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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES
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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

  • 198 articles publiés dans cette catégorie
  • 123 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TÉMISCOUATA, QUÉBEC
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    FAUT-IL TUER LES PETITS GARÇONS QUI ONT LES MAINS SUR LES HANCHES ?, roman de SAN-ANTONIO, alias Frédéric DARD, 1984, 323 pages

    01/08/2014 21:04

    FAUT-IL TUER LES PETITS GARÇONS QUI ONT LES MAINS SUR LES HANCHES ?, roman de SAN-ANTONIO, alias Frédéric DARD, 1984, 323 pages


     

    SAN-ANTONIO

    FAUT-IL TUER LES PETITS GARÇONS QUI ONT LES MAINS SUR LES HANCHES ?, Fleuve Noir, 1984, 323 pages

     

    Un roman agréable, efficace d'un écrivain d'une écriture juste,habile qui crée en nous une complicité et une participation au roman. Nous sommes impliqués en tant que lecteur et témoin des événements, donc sans accès et mensonge.

    Un roman, non pas un polar,  mais un roman progressif comme une confidence sincère. Un roman et un auteur à découvrir pour qui recherche la sincérité et la découverte de l'humain. Un roman sans éclat mais poignant comme la vie peut être inégale et foncièrement gratuite.

     

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

     

    Pour en savoir davantage:

                                          " L'oeuvre de San-Antonio est sans conteste un monument de la littérature contemporaine.
    ... Profitons de la verve tonifiante de San-Antonio, de ce grand petit garçon qui pour notre bonheur et notre honneur a su désavouer les pédants, les minus, les minables..."
    Renée BOVIATSIS, L'humanisme de San-Antonio, LA PENSÉE UNIVERSELLE

    www.fleuve-editions.fr

     

     

    Une giffle !

    Frédéric Dard, alias San Antonio, a écrit 3 catégories de romans :
    - les romans noirs "classiques" très bien écrits et dont les personnages marquent le lecteur par leur intensité,
    - la série très connue dont le héros est San Antonio écrits sous le pseudonyme de San Antonio qui est un véritable hymne à l'humour et au jeux avec la langue française,
    - des romans écrits sous le pseudonyme de San Antonio mais dont le contenu n'a rien à voir avec le héros éponyme et dont le style est à mi-chemin de ceux des 2 catégories précédentes.

    Ce roman appartient à la troisième catégorie et se caractérise par sa noirceur voire parfois sa désespérance. Le style est magnifique et nombreuses sont les fulgurances.

    Cette histoire est celle d'un romancier (quadragénaire ou quinquagénaire) à succès, Charles Dejallieu, (qui ressemble par bien des aspects à Frédéric DARD) qui est à un moment assez désabusé de sa vie. Il est en train d'écrire un roman sur un petit garçon (qui s'avère être proche de Frédéric DARD également dans sa jeunesse) et se pose plein de questions sur le sens de sa vie. Sa belle-fille Dora (fille d'une première union de sa femme), âgée d'une douzaine d'années, est enlevée par des "pseudo journalistes" venus l'interviewer quelques jours auparavant.

    Ici, comme l'explique Frédéric DARD dans sa préface, l'histoire rejoint la fiction. Juste quand il était en train d'écrire les premiers instants consécutifs à cet enlèvement (l'angoisse de l'attente, la demande de rançon, ...), Frédéric Dard a connu la même angoisse : sa propre fille Joséphine a été enlevée par un cameraman faisant partie d'une équipe de journalistes venus l'interviewer ! Frédéric DARD a donc, bien évidemment, interrompu la rédaction de son roman pour se consacrer à la libération de sa fille (horrifié de la coïncidence...).

    Fort heureusement, Joséphine a été retrouvée au bout de 48h et son ravisseur capturé.

    Environ 1 an plus tard, Frédéric DARD, "appelé" par ses personnages a repris la rédaction de son roman (la césure entre les 2 parties est marquée par quelques mots pudiques de l'auteur).

    La suite du roman est puissante et prend à la gorge par la violence des émotions qu'elle dégage...

    Un roman très marquant écrit dans une langue superbe.

    w.critiqueslibres.com






    LE MARI DE LÉON, roman, Adultes. de SAN-ANTONIO, 1990, 342 pages

    14/09/2014 20:35

    LE MARI DE LÉON, roman, Adultes. de SAN-ANTONIO, 1990, 342 pages


     

    SAN-ANTONIO

    LE MARI DE LÉON, Chronique d'une amitié avancée, roman, Fleuve Noir, 1990, 342 pages

     Un autre grand roman de SAN-ANTONIO au style coloré, éloquent, brillant,  approprié aux personnages, éclatant mais surtout touchant. Style parfois romantique, poétique, philosophique visant et touchant toujours ses cibles.  

    Un roman réservé aux ADULTES car les personnages se laissent voguer, divaguer et éclater dans des ébats sexuels plusieurs fois  renouvelés.

    Un roman digne du talent indiscutable de San-Antonio.

    Le mari n'est pas un mari mais un ami sincère et authentique qui en fait voir de toutes les couleurs à son meilleur ami qui aurait pu être son mari par sa complicité, son attachement et sa carrière éblouissante.

     

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

     

    " Le père Lecoq surveillait son monde d'un oeil matois de maquignon prospère. Il adressait un sourire aux "petits", un compliment aux "grands", une bourrade aux "intimes"."

    " Dans le fond, la scène je m'en fous car je ne suis pas fait pour elle; je te serai beaucoup plus utile en m'occupant de toi qu'en interprétant des rôles."

    " Les maris en veulent aux amis qui baisent leur femme, pas à ceux que leur femme repousse,"

    " Oh! tu sais, l'amour, c'et un peu comme la foi: ça dépend des jours."

    " ...car Lassef "balançait" tout ce qui lui passait par la tête."

    " Cette étreinte différait de toutes celles qu'il avait pratiquées jusqu'alors."

    " Les femmes moches sont celles qu'on ne sait pas regarder."

     

    Pour en savoir davantage:

     

                                           " Ce livre raconte l'histoire d'un ver de terre amoureux d'une étoile. Le ver de terre s'appelle Léon. L'étoile s'appelle Boris. San-Antonio. L'histoire est celle d'une passion folle entre un homme de théâtre et son valet Léon ; personnage falot et médiocre, celui-ci consacre sa vie à satisfaire les moindres désirs de son maître, personnalité aussi forte qu'égoïste. Eloge d'une grande amitié, le roman de Frédéric Dard est aussi une chronique cocasse du monde du théâtre."

                                         http://www.decitre.fr/livres/le-mari-de-leo

     

    Long métrage / France / 1 H 34 / 35mm. Couleur. 1,66 / Quinzaine 1993

    Basée sur le roman best-seller de Frédéric Dard-San Antonio, la chronique tragi-comique d'une amitié passionnelle entre Boris Lassef, brillant mais aussi insupportable et tyrannique acteur et metteur en scène, et Léon Yvrard, son confident et homme à tout faire amoureux de lui, esclave indispensable et comploteur habile. Ce duo terrifiant, qui opère dans le milieu théâtral mais qui se retrouve dans toutes les sphères de la jet-society, va être brisé par Nadège, belle-sœur de Léon, petite et redoutable adolescente qui, grâce à sa malice et sa détermination ravageuses, réussira à triompher de Léon et à épouser Boris, l'illustre.






    UN LUNDI SANS BRUIT, de Max FÉRANDON, Éditions ALTO, 2014, 187 pages

    10/10/2014 14:15

    UN LUNDI SANS BRUIT, de Max FÉRANDON, Éditions ALTO, 2014, 187 pages


    FÉRANDON Max

     UN LUNDI SANS BRUIT, Alto, 2014, 187 pages

     Un livre épatant par son  style d'écriture époustouflant qui joue avec les mots, se joue des mots, invente des mots, nous tient en haleine par son humour et notre complicité littéraire. Un lien se crée.

    Nous déambulons dans deux époques à la fois, parfois nous vivons un retour dans l'occupation allemande en France lors de la deuxième guerre mondiale et nous revenons ensuite dans notre monde moderne. Nous côtoyons des Français, des Allemands, deux Bulgares dont les destinées s'entrecroisent. 

      Les personnages apparaissent, cèdent  la place aux suivants puis vont nous revenir dix pages plus loin. Une expérience de lecture d'une écriture au style...humourisé,  nous imprimant un sourire constant voire permanent.

    Un livre qui nous séduit par son style humoriste et un auteur au talent apprécié, goûté. 

     

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

     " Mais quel tableau tout de même, quand j'y repense, se retrouver sur un quai de  gare avec une valise pleine de beurre entre un officier allemand et un mime.Des fois, je me demande où la guerre va chercher tout ça..."

    " Mais le téléphone sonne comme un avertissement de mauvaise nouvelle."

    " Marié à un fantôme, madame Goguenard ne se formalise pas des absences de son mari. L'entrée de leur foyer est à porte battante, comme une paire de claques. Être cocue est toujours un starut bancal."

    "  Il l'aime avec ses mots à lui, il aime la femme Goguenard de part en part d'un amour charcutier. Il la traverse, l'enfile, la brochette, la saucissonne , la boudine, la larde, ja jambonne. Il brâmme elle bêle, el glougloute elle cancane, il hue elle oh oh ouiiii."

    "...même si une de ses paupières a tendance à tirr le rideau."

    " Le chauffeur serre les fesses comme un coffre-fort durant le krach boursier."

    "... juste avant les pompiers et leur ouvre-boîte désincarcérateur."

     

    Pour en savoir davantage:

                                             L'auteur

    Max Férandon est né en 1964 dans une jolie carte postale du centre de la France, un petit village du département de la Creuse. Il garde de son enfance un imaginaire poétique dont il s'inspire pour écrire ses histoires. Une première traversée de l'Atlantique, en 1988, l'amène au Québec, où il réside depuis et où il a pratiqué plusieurs métiers. Il vit aujourd'hui dans la Vieille Capitale. Il a publié en 2013 un délicieux roman jeunesse, La corde à linge (Éditions de la Bagnole), très remarqué pour son originalité.

    www.editionsalto.com

    "Un petit village rural de France devient le théâtre d'une chasse à l'homme alors qu'un magouilleur malchanceux s'attire les foudres de deux brutes patibulaires à la recherche d'un tableau qui leur a été dérobé.

    En écho aux personnages qui habitent cette commune, le récit aborde des événements s'étant déroulés quelque 70 ans plus tôt, pendant l'occupation, où même les Allemands ne semblent pas souhaiter pousser la guerre jusqu'à Saint-Priest-la-Brume.

    Le roman suit avec légèreté un scieur aux doigts coupés, un fabricant de cercueils cocufié et cocufiant, deux Ukrainiens massacrant autant le français que les visages, un jeune mime juif tentant de sauver sa peau et un officier de la Wehrmacht plus passionné par l'origami que par les ordres de Berlin, sans compter de nombreux autres personnages tout aussi importants pour tisser sa toile.

    Par son style où les calembours, blagues et clins d'oeil sémantiques recouvrent d'un vernis amusé deux types de récits qui demandent généralement sérieux et déférence, Max Férandon ne réinvente pas le genre, mais amène le lecteur dans son univers déjanté et savoureux.

    Une lecture parfaite pour s'évader par un lundi de pluie. www.lapresse.ca






    L'ÉLIXIR D'AMOUR, roman d'Éric-Emmanuel SCHMITT, 2014, 155 pages

    15/11/2014 20:04

    L'ÉLIXIR D'AMOUR, roman d'Éric-Emmanuel SCHMITT, 2014, 155 pages


     

    ÉRIC-EMMANUEL SCHMITT

    L'ÉLIXIR D'AMOUR, Albin MICHEL, 2014, 155 pages

    Roman mais surtout un échange épistolaire entre un couple qui a rompu, l'homme  toujours à Paris et la femme établie à Montréal. Leur lien est demeuré assez fort et présent pour que les deux amants continuent à garder le contact, à  échanger leurs pensées et leurs expériences de vie amoureuse. Ils conservent une relation à jour mais à distance.

    Une écriture spontanée et raffinée dont le thème est l'amitié et l'amour tant au présent qu'au passé. Le texte est parfois court et prompt, parfois davantage approfondi et révélateur.

     Un roman qui sollicite une réflexion sur la profondeur des liens amoureux entre deux êtres dont l'amour était omniprésent dans leur vie respective. Nous retrouvons l'écriture spontanée et vive de l'auteur qui nous touche et porte à la réflexion.

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

    " Si tu m'écoutes, bonjour. Si tu ne m'entends pas, adieu. Selon ta réaction, cette lettre constituera le début ou la fin de notre correspondance."

    " Tu me boudes? Tu me hais ? Tu m'oublies?" Ton Adam

    " Les hommes font l'amour pour jouir, pas pour dire qu'ils aiment."

    " Or le sexe et l'amour occupent deux territoires différents."

    " Aussi l'amitié me paraît-elle une relation pure, exemplaire, lumineuse, puisque non polluée par la chair....Elle désigne la droite allée de l'amour."

    " Rien de haut n'étant sorti d'un profil bas."

    " Le sexe n'a pas de morale."

    " Les femmes aiment l'amour, les hommes le font."

      " ...je ne couche que si j'aime et suis aimée. Quels mensonges!"

    " On peut être maître de ce que l'on pense, jamais de ce que l'on ressent."

     

    Pour en savoir davantage:

                                             "(QUÉBEC) Dans L'élixir d'amour, Éric-Emmanuel Schmitt part en explorateur à la découverte du désir et de l'amour, deux territoires qu'on fait souvent l'erreur de confondre, selon lui. En toile de fond, Paris et Montréal, deux villes qui possèdent leurs saisons, leurs couleurs et leurs odeurs propres, deux sociétés où, surtout, la culture amoureuse est bien différente.

    Entre Adam et Louise, la flamme s'est éteinte. Pendant qu'elle s'envole vers le Québec, lui reste à Paris. Puisque l'océan qui désormais les sépare devrait prévenir tout ravivement, Adam propose de transformer ce qui reste de leur passion en affection. Sournoise, Louise réplique en lui lançant un défi : découvrir le secret du sentiment afin de susciter l'amour chez l'être convoité. La chasse est ouverte. Que chacun choisisse sa proie.

    Le livre trouve son rythme dans l'instantanéité des échanges que la correspondance électronique rend possible. L'écrivain en profite pour actualiser un genre un peu oublié, mais ô combien charmant, le roman épistolaire. Entrevue avec un grand amoureux du siècle des Lumières et de la langue française, autrement dit, un amoureux tout court."

    www.lapresse.ca

    Q Parce que L'élixir d'amour est un roman court et concis, il peut sembler à première vue léger, alors qu'en fait, vous avez plutôt habilement maquillé sa profondeur...






    L'AMOUR LA SOLITUDE, entretiens, d'André COMTE-SPONVILLE, Albin Michel, 2000, 154 pages

    09/01/2015 19:40



    COMTE-SPONVILLE André

     L'AMOUR LA SOLITUDE, Entretiens, Albin Michel, 2000, 154 pages

     Un livre de chevet, de référence, un aide-mémoire, un fourre-tout de la vie. Peu importe le nom qu'on peut lui donner, ce livre est une base riche de renseignements sur notre façon de vivre, de penser sa vie, d'organiser sa vie. Car peu importe le roman qui nous fait voyager, la philosophie qui nous habite, l'important c'est la VIE, le PRÉSENT, l'AMOUR.

    Trois ingrédients qui nous habitent dans notre cheminent dans la vie.

    L'auteur nous dévoile sa philosophie de la vie et nous convie, nous incite à découvrir,  à vivre la nôtre. L'homme naît seul, vit seul, meurt seul. Telle est notre réalité d'homme. Il nous suffit de découvrir notre philosophie personnelle, la faire nôtre en l'appliquant au jour le jour notre vie durant.

     Un livre et un auteur qui me permettent  de prendre conscience de mon cheminement dans la vie, de la philosophie qui la mène et la domine pour accéder à l'amour, à la joie de vivre d'une façon consciente et non de la subir.

    Un grand livre, un auteur, un philosophe à découvrir pour sa franchise et son ouverture de repenser la vie.   

     

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

     

    " L'humilité est aussi une vertu intellectuelle."

    " Pour ce qui est de l'amour, la différence est autre. On n'espère que l'irréel ou l'inconnu; on n'aime que le réel, et à condition de le connaître au moins en partie."

    " La vie est là, simple et tranquille..." que la philosophie essaie de penser...L'art au service de la vie, donc, et non pas la vie au service de l'art "

    " Le secret, c'est qu'il n'y a pas de secret. Nous sommes ces petits enfants égoïstes et malheureux, pleins de peur et de colère..."

    " Je ne détiens aucune vérité inconnue, ni moi ni personne. Le problème n'est pas de découvrir une autre vérité, qui manquerait, qui ferait défaut ( tout est vrai: la vérité est tout), mais de comprendre qu'il n'y a rien d'autre à trouver que la vérité, rien d'autre à chercher, donc, et qu'on est déjà dedans, et qu'on en connaît déjà plus qu'assez pour en vivre..."

    " À quoi bon accumuler sagesse sur savoir, si c'est pour resterr prisonnier de soi et de sa peur? Les vérités sont partout, hors de nous, bien sûr, mais en nous aussi, peu ou prou. La vérité est là, toujours déjà là: vérité du monde, vérité du devenir."

    " La sagesse n'est pas la science; aucune science ne tient lieu de sagesse. Il ne s'agit pas de chercher  ce qu'on ignore, mais d'habiter ce que l'on sait. D'aimer ce que l'on sait. La sagesse n'est pas une vérité de plus: c'est la jouissance de toutes.

    " Le réel n'est pas un puzzle. L' amour n'est pas un puzzle."

    " Une once de réel pur suffit à qui sait voir. Or le réel est pur, toujours, au regard pur.

    La vérité suffit: l'amour suffit."

    " Dieu n'est Dieu que sur la croix: il n'y a donc pas de Dieu, et toute religion est idolâtre."

       

    Pour en savoir davantage:

                                              Un réflexion utile

    " Ce livre est une suite de trois entretiens de Comte-Sponville avec Patrick Vighetti, Judith Brouste et Charles Juliet.
    Il n'y a pas que l'amour et la solitude qui sont évoqués dans ce petit livre. On y parle aussi beaucoup de la philosophie et surtout de sa finalité. Son objectif premier devrait être de permettre à l’homme de vivre heureux, ou le plus heureux possible. Bien comprise, une fois la sagesse atteinte grâce à elle, il conviendrait de l’abandonner puisqu’elle ne serait plus nécessaire.

    Il ne faut pas continuer à porter ce qui est devenu inutile. Comme le fait remarquer Comte-Sponville, cela reviendrait, une fois le fleuve franchit à porter le radeau sur son dos. Quelle en serait l'utilité ?. Il ne me semble pas intéressant de vous résumer ce livre.

    Il est bien plus important de vous dire qu'il est vraiment à lire. Cela d’autant plus qu'il se lit sans aucun problème !
    Une citation qui me plaît beaucoup : « Mais la compréhension n’est pas tout, ni le but ultime. Il se pourrait qu’il n'y ait rien à comprendre, au fond, si ce n'est cela même : qu’il n'y a rien à comprendre ! » http://www.critiqueslibres.com/COMTE-SPONVILLE André

     L'AMOUR LA SOLITUDE, Entretiens, Albin Michel, 2000, 154 pages

     Un livre de chevet, de référence, un aide-mémoire, un fourre-tout de la vie. Peu importe le nom qu'on peut lui donner, ce livre est une base riche de renseignements sur notre façon de vivre, de penser sa vie, d'organiser sa vie. Car peu importe le roman qui nous fait voyager, la philosophie qui nous habite, l'important c'est la VIE, le PRÉSENT, l'AMOUR.

    Trois ingrédients qui nous habitent dans notre cheminent dans la vie.

    L'auteur nous dévoile sa philosophie de la vie et nous convie, nous incite à découvrir,  à vivre la nôtre. L'homme naît seul, vit seul, meurt seul. Telle est notre réalité d'homme. Il nous suffit de découvrir notre philosophie personnelle, la faire nôtre en l'appliquant au jour le jour notre vie durant.

     Un livre et un auteur qui me permettent  de prendre conscience de mon cheminement dans la vie, de la philosophie qui la mène et la domine pour accéder à l'amour, à la joie de vivre d'une façon consciente et non de la subir.

    Un grand livre, un auteur, un philosophe à découvrir pour sa franchise et son ouverture de repenser la vie.   

     

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

     

    " L'humilité est aussi une vertu intellectuelle."

    " Pour ce qui est de l'amour, la différence est autre. On n'espère que l'irréel ou l'inconnu; on n'aime que le réel, et à condition de le connaître au moins en partie."

    " La vie est là, simple et tranquille..." que la philosophie essaie de penser...L'art au service de la vie, donc, et non pas la vie au service de l'art "

    " Le secret, c'est qu'il n'y a pas de secret. Nous sommes ces petits enfants égoïstes et malheureux, pleins de peur et de colère..."

    " Je ne détiens aucune vérité inconnue, ni moi ni personne. Le problème n'est pas de découvrir une autre vérité, qui manquerait, qui ferait défaut ( tout est vrai: la vérité est tout), mais de comprendre qu'il n'y a rien d'autre à trouver que la vérité, rien d'autre à chercher, donc, et qu'on est déjà dedans, et qu'on en connaît déjà plus qu'assez pour en vivre..."

    " À quoi bon accumuler sagesse sur savoir, si c'est pour resterr prisonnier de soi et de sa peur? Les vérités sont partout, hors de nous, bien sûr, mais en nous aussi, peu ou prou. La vérité est là, toujours déjà là: vérité du monde, vérité du devenir."

    " La sagesse n'est pas la science; aucune science ne tient lieu de sagesse. Il ne s'agit pas de chercher  ce qu'on ignore, mais d'habiter ce que l'on sait. D'aimer ce que l'on sait. La sagesse n'est pas une vérité de plus: c'est la jouissance de toutes.

    " Le réel n'est pas un puzzle. L' amour n'est pas un puzzle."

    " Une once de réel pur suffit à qui sait voir. Or le réel est pur, toujours, au regard pur.

    La vérité suffit: l'amour suffit."

    " Dieu n'est Dieu que sur la croix: il n'y a donc pas de Dieu, et toute religion est idolâtre."

       

    Pour en savoir davantage:

                                              Un réflexion utile

    " Ce livre est une suite de trois entretiens de Comte-Sponville avec Patrick Vighetti, Judith Brouste et Charles Juliet.
    Il n'y a pas que l'amour et la solitude qui sont évoqués dans ce petit livre. On y parle aussi beaucoup de la philosophie et surtout de sa finalité. Son objectif premier devrait être de permettre à l’homme de vivre heureux, ou le plus heureux possible. Bien comprise, une fois la sagesse atteinte grâce à elle, il conviendrait de l’abandonner puisqu’elle ne serait plus nécessaire.

    Il ne faut pas continuer à porter ce qui est devenu inutile. Comme le fait remarquer Comte-Sponville, cela reviendrait, une fois le fleuve franchit à porter le radeau sur son dos. Quelle en serait l'utilité ?. Il ne me semble pas intéressant de vous résumer ce livre.

    Il est bien plus important de vous dire qu'il est vraiment à lire. Cela d’autant plus qu'il se lit sans aucun problème !
    Une citation qui me plaît beaucoup : « Mais la compréhension n’est pas tout, ni le but ultime. Il se pourrait qu’il n'y ait rien à comprendre, au fond, si ce n'est cela même : qu’il n'y a rien à comprendre ! » http://www.critiqueslibres.com/






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