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ON NE VOYAIT QUE LE BONHEUR, ****roman de Grégoire DELACOURT, 2014,359 PAGES
22/12/2014 16:35
DELACOURT Grégoire
ON NE VOYAIT QUE LE BONHEUR, roman, JCLattès, 08.2014, 359 pages
Dans ce roman élevé,terrible,on reconnaît la grande qualité d'écriture de l'auteur qui explore l'âme humaine avec un grand art. Nous suivons le personnage principal dans ses moindres émotions et avec elle nous nous posons la question, pourquoi son père l'a-t-il tirée et défiguée pour la vie au lieu d'un son fils ? Un roman intense qui nous bouleverse autant que la victime.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
" On ne voit pas cet amour-là, bref et infini, immense et trragique. On ne voit pas mes larmes d'alors. Mes nuits d'alors sur le canapé. Mes insomnies d'alors. Le mal qui infusait alors. Le fauve qui se réveillait. On ne voyait que le bonheur."
" Les cachets n'avaient eu aucun effet. Mon père avait encore perdu du poids. Son teint gris devenait cireux."
" Gentille. J'ai souri. La gentillesse ne fait pas l'amour. Elle fait le compagnonnage. Une promenade de trente ans tout au plus.Mon père n'avait sans doute aimé personne et, dans tous les malheurs dont il m'avait affublé, il y avait aussi celui-ci: l'incapacité de se laisser aimer.Sa plus grande faiblesse. Notre plus grande faiblesse à tous, désormais."
" ... mais l'amour rend aveugle, et sourd, et seul, et mutile, et on ne le sait qu'après."
" Un jour, je lui ai demandé si elle m'amait et elle m'a répondu à quoi ça sert."
" J'ai eu du dégoôt. Pas seulement dans l'esprit, dans ma chair aussi. Il me semblait que je puais."
" Mais le silence, ça fait comme les balles d'un révolver. Ça ne se tait pas, ça ne s'arrête pas."
Pour en savoir davantage:
" Ce roman surprend par sa maîtrise, sa puissance narrative, son univers froid et désenchanté et une ï¬nesse d’analyse remarquable.
Un assureur de 40 ans, après avoir passé sa vie à estimer le coût de celles des autres, se trouve en face du bilan de la sienne. Grégoire Delacourt livre avec On ne voyait que le bonheur l’analyse très clinique des mensonges et des faux-semblants d’une existence contemporaine commune et des circonstances qui mènent inexorablement à la fêlure, au point de non-retour, à la folie. Miné par ses échecs, professionnels et sentimentaux, le narrateur tire sur sa ï¬lle pour en ï¬nir avec son héritage, sa lâcheté chronique, son existence minable et son lancinant non-sens." http://www.lemauvaiscoton.fr/
" Dans son quatrième roman, On ne voyait que le bonheur, Grégoire Delacourt se pose la question de la valeur d'une existence. Le personnage principal, assureur, va effet se retourner sur son passé à l'approche du décès de son père et découvrir que le bonheur ne se cache pas forcément là où l'on croit. L'écrivain a replongé dans son propre parcours pour imaginer cette histoire, qu'il décrit comme une "odyssée violente qui l'a laissé épuisé et orphelin".http://www.metronews.fr/culture/rentree-litteraire-2014-
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ils marchent le regard fier, de Marc VILLEMAIN, 2013, 88 pages
11/01/2015 18:46
VILLEMAIN Marc
ILS MARCHENT LE REGARD FIER, Les Éditions Du Sonneur, 2013, 88 pages
Un court roman sur les conflits de générations mais surtout sur les droits de chacun. Les vieux réclament le respect dû à leur âge, au rôle qu'ils ont joué dans la société et revendiquent leurs droits civils. Les jeunes veulent prendre la place des vieux, veulent les mettre au rancart. Dans un conflit, il y a immanquablement des victimes, parfois des personnes qui nous sont chères. C'est presque inévitable.
Un bon roman dans une écriture qui nous transporte dans une société genre de banlieue ou petit village rural avec son vocabulaire propre: le bourrichon, pétochard, t'chi, gouzi-gouzi, papouilles.
Un roman qui veut rapprocher les générations qui font valoir leurs droits et ambitions.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
" Ce qui était beau était devant, pas derrière."
" Pas de contact avec les vieux, papi, mami,"
" À la fin de l'envoi, en vérité, ce qu'ils disaient, c'est qu'un vieux c'est la mort, et que la chose ne se montre point à un mioche."
" Moi c'est la terre et les bêtes. Les semailles, les engrais, la taille, l'élevage, le manger, la mise bas. Toute la paysannerie, quoi. La culture."
" Je suis homme d'un monde lent."
" Faut que j'éprouve la terre sous mes souliers."
" La colère fusait de tous côtés."
" ...une autre race d'hommes, une race à venir..."
" Le bonhomme était plus excité qu'une puce."
" ... que nous autres les vieux on coûtait cher, des vrais paniers percés."
" Alors ça vocifère, ça bouscule, ça cogne et ça violente."
" ... rapport qu'il n'y a jamais de vainqueur quand il y a du chagrin et des morts."
" ... comme on se chicane parce qu'on se ressemble trop."
Pour en savoir davantage:
"Et si la colère venait non pas des jeunes, mais des vieux ?
Et si les vieux décidaient un beau jour d’en finir avec un monde qui les marginalise et attend qu’ils s’éteignent en ruminant le passé devant leur poste de télévision ?
Et si les vieux se levaient et entreprenaient tout à coup de chambarder l’ordre du monde ?
Marie et Donatien — lui qu’on appelle « le Débris » —, sont de ces vieux qui vont mener la charge. Deux amants sages, las, pacifiques, n’éprouvant rien de l’antique peur de mourir mais bien désireux de partir la tête haute et de laisser derrière eux un monde pas trop ingrat. Julien, leur fils, a choisi son camp, celui d’une jeunesse en rupture d’histoire, pour entonner la rengaine de l’avenir. Entre eux, le fossé de la révolte.
Le narrateur, ami d’enfance de Donatien, raconte, avec ses mots arrachés à la terre, les minutes de cette improbable insurrection, de cette force tranquille que Donatien aura tenté de ragaillardir jusqu’à l’impensable — et jusqu’au drame.
L’auteur
Marc Villemain est né en 1968. Il est l’auteur de Le Pourceau, le Diable et la Putain (Quidam Éditeur), de Et que morts s’ensuivent (Le Seuil), Grand Prix SGDL de la nouvelle en 2009, de Et je dirai au monde toute la haine qu’il m’inspire (Maren Sell Éditeurs), et de Monsieur Lévy (Plon). Il est également critique littéraire.
http://www.editionsdusonneur.com/livre/ils-marchent-le-regard-fier-de-marc-villemain/
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LE POISON D'AMOUR. roman d'Éric-Emmanuel SCHMITT, 2014, 165 pages
19/01/2015 22:02
SCHMITT Éric-Emmanuel
LE POISON D'AMOUR, roman, Albin Michel, 2014, 165 pages
Roman qui nous relate les relations,les confidences intimes de quatre grandes amies de filles de seize ans qui se sont jurées une amitié véritable, sincère et durable. Le pacte est de tout se dire, de ne rien cacher aux autres filles du groupe tels les quatre Mousquetaires vivant un objectif commun. Pour elles, c'est devenir une femme en trouvant celui qui va leur faire connaître l'amour.
On apprend laquelle est devenue femme la première en faisant l'amour avec un étudiant du Lycée, laquelle devrait être la deuxième selon les confidences de chacune. Nous avons accès au journal intime de chacune, ce qui nous met à jour dans leur évolution de jeune fille, leurs expériences,leur correspondance intime.
On suit chaque jeune fille dans ses projets scolaires et personnels, ses rencontres, ses courriels, surtout ses désirs intimes. Nous sommes témoins de leur amitié, de leur projet amoureux,de leur cachotterie, de leur jeu de poker amoureux entre elles.
Un moment de lecture en douceur, sans frissons, sans prise de conscience mais avec le talent d'écriture de l'auteur qui nous surprendra toujours.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
" Dire "oui" à un garçon, c'est facile. Se dire "oui" à soi-même, ça coûte."
" Je préfère frapper. Je préfère provoquer."
" Oui, il y aura peut-être un jour un garçon débile qui me trouvera potable...Mais me plaira-t-il ce crétin ?
" J'ai le visage bouffi de chagrin et demain je serai plus grosse qu'une vache."
" J'exige que ce soit moi qui décide. Je tiens à dominer, sinon mon partenaire,au moins ma personnalité."
J'ai résisté car, chez moi, l'honneur l'emporte sur la curiosité, il faut que je sois d'accord."
" Une fille de première ne doit pas sortir avec un garçon de terminal, et vice versa...cela signifierait qu'elle trahit, quitte son groupe et perd ses amis."
" Il n'y a qu'avec les garçons que je parviens à me montrer rosse; en face d'une fille, je me mets à sa place."
" Je ne me sens pas une vocation de gibier." " Je n'agirai jamais en briseuse de ménage."
" On ne choisir pas en amour, on est choisi par l'amour."
Pour en savoir davantage:
" Avec ce roman, qui clôt le diptyque sur la passion amoureuse ouvert avec L’Elixir d’amour, Eric-Emmanuel Schmitt poursuit son exploration du sentiment amoureux, un terrain sur lequel je le trouve particulièrement brillant, et s’intéresse à cette période trouble qu’est l’adolescence.
Julia. Anouchka. Colombe. Raphaëlle. Quatre adolescentes de 17 ans, les meilleures amies du monde. Elles viennent d’entrer en première, et c’est à travers leurs journaux intimes que nous allons suivre cette année où elles vont découvrir la passion amoureuse, pour le meilleur et pour le pire.
L’adolescence, quatre jeunes filles qui découvrent l’amour, le thème peut sembler éculé, il est vrai, mais le talent d’Eric-Emmanuel Schmitt est de parvenir à renouveler la réflexion à travers le fil rouge de Roméo et Juliette, à la fois réinterprété et réécrit. Ce qui est en jeu, c’est la folie de l’amour, dans un lycée qui ne s’appelle sans doute pas Marivaux pour rien, mais où les jeux finiront en tragédie. Comme chez Shakespeare, mais pour d’autres raisons. Il est question de perte de repères : le corps qui change et auquel on ne se fait pas, mais aussi cette question épineuse : comment croire à l’amour alors que tous les couples autour se délitent et se séparent ?
Tous, sauf les grands-parents de Raphaëlle, petite lumière dans l’obscurité, mais lumière fragile et douloureuse. Alors, nos adolescentes apprennent : elles apprennent la séduction, le pouvoir qu’elles ont sur les garçons ; elles apprennent aussi la manipulation, la jalousie, la trahison. Dans le secret de leur journal, elles ne s’épargnent pas les unes les autres. Elles deviennent des femmes.
Quoique je l’ai trouvé moins profond dans l’analyse que le précédent, j’ai été émue par bien des pensées sur cette découverte du sentiment amoureux. Néanmoins, j’ai un bémol : je ne sais pas quel est le degré de fréquentation des adolescents par Eric-Emmanuel Schmitt, mais pour les côtoyer au quotidien, j’ai eu un peu de mal à croire au ton et au style de ces journaux : trop bien écrits, trop littéraires, trop lyriques pour être totalement crédibles… mais du coup, c’est plus agréable à lire ! "
www.leschroniquesculturelles.com
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DU DOMAINE DES MURMURES, roman de Carole MARTINEZ, Gallimard, 2011. 200 pages
01/02/2015 15:53
MARTINEZ Carole
DU DOMAINE DES MURMURES, roman, Gallimard, 2011, 200 pages
Un second roman remarquable de Carole MARTINEZ, d'une écriture flamboyante. Le roman d'une époque révolue, celle des seigneurs dominants et d'une Église catholique omniprésente qui dicte ses règles au Régime féodal, à ses rois. ses seigneurs, ses vassaux.
Ce roman est l'histoire d'une jeune fille de quinze ans qui lorsque son père décide de la marier à un seigneur de son choix, refuse et dit "Non" à son mariage avec le seigneur Lothaire. Elle en subira les conséquences immédiates qui seront d'être emmurée dans une cellule de la chapelle qui lui servira de tombe.
Ce roman est celui d'une légende du X11è siècle, entremêlée de fables populaires et religieuses.
Un roman éclatant et une auteure d'une écriture émérite à découvrir.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
" En cet an 1187, Esclarmonde, Damoiselle des MURMURES, prend le party de vivre en recluse à Hautepierre, enfermée jusqu'à sa mort dans la petite cellule scellée aménagée pour elle par son père contre les murs de la Chapelle qu'il a bâtie sur ses terres en l'honneur de sainte Agnès, morte en martyre à treize de n'avoir pas accepté d'autre époux que le Christ."
" Le mariage n'était pas chose légère. Pas de choix, pas même celui de Lothaire en fait, le double consentement exigé par l'Église n'était que celui des familles."
" Je suis l'ombre qui cause.
Je suis celle qui s'est volontairement clôturée pour tenter d'exister.
Je suis la vierge des MURMURES,
À toi qui peux entendre, je veux parler la première, dire mon siècle, dire mes rêves, dire l'espoir des emmurées."
" Je suis Esclarmonde, la sacrifiée, la colombe, la chair offerte à Dieu, sa part."
" Une fois mariée, il deviendrait seigneur à son tour."
" Ma matrice, le projetterait dans l'avenir."
" Comment échapper à cette destinée sinon avec l'aide du Christ?"
"J'aurais tant aimé ne pas déplaire à mon père."/
" Désormais, il haïssait sa fille autant qu'il haïssait DIEU,"
" On nous assomme de règles et de fables pour nous tenir en place, alors que le monde est le même au-delà du grand calvaire. L'horizon ne cache aucun démon."
" Les filles forcées perdaient leur honneur, mieux vaut dissimuler ces outrages.Aux yeux de tous, je resterai pucelle!"
" Seuls les hommes sont assez cruels pour rendre les mères responsables des tares de leurs enfants.Et puis DIEU sait ce qu'il fait."
" N'est pas mauvais qui veut."
" Une mère, un fils.Quelle étrange expérience que d'apprendre à vivre chacun pour soi!"
" J'ai forcé Esclarmonde au matin de sa réclusion et percé les paumes de notre fils avec une masse et un gros clou le jour de sa naissance."
" La douleur est une saison en soi."
Pour en savoir davantage:
" En 1187, le jour de son mariage, devant la noce scandalisée, la jeune Esclarmonde refuse de dire «oui» : elle veut faire respecter son vœu de s'offrir à Dieu, contre la décision de son père, le châtelain régnant sur le domaine des Murmures. La jeune femme est emmurée dans une cellule attenante à la chapelle du château, avec pour seule ouverture sur le monde une fenestrelle pourvue de barreaux. Mais elle ne se doute pas de ce qui est entré avec elle dans sa tombe...
Loin de gagner la solitude à laquelle elle aspirait, Esclarmonde se retrouve au carrefour des vivants et des morts. Depuis son réduit, elle soufflera sa volonté sur le fief de son père et ce souffle l'entraînera jusqu'en Terre sainte.
Carole Martinez donne ici libre cours à la puissance poétique de son imagination et nous fait vivre une expérience à la fois mystique et charnelle, à la lisière du songe. Elle nous emporte dans son univers si singulier, rêveur et cruel, plein d'une sensualité prenante."
http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Folio/Folio/Du-domaine-des-Murmures
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DEMAIN, roman ****de Guillaume MUSSO, 2013, 429 pages
10/05/2015 22:07
MUSSO Guillaume
DEMAIN, roman, XO Éditions, 2013, 429 pages
Un autre roman très réussi du talentueux auteur qu'est Guillaume MUSSO. L'auteur nous entraîne dans une aventure à couper le souffle, dans un monde où lui seul peut nous faire franchir le temps. Rendre possible un temps inaccessible et impossible dans notre logique cartésienne. Il joue avec le temps en utilisant des moyens technologiques qui nous sont désormais familiers.
L'auteur nous force à franchir les portes de notre imagination en nous propulsant dans une aventure fantastique digne de DON QUICHOTTE.
Un roman à déguster et un auteur à acclamer pour son talent et son imagination fructueuse. L'imagination n'a plus de frontières avec Guillaume MUSSO.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
Matthew SHAPIRO est professeur de philosophie à l'Université de HARVARD, U.S.A. EMMA LOVENSTEIN est sommellière de profession, recherchée et brillante.
" Mais davantage que sa belle gueule, c'était surtout son éloquence qui faisait sa séduction."
" LA PHILOSOPHIE EST INUTILE SI ELLE NE CHASSE PAS LA SOUFFRANCE DE L'ESPRIT." ÉPICURE
" Si cette philosophie pragmatique avait contribué à faire de lui une "STAR" elle avait aussi suscité beaucoup de jalousie et d'agacement..."
"Être philosophe impliquait une forme d'athéisme."
" Je ne te parle pas de sentiments. Je te parle de baise. De corps à corps, d'allégresse, de plaisir des sens."
"| Tout concourait à lui faire croire à l'incroyable: grâce à cet ordinateur, il pouvait entrer en contact avec une femme, aujourd'hui décédée, qui recevait ses messages alors qu'elle vivait un an plus tôt."
" Nous avons "TRÉBUCHÉ dans le temps" comme disait EINSTEIN.
Pour en savoir davantage:
Elle est son passé…
… il est son avenir.
"Emma vit à New York. À 32 ans, elle continue de chercher l’homme de sa vie.
Matthew habite à Boston. Il a perdu sa femme dans un terrible accident et élève seul sa fille de quatre ans.
Ils font connaissance grâce à Internet et bientôt, leurs échanges de mails les laissent penser qu’ils ont enfin droit au bonheur. Désireux de se rencontrer, ils se donnent rendez-vous dans un petit restaurant italien de Manhattan.
Le même jour à la même heure, ils poussent chacun à leur tour la porte du restaurant. Ils sont conduits à la même table et pourtant… ils ne se croiseront jamais.
Jeu de mensonges ? Fantasme de l’un ? Manipulation de l’autre ? Victimes d’une réalité qui les dépasse, Matthew et Emma vont rapidement se rendre compte qu’il ne s’agit pas d’un simple rendez-vous manqué…"
Une aventure aussi mystérieuse que bouleversante.
Une intrigue virtuose aux frontières du réel.
Un suspense diabolique, intense et captivant.
http://www.guillaumemusso.com/roman/demain/
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