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Mario FALCONE---L'AUBE NOIRE, roman polar
15/09/2013 18:36
FALCONE Mario
Né à Messine en 1952, Mario FALCONE vit aujourd,hui à Rome. Scénariste, il a signé pour la télévision italienne de grands succès parmi lesquels La guerrre est finie, Eisntein et Enzo Ferrari.
L'AUBE NOIRE est son premier roman.
L'AUBE NOIRE, roman du genre polar, Éditions de LA TABLE RONDE, 2013, 415 pages
Un premier roman du genre polar à la sicilienne très touchant, révélateur, réussi, bien bouclé. Les thèmes traités sont à l'image de la Sicile, beauté, romance , ardeur chaude avec des personnages des années 1908 dont un baron à la sexualité débordante, des policiers dévoués à leur population, des mafieux dérangeants, des femmes d'une grande beauté, des classes sociales soumises et éclatées. Une société intéressante à découvrir à une époque bouleversante du début du vingtième sciècle d'une Sicile victime d'un cataclysme désolant et destructeur.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
Pour en savoir davantage:
Résumé:
"À l'aube du 28 décembre 1908, un tremblement de terre efface de la carte Messine, l'une des plus belles villes d'Italie. Pourtant, quatre mois plus tôt, alors que la fête de l'Assomption est célébrée avec ferveur et enthousiasme, rien ne semble pouvoir ébranler la ville. Les enfants du peuple y sont élevés dans le respect d'une aristocratie toute-puissante, qu'incarne avec morgue la famille Torielli ; quant aux clans mafieux, ils se partagent paisiblement les extorsions de fonds que nul n'ose dénoncer.
Mais un drame éclate au grand soleil de ce 15 août : une jeune fille est sauvagement assassinée. L'enquête, confiée au lieutenant de carabiniers Marco Sestili, s'annonce complexe et périlleuse, d'autant que d'autres meurtres sont commis, plongeant la population dans le désarroi. Confronté à une véritable omerta, Sestili aura fort à faire pour trouver le fil de la vérité dans un écheveau de vengeances, de corruption, d'adultères et de secrets de famille.
Jusqu'à ce que le cataclysme mette à nu l'étendue des passions humaines." L'ÉDITEUR
L'aube noire de Mario Falcone est un récit captivant qui tient à la fois du polar d'enquête classique, du récit historique et de la fresque sociale.
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Jonas JONASSON---LE VIEUX QUI NE VOULAIT PAS FÊTER SON ANNIVERSAIRE, roman
04/10/2013 23:26
JONASSON Jonas
LE VIEUX QUI NE VOULAIT PAS FÊTER SON ANNIVERSAIRE, roman, Presses de la Cité, 2011, 454 pages
Roman rempli d'humour, de fantaisie, d'une douce folie, d'une réelle joie de vivre et de l'insouciance du lendemain. Une idée, une joie, une journée tout se décide selon les occasions, les besoins, les événements. Tout se fait, se vit, se bâtit à mesure, il suffit d'attendre surtout rien des autres.
Allan Karlsson profite des occasions, des besoins des autres et des autres au besoin. Il ne veut rien savoir de la politique peut importe les pays, seul sa survivance et son plaisir importent pour lui.
Notre centenaire gère sa vie comme une aventure dont les événements décident de sa vie et non pas lui qui décide d'un projet de vie d'avance. Il rencontre de grands personnages de son siècle et de l'histoire mondiale du vingtième siècle: Franco, Truman, Staline, Mao, Nixon, de Gaulle, Einstein, bien d'autres, toujours dans des situations de survie imminente.
Il fait des rencontres et entretient des intérêts avec les dirigeants de ce monde pour des raisons politiques qu'il exploite de façon humaine et convaincante. C'est un personnage cultivé, débrouillard, aventurier qui ne finit pas de nous étonner, surtout nous distraire .
" Souvent la loi disait quelque chose et la morale une autre"
" Il fallait parfois savoir contourner un peu la loi tout en marchant droit dans ses bottes."
" ...que les plus insolubles conflits de la planète avaient démarré de cette façon: " T'es bête! " Non, c'est toi qui es bête! " Non, c'est toi."
" Elle n'était pas mieux placée que les autres personnes de cette table pour faire la morale."
Un roman écrit dans un style vif, prompt avec des effets inattendus. Un voyage intéressant parmi des humains qu'on découvre spontanés et pas si différents de nous car la vie nous rattrape tous surtout dans nos différences et nos limites.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
* Pour en savoir davantage:
RÉSUMÉ DU LIVRE
Le jour de ses cent ans, alors que tous les notables de la ville l'attendent pour célébrer l'événement, Allan Karlssons'échappe par la fenêtre de sa maison de retraite quelques minutes avant le début de la fête organisée en son honneur. Ses plus belles charentaises aux pieds, le vieillard se rend à la gare routière, où il dérobe une valise dans l'espoir qu'elle contienne une paire de chaussures. Mais le bagage recèle un bien plus précieux chargement, et voilà comment Allan se retrouve poursuivi par la police et par une bande de malfrats...
Commence alors son incroyable cavale à travers la Suède, mais aussi, pour le lecteur, un étonnant voyage au coeur du XXe siècle, au fil des événements majeurs auxquels le centenaire Allan Karlsson, génie des explosifs, a été mêlé par une succession de hasards souvent indépendants de sa volonté.
www.evene.fr
« Quand la vie joue les prolongations, il faut bien s'autoriser quelques caprices. » Allan Karlsson
Alors que tous dans la maison de retraite s'apprêtent à célébrer dignement son centième anniversaire, Allan Karlsson, qui déteste ce genre de pince-fesses, décide de fuguer. Chaussé de ses plus belles charentaises, il saute par la fenêtre de sa chambre et prend ses jambes à son cou. Débutent alors une improbable cavale à travers la Suède et un voyage décoiffant au coeur de l'histoire du XXe siècle. Car méfiez-vous des apparences ! Derrière ce frêle vieillard en pantoufles se cache un artificier de génie qui a eu la bonne idée de naître au début d'un siècle sanguinaire. Grâce à son talent pour les explosifs, et avec quelques coups de pouce du destin, Allan Karlsson, individu lambda, apolitique et inculte, s'est ainsi retrouvé mêlé à presque cent ans d'événements majeurs aux côtés des grands de ce monde, de Franco à Staline en passant par Truman et Mao...
« Un chef-d'oeuvre dans l'art du mensonge. J'oserai même prétendre que le souffle d'Arto Paasilinna traverse les pages de ce livre. »Smålandsposten" L'éditeur
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LA GRÂCE DES BRIGANDS, roman de Véronique OVALDÉ
16/10/2013 15:30
Véronique OVALDÉ
LA GRÂCE DES BRIGANDS, ROMAN, Éditions de l'Olivier, 2013, 284 pages
Roman d'une femme qui se cherche un droit de vivre, une joie de vivre, une personnalité bien à elle car son milieu familial est infecte, non représentatif d'une famille même ordinaire: un père taciturne, une mère bigote et une soeur jalouse. Pour survivre elle doit partir, quitter cette famille sans attache, sans sentiments profonds, juste une famille moche. À seize ans, elle quitte la ville de son enfance, Lapérousse, ce petit fjord perdu au fin fond du CANADA.
Pour s'en sortir, apprendre à se connaître, à trouver du positif dans sa vie, elle écrit ce qu'elle ressent, ce qu'elle vit avec une lueur d'espoir de s'en sortir. Véronique Ovaldé réussit à nous présenter avec son écriture intense la vie d'une femme en construction, une femme qui se forge une vie à son image non pas celle de la victime mais de l'écrivaine qu'elle veut être. Elle rencontrera l'amour tout en gardant son désir de liberté en projet. Une femme à découvrir, une auteure à cotoyer, un roman d'une vie qu'on se fait sur mesure.
"Marguerite Richaumond estimait en effet que le vice et la naïveté alternaient dans le coeur de ses filles. Tout cela d'ailleurs alors que Maria Cristina n'avait pas encore treize ans et Meena quatorze. Avant que Meena ne fût définitivement stoppée dans son élan et n'eût quatorze ans toute sa vie."
"Chaque matin la première pensée de Maria Cristina était: Un jour de moins à vivre. La formule, outre son caractère un peu affecté, prenait un sens tout particulier en raison de son éducation."
"Pour s'endormir Maria Cristina projetait son propre enterrement et imaginait le regret qu'on aurait d'elle." "Tout n'était donc que fortuité et hasard?"
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
Pour en savoir davantage:
"La Grâce des brigands", par Véronique Ovaldé: les racines du MAL.
La Grâce des brigands, le nouveau roman de Véronique Ovaldé -sans doute le plus fort- explore les méandres de la culpabiliét et du don... avec humour et gravité.
Véronique Ovaldé s'impose, livre après livre, comme l'une de nos meilleures tisseuses de songes. Tour à tour, elle revêt les habits de la fée et de la sorcière. Ses livres sont des contes modernes, des fables contemporaines où le loufoque côtoie la tragédie. Son nouveau roman, sans doute le plus fort, explore les méandres de la culpabilité et du don.
La Grâce des brigands retrace la vie de Maria Cristina Väätonen, auteur d'un roman à succès publié à 17 ans et intitulé La Vilaine Soeur. Largement autobiographique -du moins la jeune Maria Cristina l'a-t-elle laissé dire pour les besoins d'une promotion aussi tapageuse qu'efficace-, le livre l'a définitivement brouillée avec sa famille. Croit-elle. Des années plus tard, Maria Cristina reçoit un coup de téléphone de sa mère à qui elle n'a pas adressé la parole depuis dix ans. Abandonnant son confort d'écrivain à succès (une villa à Los Angeles et tout ce qui va avec), elle prend le premier vol pour Lapérouse, ce petit fjord perdu au fin fond du Canada.
Avec humour et gravité, Véronique Ovaldé explore les méandres de la culpabilité
Est-il bien raisonnable de retourner sur les lieux de son enfance lorsqu'on les a fuis à toutes jambes à la première occasion? Maria Cristina est convaincue que "les drames ne surviennent pas dans le hasard et le chaos des choses".
Or drame il y a eu. Sa soeur, par sa faute, aura 14 ans toute sa vie. Maria Cristina retourne sur ses traces comme on vient expier tardivement une faute dont on veut se convaincre qu'elle est à l'origine de toute chose. Et il est vrai que l'on trouve dans la maison rose de Lapérouse les racines de son mal autant que de sa réussite.
C'est parce qu'elle s'ennuyait, coincée entre un père mutique et une mère emmurée dans sa folie, que la petite Maria Cristina se précipita dans la lecture. Sauvée par les livres, elle se mit en tête d'en écrire. Avec l'aide discrète du père (un imprimeur illettré), elle s'est enfuie vers la Californie. Là, elle a rencontré le grand écrivain sud-américain Rafael Claramunt, obsédé par le prix Nobel, consommateur de substances plus ou moins licites, affublé d'un chat baptisé Jean-Luc (à cause de Godard) et d'un chauffeur à l'improbable patronyme (Judy Garland).
Alternant humour et gravité, Véronique Ovaldé nous offre ici une splendide variation sur le thème des perdants magnifiques. www.lexpress.fr
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MARQUEZ Gabriel Garcia---DOUZE CONTES VAGABONDS
21/10/2013 16:24
MARQUEZ Gabriel Garcia
DOUZE CONTES VAGABONDS, roman, Grassset, 1993, 284 pages
Douze contes, douze rencontres d'hommes, de femmes latino-américains dont les actions se déroulement principalement dans des pays contigus à la mer Méditerranée soit l'Espagne, la France, l'Afrique du nord.
Pourquoi douze, pourquoi des contes et pourquoi vagabonds: les sujets sont sans lien entre eux mais leur histoire nous touche car toutes les histoires humaines est une histoire qui pourrait être la nôtre.
Bon voyage, monsieur le Président.
La sainte.
L'avion et la belle endormie.
Un métier de rêve.
Je ne voulait que téléphoner.
Épouvantes d'un mois d'août.
Marìa dos Prazeres.
Dix-sept Anglais empoisonnés..
Tramontane.
L'été heureux de Mme Forbes.
La lumière est comme l'eau.
La trace de ton sang dans la neige.
Chaque histoire est touchante et magique car à l'image des histoires qui les animent, ces vagabonds sont d'étranges pèlerins lation-américains, projetés aux quatre coins d'une Europe insolite.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
Pour en savoir davantage:
"Gabriel García Márquez. Douze contes vagabonds dont:
Une femme prise en auto-stop par l'autobus d'un asile d'aliénés se retrouve enfermée. Un Colombien fait le siège du Vatican avec le cadavre imputrescible de sa fille, qu'il voudrait faire béatifier. Dix-sept Anglais sont empoisonnés à Naples par une soupe aux huîtres...
Le romancier de L'Amour aux temps du choléra, prix Nobel de littérature, se montre aussi souverain dans la brièveté que dans l'épopée.
Chacune des nouvelles de ce livre nous entraîne en quelques pages au coeur de situations ahuris- santes, où le « réalisme magique » cher à l'écrivain colombien imprègne tour à tour Vienne, Naples, Genève, Barcelone... Certains de ces contes vagabonds sont de purs bijoux. Des miracles qui suffisent à notre bonheur.
Frédéric Vitoux, Le Nouvel Observateur.
Drôle, émouvant, féroce, inquiétant, superbe, García Márquez connaît tous les registres.Pierre Lepape, Le Monde.
www.chapitre.com
Une poignée de ballons-récits pour entrer en lévitation
" Douze contes écrits sur dix-huit années (de 1974 à 1992) et qui ont pour point commun de rapporter des histoires qui se déroulent dans des villes européennes et dont le narrateur aurait été le témoin. La belle illustration
de couverture montre douze roses rouges plantées dans une corbeille remplie de feuilles de papier parcourues de lignes d’écriture Mais on s'imagine davantage, après lecture, douze ballons rouges s’échappant des mains d’un bonhomme qui aurait la silhouette du prix Nobel vers ses lecteurs du monde entier.
Douze récits entre voyage et exil qu’on lit, du fait sans doute de ce travail fait sur la durée et l’espace, comme des rêves imaginés. Relisant ses contes, Garcia Marquez déclare : « Les souvenirs réels
me paraissaient des fantômes tandis que les faux
souvenirs étaient si convaincants
qu'ils avaient supplanté la réalité ». Parlant de leur conception, il nous dit que « leur écriture était devenue si fluide
que par moments
il se sentait emporté par le simple plaisir de la narration, qui est peut-être l’état de l’homme qui s’apparente le plus à la lévitation ».
Parmi les récits les plus prégnants de ce recueil parfait : celui de cette femme qui perd son sang, à la suite d’une piqûre de rose au bout d'un doigt, tout le long d’un voyage en voiture, sous la neige, d'Espagne jusqu'à Paris ; celui de cette « belle endormie » qui sommeille dans un avion, convoitée en silence par le passager voisin; celui de cette autre femme
payée pour rêver ; celui
d'une maison envahie de lumière comme elle le serait par l’eau - ou l'art de naviguer dans la lumière- ; celui d’une dame qui, à la suite d'une panne de voiture, entre dans un asile pour téléphoner et qu'on ne laissera plus ressortir ; celui de cet homme venu à Rome avec dans une malle le corps mort de sa fille pour le faire sanctifier ; celui d'un président exilé en Suisse…
Entre donc faux souvenirs et souvenirs réels, une poignée de récits patiemment travaillés dans la pâte du temps et vraisemblablement faits pour durer. www.critiqueslibres.com
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Paulo COELHO---LE ZAHIR, roman
31/10/2013 17:01
Paulo COELHO
LE ZAHIR, roman, Flammarion, 205, 360 pages
Roman éclatant sur les principes de vie spirituelle de l'auteur qui fait le point sur sa vie d'homme, de couple, d'auteur: des leçons de vie très variées et adaptées au développement de chacun. Rien n'est définitif, il faut constamment se remetttre en question tant sa vie professionnelle que personnelle comme ma façon de penser, mes idées acquises, ma façon de voir les choses, mes intérêts, mes croyances, mes perceptions.
" Je sais que la liberté coûte très cher, aussi cher que l'esclavage; la seule différence, cest que vous payez avec plaisir et avec le sourire, même quand c'est un sourire mouillé de larmes."
"...à une époque où j'ai compris que je pouvais tout, sauf forcer l'autre à me suivre dans ma folie et ma soif de vivre."
" La liberté. La liberté d'être misérablement seul."
" Je veux croire qu'il est merveilleux d'être libre."
" ..la liberté n'est pas l'absence d'engagement, mais la capacité de choisir."
" L'être humain a deux grands problèmes: le premier est de savoir quand commencer, le second est savoir quand s'arrêter."
" ...ce qui existe, c'est la liberté de choisir et ensuite d'être engagé par sa décision."
" Quand je n'ai plus rien à perdre, j'ai tout reçu. Je me suis trouvé."
Un roman très éloquent sur nos choix de vie: devenir et être suffisamment adulte pour ne pas continuer à se tromper, à se mentir, à voir clairement la réalité et en supporter les conséquences.
Un grand roman sur l'homme en devenir par la voie, la vie de l'amour car l'amour modifie les lois de la nature et l'effort de séduire nous oblige à donner le meilleur de soi-même.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
Pour en savoir davantage:
« J’obtiens ce que je désire, mais je découvre que la stabilité tant rêvée s’accompagne d’un profond ennui »
RÉSUMÉ DU LIVRE
Un écrivain célèbre raconte la disparition de sa femme,Esther, correspondante de guerre. Elle devient son Zahir, son idée fixe, son obsession, sa seule raison de vivre. Au fil d'un périple qui le conduira de Paris jusqu'en Asie centrale, il traversera la steppe, son désert, sa magie et ses légendes pour retrouver celle qui donne un sens à sa vie. Un récit, à contenu autobiographique, sur l'état du monde moderne, sur l'amour, la liberté et la solitude, sur l'avenir de l'homme en quête de repères, d'amour et de spiritualité.L'éditeur.
Paulo COELHO est né en 1947 à Rio de Janeiro. Adolescent rebelle dans une famille conservatrice et étudiant contestataire plusieurs fois emprisonné, il devient parolier d'une des plus grandes stars du rock des années 70 au Brésil.
L'ALCHIMISTE, paru en 1988, s'impose comme un best-seller mondial. Ses livres, traduits dans 59 langues, se sont venus dans 150 pays. Reçu à l'Académie brésilienne des lettres en 2002, Paulo Coelho signe une chronique qui est publiées chaque semaine dans le monde entier.
L'éditeur.
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