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CHANGES DE LIVRES EN TTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DCOUVERTES LITTRAIRES ET DE RECEVOIR LES VTRES
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CHANGES DE LIVRES EN TTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DCOUVERTES LITTRAIRES ET DE RECEVOIR LES VTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

  • 976 articles publiés
  • 123 commentaires postés
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  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TMISCOUATA, QUBEC
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    r, roman de Audur Ava LAFSDOTTIR, 2017, 235 pages, ****

    23/02/2018 19:01

    r, roman de Audur Ava LAFSDOTTIR, 2017, 235 pages, ****


     

    ÒLAFSDOTTIR Audur Ava

    ÖR, roman, 2017, 235 pages, ****

    Un roman, une gâterie pour un lecteur qui aime se régaler d'un style d'écriture attirant. Le mot islandais ör signifie cicatrices.

    Le héros de Ör, Jonas Ebeneser, en a sept, chiffre assez proche de la moyenne. Ör dit que nous avons regardé dans les yeux, affronté la bête sauvage, et survécu.

    Un roman dont j’ai apprécié le style, le rythme, le sujet et le personnage principal qui est un homme solitaire qui pense sérieusement à quitter cette vie où il ne se passe plus rien d'exaltant depuis la fin de la guerre.

    Il vit seul, est séparé de sa femme et sa vieille mère ne fait que répéter de mémoire ce qu'elle a déjà vécu avant la fin de la guerre..

    Un personnage dont nous suivons le raisonnement, qui se cherche une raison de vivre et qui n'en trouve aucune. Mais il suffit parfois de partir pour que ce soient les événements qui prennent possession de ta vie par des rencontres où tu acceptes de jouer un rôle à ta mesure surtout que tu es libre et que tu as tout ton temps. La mort peut attendre.

    Gilles LAGROIS, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

    « Je sais bien que j'ai l'air ridicule tout nu, mais je me déshabille quand même. »

    « En guise d'explication, je lui dirais que je suis perdu. Est-ce qu 'il dirait : Je vois ce que tu veux dire, je ne sais pas qui je suis. »

    « Ça y est je suis parti. À la rencontre de moi-même. De mon dernier jour. Je dis adieu à tout.

    Les crocus sont en fleur. Je ne laisse rien derrière moi. Je passe de la lumière perpétuelle aux ténèbres. »

    « Au lieu de mettre fin à ton existence, tu n'as qu'à cesser d'être toi et de devenir un autre. »

    « JONAS...que j'ai fait tout ce chemin pour me supprimer. »

    « Je ne croie plus en Dieu et je crains qu'il ne croie plus en moi. »

    « Le désir est plus fort que la douleur. »

    « N'est-ton pas sans cesse en devenir ? En rénovation permanente. »

    « Le coupable, c'est celui qui sait et ne fait rien. »

    « La guerre est finie. Les coupables s'en tirent toujours. Ce sont les innocents qui souffrent. »

     

    Pour en savoir davantage :

     

    RÉSUMÉ EDITEUR

    « Se décrivant lui-même comme un « homme de quarante-neuf ans, divorcé, hétérosexuel, sans envergure, qui n’a pas tenu dans ses bras de corps féminin nu – en tout cas pas délibérément – depuis huit ans et cinq mois », Jónas Ebeneser n’a qu’une passion : restaurer, retaper, réparer. Mais le bricoleur est en crise et la crise est profonde. Et guère de réconfort à attendre des trois Guðrún de sa vie – son ex-femme, sa fille, spécialiste de l’écosystème des océans, un joli accident de jeunesse, et sa propre mère, ancienne prof de maths à l’esprit égaré, collectionneuse des données chiffrées de toutes les guerres du monde… Doit-il se faire tatouer une aile de rapace sur la poitrine ou carrément emprunter le fusil de chasse de son voisin pour en finir à la date de son choix ? Autant se mettre en route pour un voyage sans retour à destination d’un pays abîmé par la guerre, avec sa caisse à outils pour tout bagage et sa perceuse en bandoulière.
    Ör est le roman poétique et profond, drôle, délicat, d’un homme qui s’en va – en quête de réparation. »

     

    UN LECTEUR :

     

    « Jonas Ebeneser, la cinquantaine presque sonnée, abandonné par sa femme, sa fille adulte envolée, sa mère à l'esprit égaré en maison de retraite, l'entreprise vendue, sans amis, à part un voisin spécial, veut tirer sa révérence à la Vie. le problème, c'est qu'il ne sait pas comment s'y prendre, et veut épargner à sa fille l'épreuve de le trouver mort. Il décide donc de partir dans un des pays les plus dangereux du monde, où il pourrait le réaliser plus facilement, si non, plus naturellement......quelle triste histoire, n'est-ce-pas ? Eh bien non, détrompez-vous, c'est profond et très drôle, difficile de lâcher une fois les premières lignes attaquées. 
    Il adore bricoler et réparer toute sorte de défaillance matérielle; mais arrivera-t-il à rafistoler sa propre vie? Je vous laisse découvrir.....en tout cas il emporte avec lui sa petite caisse d'outils au cas où....pour ce long voyage à sens unique (?)........
    À travers le portrait de ce personnage loufoque, Olafsdottir nous fait un état des lieux de notre monde actuel, “faune”, flore confondues; et en changeant les repères, bluffe aussi bien Jonas que nous. C'est malin comme idée, et trés réussie. le fond riche en imagination et la forme simple, composée de petits paragraphes dont la plupart des titres sont des citations, ponctuée de vers de S.Steinner, Hunter Thompson, Leonard Cohen, F.G. Lorca......magnifiques. Si vous aimez la poésie, la littérature nordique et l'humour particulier de cette partie du globe, ce livre est pour vous ! A la fin de l'histoire, une note sublime de l'écrivaine islandaise vous attend, ne la lisez surtout pas en anticipation !
    Un coup de coeur !
    Ça y est je suis parti.
    A la rencontre de moi-même.
    De mon dernier jour.
    Je dis adieu à tout.
    Les crocus sont en fleur.
    Je ne laisse rien derrière moi.
    Je passe de la lumière perpétuelle aux ténèbres. «  ww.babelio.com






    CHAQUE MOT EST UN OISEAU QUI L'ON APPREND CHANTER, de Daniel TAMMET, 2017, 265 pages, ***

    26/02/2018 14:28

    CHAQUE MOT EST UN OISEAU  QUI L'ON APPREND  CHANTER, de Daniel TAMMET, 2017, 265 pages, ***


    TAMMET Daniel

    CHAQUE MOT EST UN OISEAU À QUI L'ON APPREND À CHANTER, essai, 2017, 265 pages

    L'auteur est un jeune autiste de haut niveau qui a consacré sa vie et son œuvre à la communication orale.

    Un de ses principes de base de la langue parlée est : « Nous sommes ce que nous disons. » » Ce principe tient compte de notre milieu social, de notre culture personnelle et de notre pays d'origine.

    La langue se suffit à elle-même et non à la politique, aux intérêts des uns et des autres sinon à de nouvelles habitudes et influences extérieures.

    JONAS HALLGRIMSSON. « Ce poète faisait preuve d'une remarquable aptitude à inventer de nouveaux mots à partir de termes existants, des ajouts à la langue car les langues évoluent sans cesse. »

    Un livre éloquent sur l'évolution du langage, des langues parlées sur tous les continents même aux extrémités de la terre et presque inconnues.

    La situation des langues parlées dans le monde, sur les cinq continents. C'est souvent les plus forts, les plus riches, les plus nombreux qui l'emportent ou seulement la langue la plus pratique ou la plus rentable dans le monde.

    Un livre remarquable si les langues parlées dans le monde piquent votre curiosité et intérêt.

    Gilles LAGROIS, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com, à visiter

     

    « Bien que l'anglais soit la langue de mes parents, celle dans laquelle j'ai grandi et étudié, je n'ai jamais eu le sentiment de lui appartenir. »

    « Le même mot peut être compris de dix manières différentes en une seule fois. »

    « La grammaire et la mémoire découlent du jeu avec les mots...qu'on éprouve les diverses significations qu'ils dégagent. Les manuels ne sont pas à la hauteur. »

    « Langage parlé. Le raccourci idéologique qui associe pauvreté matérielle et pauvreté d'esprit perdure. »

    « Si un mot fonctionne, utilisez-le. »

    « C'est là, à PUEBLA...que j'ai rencontré un indigène qui parlait la foudre. »

    « Les NAWAS , descendants des AZTÈQUES, la langue NAHUALT...MONTÉZUMA »

    « FRANCISCO.Quand notre bouche tombe amoureuse d'un son, nous le prenons et nous l'utilisons. »

    « Les intellectuels africains devraient raisonner et débattre en langues africaines. L'anglais n'est pas une langue africaine...mais celle du colonisateur. »

    « L'anglais représentait un passeport pour le monde entier...comme le français pour nous. »

    « Sa liberté de parler sans complexe, celui de l'authenticité... »

    « Le meilleur islandais du pays »--le jugement du narrateur n'est pas d'ordre esthétique, seulement abstrait. Il n,a pas entendu une phrase de ce dialecte « le plus pur » et ça n,a pas d'importance. C'est de cet islandais idéalisé que le narrateur, l'auteur et de nombreux lecteurs se sentent fiers. Pas de l'islandais du quotidien, dont ils doutent. D'une manière ou d'une autre, les deux langues coexistent. »

     

    POUR EN SAVOIR DAVANTAGE :

    Résumé éditeur :

    « Il était une fois, dans une banlieue de Londres, un enfant autiste dont la langue maternelle était les nombres… Daniel Tammet se souvient de ce langage numérique qu’il comprenait mieux que celui de sa famille.

    Aujourd’hui, ce polyglotte capable d’apprendre l’islandais en une semaine nous propose un voyage dans l’univers des langues et de ceux qui les parlent, les inventent ou les étudient.

    Il nous entraîne à la rencontre des Nahuas, ces descendants des Aztèques qui forgent des mots à partir des bruits de la nature. Il raconte les péripéties de l’inventeur de l’espéranto et dialogue avec ceux dont c’est la langue maternelle. Il nous montre comment apprendre une langue étrangère de manière intuitive ou pourquoi l’apparition du téléphone a modifié notre façon de nous parler.

    De l’art de la traduction de la Bible à la poésie de la langue des signes, ces pages révèlent l’étonnant éventail des talents linguistiques et littéraires de l’auteur. »
     

    UN LECTEUR :

    Ce sympathique auteur parle de sujets variés selon les chapitres ,sujets concernant le langage (langue des signes, esperanto ,oulipo...)et des différentes personnalités rencontrées au cours de ses recherches.

    Pour tous ceux qui aiment les mots, un livre à déguster !






    FEMME LA MOBYLETTE, roman de Jean-Luc SEIGLE, 2017, 238 pages

    28/02/2018 16:23

    FEMME  LA MOBYLETTE, roman de Jean-Luc SEIGLE, 2017, 238  pages


    SEIGLE Jean-Luc

    JE VOUS ÉCRIS DANS LE NOIR, 2015. GRAND PRIX DES LECTRICES

    EXCUSEZ-MOI POUR LA POUSSIÈRE, LE TESTAMENT JOYEUX DE DOROTHY PARKER, 2016,

    EN VIELILISSANT LES HOMMES PLEURENT, 2012, GRAN PRIX

     

    FEMME À LA MOBYLETTE, roman, 2017, 238 pages

    Un roman touchant, délicat dans lequel nous percevons la sensibilité de l'auteur face à la situation précaire de REINE, une femme seule, abandonnée qui élève ses trois enfants sans aide, sans auto pour se rendre à son travail. En faisant le ménage de sa cour arrière, elle fait la découverte d'une mobylette. Sa vie va enfin changer car elle va pouvoir se déplacer et accepter le travail de thanatopractrice qu'on lui a déjà proposé.

    Avoir un travail va changer sa vie mais ne change pas vraiment la personne qu'elle est. Elle vit dans une autre réalité qui est celle de la réalisation artistique pour laquelle est vraiment douée. Mais la réalité de la vie au quotidien la rattrape brusquement, particulièrement celle de ses responsabilités de mère.

    Un roman au style d'écriture aéré, poétique. Un auteur à découvrir pour son écriture et son approche sociale.

    Gilles LAGROIS, Auclair, Québec

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    « Tout finit dans l'absence e le silence absolu du monde. »Elle sait que si elle ne quitte plus cette fenêtre elle ne saura jamais si elle a mis fin à la vie de ses enfants ou pas. »

    « Son corps ne sait plus que s'engourdir dans le malheur. »

    « Ses récitations qui lui servent de tuteurs pour éviter de s'effondrer ont des effets immédiats. »

    « Ne plus croire au malheur. Faire bonne impression.S'arranger pour être belle. Belle pour le travail. Pas trop sobre et pas trop extravagante. »

    « Quand les pauvres n'en peuvent plus, ils prennent des balais qu'ils chevauchent et montent au ciel pour échapper à l'injustice sur terre. »

    « ...on ne tue plus à bout portant les pauvres qui se rebellent...on les tue en les abandonnant, en les affamant, en les oubliant. »

    « IGOR est des trois le plus impressionné à l'idée que sa mère serve de passeur entre des vivants qui ne le sont plus et Dieu que personne ne voit. »

    « Elle a l'air plus heureuse que les autres jours.Ça se voit. Plus ferme aussi. C'est un signe. Cet état flottant dans lequel l'amour a projeté sa mère. »

    « REINE est bien plus qu'une employée, elle est une artiste. Il suffirait de la laisser faire et de croire en elle. »

    « C'est dans la vie que les résurrections ont lieu. »

    « REINE. Elle n'a jamais rien voulu d'autre dans sa vie que d'être emportée le plus loin possible tout en restant sur place. »

    « Il faudrait que les pauvres se contentent de la joie d'être en vie. »

    .

     

    RÉSUMÉ ÉDITEUR :

    « Abandonnés par tous, Reine et ses trois enfants n’arrivent plus à faire face. Sa vie finit par ressembler à son jardin qui n’est plus qu’une décharge. Tant de richesses en elle voudraient s’exprimer et pourtant son horizon paraît se boucher chaque jour davantage. Seul un miracle pourrait la sauver... Il se présente sous la forme d’une mobylette bleue. Cet engin des années 1960 lui apportera-t-il le bonheur qu’elle cherche dans tous les recoins de ce monde et, surtout, à quel prix ? Jean-Luc Seigle dresse le portrait d’une femme au bord du gouffre qui va se battre jusqu’au bout. Ce faisant, c’est une partie de la France d’aujourd’hui qu’il dépeint, celle des laissés-pour-compte que la société en crise martyrise et oublie. « 

     

    UNE LECTRICE :

    « Dans Femme à la mobyletteJean-Luc Seigle nous montre une nouvelle fois sa sensibilité et son attrait pour les femmes qui semblent abandonnées par tous.
    En effet, j'avais connu l'auteur grâce à son précédent roman, Je vous écris dans le noir, qui réhabilitait un peu avant Philippe Jaenada, cette Pauline Dubuisson à la destinée incroyable.
    Cette année, si Reine, l'héroïne de Femme à la mobylette, le nouveau roman de Seigle est totalement fictionnelle, elle n'en est pas moins également malmenée par la société et les vents contraires .
    Mère de trois enfants, abandonnée de tous et notamment de son mari Olivier , cette femme essaie de s'en sortir tant bien que mal, malgré les difficultés financières et la difficulté d'élever ses enfants.
    Lorsqu'elle découvre une vieille mobylette bleue des années 60 sous les détritus de son jardin bien encombré, l'espoir renaît : une nouvelle vie est possible. Qui dit engin dit travail et peut-être aussi l'amour 
    C'est cet espoir et cette possibilité d'un avenir moins sombre et moins plombant qui intéresse surtout Jean Luc Seigle dans ce feel good book, qui cherche à nous raconter combien le sourire peut revenir sur le visage d'une femme.
    Une femme qui était au bout du rouleau et comment une simple mobylette peur lui faire rendre un peu de cette dignité qu'elle avait perdu, cette Reine, qui n'avait, malheureusement, à cause des aléas de la vie, plus grand chose de royale.
    Posant un regard juste et sensible sur les laissés-pour-compte de la société, Jean luc Seigle tente- et y parvient la plupart du temps, malgré quelques personnages secondaires réduits au rang de silhouette- de nous faire partager sa vision aussi réaliste que résolument optimiste.
    Vu la société actuelle, on a tout à fait envie de le suivre et d'enfourcher avec son attachante héroïne la mobylette qu'il nous présente comme catalyseur de sa nouvelle vie.  « 

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    UN APPARTEMENT PARIS, roman de Guillaune MUSSO, 2017, 458 pages ****

    05/03/2018 14:51

    UN APPARTEMENT  PARIS, roman de Guillaune MUSSO, 2017, 458 pages ****


    MUSSO Guillaume 

    UN APPARTEMENT À PARIS, roman, 2017, 458 pages, ****

    Un roman plutôt du genre enquête policière épurée que du genre thriller tel qu'écrit sur la pochette du livre car il n'a pas de description de scènes d'horreur ou macabres.

    Les personnages principaux et enquêteurs sont MADELINE, une ex-policière et GASPARD COUTANCES, un écrivain qui vient par habitude s'isoler à Paris pour écrire un roman.

    Un roman qui est un peu à part de ses autres romans par l'écriture davantage impulsive et instinctive.

    Un roman du genre enquête policière inattaquable, impeccable.

    Un roman à déguster et un auteur à acclamer pour son talent et son imagination fructueuse. L'imagination n'a plus de frontières avec Guillaume MUSSO.

    Une intrigue qui m'a tenu en haleine jusqu'à la fin avec la surprise révélatrice. Un roman qui se dévore.

    Gilles LAGROIS, Auclair, Québec

    www.livresentête.vip-blog.com, à visiter

     

    « Tu ne le sais pas encore, mais dans moins de trois minutes tu vas affronter l'une des épreuves les plus pénible de ton existence. »

    « Paris. MADELINE, policière. Elle avait vécu ici pendant quatre ans. Pas forcément ses plus belles années mais en tout cas les plus importantes :des années de résilience, de reconstruction, de renaissance. »

    « Homme selon Dostoïevski : un être qui s'habitue à tout. »

    /GASPARD COUTANCES, écrivain, était en guerre contre l'agitation et le chaos d'un monde qui courait à sa perte. Un monde qui craquait de tous les côtés et qu'il ne comprenait plus. »

    « Paris était vraiment la ville dans laquelle tout pouvait arriver. »

    « Un homme intelligent est parfois forcé de boire pour pouvoir passer du temps parmi les imbéciles...il offrait un moyen transitoire se supporter la grande alliance de la médiocrité qui avait contaminé l'humanité. »

    « Peintre. SEAN LORENZ était un type à part. C'est un solitaire, très différent des autres graffeurs. Il détestait la culture hip-hop, lisait beaucoup et écoutait que du jazz et de la musique contemporaine et répétitive. »

    « À cause de la théorie es 21 grammes, vous savez le poids supposé de l'âme. »

    « MADELINE. Elle n,avait pas l'intention de se laisser instrumentaliser par le galeriste, mais si ces tableaux existaient, elle adorerait être celle qui les retrouverait. »

    « GASPARD. MADELINE.-En fait, ce n'est pas juste les cons que vous détestez, c'est l'espèce humaine dans son ensemble. »

    « Mais l'homme ne connaît pas la pitié. L'homme est le pire des prédateurs. L'homme est une vermine qui, sous couvert d,un vernis de civilisation ne prend son pied qu'en dominant et en humiliant. »

    « BRASSENS : sitôt qu'on est plus de quatre, on es une bande de cons. »

    « Les gens qui veulent des enfants se sentent forcément de taille à les protéger. »

    « L'art est un mensonge qui nous fait comprendre la vérité. PABLO PIASSO »

    « ADRIANO.30 ANS.Sa mère. La même flamme malsaine brillait toujours au fond de ses yeux...mais la flammèche était devenu brasier. J'étais loin d d'imaginer que ce qui m'attendait était bien pire que d'être tuée. »

     

    POUR EN SAVOIR DAVANTAGE :

    Résumé :

    « Le nouveau thriller de Guillaume Musso !

    « L’art est un mensonge qui dit la vérité… »
    Paris, un atelier d’artiste caché au fond d’une allée verdoyante.
    Madeline l’a loué pour s’y reposer et s’isoler.
    À la suite d’une méprise, cette jeune flic londonienne y voit débarquer Gaspard, un écrivain misanthrope venu des États-Unis pour écrire dans la solitude. Ces deux écorchés vifs sont contraints de cohabiter quelques jours.
    L’atelier a appartenu au célèbre peintre Sean Lorenz et respire encore sa passion des couleurs et de la lumière. Terrassé par l’assassinat de son petit garçon, Lorenz est mort un an auparavant, laissant derrière lui trois tableaux, aujourd’hui disparus. Fascinés par son génie, intrigués par son destin funeste, Madeline et Gaspard décident d’unir leurs forces afin de retrouver ces toiles réputées extraordinaires.
    Mais, pour percer le véritable secret de Sean Lorenz, ils vont devoir affronter leurs propres démons dans une enquête tragique qui les changera à jamais.
    Guillaume Musso signe un thriller addictif et envoûtant porté par des personnages profondément humains. Une plongée vertigineuse dans le monde mystérieux de la création. » LES ÉDITEURS

    « Techniquement maîtrisé, narrativement efficace, ce page turner s'inscrit dans la lignée de Harlan Coben et de Jesse Kellerman. » RTBF

    « Une intrigue qui vous tient en haleine jusqu'à la dernière page. » France 5

    UNE LECTTICE :

    « Un appartement à Paris m'a d'abord déstabilisé car le style est bien différent des autres romans que j'ai pu lire de l'auteur. Ce n'est pas un point négatif, bien au contraire, ce roman a été une agréable surprise !
    Un duo : une femme dépressive et un écrivain alcoolique se retrouvent à Paris. Ils ont loués par accident la même maison : l'atelier ayant appartenu au célèbre peintre Sean Lorenz, décédé peu de temps avant. Nos deux héros vont se mettre à enquêter et à déterrer les derniers secrets du peintre.
    Si la première partie est un peu longue, l'auteur installe doucement ses personnages, je dois dire que le reste du roman se dévore. Et puis moi qui suis toujours déçue par les fins surnaturelles et parfois tiré par les cheveux de Guillaume Musso, je dois dire qu'ici, j'ai beaucoup aimé les derniers chapitres.
    Bref, un appartement à Paris est une très bonne surprise, une chouette découverte que je vous recommande vivement.  «  www.babelio.com

     



    partage et amitieCommentaire de laloracorse2 (07/03/2018 10:14) :

    097je n ai aps encore lu ce livre mais ca ne pas tarder, sourires, en ce moment je lis charlaine harris, et oui, je me diversifie, amities

    http://laloracorse2.vip-blog.com/




    L'ENFANT LU, de Galsan TSCHINAG , 2004, 312 pages, ****

    09/03/2018 13:37

    L'ENFANT LU, de Galsan TSCHINAG , 2004, 312 pages, ****


    TSCHINAG Galsan

    L'ENFANT ÉLU, 2004, 312 pages, ****

    Récit historique du milieu du XV111siècle, dans le Haut-Altaï. La république de l'Altaï (en russe : Респу́блика Алта́й, Respoublika Altaï) est un sujet de la fédération de Russie (une république).

    La république de l'Altaï est un territoire montagneux aux paysages pittoresques, une sorte de « Tibet russe » situé au centre de l'Eurasie à la jonction de différents États, écosystèmes et cultures. La capitale de la république est Gorno-Altaïsk, elle se trouve à environ 100 km au sud de Biïsk sur le Transsibérien.C’est l’ancien Haut-Altaï.

    À cette époque le Haut-Altaï était sous la domination de l' EMPIRE DU MILIEU, la CHINE et  était ce qu'on nomme des nos jours , la MONGOLIE.

    Ce récit relate le destin du peuple de TOUVAS dans une écriture poétique et sage de la vie chamanique de ce peuple. Il nous raconte la lutte d'un peuple pour sa survie, ses traditions, ses croyances et surtout sa culture ancestrale et spirituelle.On y retrouve l'enseignement chinois de CONFICIUS.

    Le peuple TOVAS est un peuple oppressé de part et d'autre par la RUSSIE et la CHINE, dit l' EMPIRE DU MILIEU au pouvoir suprême qui impose leurs rites religieux, leur langue, exerce le pouvoir sur le territoire et exerce le contrôle sur la population.

    C'est l'histoire du petit peuple de TOUVAS qui refuse de se soumettre à l' EMPIRE DU MILIEU quitte à en payer le prix. Un peuple qui dut apprendre à se prendre en main et à se défendre tout en étant ignorant de l'art de la guerre et des armes de combat.

    Un récit historique digne de la résistance humaine et de sa détermination à sa survie culturelle.

    Gilles LAGROIS, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com, à visiter.

    « Nous autres, êtres humains, ne devons jamais oublier que nous avons les mêmes cœurs craintifs et les mêmes larmes salées, quelle que soit notre origine. »

    «Son père.  Si tu te crois pauvre, commence par déménager. »

    « En vérité, nous sommes des guerriers au service de notre pauvre petit bout de terre, qui luttons contre de grandes puissances étrangères. »

    « Ceux-ci n'agissent qu'en vertu de la loi qui gouverne notre monde : SEULE LA FORCE DÉCIDE. »

    « Du grain de sable à la pierre, L'ALTAÏ et ses montagnes, ses steppes, ses forêts, ses lacs et ses rivières, figés sous le bouclier hivernal que formaient la glace et la neige. »

    « Les habitants du corps conquis : l'esprit et l'âme, la chaleur et la lumière. »

    « Elle s'occupait de l'enfant, ou plutôt : il s'était emparé d'elle. »

    « Le courage de l'être humain se mesure d'abord à sa conception de la vérité. »

    /Tout le monde sert, Tu sers le chef, le chef set la tribu et je sers le Ciel bleu. »

    « Seulement, ceux qui étaient en mesure de lire ces choses et bien d'autres encore ne s'appelaient plus des savants mais des oracles. »

    « Lire et écrire.L'étranger.Il transformait un son en une image—oui grande était sa puissance.Et cet homme sans pareil, courageux et généreux...se donnait le nom de lama, et même de lama itinérant. »

    « Nous devons trouver un chemin qui mène au savoir. Mais il nous faut en tu cas des maîtres de la lecture,de l'écriture et de la langue. »

    « Regarder, écouter et se taire.voilà la meilleure et la seule chose à faire. »

    « C'est pour nous qui sommes les élus du Ciel un devoir sacré de que d'apporter la lumière où règne l'obscurité, la richesse ou règne la pauvreté. »

    RÉSUMÉ, ÉDITEUR

    « Au milieu du XVIIIe siècle, dans le Haut-Altaï, Hynndynn est recueilli à sa naissance par une famille nomade. Des étrangers de passage, des Mandchous, se faisant passer pour des envoyés du Ciel, prédisent que cet enfant aura un destin particulier. Sept ans plus tard, Hynndynn disparaît…
    Elevé en Chine, destiné à être l’instrument de l’annexion des territoires mongols, le jeune homme revient, est reconnu et accueilli chez lui comme l’enfant élu par le destin. Le jeune Prince ayant retrouvé ses origines et faisant preuve d’une remarquable habileté politique va devenir le chef de la résistance à l’invasion chinoise. Il fédère les tribus, crée un contre-pouvoir religieux à l’invasion bouddhiste, connaît un grand amour et séduit tous les lecteurs. 
    Galsan Tschinag écrit un roman plein de vie et de finesse, avec des personnages attachants qui nous font pénétrer dans des psychologies et des analyses du monde déroutantes et justes. Il nous raconte aussi la lutte d’un peuple pour ses traditions et sa survie. »

     

    UNE LECTRICE;

     

    La vie de transhumance d'un peuple de Mongolie, racontée par un petit garçon. Le regard de l'enfant plein de poésie, d'émerveillement, mais aussi de questionnement face aux adultes qui l'entoure, à la dureté de la vie de labeur des peuples qui disparaissent petit à petit avec le "progrès".
    Un regard chargé d'amour immodéré pour sa grand-mère, magnifique !
    Regards d'un enfant d'une sensibilité à fleur de peau.
    Puis , ce cri d'amour, de colère, d'incompréhension, d'injustice face aux chagrins qui déferlent sur sa jeune vie .
    Des mots tellement justes pour décrire la fin de l'innocence, la fin de cet état de grâce qu'est l'enfance «






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