****DARD Frédéric---28 MINUTES D'ANGOISSE

    08/06/2011 18:49

    ****DARD Frédéric---28 MINUTES D'ANGOISSE


    DARD Frédéric

    28 MINUTES D’ANGOISSE, Fayard noir, 1951-2006, 145 pages

    • La présentation de l'éditeur
    « Stefan Bookitco est un tueur. Professionnel. Le genre qui peuple les cimetières.
    Ce jour-là, à New York, sa mallette sous le bras, il va «exécuter» son contrat : un chef de réseau nazi. Il ignore la raison pour laquelle ses supérieurs ont décidé la mort du bonhomme. Ça n'est pas ses oignons. Bukhauser, le chef de réseau, est liquidé proprement. Les ennuis commencent quand il faut balancer la secrétaire par la fenêtre et que ses cris alarment la population horrifiée. Toute la police de la ville se lance à sa poursuite.
    Après avoir revêtu l'uniforme d'un flic, Stefan prend en otage Miss Moor, une jolie rousse. Les commanditaires du contrat savent qu'il ne faut pas laisser à Stefan la moindre chance de se faire prendre par les agents du FBI. Il en sait trop. Pour le faire taire définitivement, ils lancent à ses trousses Mallory, le plus coriace de leurs tueurs, après Stefan. Ce dernier s'éprend de la ravissante Miss Moor dont l'obstination et la fougue qu'elle déploie à aider son ravisseur ne doivent rien au hasard. Parviendra-t-il à semer la police et Mallory, le tueur fauve ?
    Une folle traque qui durera jusqu'à la dernière de ces vingt-huit minutes d'angoisse...

    Vingt-huit minutes d'angoisse a paru en 1951 aux éditions Jacquier à Lyon, dans la célèbre collection «la Loupe», sous le pseudonyme de Verne Goody. Après les récentes parutions des oeuvres de jeunesse de Frédéric Dard, les Éditions Fayard ont décidé de publier ses romans policiers qui, après leur première parution sous pseudonyme, n'avaient pas été réédités. »source : www.passiondulivre.com


    Un bon roman policier de Frédéric Dard paru sous le pseudonyme de VERNE GOODY en 1951. Il y a longtemps que je n’avais pas lu un polar de Frédéric Dard qui est l’auteur DES AVENTURES DE SAN-ANTONIO qui a marqué toute une génération de lecteurs.
    C’est avec plaisir que j’ai retrouvé le style limpide, direct, coloré de Frédéric Dard. J’ai lu les Nouvelles Aventures de San-Antonio par son fils Patrice Dard que je trouve très éclaté, moderne, sexué avec un langage criblé de néologismes, d’argot, de vieux mots français. Gilles Lagrois, Auclair, Québec.






    ****DARD FRÉDÉRIC---ON DEMANDE UN CADAVRE

    09/06/2011 20:01

    ****DARD FRÉDÉRIC---ON DEMANDE UN CADAVRE


    Frédéric DARD, alias Max BEETING

    ON DEMANDE UN CADAVRE, Fayard noir, alias Max BEETING
    Résumé de "On Demande Un Cadavre"

    « Une nuit d'hiver dans la lande anglaise, deux truands à la solde du mafioso Alfredo Seruti se rendent dans un cimetière pour y déterrer un cadavre récemment inhumé. À leur arrivée, stupeur : ils trouvent le tombeau vide. Le corps de Peter Lanshill, savant de renom mort par accident en nettoyant son arme, a disparu.
    Craignant la colère de leur patron, les truands rendent visite au gardien du cimetière en se faisant passer pour deux policiers. Ils apprennent qu'une belle et élégante dame, venue la veille dans une grande voiture bleue, a demandé des renseignements sur l'emplacement de la tombe pour s'y recueillir avant de repartir.
    Ils font remplir au gardien une fausse déclaration mettant en cause des visiteurs venus dans une voiture bleue pour l'agresser. Au terme de l'interrogatoire, ils le tuent et placent la fausse déclaration sous son oreiller. Ils espèrent ainsi que la police retrouvera sans peine cette voiture bleue et sa belle propriétaire? pour le plus grand avantage de leur patron.
    Qui est Peter Lanshill ? Pourquoi a-t-on fait disparaître son cadavre ? C'est dans une course-poursuite opposant le mafioso Seruti aux services secrets de Sa Majesté que nous l?apprendrons.
    On demande un cadavre a paru pour la première fois en 1951 aux Éditions Jacquier à Lyon dans la célèbre collection « la Loupe » sous le pseudonyme de Max Beeting. Après les récentes parutions des oeuvres de jeunesse de Frédéric Dard, les Éditions Fayard ont décidé de rééditer les titres de ces ouvrages policiers parus sous pseudonymes qui n'ont jamais été publiés jusqu'à ce jour. »
    source : www.chapitre.com

    Très bon roman
    Un peu glauque par moment et violent aussi ce roman mais il est tellement passionnant qu’on ne l’abandonne pas avant de découvrir la fin. Un lecteur

    Un bon roman  policier de Frédéric DARD sous le pseudonyme de Max BEETING. L’action se déroule comme un pavé lancé dans une mare d’eau….les actions rapides s’enchaînent parfois de façon lugubre, sinistre, sordide mais notre intérêt est maintenu par le talent de l’auteur. Un très bon roman un peu plus que policier, disons, du genre thriller, grands frissons. Pour l’époque je trouve cela remarquable.
    Gilles lagrois, Auclair, Québec.






    ****DARD Patrice---COMME À CON-FESSES

    13/06/2011 20:52

    ****DARD Patrice---COMME À CON-FESSES


    PATRICE DARD

    COMME À CON-FESSES, Fayard,2008, 275 pages

    Descriptif…résumé de l’éditeur
    « Surprenante visite dans mon burlingue :
    Elasticman ! Un vieux pote oublié.
    Au lycée, on l’appelait « l’homme caoutchouc » parce qu’il était capable de faire passer ses deux jambes au-dessus de son cou et de nouer ses bras derrière son dos. Mais il n’est pas devenu le saltimbanque qu’on aurait pu penser. Il est aujourd’hui aumônier de la centrale de Jouy-sur-Yvette.
    Ce n’est pas par hasard qu’il est venu me trouver :
    le voilà dépositaire d’un terrible secret, indévoilable, hélas,
    puisque recueilli dans le cadre de la confession d’un détenu.
    « Si cet individu sort de prison, et c’est imminent, je suis sûr qu’il va commettre les crimes les plus abominables jamais perpétrés
    sur cette terre. Je ne peux pas en dire plus. »
    A peine moins bituré qu’à l’ordinaire, Béru prend aussitôt l’affaire en main :
    « Faisez-nous confiance, Cureton !
    En moins de deux jours, on va la
    résolver cette énigme du sphinxter ! »
    Il ne manque pas d’air, le Gros, d’autant qu’il le pollue souvent.
    On lui accorde quand même l’absolution ?
    D’accord ! Mais c’est bien parce qu’il nous fait marrer ! » source : www.gallica.bnf.fr


    Un autre bon roman de Patrice Dard très réussi. Un roman sagace, croustillant, parfois dépravé mais toujours rempli d’humour.Béru est toujours aussi gourmand, puant mais quelle présence d’esprit et d’intuition policière. Dard nous entraîne dans une enquête qui amalgame religion, curé, prisonnier, bouffe, sexe et meurtre. Vous allez vous régaler, un excellent moment de détente à vos frais.
    Gilles Lagrois, Auclair, Québec.






    *****R.J. ELLORY---LES ANONYMES

    23/06/2011 19:49

    *****R.J. ELLORY---LES ANONYMES


    R.J. ELLORY

    LES ANONYMES, Sonatine, 2010, 688 pages

    Présentation de l'éditeur
    « Un véritable aboutissement du genre. Des fanfares devraient saluer l’arrivée d’un thriller de cette ambition, de cette puissance et de cette maîtrise » The Guardian
    Après Seul le silence et Vendetta, le nouveau chef-d’œuvre de R. J. Ellory.
    Washington. Quatre meurtres. Quatre modes opératoires identiques. Tout laisse à penser qu’un serial killer est à l’œuvre. Enquête presque classique pour l’inspecteur Miller. Jusqu’au moment où il découvre qu’une des victimes vivait sous une fausse identité, fabriquée de toutes pièces. Qui était-elle réellement ? Ce qui semblait être une banale enquête de police prend alors une ampleur toute différente, et va conduire Miller jusqu’aux secrets les mieux gardés du gouvernement américain.
    Une fois encore, R. J. Ellory pousse à nouveau le thriller dans ses retranchements et lui donne une nouvelle dimension, loin de tous les stéréotypes du genre. Entre Robert Littell et James Ellroy, sur un arrière-plan historique qu’il serait criminel de divulguer ici, il mène une intrigue magistrale, jusqu’au cœur du système politique américain. Alliant un sens de la polémique à une tension digne des polars les plus captivants, l’auteur, servi par une écriture remarquable, invente le thriller du siècle nouveau. » bibliosurf.com


    • « Vous aviez pris une claque avec Vendetta ? Vous allez finir K.O. avec les Anonymes. Comme avec son précédent roman, l’auteur, dont la patte se reconnait désormais grâce à la construction de son intrigue en spirale, va patiemment vous amener de la première à la dernière page. Conspiration, politique, suspense, personnages haut en couleurs, bienvenue dans le thriller 2.0 made in Roger Jon Ellory !
    Qui sont les anonymes ? Les personnages sans nom qui forment l’arrière plan de chaque roman que nous lisons ? Est-ce nous, les lecteurs anonymes, qui créons un univers issu de molécules de mots, à chaque fois que nous ouvrons un livre ? Est-ce les gens que nous croisons pendant notre lecture ? Des victimes de meurtres qui ne sont pas qui elles semblent être ? Ou est-ce que ce sont les bras armés d’une agence gouvernemantale ?
    Dans son nouveau roman, Roger Jon Ellory va mettre en scène ces fantômes, ces prête-noms, ces fameux hommes de paille. Ces gens qui trompent les apparences qui se jouent des règles et des lois.
    Comme avec Vendetta, Ellory va consacrer près de 700 pages à lier le fond à la forme. Deux éléments qui deviennent sa signature : le fond avec la trame historique, politique, humaine. La forme, avec sa construction de l’intrigue en spirale. Le lecteur, tout comme le personnage principal, se retrouve à l’extérieur de cette spirale et pour atteindre le centre de cette dernière, il va devoir commencer par en faire le tour, et se rapprocher de la vérité, tout doucement mais inexorablement...
    Pendant la première moitié du roman, nous allons donc alterner le point de vue des policiers qui tentent de mettre bout à bout les éléments d’une enquête qui s’annonce particulièrement difficile. Et d’un autre côté, nous allons lire ce qui pourrait être les mémoires d’un des ces hommes de paille, un anonyme mandaté par le gouvernement. Passages que l’on trouvera parfois assez frustrant pendant la première moitié du roman puisque à ce moment là de l’histoire, nous serons plus accaparés par les détails de l’enquête en cours que par les pérégrinations d’un homme qui pense défendre les intérêts de ses concitoyens...
    Et puis arrive la page 371. Et là, nos certitudes vont commencer à voler en éclat. Rien ne paraît ce qu’il est sensé être. Nous sommes toujours sur la route de cette spirale infernale, la cadence vient d’accélérer d’un coup. On se surprend à dévorer les trois cent dernières pages qui nous restent à lire. Et puis le livre se referme en nous laissant sonné. Par sonné par la fin du livre en soit. Mais par tout ce que le roman implique. »source :www.bibliosurf.com


    Ellory à l'apogée de son talent.....

    Présentation d’un lecteur :clubber 14, 31 ans, Paris

    « Washington. Quatre meurtres. Quatre modes opératoires identiques. Tout laisse à penser qu’un serial-killer est à l’oeuvre. Enquête presque classique pour l’inspecteur Miller. Jusqu’au moment où il découvre qu’une des victimes vivait sous une fausse identité, fabriquée de toutes pièces. Qui était-elle réellement? Ce qui semblait être une banale enquête de police prend alors une ampleur toute différente, et va conduire Miller jusqu’aux secrets les mieux gardés du gouvernement américain.

    Mon avis :

    Wow.... Juste dingue !!
    J'avais adoré "Seul le silence", je m'étais délecté de "Vendetta" et bien voici que tout cela se confirme avec ce nouvel opus de Ellory.... Il y a du Ellroy dans cet homme-là, il y a du Truman Capote et du Shane Stevens dans cet homme-là, il y a du Littell dans cet homme-là !!!!!

    Bref, un intense moment de lecture, j'ai lu ce livre (presque) d'une traite et j'y ai retrouvé tous les ingrédients délectables qu'un policier devrait toujours rassembler : une paire de flics intelligents, intuitifs, une enquête immensément bien ficelée puis des caractères forts, un contexte historique puissant, des rebondissements extraordinaires mais pourtant fort probables, une écriture limpide... Que dire? Qu'ajouter?

    Jusqu'à la fin de ma lecture je suis resté en haleine, qui? pourquoi? comment? Mais Ellory ne se contente pas de nous balancer le nom d'un assassin comme ça à la va-vite, la vie est bien plus compliquée que ça n'est-ce pas? Il y a des alliés, des ennemis, un contexte géo-politique. Les méchants ne sont pas tous "noirs", les gentils pas tous "blancs", chacun a sa part d'ombres et de mystères, un vrai kaléidoscope de comportements et des vies décousues....

    Ellory a repris dans ce roman un certain nombre de traits qui sont propres à son écriture : un retour en arrière dans l'Histoire des personnages, une "explication" des crimes par leur(s) auteur(s), une certaine confession finalement sur ce qui a motivé des faits et gestes passés pour tirer les conclusions sur la conséquence qui se déroule aujourd'hui, plusieurs dizaines d'années plus tard....

    Tout au long de l'ouvrage, nous ne pouvons que nous attacher aux enquêteurs : Miller, très solitaire, Roth, père de famille, Lassiter, patron dur mais au grand coeur.... chacun a son "vécu", ses expériences et les dialogues sont archi-réalistes (procureurs, flics, juges... tous parlent leur jargon propre).

    Voilà, une lecture indispensable, selon moi, aux amateurs de polars bien ficelés, sur fond de politique interne entre départements US (FBI, CIA, police, etc....) et avec comme leitmotiv de comprendre les motivations d'un tueur en série endiablé mais qui, pourtant, se révèlera plus fin que ce qu'on ne pense. A dévorer sans modération. »source :www.critiqueslibres.com


    Un grand roman policier du genre complexe, raffiné. On pense savoir qui …mais l’auteur nous trimbale d’un personnage à l’autre, d’une victime à l’autre, d’un complice à l’autre car avec la CIA tout est bien fignolé, peaufiné, bien protégé…sinon exécuté.
    Le gouvernement américain peut-il être aussi infiltré, pourri, gangrené … ??? Des doutes politiques naissent. Et si les salauds sur cette terre étaient les Américains par leur invasion planétaire tant économique que militaire !!!
    Un excellent roman dans le genre.
    Gilles Lagrois, Auclair, Québec






    ***Humour---WESTLAKE Donald---MORT DE TROUILLE

    01/07/2011 14:00

    ***Humour---WESTLAKE Donald---MORT DE TROUILLE


    DONALD WESTLAKE

    MORT DE TROUILLE, Rivages/Noir Poche, 2010, 316 pages
    « Barry et Lola se sont tout de suite aimés. Lui, l’Américain anonyme de vingt ans et elle, la Sud-américaine anonyme de vingt ans, se disaient qu’ensemble l’avenir leur appartenait. Et puis ils ont tout essayé et ne sont arrivés à rien, à part à continuer à s’aimer, mais sans un sou. Pauvres, mais avec trois cent mille dollars d’assurance-vie, qui seraient versés au survivant à la mort d’un des conjoints, voire doublés en cas de mort accidentelle.

    La solution était alors évidente : retourner au Guerrera, le pays de Lola, et y simuler la mort de Barry. Ensuite celui-ci n’avait plus qu’à prendre l’identité de Felicio, un frère de sa femme mort très jeune, et rentrer aux États-Unis avec sa nouvelle " sœur ", riche de six cent mille dollars. Le plan était complexe mais tout s’était très bien déroulé, et Barry n’avait plus qu’à attendre tranquillement que Lola reçoive le chèque salutaire.

    Hélas, au Guerrera les choses tournent au vinaigre en moins de temps qu’il n’en faut pour dire pour " Felicio Tobon de Lozano ". Ce sont d’abord les cousins pas très fins de sa femme qui, persuadés que le stratagème va rapporter un pactole de plusieurs millions de dollars que la famille pourra se partager, décident de rendre effective la mort du mari. Et quand Barry/Felicio réussit à se mettre à couvert, ce sont les assurances qui décident d’examiner d’un peu plus près ce dossier un peu trop parfait. Barry doit alors fuir et se cacher en changeant sans cesse d’identité.

    Perdu entre tous ceux qu’il est censé être et celui qu’il est vraiment mais qui est mort, avec l’impression que la moitié du pays lui en veut, (un pays dont il ne parle même pas la langue) Barry/Felicio va se voir tour à tour perdu, puis sauvé, puis perdu à nouveau, jusqu’à un formidable dénouement comme Westlake sait les concocter.

    Mort de trouille, ce serait plutôt " mort de rire ". C’est un livre prenant, drôle et léger, qui plonge le lecteur dans une intrigue complexe et aux rebondissements continuels, avec toute la science habituelle de Westlake. »
    source : www.payot-rivages.net

    En pays latino

    « Je ne suis pas sûr que le titre soit très joli, ni très adapté. Ce qui est certain par contre, c’est que l’écriture de Donald Westlake reste d’une finesse rafraîchissante et précieuse.
    L’histoire est, comme de coutume avec Westlake, d’une dinguerie prometteuse.
    Barry, l’américain, et Lola, la sud-américaine débarquée d’un pays fictif, filent le parfait amour ensemble, mais les contingences de la vie sont là. Pour s’aimer, il faut vivre. Pour vivre, il faut des moyens. C’est là que ça coincerait un peu.

    « Je n’ai pas d’explications. Peut-être attendait-on trop de la vie, Lola et moi, et elle nous avait donné bien peu ; ou plutôt, elle ne nous avait jamais menés bien loin. Rien n’avait vraiment marché, ni les plans pour se faire du fric, ni les opportunités saisies à bras-le-corps, ni aucune de nos combines pour décrocher le gros lot. »

    Et c’est ainsi que s’échafaude une belle arnaque, somme toute assez classique (dans les romans ?) ; l’arnaque à l’assurance-vie qui peut leur rapporter six cent mille dollars. Dans les grandes lignes, Barry et Lola s’imaginent partir tous deux à Guerrera (le pays fictif qu’on situerait bien vers le Vénézuéla, la Guyane) et Barry pourrait bien y rencontrer une mort accidentelle pour revenir aux Etats-Unis sous l’identité d’un frère disparu de Lola, une fois le pactole touché.
    Ca parait simple comme ça mais c’est Westlake et il s’en donne à coeur-joie avec un américain officiellement disparu, en réalité en cavale, confié à la famille de Lola, famille qui se dit que … finalement …, eux aussi pourraient être concernés par le pactole, et que, finalement, quel est l’intérêt que Barry reste vivant … !
    La fin me parait un peu faible. Plutôt happy-end et très brutale, mais la substance du polar reste délectable. »
    Par Tistou : lecteur …www.critiqueslibres.com

    Rire fait du bien. Roman du genre polar-humour très amusant, disons, hilarant. Un bon moment de détente pour oublier les tracas du quotidien.
    Gilles Lagrois, Auclair, Québec






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