| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://livresentete.vip-blog.com


ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

ÉCHANGES DE LIVRES EN TÊTE: LE PLAISIR DE PARTAGER MES DÉCOUVERTES LITTÉRAIRES ET DE RECEVOIR LES VÔTRES

VIP-Blog de livresentete
gilles.lagrois1@bell.net

  • 194 articles publiés dans cette catégorie
  • 123 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 05/06/2010 16:07
    Modifié : 09/06/2020 00:33

    Garçon (69 ans)
    Origine : AUCLAIR, TÉMISCOUATA, QUÉBEC
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Juillet  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    30010203040506
    07080910111213
    14151617181920
    21222324252627
    282930010203
    [ ESSAI ] [ Conte, FANTASTIQUE, FÉÉRIE, SCIENCE FICTION ] [ LIVRES AU JOUR LE JOUR # 1 ] [ Roman du genre thriller ] [ RÉCIT ] [ Thriller québécois ] [ Roman québécois ] [ Roman du genre thriller ] [ Roman genre polar ] [ Littérature étrangèr ] [ Roman polar québécoi ] [ MES POÈMES-GIL ]

    Roman histotique---JEAN. M. AUEL---LE PAYS DES GROTTES SACRÉES

    12/07/2011 14:59

    Roman histotique---JEAN. M. AUEL---LE PAYS DES GROTTES SACRÉES


    JEAN M. AUEL


    6) LE PAYS DES GROTTES SACRÉES, tome 6. 31 mars 2011, 678 pages

    Avec Le Pays des grottes sacrées, l'Américaine Jean M. Auel clôt sa saga préhistorique devenue un best-seller mondial. Elle revient sur trente ans d'un véritable conte de fées.
    « Des millions de fans à travers le monde l’attendaient depuis neuf ans ! Ayla, notre ancêtre à tous, est de retour dans le sixième et dernier volet de la formidable saga préhistorique « Les Enfants de la Terre ».
    « La petite orpheline Cro-Magnon recueillie par des Neandertal a fait bien du chemin depuisLe Clan de l’Ours des Cavernes, le premier tome de ses aventures. Elle vient de mettre au monde une petite fille, et a été peu à peu adoptée par les membres de la Neuvième Caverne, le clan de son compagnon Jondalar. A tel point que la Zelandoni, guérisseuse et chef spirituel de la tribu, la choisit pour lui succéder un jour.
    Afin de parvenir à cette fonction, Ayla suit pendant plusieurs mois la grande prêtresse. Son initiation passe notamment par la visite des nombreuses grottes ornées de la région, l’occasion pour elle de découvrir des sites magnifiquement décorés, dont elle apprend à comprendre le sens. Mais cette formation, jalonnée de rites de passage, n’a rien d’une promenade de santé, et la jeune femme devra franchir bien des obstacles avant de devenir Zelandoni. Saura-t-elle trouver un équilibre entre ses obligations de jeune mère et d’épouse et les exigences de son apprentissage «


    « C'est l'épilogue des aventures d'Ayla, jeune cro-magnonne orpheline ayant trouvé refuge auprès d'une tribu de néandertaliens avant de rallier celle de son compagnon Jondalar. Une épopée qui se situe trente-cinq mille ans avant notre ère et fait voyager ce couple antédiluvien de la mer Noire à la Dordogne, de grottes en cavernes. « source :www.lexpress.fr
    "Ce sixième et dernier livre de la saga des "Enfants de la terre", nourri comme les précédents d'une documentation fouillée saluée par les spécialistes, ne décevra pas les fans avides de se plonger à nouveau au coeur de la vie préhistorique." Pèlerin magazine

    "Dans Le pays des grottes sacrées, le sixième et dernier tome, on retrouve [...] la recette qui a fait le succès des précédents livres : des personnages qui nous ressemblent et des descriptions fleuves, nourries de documentations solides." Ouest France
    Si vous voulez en savoir plus sur LES ENFANTS DE LA TERRE, de JEAN M. AUEL
    « A l’occasion de la sortie du sixième volet des Enfants de la Terre, Le Pays des grottes sacrées, Jean-Philippe Rigaud, paléontologue de renom, nous propose un dossier scientifique passionnant. Le Grand Voyage d’Ayla et de Jondalar est jalonné de descriptions historiques, Philippe Rigaud se devait d’y revenir en nous dressant un tableau des connaissances actuelles sur l’archéologie préhistorique. En abordant notamment les conséquences des glaciations, la vie préhistorique au quotidien, de la cuisine, aux arts. Et de répondre à cette question au coeur de la saga : les derniers Néandertaliens ont-ils rencontré les premiers Homo sapiens sapiens ? Philippe Rigaud nous présente également avec cartes et dessins à l’appui les sites préhistoriques traversés par les personnages, ainsi qu’un foisonnant bestiaire de l’art paléolithique. »
    Source :www.bibliosurf.com


    Quel bonheur comme lecteur de retrouver AYLA, JONDALAR, tous les membres de leurs familles, tous les clans qu’ils ont rencontrés et fréquentés !!! Ce dernier volet est la suite fabuleuse des ENFANTS DE LA TERRE. Ce dernier roman est aussi réussi, prenant, fascinant, palpitant que tous les autres tomes. Je suis un inconditionnel de JEAN. M. AUEL et ce fut un plaisir de lire le dénouement de cette belle aventure. Je suis un passionné d’histoire, d’anthropologie, de sociologie, de l’évolution de l’homme à travers les âges et les sociétés.
    C’est une saga de romans préhistoriques exceptionnels. On y décrit l’évolution des humains de l’époque préhistorique, leurs relations entre tribus et clans, la découverte du langage, la vie de couple ou de famille, la médecine, le feu, les racines de ce que nous sommes. J’ai beaucoup aimé ces romans.
    Avec cette saga je fus comblé car Jean M.Auel est une grande auteure qui a pris le temps de faire des recherches approfondies dans tous les domaines qui touchent l’évolution de la race humaine à travers le temps, les âges de notre humanité depuis son origine sur notre planète Terre. Je lui suis très reconnaissant de cette œuvre fabuleuse.
    Gilles Lagrois, Auclair, Québec






    *****FOLLET Ken---LA CHUTE DES GÉANTS

    01/08/2011 00:05

    *****FOLLET Ken---LA CHUTE DES GÉANTS


    LA CHUTE DES GÉANTS, Robert Laffont, 2010, 998 pages, TRILOGIE

    LE SCIÈCLE 1


    Un roman à base historique, éclatant, magistral. Ce roman évoque une époque cruciale pour l’humanité : les années 1914 à 1920. Le mode de vie de l’Europe et de l’Amérique fut transformé par les confils, les guerres incessantes entre les pays dominants de l’Europe de cette époque : l’Angleterre, la France, l’Allemagne, la Russie et leurs pays satellites réciproques. Le principal intérêt de ce roman est la compréhension, l’intelligibilité de tous les événements importants qui ont constitué la PREMIÈRE GUERRE MONDIALE.
    Dans tous ces pays il y avait des classes dominantes et des travailleurs exploités, des seigneurs, des nobles, des propriétaires d’usines qui maintenaient leurs populations dans un mode de vie précaire, pauvre, soumis aux intérêts personnels des riches.
    Dans toutes les sociétés, les gouvernements, les institutions, l’intérêt personnel ou privé s’avère le premier mobile d’agression de part et d’autre.
    Un roman remarquable par son style prompt et clair, l’enchaînement détaillé des événements et sa compréhension de cette époque importante de notre histoire moderne.
    Gilles Lagrois, Auclair, Québec


    Un siècle juste de l'autre côté de la rue …par un lecteur
    « Je viens de terminer « Le Siècle – la Chute des Géants » de Ken Follett et, franchement, je m’avoue complètement sous le charme de ce long roman qui, malgré son millier de pages, s’est déroulé presque trop rapidement.
    Je viens d’abandonner les personnages du roman par contrainte, car le deuxième tome n’est toujours pas paru. Dommage ! J’ai complètement adhéré à cette histoire du siècle où les procédés mercantiles combinés de politique aléatoire finissent par déclencher la « Grande », cette guerre dans laquelle des millions de morts finissent par s’effacer dans l’écrit au profit de quelques uns, peintures justement posées par l’auteur dans ce roman fleuve.
    Ken Follett nous transporte de personnages en personnages, comme s’ils étaient des étapes obligatoires pour comprendre l’espace qui les divise et les lie à la fois. Etre mineur gallois ou militante féministe à cette époque pourrait diviser autant que le révolutionnaire russe du noble anglais de cette même période ; sauf que tous se rejoignent un moment donné par l’auteur pour faire de ce qui aurait pu être une saga traditionnelle un évènement planétaire où les uns et les autres seront chahutés par la guerre et les révolutions.
    Monde complexe, mais personnages tellement humains qu’il suffit de les replacer dans ce siècle pour s’en faire des intimes.
    C’est à mon sens un véritable tour de force de la part de Follet de récidiver dans le roman historique avec cette même fougue que pour les « Piliers de la Terre », avec cette même approche élitiste qui fait d’un bon roman toute sa préparation. Les personnages sont d’une peinture réaliste, les évènements sont étudiés avant d’être livrés dans l’écriture. Tout Follett est présent dans ce roman, car même l’intrigue de ses productions selon moi mineures, pavées d’espions et de complots politiques, surgissent quand c’est nécessaire.
    Alors c’est vrai… il faut sa part de naïveté pour accepter Churchill dans le salon fictif d’un acteur inventé, tout comme cette crédulité de voir un des personnages imaginaires aux côtés de Lénine. Mais l’histoire fonctionne ainsi. Ces « étapes humaines » servent le lecteur. Quand elles se posent, il comprend alors que le roman n’est pas seulement celui des femmes et des hommes que Follett nous sert, mais avant tout celui de ce siècle dont la mécanique bouleverse encore nos consciences.
    S’il fallait une définition de ce siècle, elle serait multiple, tant les femmes et les hommes qui le composent l’ont créé et l’ont subi. Follett l’a compris. Pour ne pas être confus, il trace des lignes entre les chapitres pour dissocier ce qui est de l’un et qui n’est pas forcément de l’autre. Et il nous promène entre Royaume-Uni, Allemagne, Russie et Etats Unis d’Amérique avant de convenir qu’en fait, l’un et l’autre ne peuvent que se rejoindre. Ils sont du siècle. Et quand on lit ce livre, on finit par voir ce siècle là juste de l’autre côté de notre propre rue.
    Source :source : www.critiquesliques.com

    « Auteur des best-sellers Les Piliers de la Terre et Un monde sans fin, l’écrivain gallois Ken Follett relève un nouveau défi avec La Chute des géants, le premier tome de sa nouvelle trilogie intitulée Le Siècle.
    Mettant de côté pour un moment l’époque médiévale, Ken Follett s’est investi dans l’exploration minutieuse du 20e siècle, traversant en trois volumes la période la plus agitée, la plus violente et la plus complexe des temps modernes.
    «J’ai vécu dans la deuxième partie du 20e siècle et la plupart de mes lecteurs en ont connu une partie. Leurs parents, leurs grands-parents et leurs arrière-grands-parents y ont vécu aussi. Donc cette histoire est celle d’où nous venons tous», commente-t-il en entrevue téléphonique, depuis son bureau du Royaume-Uni.
    Dans La Chute des géants, les grandes puissances vivent leurs derniers moments d’insouciance, car bientôt, la guerre fera ses ravages. À travers le premier tome, le destin de cinq familles –américaine, russe, allemande, anglaise et galloise– se croise habilement au rythme de la Première Guerre mondiale et de la Révolution russe.
    Elles traversent ces tragédies en tentant d’accomplir leur destin, au rythme de leurs propres passions, rivalités et intrigues, les jeux de pouvoir et les coups du sort.
    TROIS ANS DE TRAVAIL
    Ken Follett s’est complètement investi dans la rédaction de ce livre qui lui a demandé presque trois ans de travail. «En ce moment, je suis en train d’écrire le deuxième livre et c’est le plus gros et le plus ambitieux projet de ma carrière. Quand j’ai décidé de le faire, je me suis engagé dans un cycle qui me prendrait sept ans et qui compterait un million de mots. Quand j’aurai terminé, j’écrirai peut-être un petit thriller de 70 000 mots pour me relaxer... C’est beaucoup de travail, mais c’est bien payé!» dit-il, en éclatant de rire.
    Avant d’écrire La Chute des géants, l’ex-journaliste du London Evening News a lu plusieurs ouvrages de référence et des biographies, examiné des photographies et des films d’époque et utilisé de nombreuses cartes. «Après avoir écrit mon premier jet, j’ai engagé huit historiens pour qu’ils vérifient les faits de façon à ce que je n’induise pas les lecteurs en erreur.»
    Ce roman historique, qui se lit comme un thriller, met en scène des personnages dont on veut à tout prix connaître le destin. «C’est un gros défi de retenir l’attention des lecteurs pendant des centaines et des centaines de pages. On solutionne ce problème en engageant les émotions du lecteur dès le début», révèle l’auteur.
    C’est exactement ce qui se produit dans La Chute des géants, où Ken Follett amorce son roman par l’émouvante histoire de Billy Williams, un adolescent vite initié au dur travail de mineur dans une veine de charbon du pays de Galles. «Je veux que vous ressentiez de la sympathie pour lui, que vous soyez ému par son courage quand il passe une journée entière dans le noir. Ensuite, vous aurez envie de savoir ce qui se passera...», assure-t-il.
    GRAND DÉFI
    Il reconnaît que c’est tout de même un sacré défi. «Je prends beaucoup de temps pour planifier mes histoires et je m’assure qu’il y a toujours une raison pour laquelle le lecteur ait envie de poursuivre sa lecture. J’aurais aussi pu présenter le destin de cinq familles différentes, en les faisant vivre en parallèle, mais je trouvais que ce ne serait pas satisfaisant. J’ai donc fait en sorte qu’elles prennent part aux grands événements historiques. J’ai aussi dû prévoir comment elles allaient se rencontrer et interagir. Comment les personnages allaient tomber en amour ou se battre les uns contre les autres. Il m’a fallu du temps pour tout mettre en place.»
    Ken Follett s’identifie beaucoup à Billy Williams, son personnage préféré. «Il vient d’un milieu semblable au mien et fut relativement facile à écrire, car il y a beaucoup de moi en lui. J’aime aussi beaucoup Walter, même s’il ne me ressemble pas.»
    LA BATAILLE DE LA SOMME
    Il est particulièrement fier des quatre chapitres consacrés à la Bataille de la Somme, au milieu du livre. «Les lecteurs comprendront cette bataille et réaliseront ce que les officiers et les commandants des deux côtés voulaient réaliser. C’est aussi une partie très émouvante, car il y a une scène qui traite des conséquences de cette bataille, lorsqu’un télégramme arrive à Aberowen et que les gens apprennent que leur fils est mort.»
    En ce moment, Ken Follett écrit la seconde partie de la trilogie, qui commencera en 1933, à Berlin, et traitera de la Guerre civile espagnole, de la Deuxième Guerre mondiale et du développement des armes nucléaires. «Je pense que le livre se terminera en 1949, avec l’explosion de la première bombe atomique soviétique, ce qui ouvre grande la porte à la Guerre froide, dont je parlerai dans le troisième livre.»source :fr.canoe.ca


    Un roman à base historique, éclatant, magistral. Ce roman évoque une époque cruciale pour l’humanité : les années 1914 à 1920. Le mode de vie de l’Europe et de l’Amérique fut transformé par les confils, les guerres incessantes entre les pays dominants de l’Europe de cette époque : l’Angleterre, la France, l’Allemagne, la Russie et leurs pays satellites réciproques. Le principal intérêt de ce roman est la compréhension, l’intelligibilité de tous les événements importants qui ont constitué la PREMIÈRE GUERRE MONDIALE.
    Dans tous ces pays il y avait des classes dominantes et des travailleurs exploités, des seigneurs, des nobles, des propriétaires d’usines qui maintenaient leurs populations dans un mode de vie précaire, pauvre, soumis aux intérêts personnels des riches.
    Dans toutes les sociétés, les gouvernements, les institutions, l’intérêt personnel ou privé s’avère le premier mobile d’agression de part et d’autre.
    Un roman remarquable par son style prompt et clair, l’enchaînement détaillé des événements et sa compréhension de cette époque importante de notre histoire moderne.
    Gilles Lagrois, Auclair, Québec






    GOLDEN Arthur---GEISHA

    01/03/2012 20:03

    GOLDEN Arthur---GEISHA


     

    GOLDEN ARTHUR

    GEISHA, J.C. Lattès, 1999, 2006

     

    J’ai beaucoup apprécié la lecture de ce roman car je connaissais peu de choses sur la vie des geishas et que le personnage est tellement réel que j’ai lu ce livre avec avidité.

    J’ignorais la dualité entre les geishas, la méchanceté de certaines face à des rivales, la complexité et le rôle des différents membres qui gravitent auteur d’elles.

     

    « Ce livre nous fait plonger dans un univers totalement différent du nôtre et nous fait découvrir la vraie définition du mot geisha, totalement différente de celle que l'on croit : « prostituée japonaise ».

     

    résumé du livre

    « Sous la forme des mémoires d'une célèbre geisha de Kyoto, un grand roman sur un univers secret et étonnant, où les apparences font loi, où les femmes sont faites pour charmer, où la virginité d'une jeune fille se vend aux enchères et où l'amour doit être méprisé comme une illusion. Une petite fille de neuf ans, aux superbes yeux gris bleu, tels ceux de sa mère qui se meurt, est vendue par son père, un modeste pêcheur, à une maison de geishas : ainsi commence l'histoire de Sayuri dans le Japon des années 30.

    www.evene.fr

     

    « J'ai trouvé ce roman fantastique. Grâce à lui, on découvre l'univers très fermé des Geishas (que je ne connaissais pas). Dans ce livre, l'auteur n'exprime pas seulement le fonctionnement de la société japonnaise et la vie d'une Geisha, mais aussi cette vie de femme objet qui est faite de joie et de beaucoup de souffrances.

    Je trouve que c'est important de savoir que, malgré le prestige d'être une grande Geisha, d'être admirée et demandée, les Geishas n'en demeurent pas moins des femmes qui aspirent à d'autres espoirs, que leur condition de Geisha leur interdit.

    C'est vraiment un très grand livre, mais n'oublions pas qu'il repose sur des bases réelles. Les geishas ont existé et certaines existent encore aujourd'hui. « www.guidelecture.com

    Aylinn

    Gilles LAGROIS, Auclair, Québec





    BARBARA CHASE-RIBOUD---LE NÈGRE DE L'AMISTAD

    02/03/2012 14:41

    BARBARA CHASE-RIBOUD---LE NÈGRE DE L'AMISTAD


    CHASE-RIBOUD Barbara

    LE NÈGRE DE L’AMISTAD, Albin Michel, 1989

     

    Ce roman m’a beaucoup appris sur l’esclavage, le commerce des esclaves Africains dès 1839.

     J’ai été très surpris de constater que les principaux pays y participant étaient l’Angleterre, la France, le Portugal, l’Espagne, les États-Unis et autres pays européens. C’est évident  que ces pays étaient proches de l’Afrique et avaient accès rapidement aux pays africains côtiers.

    Tous ces pays avaient des accords pour permettre le commerce des esclaves et en même temps avaient des lois et des flottes de bateaux armés pour combattre l’esclavage et surtout protéger leurs intérêts.

    Dans certains états américains du sud l’esclavage était toléré pour des raisons politiques et surtout économiques mais non toléré dans le nord où l’esclavage était défendu par des lois, des juges dévoués à la cause.

    Le réalisme de ce roman est bouleversant, le style très approprié car il respecte  la langue des  Mendés, leurs lois, leurs croyances, leurs coutumes et leur  vie sociale.

    À lire sans faute si le sujet t’intéresse.   

      

    · « Après l'immense succès de La Virginienne et La Grande Sultane, Barbara Chase-Riboud évoque avec émotion dans Le Nègre de l'Amistad les racines noires de la culture américaine et nous conte le destin exceptionnel d'une figure légendaire de l'émancipation africaine.
    En 1839, en Sierra Leone, des négriers enlèvent des guerriers du pays mendé. Vendus comme esclaves, embarqués pour Cuba, ceux-ci se mutinent et prennent la barre de l'Amistad, navire de leurs maîtres espagnols, avant d'échouer en Nouvelle-Angleterre. Leur chef Cinqué, superbe guerrier dont la noblesse impressionne le monde américain, représente l'antique tradition africaine et découvre une Amérique naissante, pleine de contradictions, avec ses abolitionnistes, ses féministes, ses conservateurs blancs jaloux de leurs privilèges et ses noirs émancipés, dont la belle Vivian Braithwaite, ardente et passionnée.
    Dans cette éblouissante épopée historique, Barbara Chase-Riboud réunit le vieux continent africain et le Nouveau Monde et nous donne, comme l'écrit Alex Haley, lui-même auteur de Racines, " la saga la plus fascinante qu'un siècle d'esclavage ait jamais produite. »www.decitre.fr

     

    ·Critique par annie

     

    « En 1839, en Sierra Leone, des négriers enlèvent des guerriers du pays mendé. Vendus comme esclaves, embarqués pour Cuba, ceux-ci se mutinent et prennent la barre de l'Amistad, navire de leurs maîtres espagnols.
    Ils échouent alors en Nouvelle-Angleterre, en pleine controverse nationale entre partisans et adversaires de l'esclavage, et vont lutter pour leur dignité au cours de trois procès retentissants. 

    Sont-ils des Noirs libres ou des esclaves? Doit-on les considérer comme des hommes ou des marchandises ?

    Superbe guerrier dont la noble stature impressionnera le monde américain, représentant de l'antique tradition africaine, Joseph Cinque, leur chef, va découvrir une Amérique en pleine constitution, avec ses abolitionnistes, ses féministes, ses conservateurs blancs jaloux de leurs privilèges et ses Noirs émancipés, dont la belle Vivian Braithwaite, ardente et passionnée.

    Avec Le nègre de l'Amistad, Barbara Chase-Riboud réunit dans une éblouissante épopée historique le vieux continent africain et le Nouveau Monde.

    Après La Grande Sultane et La Virginienne, elle évoque ici avec émotion les racines noires de la culture américaine, à travers le destin exceptionnel d'une grande figure de l'émancipation africaine. ».

    www.babelio.com






    OKSANEN Sofi---PURGE

    13/04/2012 15:18

    OKSANEN Sofi---PURGE


    OKSANEN Sofi

     

    PURGE, E D. Stock, 2010, 390 pages

    Vraiment exceptionnel, un grand roman doté d'un style recherché, élaboré.

    Gilles Lagrois, Auclair, Québec

     

    Résumé par l’éditeur :

     « Un vrai chef-d’oeuvre. Une merveille. 
    J’espère que tous les lecteurs du monde, les vrais, liront Purge. »
     Nancy Huston

    « Si vous ne devez lire qu’un seul livre cette année, lisez Purge. » ELLE, (Danemarrk)

    En 1992, l’union soviétique s’effondre et la population estonienne fête le départ des Russes. Mais la vieille Aliide, elle, redoute les pillages et vit terrée dans sa maison, au fin fond des campagnes. 
    Ainsi, lorsqu’elle trouve Zara dans son jardin, une jeune femme qui semble en grande détresse, elle hésite à lui ouvrir sa porte. Ces deux femmes vont faire connaissance, et un lourd secret de famille va se révéler, en lien avec le passé de l’occupation soviétique et l’amour qu’Aliide a ressenti pour Hans, un résistant. La vieille dame va alors décider de protéger Zara jusqu’au bout, quel qu’en soit le prix.

     
    Sofi Oksanen s’empare de l’Histoire pour bâtir une tragédie familiale envoûtante. Haletant comme un film d’Hitchcock, son roman pose plusieurs questions passionnantes : peut-on vivre dans un pays occupé sans se compromettre ? Quel jugement peut-on porter sur ces trahisons ou actes de collaboration une fois disparu le poids de la contrainte ? 
    Des questions qui ne peuvent que résonner fortement dans la tête des lecteurs français. »

    « Dans une tonalité qui rappelle EXPIATION d’Ian  McEwan et le meilleur polar scandinave, ce joyau amer annonce d’autres chefs-d’œuvre, de la plume de la talentueuse Oksanen. »

    Kirkus Reviews (États-Unis)

    www.editions-stock.fr

    Pour en savoir davantage :

     

    Glaçante Europe orientale

       

    Un séjour du côté de l’Europe dite « de l’Est » vous fait régulièrement cet effet : vous sentez que la vie s’y est arrêtée un moment, disons, qu’elle s’est figée. Et ça se sent encore. L’Estonie, enclavée dans la grande Russie, ex-domino de l’URSS, a ce malheur d’une trop grande proximité avec le « grand frère ». Quand, en plus, il a fallu essuyer, au mitan du XXème siècle, l’invasion – vécue au départ comme une libération – des Nazis, ça fait beaucoup pour des pays qu’on pourra qualifier de « martyrs ».
     

    Sofi Oksanen est une jeune auteure finlandaise, d’un peu plus de trente ans à cette date, aux racines en partie estonienne. « Purge » est son troisième roman, le premier traduit en français, et c’est peu de dire qu’il a fait un tabac, ici aussi, comme en Finlande, puisqu’il a reçu le Prix Femina Etranger en 2010.
     

    Il est sombre, ce roman, comme l’histoire – et l’Histoire – qu’il nous conte. Comme si, au contact du mal et de ceux qui font le mal, on ne pouvait définitivement en sortir indemne ? A mes yeux, outre l’histoire particulière de ce petit bout de pays balte, cette contamination par le mal est le sujet du roman.
    Il n’est pas forcément facile à lire dans la mesure où Sofi Oksanen a délibérément choisi d’en faire comme un kaléidoscope, éclatant des bouts de récit dans tous les coins, dans le style « tuez les tous, Dieu reconnaîtra les siens » !
     

    Très fémino-centré également, ce roman. Les hommes n’y ont pas de beaux rôles … A vrai dire, y ont-ils réellement un autre rôle que celui de vecteurs du mal ? Toujours est-il qu’à travers l’histoire d’Aliide et de Zara, la vieille et la jeune, c’est tout le rouleau compresseur de l’Histoire passé sur l’Estonie qui nous est décrit. L’invasion allemande et la « libération » soviétique, puis l’occupation et la grande misère des jeunes femmes de l’est attirées par le miroir aux alouettes occidental de nos jours, finissant par exemple entre les griffes de proxénètes à Berlin ou ailleurs …
    Aliide Truu a été ballotée par le contexte historique et affligée d’une vie sentimentale mal engagée dès le départ. Zara est tombée dans le piège. Mais il y davantage. Car en fait quelque chose les rapproche. Il n’y a pas de hasard en la matière et Sofi Oksanen nous distille les infos nécessaires au gré de son « kaléidoscope ».
     

    De la belle ouvrage, un peu plombant quand même, à la hauteur d’un « Rapport de Brodeck » de Philippe Claudel.

    « Quand ceux qui rentraient des camps arrivèrent et s'installèrent pour une nouvelle vie, elle les reconnut parmi les autres gens. Elle les reconnut à leur regard obscurci, le même qu'ils avaient tous, les jeunes comme les vieux. Elle les évitait dans la rue, de loin déjà elle les évitait, et elle avait peur avant même de tourner la tête. Elle avait peur avant même de tourner la tête. Elle avait peur avant même de réaliser que c'était l'odeur du camp qu'elle voyait dans leurs yeux. Elle était toujours dans leurs yeux, la conscience du camp. «

    Tistou ,www.critiqueslibres.com

     

    Résumé

    « En 1992, l'Union soviétique s'effondre et la population estonienne fête le départ des Russes. Mais la vieille Aliide, elle, redoute les pillages et vit terrée dans sa maison, au fin fond des campagnes.

    Ainsi, quand elle trouve la jeune Zara dans son jardin, qui semble en grande détresse, elle hésite à lui ouvrir sa porte. Mais finalement ces deux femmes vont faire connaissance, et un lourd secret de famille se révélera, en lien avec le temps de l'occupation soviétique. Aliide a en effet aimé un homme, Hans, un résistant. Quarante ans plus tard, c'est au tour de Zara de venir chercher protection, et la vieille dame va décider de la lui accorder jusqu'au bout, quel qu'en soit le prix. »

    www.renaud-bray.com






    Début | Page précédente | 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact livresentete ]

    © VIP Blog - Signaler un abus