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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES
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ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

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  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TÉMISCOUATA, QUÉBEC
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    LE SAINT PATRON DES BACKPACKERS, roman de Dominique STRÉVEZ LA SALLE, Québec, 2015, 166 pages

    21/05/2016 15:16

    LE SAINT PATRON DES BACKPACKERS, roman de Dominique STRÉVEZ LA SALLE, Québec, 2015, 166 pages


    STRÉVEZ LA SALLE Dominique

     LE SAINT PATRON DES BACKPACKERS, XYZ, 2015, 166 pages.

     Un roman mais surtout un récit de voyage d'un jeune homme Québécois de dix-neuf ans en Europe de l'Est: Bratislava, Slovaquie. Budapest. Un jeune homme qui recherche l'amour ou plutôt qui aimerait avoir une première expérience sexuelle avec une belle femme de son goût. Il fait la connaissance d'un jeune homme lui aussi Québécois mais grand et du genre tombeur de femmes avec une gueule à la Marlon Brando, quelque peu arriviste et profiteur.

    Un roman intime, une expérience de vie d'hommes à femmes à la recherche de conquête féminine hors Québec avec un sac à dos comme unique ménagerie.   

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

     

    NIL.JÉRÔME." NIL était assez perspicace pour se douter que je regrettais en silence ma position délicate de contrevenant aux lois de l'Union européenne et du monde entier.  

    "J'ébranlais sa fierté d'homme dont la valeur cardinale était de ne rien devoir à personne, je l'avais vu dans toute sa faiblesse: il me devait la liberté."

    "Il me  restait à  apprendre combien la séduction d'une femme nécessite qu'on suspende momentanément tout orgueil personnel."

    "Parler avec mon coeur, mais penser avec ma graine."

    "Entraîne ton outil. Le reste va suivre."   

    "...les filles le sentent tout de suite que tu cherches l'âme soeur. C'est beaucoup  trop lourd. Tu leur fais peur. Au début, les filles veulent s'amuser. Faut pas brûler les étapes. Arrête de faire la diva, cibole!"

    "Toi, tu vois juste l'absolu."

    "Tout est à tout le monde."

    "Mais si je partais, il faudrait qu'il s'arrange sans sa vache à lait!"  

     

    Pour en savoir davantage:

     

    " Le saint patron des backpackers, premier roman de Dominique Strévez La Salle, se fond avec le récit de Jérôme Baril, un jeune roux romantique de 19 ans qui a quitté la maison familiale de Saint-Silence-sur-la-Lièvre, dans l’Outaouais, pour s’offrir une année « sabbatique » en Europe après son cégep. Avec son sac à dos et un cahier Canada rempli de poèmes. Et investi d’une « mission fondamentale » : perdre sa virginité.

     

    « À dix-neuf ans, les lois du sexe me semblaient aussi mystérieuses que le boson de Higgs. Ma fascination pour les femmes était vouée à une déception perpétuelle, frustrante, d’autant plus que le sexe semblait aller de soi pour tout le monde. Tout le monde fourrait. »

     

    De Munich à Budapest, en passant par Bratislava et le nord de la France, ce court roman d’apprentissage et de fascination se résume à quelques mois de découvertes et de galère voyageuse, dont l’apothéose, dans une auberge de jeunesse de Bratislava, sera sa rencontre avec Nil, un autre Québécois. Plus vieux de quelques années, cet ancien étudiant en philosophie, anarchiste et activiste de l’ombre, « vénère le rire et le sexe comme les plus grands biens de la Terre ». Avec sa voix d’une autre époque,« comme un vinyle de Plume Latraverse, la gravelle des chemins de rang pognée dans la gorge », il roule sa bosse en Europe depuis déjà quelques années.

     

    Aux yeux de son cadet, avec son charisme et sa grâce naturelle, Nil n’est rien moins qu’un dieu, l’incarnation même de la route, de la liberté, d’un infini pouvoir de séduction. Un professeur de désir doublé d’un road bum, avec qui se succèdent les magouilles, les beuveries à coups de grosses Pilsner Urquell et les petites trahisons.

     

    Ni femme, ni dieu, ni maître

     

    Mais toujours pas de femme pour Jérôme, jamais bien loin pourtant de ces beautés slaves qui lui font tourner la tête, lui qui semble jouer toute son existence à chacune de ses manoeuvres d’approche. « Je me vautrais dans mon drame personnel, j’écrivais dans ma tête des poèmes qui me faisaient saigner par en dedans, mais rien n’était plus fort que la croix de Gaspé plantée dans mon jeans. »

     

    http://www.ledevoir.com/culture/livres/449244/critique-la-lecon-de-cynisme-du-professeur-de-desir






    TROIS JOURS ET UNE VIE, roman de Pierre LEMAITRE, 2016, 278 pages, Goncourt 2013

    22/05/2016 21:34

    TROIS JOURS ET UNE VIE, roman de Pierre LEMAITRE, 2016, 278 pages, Goncourt 2013


    Pierre LEMAITRE

    TROIS JOURS ET UNE VIE, roman, Albin Michel, 2016, 278 pages,

    Goncourt 2013

    Un roman de haut niveau, un auteur de talent, une écriture éloquente, un roman HALETANT,  tourneur de pages. Un roman à trois niveaux d'intrigue.

    ANTOINE dès  l'âge de douze ans doit faire face à des événements subits, brusques  dont il perd facilement le contrôle. Ce sont les événements, la peur, l'incertitude  qui contrôlent sa vie, il en est la victime.Il doute de tout, de tous et de lui-même. La peur, la honte gèrent sa vie.

    Un grand roman, un grand auteur à coudoyer.

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com    

    Pour en savoir davantage:

    "  À la fin de décembre 1999, une surprenante série d’événements tragiques s’abattit sur Beauval, au premier rang desquels, bien sûr, la disparition du petit Rémi Desmedt.
    Dans cette région couverte de forêts, soumise à des rythmes lents, la disparition soudaine de cet enfant provoqua la stupeur et fut même considérée, par bien des habitants, comme le signe annonciateur des catastrophes à venir.
    Pour Antoine, qui fut au centre de ce drame, tout commença par la mort du chien… » Pierre Lemaitre

     

    "Décembre 1999, Beauval, au coeur d'une région couverte de forêts. Un village plutôt paisible, dirigé par monsieur Weiser, maire et propriétaire de l'usine de jouets en bois, aujourd'hui menacée. Antoine, 12 ans, vit avec sa maman, un peu rigide, ses parents ayant divorcé il y a quelques années. Son père installé en Allemagne, le jeune garçon ne le voit presque plus. Il se sent un peu isolé des autres enfants de son âge. Un sentiment qui s'accroît le jour où ceux-ci ne portent guère plus d'intérêt à la cabane qu'ils construisaient ensemble dans le bois de Saint Eustache mais plutôt à la PlayStation de Kévin. Ulysse, le chien de monsieur Desmedt, le voisin, occupe dorénavant une place centrale.

     C'est avec lui dans les pattes qu'Antoine s'attelle à la construction d'une nouvelle cabane, cette fois haut perchée. Mais, Ulysse se fait renverser par une voiture, monsieur le refroidit d'un coup de fusil et fourre le corps du chien dans un sac plastique. Antoine, qui a tout vu, est sous le choc et se réfugie dans les bois où il détruit sa cabane.

    Lorsque Rémi, le fils Desmedt, 6 ans, s'approche de lui, le jeune garçon, fou de rage et déprimé, fait passer sa colère sur lui. Un mauvais coup sur la tête et Antoine ne peut se rendre qu'à cette évidence: il vient de le tuer. À coups d'efforts, il cache le corps dans une grande fente noire, sous le tronc massif d'un hêtre. de retour chez lui, il attend, tremblant de peur, qu'on vienne le chercher... 
    Comment vivre avec un tel poids? Celui d'avoir tué, par accès de colère, un petit garçon, alors qu'on est soi même à l'orée de l'adolescence. Comment regarder en face la terrible réalité? Pierre Lemaître nous plonge en plein coeur de ce drame et l'on suit Antoine à 3 époques de sa vie: en 1999, 2011 et 2015. L'on ressent ses émotions, l'on devine son désarroi et ses peurs.

    L'auteur traite de sujets très intéressants à savoir la culpabilité, la notion de justice ou encore la conséquence de nos actes. Ce roman haletant de bout en bout, qui plus est dans une ambiance de village plutôt pesante et tendue, dépeint avec subtilité ce drame humain, drame d'autant plus tragique que la mort était involontaire. Des personnages fouillés, parfois complexes ou cyniques, une fin inattendue, une écriture enlevée et précise... Un roman noir abouti et passionnant..."
     http://www.babelio.com/livres/Lemaitre-Trois-jours-et-une-vie






    POUR L'AMOUR DE DIMITRI, roman de Didier LECLAIR, 2015, 218 pages, Québec

    24/05/2016 17:03

    POUR L'AMOUR DE DIMITRI, roman de Didier LECLAIR, 2015, 218 pages, Québec


    LECLAIR Didier

     POUR L'AMOUR DE  DIMITRI, roman, Indociles, 2015, 218 pages, Québec

     Un roman touchant qui affecte  trois générations d'hommes. La rancune d'un fils buté contre son père alcoolique après la mort accidentelle de sa mère.Un roman mais également une histoire vraisemblable où il arrive dans la vie des moments de bonheur mais également  des moments de difficultés accidentelles parfois incontournables.

    Un roman remarquable et un auteur de talent à découvrir pour sa qualité d'écriture.  

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

     

    "Le bonheur vient de soi."

    "La gloire, c'est toujours un miroir collé dans votre dos qui agrandit votre reflet. Seuls les autres ont toujours ce privilège de vous imaginer plus grand que nature."

    "Cet Hindou t'a enlevé le goût de boire et il a rouvert le robinet à paroles.Je ne sais pas ce qui est pire."

    "L'année suivante, la situation empira et je mêlai l'alcool à ma détresse."

    "Mon rôle de mari fut un fiasco, celui de père un échec."

    "Le fond d'un adulte n'est pas forcément mauvais ; il est fait de lueurs claires et obscures."

    "Quelquefois, la fuite est la  seule opteion quand on est mal dans sa peau."

    "Mon petit-fils m'aime; mon fils me déteste."

    "Tout le monde a son jardin secret."

     

    Pour en savoir davantage:

                                              "Ayant touché le fond du baril, Adrian s’est longtemps battu pour remonter à la surface. Son fils Rodney refuse toutefois de lui adresser la parole et ne veut d’aucune façon se réconcilier. En effet, il lui en veut pour le décès de sa mère, même si Adrian jure qu’il n’y est pour rien.

    Heureusement qu’Adrian a Sarah, sa belle-fille, Max, son ami revenu du bout du monde, Henry, son patron grincheux, Lucy, son amoureuse et, surtout, Dimitri, son petit-fils adoré. Malheureusement, Rodney, séparé de la mère de Dimitri, Sarah, ne veut plus que son père voit son fils, en raison de l’influence qu’il exerce sur lui."

    Né à Montréal,  Didier Leclair a vécu son enfance en Afrique et habite aujourd’hui à Toronto. Lauréat du Prix Trillium avec son roman, Toronto, je t’aime, il a été finaliste du Prix du Gouverneur général pour Ce pays qui est le mien.  

    Indociles, http://editionsdavid.com/2015/09/lamour-dimitri-didier-leclair/

     

    "Didier Leclair a récemment publié un roman sur les relations père-fils et l’action se déroule entièrement à Toronto. Dans Pour l’amour de Dimitri, il nous fait découvrir comment «l’adulte, par définition, est un être qui trahit». Ces trahisons sont le plus souvent involontaires.

    Le personnage principal et narrateur est Adrian Kavanagh, un employé dans une quincaillerie de la rue Eglinton. Grand-père de Dimitri, 3 ans, Adrian a une relation extrêmement tendue avec son propre fils et père du petit garçon, Rodney. «Mon petit-fils m’aime; mon fils me déteste. Je donnerais tout à ce moment précis pour prendre la place de ma défunte femme.»

    Adrian a eu des problèmes d’alcool, mais semble avoir tourné la page sur la dive bouteille. De ses années d’ivrognerie solitaire, il n’a gardé qu’un seul ami avec qui il partageait un verre, Henry. Ce dernier, qui a une «tête de moine tibétain», l’a engagé comme comptable à sa quincaillerie et l’a guidé dans sa désintoxication.

    Un des personnages les plus colorés du roman est un ancien confrère de classe d’Adrian lorsqu’il étudiant à l’Université de Toronto. Max Landry est un homosexuel qui s’est longtemps travesti et qui a beaucoup voyagé au bras de jeunes hommes élégants/élégantes. Didier Leclair décrit en long et en large certains de ces voyages, notamment en Transylvanie (Roumanie) et à Prague.

    À travers l’amitié qu’Adrian nourrit pour Henry et Max, nous en venons à découvrir que son «rôle de mari fut un fiasco, celui de père, un échec». Didier Leclair met en scène ses personnages pour nous faire découvrir que, une fois la colère finie, il nous arrive souvent de trouver l’amour. Son roman est une fine analyse de la condition humaine.

    Tel que mentionné plus tôt, l’action du roman se passe en grande partie à Toronto. Outre la quincaillerie de la rue Eglinton, il y a un bar de la rue Queen, le quartier des Beaches, un restaurant éthiopien près de la station de métro Ossington, l’hôtel The Drake sur Queen Ouest, le terrain de jeu à High Park et le Bloor West Village, pour ne nommer que quelques-uns des lieux fréquentés par les personnages.

    Il n’y a pas que les relations père-fils au cœur de ce roman. Le vécu d’un couple séparé, celui d’un veuf qui découvre une nouvelle flamme, celui de deux anciens alcooliques devenus meilleurs amis ou celui de deux travestis gais servent à illustrer «l’urgence de deux âmes inflammables, risquant la combustion spontanée par excès d’affection».






    ANNA ET LE BOTANISTE, roman de Elizabeth McGREGOR, 2006, 354 pages

    29/05/2016 19:32

    ANNA ET LE BOTANISTE, roman  de Elizabeth McGREGOR, 2006, 354 pages


    McGREGOR  ELIZABETH

     ANNA ET LE BOTANISTE, JC Lattès, 2006, 354 pages

     Un roman agréable, sensible où deux principaux éléments sont en scène, les humains et la botanique. Nous sommes  témoins de recherches botaniques élaborées de la part d'un personnage de valeur dans la personne de DAVID MORTIMER. Nous découvrons une artiste peintre de valeur dans le personnage de ANNA RUSSEL qui vit de l'art, pour l'art, par l'art. ANNA, suite à un accident d'auto,tombe dans le coma.

    Un roman d'une qualité d'écriture éloquente, des personnages attachants, une auteure de talent remarquable , à découvrir. Un livre bouleversant.

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

    www.livresentete.vip-blog.com

     

    "On peut aller loin avec un mensonge. C'est un fait. Persuade-t-en."

    "La vie est une espèce de plaisanterie. Si on ne la considère pas ainsi, on est perdu."

    ANNA."Grâce à elle, il était enfin vivant, un homme entre les hommes."

    SARA, soeur de DAVID." Son père: impossible d'avoir une conversation avec lui. C'était comme assister à une expérience scientifique, une méthode, des variables, un résultat."

    RACHEL. Une enfant avec le syndrome ASPERGER."Les malades Asperger sont plus proches de nous qu'il y paraît."

    GARRET et Rachel." Il veut l'isoler, en faire une plante de serre ou une bête de foire."

    GRACE. La grand-mère. "RACHEL était une observatrice de l'humanité."

    "Tourner, gigoter ou se frapper permet aux autistes de se concentrer sur une vibration ou une douleur particulière et d’éliminer temporairement la surcharge sensorielle."

     

    Pour en savoir davantage: résumé

                                              " Dix ans ont passé depuis que David Mortimer et Anna Russell se sont vus pour la dernière fois. C'est Anna qui a brusquement mis un terme à leur histoire d'amour en disparaissant presque du jour au lendemain et sans explication. Depuis cette rupture douloureuse, David vit dans une quasi-claustration, hanté par le souvenir de la femme aimée. Il s'est jeté à corps perdu dans ses travaux scientifiques et dans l'écriture d'un livre sur le botaniste Ernest Wilson et ses exploits en Chine. 

    Il reçoit un jour un appel de la mère d'Anna : Anna a eu un terrible accident de voiture, elle est dans le coma, laissant seule une petite fille autiste de dix ans, Rachel. David est son père. Elle a besoin de lui." 

    L'éditeur

     






    LA FEMME QUI FUIT, roman de Anaïs BARBEAU-LAVALETTE, 2015, 376 pages

    31/05/2016 15:51

    LA FEMME QUI FUIT, roman de Anaïs BARBEAU-LAVALETTE, 2015, 376 pages


    ANAÏS BARBEAU-LAVALETTE

     LA FEMME QUI FUIT, roman, Éditions Marchand de Feuilles, 2015, 376 pages, Québec

     La vie de SUZANNE MELOCHE, femme  de MARCEL BARBEAU,une biographie qui a les allures, la démarche d'un grand roman tant sa vie est intense et survoltée.

    Une vie qui se lit d'un trait tant nous sommes assoiffés , avides de connaître les péripéties de la vie de cette femme unique ayant la force d'un volcan en éruption continue.Une vraie vie et non une fiction.

    Une vie éclatée, incohérente. Une vie bouleversante de rescapée.

    Une vie comme un tableau tragique et fabuleux. Toute sa vie, elle a vécu sa différence. Ce sentiment de non-appartenance, elle le porte depuis l'enfance.

    Une vie de liberté, une vie volcanique chaude comme l'enfer.

    Une vie tortueuse de solitaire avide d'indépendance, de liberté. Une voie à sens unique. Une vie de risques à prendre pour survivre à soi-même. Rien n'est jamais pareil car tu es différente, toujours prête à continuer. Alors chaque fois tu te relèves comme une morte survivante.

    Une vie de talent, une vie dramatique car elle est différente depuis toujours. Elle se sent libre de choisir sa vie.

    "Tu te sens enfant dans un projet trop grand. Qui t'excite et  qui t'effraie. Une poétesse ontarienne. Le défi te plaît."   

    Un grand livre, une grande vie, une femme exceptionnelle à découvrir par une auteure au talent d'écriture fascinant. Un livre inconditionnel à lire, une auteure à découvrir pour son immense talent comme sa grand-mère maternelle.

    Gilles Lagrois, Auclair,Québec

    www.livresentete.vip-blog.com         

     

    Pour en savoir davantage:

     

    "Anaïs Barbeau-Lavalette n'a pas connu la mère de sa mère. De sa vie, elle ne savait que très peu de choses. Cette femme s'appelait Suzanne. En 1948, elle est aux côtés de Borduas, Gauvreau et Riopelle quand ils signent le Refus Global. Avec Barbeau, elle fonde une famille. Mais très tôt, elle abandonne ses deux enfants. Pour toujours. Afin de remonter le cours de la vie de cette femme à la fois révoltée et révoltante, l'auteur a engagé une détective privée. Les petites et grandes découvertes n'allaient pas tarder.

    Enfance les pieds dans la boue, bataille contre les petits Anglais, éprise d'un directeur de conscience, fugue vers Montréal, frénésie artistique des Automatistes, romances folles en Europe, combats aux sein des mouvements noirs de l'Amérique en colère; elle fut arracheuse de pissenlits en Ontario, postière en Gaspésie, peintre, poète, amoureuse, amante, dévorante… et fantôme.

    La femme qui fuit est l'aventure d'une femme explosive, une femme volcan, une femme funambule, restée en marge de l'histoire, qui traversa librement le siècle et ses tempêtes

    Pour l'auteur, c'est aussi une adresse, directe et sans fard, à celle qui blessa sa mère à jamais."

    L'ÉDITEUR

    Les libraires craquent

    ·        Les libraires conseillent (octobre 2015) par la librairie Les libraires

    « Dans un récit poignant sur la filiation et la transmission générationnelle des blessures de l’âme, Anaïs Barbeau-Lavalette trace le portrait de la grand-mère qu’elle n’a jamais connue : Suzanne Meloche, signataire du Refus global, alors conjointe du peintre Marcel Barbeau, qui abandonna ses enfants en bas âge. D’une manière très personnelle, elle évoque la vie hors du commun de cette femme et de son époque liée d’une manière intrinsèque à notre mémoire collective. Un roman-catharsis écrit avec le talent qu’ont les cinéastes pour les images fortes et la sensibilité d’une femme blessée par la courtepointe psycho-généalogique familiale. Un roman touchant qui se devait d’être écrit. »
    Denis Gamache, librairie Au Carrefour (Saint-Jean-sur-Richelieu)

    ·        Le meilleur de 2015 par la librairie Les libraires

    Un style magnifique, un sujet prenant, une sensibilité certaine. Cette lecture fait partie des grands coups de la rentrée littéraire. L’auteure trace le portrait de sa grand-mère, une figure qu’elle a à peine connue. Suzanne Meloche a côtoyé les signataires du Refus global, a été l’épouse du peintre Marcel Barbeau et a vécu une vie étonnante.
    - Dominique Lemieux, Les libraires

    ·        Les libraires craquent! par la librairie Les libraires

    « Un récit poignant et sensible. Une lecture inoubliable, fulgurante. Un immense coup de cœur. » - Alexandra Mignault, Les libraires






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