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LE FILS DES GLACES, roman d'aventure de Elizabeth McGREGOR, 2002, 453 pages
11/08/2016 00:04
McGREGOR Elizabeth
LE FILS DES GLACES, JCLattès, 2002, 453 pages,
Un roman d'aventure captivant qui nous fait vivre simultanément deux époques: l'une , celle de JOHN FRANKLIN, 1845, navigateur et explorateur britannique en ARCTIQUE, l'autre celle de DOUGLAS MARSHALL, 2000, archéologue qui a passé sa vie à élucider ce mystère qu'est l'expédition de JOHN FRANKLIN qui tentait de trouver le PASSAGE du NORD-OUEST.
Archéologie. Au fin fond du monde en l'an 2000. DOUGLAS MARSHALL, né en 1960. Un globe-trotteur en quête de fragments de poterie.Il s'est volatisé sur le continent de glace et de neige, l'ARCTIQUE.Il s'agit d'un projet scientifique. Une expédition.
Un roman d'aventure historique polaire FASCINANTet une auteure de talent à découvrir.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
JO."Elle avait vingt-six ans et travaillait depuis quatre ans en free-lance au Courier où GINA était sa rédactrice."
"Le gars disparu à un endroit appelé UUMMANNATSAQ."
DOUGLAS MARSHALLL. JOHN, son fils. "Je suis en vie bordel, avait-il envie de crier. Je ne suis pas un héros mort. Je suis en vie."
"Cinq épaisseurs de bois de 25 cm, C'est ça Le TERROR,C'est ce dont est fait un navire anglais. FRANCIS CROZIER."
"C'est l'INUIT qui a réussit à contacter les secours. Un travail de héros! Ils ont récupéré MARSHALL il y a une heure. Marshall s'est cassé la jambe."
GUS."La glace a ses relâchements. Elle s'emballe. se relâche, s'emballe,se relâche.Tout ça fait partie de la même chose."
DOUG.ALICIA." Elle ne m'aime pas. Elle ne veut pas me lâcher. C'est un parasite
Pour en savoir davantage:
"Lorsque la jeune journaliste anglaise, Jo Harper, tombe amoureuse de l'archéologue Douglas Marshall, elle ne se doute pas qu'elle va aussi épouser son obsession : le sort de l'expédition Franklin disparue en 1845 en Arctique alors qu'elle tentait de trouver le Passage du NordOuest.
Douglas a consacré sa vie à élucider ce mystère, au détriment de son premier mariage et, surtout, de sa relation avec son fils John. Mais le malheur s'abat sur Jo lorsque Douglas disparaît tragiquement. Cherchant désespérément à renouer avec John, la jeune femme découvre que ce dernier s'est lancé seul dans une impossible aventure dans le Grand Nord pour réaliser le rêve de Douglas.
Jo va se précipiter à son tour dans une folle course contre la montre pour sauver son beau-fils et la vie d'un tout jeune enfant qui a tant besoin de son frère.
Avec ce roman où l'aventure, le courage et la toute-puissance de l'amour sont intimement mêlés, Elizabeth McGregor est devenue un auteur reconnu en Europe et aux Etats-Unis." L'éditeur
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ELLES ONT FAIT L'AMÉRIQUE, tome 1 de De remarquables oubliés, de Serge BOUCHARD et Marie-Christine LÉVESQUE, 2011, 431 pages
14/08/2016 22:05
BOUCHARD Serge, LÉVESQUE Marie-Christine
ELLES ONT FAIT L'AMÉRIQUE, De remarquables oubliés, tome1, Lux, 2011, 431 pages
Quel livre remarquable! Notre histoire à notre portée. L'histoire de l'Amérique à la Québécoise française car les Québécois étaient omniprésents partout en Amérique.
Dans le tome 1, nous dévouvrons le rôle actif, la présence constante, la force de caractère, l'énergie, la détermination des FEMMES dans nos vies depuis des siècles en Amérique. Nous découvrons des FEMMES dont nous ignorions les noms, les rôles et l'importance dans l'évolution de notre histoire à l'Américaine.
Un livre de chevet. Une histoire qu'est la nôtre en AMÉRIQUE.Un grand livre et un historien hors pair à découvrir.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
"Dans les versions officielles, en, anglais comme en français, on nous a souvent menti en nous présentant préfabriqués. Rien sur les Amérindiens et sur leur rôle dans la construction de l'Amérique comme nous la connaisssons."
"Terre-Neuve. Les BÉOTHUKS. Autrefois, on autorisait les Blancs à les abattre, maintenant le gouvernement de Terre-Neuve octroie des primes pour la capture de Béothuks vivants." Peuple autochtone maintenant disparu.
Mina Benson Hubbard. Oui, MINA est vraiment une femme exceptionnelle. Exploratrice, riche, de caractère ferme, mariée à un riche anglais. Elle a un caractère exceptionnel.
Esther Wheelright.1703, sept ans, enlevée par des Abénaquis et des Canadiens.
Les sauvages sont passés...les Indiens nous rapportaient les enfants des femmes indiennes enceintes des Blancs.
Pawnees, nation améridienne, dans le commerce des enfants panis vendus comme esclaves par les Blancs vainqueurs.
Oui, il y avait des esclaves en Nouvelle-France, et en particulier des Amérindiens.
Puis vers 1680, les IROQUOIS se mirent à en faire le commerce avec les FRANÇAIS...les personnes devinrent objets d'échange. En 1709, sous l'intendant JACQUES RAUDOT, l'esclavage devient légal en Nouvelle-France.
Émilie FORTIN-TREMBLAY. Prospecteur d'or. Alaska, Yukon, rivière Foryy Mile, canyon, Miler Creek. Quatre mois de voyagement, Seatle, train, bateau, à pied, en traîneau, en chaloupe, en tout cinq mille de milles. Elle devient ÉMILIE-TREMBLAY-LAGROIS.
Pour en savoir davantage;
"Les femmes sont absentes de l’histoire officielle de l’Amérique – ne le dit-on pas assez ? Les Amérindiennes certainement, mais aussi toutes les autres, sans distinction culturelle : Inuites, Canadiennes, Anglaises, Noires, Françaises et Métisses. Plusieurs d’entre elles sont des êtres d’exception dont le contact avec ce vaste continent a révélé l’intelligence et le caractère. Elles ont fait l’Amérique rétablit la mémoire de quinze de ces «â€ˆremarquables oubliées », héroïnes aux exploits invisibles, résistantes, pionnières, aventurières, diplomates, scientifiques, exploratrices ou artistes…
Ce livre s’inspire du matériau et de la philosophie de la série radiophonique De remarquables oubliés, produite et diffusée par la Première Chaîne de Radio-Canada. La version littéraire donne une nouvelle vie à l’ambition des deux auteurs : regarder l’envers de l’histoire pour éclairer le visage des gens ordinaires, qui souvent en sont les véritables acteurs."
http://www.luxediteur.com/catalogue/elles-ont-fait-lamerique/
LaPresse16 juin 2011
Ce sont 15 femmes aux destins hors de l'ordinaire qui nous sont présentées dans ce premier tome. On lit ces récits comme des contes. «On pourrait faire des films à grand déploiement avec l'histoire d'au moins cinq de ces femmes, s'emporte Serge Bouchard. Je verrais bien Bruce Willis accompagner Mina Hubbard dans ses explorations au Labrador», poursuit-il, amusé.
Confrontée à des responsabilités masculines, la femme devient vite hystérique. Toutes ses tares et limites lui viennent de son bas-ventre, région mystérieuse qui est la source de tous les dérèglements. Développer un cerveau féminin entraîne l’atrophie de l’utérus. Entre la tête et le ventre, il faut choisir, et le choix s’impose: la femme est d’abord une génitrice et une épouse; elle n’a pas de compte à la banque, elle ne signe pas de chèques, elle n’est pas propriétaire. C’est une créature soumise au bon vouloir de l’homme.
Écrire sous un pseudonyme permettait à Robertine d’émettre ses idées, de bafouer les conventions avec un peu plus de liberté. Cela lui permettait surtout d’être journaliste, une profession déshonorante s’il en était, même pour un homme – imaginez une femme journaliste, une bourgeoise en plus! Ce déshonneur aurait éclaboussé toute sa famille.
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NÉMÉSIS, roman de Philip ROTH, 2010, 265 pages
17/08/2016 21:35
PHILIP ROTH
Némésis, 2010, 265 pages
trad. Marie-Claire Pasquier : Némésis, 2010
Un roman touchant et réaliste qui nous fait connaître et comprendre les conséquences intrinsèques d'une maladie grave comme la POLIO;maladie qui cause la mort mais également détruit l'avenir et les projets d'une vie des enfants et adultes atteints.
Philip ROTH décrit avec talent, avec tendresse mais aussi un cruel réalisme , nos réactions face aux tragédies, le jeu des circonstances sur nos vies sur lesquelles parfois nous avons peu de pouvoir comme sur les maladies graves comme la POLIO et bien d'autres plus actuelles.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
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"Et ALAIN a donné plus de joie aux autres que la plupart des gens au cours de toute une vie. La vie d'ALAIN est terminée...mort de la POLIO à douze ans."
"C'étaient les chiffres terrifiants qui retraçaient les progrès d'une maladie horrible, la POLIO...correspondaient au nombre de morts, de blessés et de disparus dans la vraie guerre...une guerre déclarée contre les enfants de Newark."
BUCKY."..un tapage qui lui rappelait à quel point il aimait les enfants et la raison pour laquelle il adorait son travail."
"...il avait appris à être un homme habile par un sens aigu de ses responsabilités, prêt à défendre ce qui était juste."
"Il ne pouvait pas alller retrouver une tragédie dont il était impuissant à changer les conditions."
MARCIA."Tu crois que c'est ton corps qui est déformé, mais ce qui vraiment déformé, c'est ton esprit."
"DIEU, le grand criminel! Seul un démon pouvait inventer la POLIO.
Seul un démon pouvait inventer une Seconde Guerre Mondiale.
"Ne vous battez pas contre vous-même."
Pour en savoir davantage:
Résumé :
"C'est le long et chaud été de 1944 dans le quartier Weequahic de Newark. La plupart des jeunes hommes du pays sont engagés à l'étranger, mais Bucky Cantor, un muscle-bound, instructeur de 23 ans PE, est coincé à la maison à cause de ses yeux louches. Au lieu d'aider son pays dans la lutte contre Hitler, son travail pour l'été est de superviser le bien-être d'un groupe d'enfants, en tant que directeur de l'un des terrains de jeux de la ville. C'est à peine le rôle glorieux qu'il voulait pour lui-même, mais Bucky, qui a un sens profond de l'honneur, se rapproche de ses fonctions - du moins au début - avec un dévouement inlassable."
"Pendant que la jeunesse se bat dans le Pacifique ou en Europe, comme si le malheur n'y suffisait pas, une terrible épidémie de poliomyélite frappe, en cet été 44 la petite ville de Newark. C'est là que vit Bucky Cantor jeune professeur de sport à qui la vie semble sourire, les gosses l'adorent et la belle Marcia lui est promise. Mais Bucky se reproche d'être au pays pendant que ces amis se battent pour la liberté. Alors quand la maladie attaque les jeunes dont il s'occupe, Cantor se torture les méninges. Est-il responsable de ce malheur ? Pourquoi Dieu ou les Dieux s'en prennent à des innocents ? A t'il le droit d'être heureux alors que l'épidémie se répand à une vitesse galopante et cause désolation et peur légitime ? Comment passer à côté d'un destin qui semble tout tracé ? La vengeance de Némésisest impitoyable.
Roth s'interroge sur la destinée, la culpabilité, sur nos croyances. Il ne porte pas de jugement, n'apporte pas de pistes, il relate juste l'histoire d'un homme trop sensible, qui refuse l'inacceptable, qui s'accable de tous les maux. Qui préfère se couper des autres, se plonger dans la solitude pour payer sa part de malheur.
Comme à l'accoutumé chez Roth, le brio de la narration fait merveille. Il nous interroge sur nos questionnements de mortel sans la moindre baisse de rythme. Une nouvelle fois, un grand bouquin.
A quand le Nobel de littérature pour ce géant ?" www.babelio.com
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LA RONDE DES MENSONGES, roman d' Elizabeth GEORGE, 2012, 656 pages
23/08/2016 22:43
GEORGE Elizabeth
LA RONDE DES MENSONGES, Presses de la Cité, 2012, 656 pages
Un roman dont le sujet principal est une histoire qui tourne autour d'une famille abracadabrante.
Avant de connaître et trouver la vérité, il faut dans ce roman se farcir, se taper la RONDE DES MENSONGES d'une famille disloquée et de la plupart de ses protagonistes selon le rôle de chacun et de leurs liens familiaux fragiles. La mère et le père mènent une vie de château de riches mais ...
Une écriture inlassable, agile et une auteure à découvrir dans le genre enquête policière approfondie dans un monde à la Charles Dickens.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
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"Je suis entourée de menteurs et de forbans."
ZED BENJAMIN, ZEDEKIAH. Journal THE SOURCE.
"Tout le monde a quelque chose à cacher . Tout le monde répond à vos questions par des mensonges."
"IAN.KAVEH et lui vivaient ensemble depuis plus d'un an maintenant, l'heure était venue de leur dire la vérité à propos de ce qu'ils étaient l'un pour l'autre."
Oncle de IAN. BERNARD FAIRCLOUGH."Je t'accepte tel que tu es, tu dois par conséquent m'accepter tel que je suis; car la vie est une suite de compromis."
"Après un certain âge, oui. Le passé est un bagage lourd à porter."
NIAMH. ex femme de IAN CRESSWELL.Mère de TIM et GRACIE.
NICHOLAS. ALATEA."... parce que loin d'être un idiot, il savait à quel point leur couple était incompatible, du moins aux yeux d'un monde qui jugeait d'après les apparences."
"Il y a toujours plusieurs points de vue sur chaque chose."
"Parce que les gens croient ce qu'ils veulent et qui les arrange."
NICKY.ALATEA. "Cette RONDE DES MENSONGES ...et nous sommes au milieu, toi et moi, ma mère, mon père, mes soeurs sûrement."
"Choisir les bons mots-clés et suivre le fil conducteur."
MIGNON.VALÉRIE,sa mère."Des gens comme toi pourraient justifier qu'on tue ses enfants à la naissance."
Pour en savoir davantage:
"Ian Cresswell, neveu et héritier du richissime Lord Bernard Fairclough, est retrouvé mort noyé. Envoyé en Cumbria, la région des lacs qui inspira tant d'artistes et écrivains, pour enquêter en toute discrétion sur cette tragédie, l'inspecteur Lynley va devoir se frotter aux « bonnes mœurs » de la haute société anglaise.
Un fils drogué repenti et sa sulfureuse femme, des sœurs jumelles instables... Avec son flair légendaire, Lynley pourrait bien mettre au jour quelques secrets de famille.
Mais l'inspecteur lui-même risque de faire les frais de ces révélations…"
"C'est un gros roman (660 pages), qui déconcerte un peu : longtemps, on se demande ce qui se cache derrière cette intrigue assez modeste. Un homme est mort noyé en glissant sur la dalle mal scellée d'un débarcadère privé sur le Lac Windermere. La Police locale et le Coroner ont conclu à un accident.
Mais il est le neveu et collaborateur du patron d'une boîte industrielle : Sir Bernard, récemment anobli, a des doutes et obtient de ses relations londoniennes qu'un inspecteur de Scotland Yard vienne enquêter discrètement .
Noblesse oblige, le héros récurrent d'Elizabeth George, l'improbable Inspecteur-Comte Lynley sera dépêché sur place, c'est à dire dans le district de Cumbria, superbe contrée du Nord de l'Angleterre, prise entre marées géantes et montagnes primaires.
Notre homme et ses assistants, que l'on croyait pourtant habiles, vont faire beaucoup de dégâts dans une famille névrosée, ou chacun a quelque pauvre secret à cacher.
L'auteur saisit cette occasion pour traiter des plaies de l'Angleterre et de l'Europe moderne : la presse à sensation, ici représentée par un journaliste désopilant de naïveté, l'influence de l'argent, la violation de la vie privée, la démobilisation de la Police, et, bien pire, la maltraitance des enfants, dans la veine de Charles Dickens.
La dramatique fin du roman signe le grand art de l'auteure : imagination, suspense, bouleversements vous font oublier la relative langueur du début. Nul ne doute du succès de ce livre"
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L'ENFANT QUI SAVAIT PARLER LA LANGUE DES CHIENS, roman de Joanna GRUDA, 2013, 252 pages
26/08/2016 15:54
GRUDA Joanna
L'ENFANT QUI SAVAIT PARLER LA LANGUE DES CHIENS, roman, Boréal, 2013, 252 pages
Un roman qui relate l'histoire d'un enfant Polonais qui a reçu une éducation avec les règles du communisme dans une colonie, la numéro 5, qui est une coopérative d'habitation créée par une Association de gauche. Il naît à Varsovie, en Pologne au début de la deuxième guerre mondiale.
Dès l'âge de deux ans , JULIAN GRUDA change de milieu, de famille, de nom. De deux ans à quinze ans JULIAN change de nom cinq fois pour des raisons de sécurité politique. Ses parents sont des communistes engagés.Chaque fois, changement de village,changement d'école, d'amis, de nom, de papiers sous la supervision de sa mère Helena, appelée LENA.
JULIAN va même séjourner en FRANCE assez longtemps pour faire des études, apprendre et bien parler le français.
Un roman qui nous fait connaître la réalité de la vie d'un enfant polonais dans le temps de la guerre dans les années 1939-1945.
Un roman à base historique, un vrai personnage qui a fini sa vie à Sainte-Angèle-de-Laval, tout près de Trois-Rivières, Québec, Canada. Il a travaillé trente ans comme professeur de biochimie à l'université.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
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"Les parents ne sont pas toujours faciles à comprendre, ils ont leur logique bien à eux pour départager le bien et le mal."
"Le gène communiste est très fort dans la famille."
Le premier père est MICHAL GRUDA, appelé après EMIL DEMKE, sa mère HELENA RAPPOPORT. Ses deuxièmes parents s'appellent FRUZIA et HUGO....ainsi de suite.
" ... les autres enfants ont conclu que je connaissais la langue des chiens."
"Il n'y a rien à dire,la colonie de vacances, ça me plaît."
"Mais pour ce qui est du maréchal PÉTAIN,c'est au mieux, un collabo opportuniste et, au pire, un vieillard facho et antisémite qui a précipité la chute de la France pour obtenir le pouvoir"
"Le 8 mai 1945, l'Allemagne signe sa reddition."
Pour en savoir davantage:
Résumé :
"Il y a des vies qui sont si étonnantes qu’on n’aurait pu les inventer. C’est le cas de celle de Julian Gruda, alias Jules Kryda, alias Roger Binet. Comment, à quatorze ans, un garçon peut-il déjà avoir emprunté autant d’identités? Avoir vécu avec autant de familles différentes sans se faire démasquer? Avoir servi d’agent secret de la Résistance? Comment peut-il avoir grandi à l’orphelinat même s’il a deux mères, au moins? Et surtout, où a-t-il appris à parler la langue des chiens, ce qui fait tant l’admiration de ses camarades?
En nous racontant sous forme romanesque l’histoire véridique de son père, Joanna Gruda dépeint une enfance hors du commun, qui commence à Varsovie à l’orée de la guerre et qui s’achève dans Paris libéré. À travers les yeux de Julek, ce sont les heures les plus sombres du siècle dernier qu’on voit défiler, mais rendues avec une vérité et une vivacité hors du commun. C’est la guerre – inhumaine, trop humaine –, comme si nous y étions.
La nécessité, pour les Juifs d’Europe, de fuir et de se cacher, les délices de l’école buissonnière, l’occupation allemande, les amourettes heureuses ou malheureuses, les bombardements qui ont accompagné l’offensive alliée, la joie de retrouver les êtres aimés qu’on croyait perdus, l’abîme dans les yeux de ceux qui sont revenus des camps, tout cela est raconté sans la moindre sentimentalité, rendant plus palpable encore le tragique qui imprègne ces années sombres.
Mais ce récit captivant est d’abord l’histoire d’un enfant qui garde sa capacité d’étonnement devant les tours et les détours du destin. Animé d’un espoir inextinguible, il nous donne une extraordinaire leçon de survie." L'éditeur
"La réalité de la guerre (la 2e Guerre mondiale) sur la vie d'un jeune garçon polonais (le père de l'auteure) obligé, par l'action militante de ses parents dans le parti communiste, de s'exiler en France et par la suite de subir de nombreux déménagements dans des familles d'accueil tout au long du conflit. Je recommanderais ce récit à une clientèle jeunesse : l'écriture est simple, vive et les chapitres courts contribuent à une lecture facilement abordable.
Excellent récit d'un Polonais qui a survécu à la 2e guerre mondiale. Ce qu'on retient c'est le courage et la résilience de cet enfant, ballotté d'une famille à une autre mais qui s'adapte sans difficulté. Je me demande si la situation se répéterait aujourd'hui combien d'enfants seraient capables de survivre!!!
Le ton est frais, le discours simple mais jamais simpliste et le tout sonne juste. On sourit, on dévore les chapitres comme autant d'aventures rocambolesques et on se surprend à vouloir rencontrer Julek-Julian-Jules-Roger, qui s'appelle en fait Ludwik,_ toute une histoire et quelle histoire !
L'écriture pudique de Joanna Gruda rend un vibrant hommage à son père et le fait accéder ainsi à la postérité. Un beau cadeau à faire et à se faire !" www.babelio.com
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