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Fanny SALMERON---LES ÉTOURNEAUX, roman
31/07/2013 14:43
SALMERON Fanny
LES ÉTOURNEAUX, roman, Stéphane Million Éditeur, 2013, 109 pages
Roman frais, jeune, spontané dans un style d'écriture éclatant, ouvert sur une vision bruyante de la vie moderne. Des êtres jeunes à la découverte de soi, d'une raison de vivre, des autres. Des jeunes découvrent la vie, se permettent de vivre des émotions, d'expérimenter des avenues nouvelles de leur vie parfois monotone. Roman jeune, frais, spontané comme la danse, l'amour, l'amitié, la vie à la nano-seconde. Un roman, une auteure à découvrir.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
"Le sexe, c'était comme la mort pour elle: une abstraction. Elle n'y accordait pas plus d'importance qu'à une autre religion." p. 67
"Quand les lumières se sont allumées, Lodka Place est apparue, et tout de suite Brune a senti les larmes lui monter aux yeux. La beauté de Lodka. Sa voix de boisson chaude.Sa grâce de léopard. Ses petits grains de beauté dans le cou, dispersés comme des étoiles sur une nuit de mois d'août." p. 75
"Lodka est devenue l'obsession de Brune Farrago, une obsession au-delà du simple désir, rien d'adolesccent. Brune voulait exister pour Lodka. Elle était persuadée de pouvoir apporter quelque chose de nouveau et de beau dans sa vie." p. 76
POUR EN SAVOIR DAVANTAGE:
Le Mot de l'éditeur : Les étourneaux
"Après une série d’attentats à Paris, trois amis, Lodka Place, Brune Farrago, Ari Saint-Thomas et leur chien Ferdinand Griffon vont se réfugier dans une maison de campagne. Alors que le chaos menace. Au début de l’exode, il avoua à Lodka qu’il possédait une petite maison de campagne à quelques heures d’ici, qu’il fallait y aller, se mettre à l’abri de cette folie. Vivre à la campagne tous les deux, emmener le chien, s’installer dans la maison vide et s’y aimer totalement.
Lodka s’était surprise à lui répondre « Je ne pars pas sans Brune ».
Alors Ari demanda à Brune si elle était prête à tout quitter pour venir se cacher avec eux.
Et Brune était tellement heureuse qu’elle n’a pas du tout pensé à dire « Je ne pars pas sans Navel ». Navel Senza était déjà absent depuis longtemps des journées de Brune Farrago, des journées toutes occupées par les yeux doux de Lodka Place, toutes sublimées par le savoir sans faille d’Ari Saint-Thomas.
Dire à Navel de venir, elle y a pensé après, plus tard, mais les choses étaient déjà, irrémédiablement, totalement foutues."
Auteur(s) :
Fanny Salmeron vit à Paris avec un chat étrange qui porte le nom d’une chanson de Bjork, et, tous les deux, ils sont bien contents de s’être trouvés. Son travail à plein temps, c’est de tomber amoureuse. Elle écrit dans la revue Bordel et lit en robe partout où on l’écoute.
Déjà parus : Si peu d’endroits confortables (Stéphane Million Éditeur - J’ai lu), Le travail des nuages (Stéphane Million Éditeur).
www.livre.fnac.com
" Les étourneaux, c’est une fable des temps modernes avec un parfum de notalgie, un hymne à la vie, à faire aujourd’hui ce qui est essentiel, viscérale,avant que tout s’arrête. Aimer démesurément, vivre intensément.
Fanny Salmeron saisit avec un oeil poétique, juste et émouvant le moment du basculement, la déchirure de la vie. Fuir pour survivre. Un air de fin du monde, avec cette question omniprésente: et si c’était nous? Mais le chaos n’est il pas déjà à nos portes? Ne faudrait il pas commencer à revenir aux fondamentaux avant d’atteindre le point de non retour?
On traverse la vie de ces personnages hauts en couleur, Lodka, Brun et Ari auxquels inévitablement on s’attache tout en s’identifiant, leurs sensibilités en proie aux délires des hommes. Un roman intemporel qui pose, mine de rien, avec discrétion, des questions essentielles.
Un ton décalé (qu’est-ce que ça fait du bien!), loin du consensuel où tout est suggéré avec pudeur et retenue. Pas besoin de prendre le lecteur par la main, de tout lui montrer, la suggestion est plus forte. La violence effleurée est redoutable.
La valse folle des étourneaux vous emporte ailleurs, sans bien savoir où et comment mais on se laisse guider ! Un roman intemporel et saisissant!
Etonnant, original, donc à découvrir!
www.insatiablecharlotte.wordpress.com
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Fatou DIOME---IMPOSSIBLE DE GRANDIR, roman
10/08/2013 20:04
IMPOSSIBLE DE GRANDIR, roman,Flammarion, 2013, 405 pages
Un roman étonnant, intense, remarquable par son style éclairé, sa vision philosophique de la vie, particulièrement de sa vie, de nos sociétés humaines bouleversantes où la vie se fait à bout de bras, d'efforts personnels.
Un roman qui nous permet d'entrer dans l'intimité de sa vie au Sénégal, de sa vie personnelle et familiale sous la férule d'un Tonton tyran. Elle nous confie son besoin vital d'écrire, sa relation avec sa grand-mère, son père célibataire, sa mère jugée et condamnée par sa famille maternelle, sa détermination à survivre, à aider les membres de sa famille à s'en sortir,à s'instruire, à survivre.
"On gravit les montagnes avec son propre souffle."
"Chacun traverse les saisons de la vie à sa propre cadence, même en titubant: tada-tada-tadadan."
"Réfléchir, c'est toujours larguer les amarres...Je plongeai tout entière dans mes pensées et me laissai porter par les courants./ p. 399
"...c'est pour ça que j'écris, pour dire, dénoncer, combattre ce qu'on ne dit pas, mais qui bavarde en nous et nous tue à petit feu." p. 293
Un grand roman à découvrir, pour découvrir l'humain peu importe son image, son milieu, sa naissance sociale.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
POUR EN SAVOIR DAVANTAGE:
le souvenir_le passé_l'avenir
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" Ce livre est un roman à tiroir. L’auteure sait comment ouvrir une parenthèse de 15 pages et retomber sur ses pattes comme un chat habile de la langue française. Le résumé du livre se concentre sur comment travailler les secrets d’une enfance pour devenir adulte. L’action à Strasbourg est entrecoupée de flashback sur une enfance sénégalaise.
Si ce roman est biographique, alors l’auteur dévoile tout et règle ses comptes avec une partie de sa famille. Le lecteur sent monter petit à petit les relents frelatés de souvenirs anciens qui comme les vagues de l’atlantique déposent une petite couche blanche sur le sable et finissent par se déchainer en houle violente : c’est le règlement de compte. Il fallait que ça sorte et que ça soit dit, ou plutôt écrit. La fin du livre est vécue comme une délivrance.
J’aime le style de Diome, elle utilise toujours les métaphores précises et se réfère souvent au vocabulaire de la pêche, de l’océan. On retrouve le style de « le ventre de l’atlantique », mais avec une claire évolution, une maturité. Ce qui paraissait incontrôlé dans ses œuvres précédentes (jet philosophique comme on jette son sac, sans trame et comme une fusion de pensée) semble ici calculé et adulte. L’écriture de Diome atteint dans cette œuvre des sommets.
Sans dévoiler l’histoire, on retrouve des passages analytiques, un genre de psychanalyse personnelle sur les peurs du personnage principal Salie. Elle recherche les raisons de ces peurs et les explique honteusement en racontant son histoire. Elle écrit ce qu’elle ne pourrait jamais dire en société, ces sentiments tellement importants à ses yeux et qui seraient maltraités en public, pris en désinvolture par un public non compréhensif. Parce que les peurs liées à l’enfance devraient être surmontables en tant qu’adulte. En théorie, et dans la conscience commune, mais pas forcément en pratique et dans le sens privé. Les qu’en dira-t-on sont dans les villes sénégalaises aussi présents que dans les campagnes. L’anonymat n’existe pas quand on porte le point d’une histoire familiale atypique.
On découvre dans ce livre des rapports familiaux extrêmes, un rapport village/ville et richesse/pauvreté en parallèle avec le rapport sentiments/raison. C’est l’histoire d’une fille illégitime qui étant le fruit d’un amour défendu doit en payer le prix toute sa vie. Mais elle décide de changer le cours des choses et de sauver ses frères et sœurs d’un destin tracé. Ça ne plait pas à tout le monde.
Ce livre ne fonctionne pas avec le schéma classique des psychanalyses, avec les non-dits et les secrets familiaux. Ici, tout est su, mais rien n’a été travaillé. Parce que le moteur d’une vie, c’est de s’en sortir. Quand Salie a atteint ses buts, elle s’est retournée et a décidé de rendre des comptes. A qui doit-on une réussite personnelle ? Doit-on rendre des comptes avec ceux qui nous ont enfoncés en enfance ? Quelle dette financière peut couvrir celle du cœur ? Salie adulte dialogue avec la petite, une voie dans sa tête, elle enfant.
On ne choisit pas sa famille, mais on choisit ses amis. Ceux qui nous invitent à manger, chez eux. Et je n’ai pas compris ce rapport qu’a Salie avec son amie Marie-Odile. Marie-Odile semble une simple connaissance, pas une amie de cœur à qui on peut faire confiance. Elle représente la superficialité des rapports humains. Et pour moi, la question centrale reste : pourquoi Salie la considère comme une amie, si elle ne peut pas lui confier ses peurs, si Marie-Odile n’accepte pas Salie comme elle est et essaie tout le temps de la changer… On ne choisit pas sa famille. Mais ses amis oui. Solution à la page 400...
www.critiqueslibres.com
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LA JUSTE PART, Repenser les inégalités, la richesse et la fabrication des grille-pains, Documents, David ROBICHAUD, Patrick TURMEL
21/08/2013 19:36
LA JUSTE PART, repenser les inégalités, la richesse et la fabrication des grilles-pains
Les indignés d'Occupy et d'ailleurs ont-ils raison de se plaindre des inégalités croissantes? Sont-elles plutôt le prix à payer pour les grands bénéfices de l'économie de marché? Dans quelle mesure peut-on intervenir dans la distribution de la richesse, et peut-on le faire sans brimer les libertés individuelles? Les riches et les pauvres méritent-ils leur sort? Qu'est-ce que la «juste part», au juste? C'est à ces questions pressantes que répond La juste part. À la fois accessible, érudit et brulant d'actualité, ce court essai jette un éclairage original sur ce débat qui secoue notre époque. Les auteurs, David Robichaud, professeur de philosophie à l'Université d'Ottawa et Patrick Turmel, professeur de philosophie à l'Université Laval, auront le plaisir de faire une présentation aux alentours de 18h30, et d'échanger avec leurs futurs lecteurs.
Les philosophes David Robichaud et Patrick Turmel s’attaquent à ce défi dans La juste part, un bref mais brillant et réjouissant essai, publié par l’équipe du magazine Nouveau Projet dans la collection « Documents ». Réfutation allègre du mythe selon lequel l’individu serait « entièrement responsable des fruits de son travail et de ce qu’il peut en retirer sur le marché », cet essai imagé veut montrer « que toute richesse est d’abord un produit social » et qu’il est juste que les plus riches d’entre nous paient plus de taxes et d’impôts que les autres « parce qu’ils profitent davantage de la coopération sociale et des bénéfices collectifs produits ».
Le (néo)libéralisme économique s’inspire des idées du philosophe anglais John Locke. Dans le paisible état de nature, suggère ce dernier, les humains ont des droits naturels - à la vie, à la liberté et à la propriété - octroyés par Dieu et le libre marché est le système qui s’impose. L’État ne vient pas spolier les individus et tout va bien.
Cette fiction, toutefois, ne tient pas la route. Le philosophe anglais Thomas Hobbes montre, en effet, que le respect des droits d’autrui n’est pas naturel, que la liberté totale peut mener au vol et au meurtre et que, « dans un tel état, il n’y a pas de place pour l’activité industrieuse, parce que le fruit n’en est pas assuré […] ». Aussi, pour qu’une société soit productive et économiquement viable, il faut une certaine coopération sociale, qui passe par des règles et contraintes respectées par tous. Par exemple, il n’est pas nécessairement rationnel, d’un point de vue individuel, de payer ses impôts, d’économiser l’eau potable, d’aller voter et de préserver les ressources naturelles. « Le problème, écrivent Robichaud et Turmel, c’est que lorsque tous raisonnent de cette façon, on se retrouve avec des problèmes collectifs dont tous souffrent. »
La compétition a certes des vertus, mais elle exige des règles pour demeurer saine et sa logique n’a pas sa place partout. La compétition sportive vise à faire ressortir le meilleur athlète, pas le plus dopé ; la compétition scolaire vise à susciter une émulation faisant éclore les talents de tous, pas seulement des plus riches. Si seuls ces derniers, parce qu’ils ont accès aux drogues efficaces ou à de prestigieuses écoles, s’imposent, la compétition est faussée et l’excellence athlétique ou scolaire perd son sens. Il en va de même en matière économique : les interventions de l’État ne doivent pas servir à empêcher une saine compétition, « mais à dissuader certains comportements individuels qui menaceraient la stabilité ou la désirabilité de la compétition ».
Collectivement, expliquent Robichaud et Turmel, nous pouvons faire voler des avions, créer de l’énergie nucléaire et transplanter des organes ; seuls dans la nature, nous peinerions à allumer un feu. Nous sommes, selon la formule, « juchés sur les épaules d’un géant », et ce géant, « c’est la tradition culturelle cumulative ». Les génies créateurs ont certes des mérites individuels, mais ils doivent aussi leur réussite à un contexte culturel et social.
Pour ces raisons, s’il est légitime de donner de gros salaires à certains, il est aussi justifié d’exiger de ceux qui ont le plus bénéficié de ce contexte qu’ils fournissent leur juste part en matière de taxes et impôts. Quand on constate, de plus, que les inégalités sociales engendrent une course folle à la consommation et que les sociétés plus égalitaires améliorent le sort de toute la population, le modèle social-démocrate, qui préserve les vertus de la compétition et du marché tout en corrigeant leurs abus par des politiques redistributives, remporte la palme du modèle idéal ou du moins pire des modèles.
L’humain s’améliore souvent par la compétition, mais toujours par la coopération, sans laquelle il périrait. À l’heure de choisir un modèle de société pour le Québec, David Robichaud et Patrick Turmel viennent nous rappeler, avec finesse et brio, que le simplisme de droite est une dangereuse imposture.
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Marina LEWYCKA---TRADERS, HIPPIES ET HAMSTERS
02/09/2013 23:36
LEWYCKA Marina
TRADERS,HIPPIES ET HAMSTERS, roman, alto, 2013, 611 pages, littérature étrangère
Un autre roman époustouflant, renversant de Marina LEWYCKA qui nous entraîne dans une folle ronde de personnages colorés, d'événements cocasses, de situations rocambolesques remplies de péripéties invraisemblables.
Au départ une famille constituée par un couple d'une union libre rejetant et combattant le capitalisme au jour le jour en manifestant, en boycotant toute tentative d'impérialisme dans tous les événements de leur vie professionnelle et sociale; de purs engagés enragés pour défendre la contre-culture et la liberté si chère aux aînés des années post 1960 par des manifestations culturelles hostiles ou étrangères aux formes de la culture dominante.
Deux parents hippies, un fils universitaire travaillant comme trader pour une banque britannique, une fille enseignante dévouée aux enfants avec troubles graves d'apprentissage, une jeune fille adoptée trisomique.
Un roman écrit avec grand talent, d'une verve étincelante, d' une construction de chapitres aléatoires, d'un grand rafinement et contrôle. Un roman d'humour, de fantaisie, de fantasmes réalisés, d'un grand rire communicatif dans un langage direct et coloré.
Un roman à découvrir, de bons moments pour rire de soi et des autres. Nul n'y échappe, il y a de la place pour tout le monde.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
POUR EN SAVOIR DAVANTAGE:
"Marina LEWYCKA
Marcus et Doro, deux hippies sexagénaires nostalgiques de la vie en communauté, toujours prêts à discuter de marxisme, de sexe ou de l’art d’assaisonner les lentilles, sont à la tête d’un drôle de clan. Leur fils, Serge, est ultra-capitaliste et porté sur les investissements risqués. Leur fille aînée, Clara, s’occupe chaque jour d’enfants défavorisés sans parvenir à trouver le bonheur et à fleurir enfin. Leur autre fille, Oolie, atteinte de trisomie, rêve d’amour libre et d’indépendance. La table est mise pour une randonnée familiale rocambolesque semant, dans son sillage, quelques mignonnes bêtes à poil.
Après avoir mélangé tracteurs et romance, cueillette de fraises et banditisme, conflit palestinien et rénovation intérieure, Marina Lewycka a tricoté pour notre plus grand plaisir une nouvelle histoire truculente où s’entrecroisent rongeurs, idéalistes grisonnants et financiers véreux.
www.editionsalto.com
Quelques échos :
« Un bouquin très distrayant. Le regard que l’auteur porte sur cette période - les années 1960 - est absolument délirant. […] Il y a des moments absolument délicieux même si on n’a pas connu cette époque-là. L’écriture de Marina Lewycka est très vive. C’est vivant, amusant. Sous le côté léger, il y a une véritable profondeur. C’est très juste, très vrai. »
René Homier-Roy, C’est bien meilleur le matin[ Lire l'article ]
« Marina Lewycka pourrait donner des leçons de «comment aborder le sérieux et le tragique avec une truculente dérision. »
24H
« Fidèle au poste, l'ironie délicieuse de Lewycka fait des merveilles, de même que ses personnages colorés. »
7 jours
« Des personnages colorés qui, chacun leur tour, livre leur point de vue sur les gens, les choses, les événements. Et tracent ainsi, en une mosaïque délirante, désarmante et pertinente, un portrait de la crise financière de 2008 vue de l'Angleterre. Délectable. »
La Presse
« Marina Lewycha a le don de créer des personnages tellement vrais qu’on aimerait aller prendre un café avec eux, qu’on croirait qu’ils habitent la porte d’à côté. Une lecture remplie d’humour et particulièrement accrocheuse! »
Marie Josée Turgeon, Sympatico.ca[ Lire l'article ]
« Épique! […] On rit beaucoup et souvent. »
Marie-France Bornais, Le journal de Québec
« Conteuse hors pair, Marina lewycka écrit d'un point de vue comique et maintient un équilibre parfait entre la farce et le pathos. L'écrivaine ukrainienne met à profit tout au long de son récit cet humour « so british ». Rigolomètre : 18/20. »
Suzanne Giguère, Le Devoir
« Roman réjouissant, foisonnant de gravité et d'humour, qui, sous la plume tendre et acérée de Marina Lewycka, nous fait pénétrer dans une époque libératrice, — amours affranchies, soutiens-gorges jetés aux orties, avant de s'assagir à leur place convenue! »
Dominique Blondeau, Ma page littéra
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Frédéric SALDMANN---LE MEILLEUR MÉDICAMENT, C'EST VOUS !
19/09/2013 15:17
Frédéric SALDMANN
LE MEILLEUR MÉDICAMENT, C'EST VOUS!, Albin Michel, 2013, 234 pages
Un livre bien fait avec de bons conseils pour une saine alimentation, des activités physiques à notre portée en toutes saisons, de bons conseils pour une vie psychologie équilibrée, florissante.
Guérir l'excès de poids:
"Il n'y a pas de secret: pour perdre du poids, il faut manger moins et mieux."
"Recommandé: Les vertus du chocolat noir à 100%. Le résultat est immédiat. "L'intégration de chocolat noir provoque un arrêt brutal de la pulsion alimentaire sans frustration et sans douleur...avaler 30 gr. de chocolat noir provoque une baisse de l'appétit immédiate. Effet coupe-faim en diminuant le stress, haute teneur en polyphénol et baisse de pression artérielle."
"Les mystérieux pouvoirs du ...safran...augmente la satiété de façon significative."
" Bien s'hydrater, boire de l'eau abondamment pendant le repas, agit comme régulateur de l'appétit. Deux grands verres d'eau avant d'apérifi, boire avant de passer à table...d'où l'habitude de servir de l'eau dans les restaurants."
" Le blanc d'oeuf, l'anti-frigale de compétition, avec 44 calories pour 100 gr., le blanc d'oeuf provoque une excellente satiété...sans le jaune."
"Les mystères du piment et du poivre. Le piment stimule la dépense énergétique et accélère le métabolisme...une augmentation de l'oxydation des graisses."
"La présencce de sel constitue une MENACE pour la santé. Le el attaque les artères. Le sel est un très bon DÉCLENCHEUR de l'appétit."
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
Pour en savoir davantage:
"Cardiologue, nutritionniste, spécialiste de la médecine prédictive internationalement reconnu, le docteur Frédéric Saldmann, auteur de plusieurs best-sellers, dont On s’en lave les mains et Le Grand ménage, propose une méthode simple et accessible pour profiter pleinement de son capital santé : mieux utiliser notre propre corps.
À rebours d’une médicalisation excessive et systématique, notre corps est en effet sans que nous le sachions notre plus grande ressource. Il détient des capacités inouïes, infiniment plus efficaces que nombre de médicaments. Ces pouvoirs, il suffit de les activer. En découvrant les mouvements qui soignent, les vrais aliments santé, le secret du jeûne séquentiel, en oubliant les régimes, en comprimant certains points névralgiques de notre corps, en changeant de posture…
Ce livre donne les clés pour prendre sa santé en main et consolider tous les domaines qui la composent (alimentation, poids, allergies, sommeil, sexualité, vieillissement…) afin de mieux se protéger avec des moyens à notre portée, passer au travers des maladies et profiter pleinement de la vie." L'éditeur
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