SCHWALBE Will
LE PARFUM DE CES LIVRES QUE NOUS AVONS AIMÉS, Belfond, 2013, 398 pages
Un roman remarquable dont le sujet principal est une femme remarquable qui a rayonné tout autour d'elle autant dans son milieu familial, social, son pays et même à l'étranger par l'aide qu'elle a accordé aux réfugiés et expatriés.
Cette femme admirable a joué un rôle d'aide, de support financier et de travail auprès d'une multitude d'organismes, d'associations, de centres d'éducation et de bibliothèques.
Tout au long de sa vie, les livres ont joué un rôle important, voire même primordial dans sa vie, dans le rayonnement de sa vie et dans ses activités personnelles.
Elle a même mis sur pied un projet d'aide financière pour l'élaboration et la distribution de livres en Afghanistan ainsi que la construction d'une bibliothèque permanente dans ce pays grâce à des levées de fonds.
Parmi sa participation à des oeuvres culturelles et sociales: il y a une Léproserie, d'innombrables levées de fonds d'oeuvres mondiales, le Darfour, la Bosnie sous les bombes, un poste à Cambridge, à Harvard, administratrice d'un collège et du Rehab Center et j'en oublie maints d'autres.
Atteinte d'un cancer, elle et son fils Will, l'auteur de ce livre, décident de créer un club de lecture, de choisir des livres ensemble, d'avoir des rencontres au sujet des livres lus, de faire rayonner les livres autour d'eux, de s'approprier les connaissances de ces livres et de les partager.
Tout au long de la lecture de ce livre nous recueillons des noms d'auteurs, des titres de livres , des résumés, des appréciations qui sont, pour nous lecteurs, sans prix..
Un livre important sur le cheminement d'une femme atteinte d'un cancer qui malgré la maladie continue à jouer les rôles qu'elles jugent importants pour poursuivre sa vie et surtout aider à propager la culture et l'évolution des humains grâce aux livres.
Un sujet touchant, une démarche acharnée pour la propagation des livres, de la lecture, de la culture dans le monde.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
" Les livres recentraient son esprit, l'apaisaient, la faisaient sortir d'elle-même; la télévision agaçait ses nerfs."
" La permanence n'est pas, l'impermanence n'est pas."
" Le traitment est possible, mais pas la guérison."
" C'est une chose que les livres font pour nous, Ils aident à parler."
" Le monde est compliqué. On ne peut avoir une seule émotion à la fois."
" Nous osmmes tous là les uns pour les autres."
" On peut être bourru ou brusque en retant bon. La bonté tient davantage à ce que l'on fait qu'à la manière dont on le fait."
" Toutes les grandes religions partagent l'amour des livres, ou de la lecture, de la connaissance."
Pour en savoir davantage:
"
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Le témoignage profondément touchant d'un homme confronté au cancer de sa mère, doublé d'un essai passionnant sur les livres, leur capacité à guider des choix de vie, à créer une réelle intimité entre les gens et à insuffler poésie et beauté dans le quotidien le plus dur.
Déclaration d'amour à la littérature et aux écrivains, hommage passionné à une mère, une oeuvre d'une grande délicatesse sur l'extraordinaire capacité des livres à nous ouvrir à l'autre, à guider nos choix de vie, et à insuffler beauté et poésie dans le quotidien le plus difficile.
Qu'est-ce que tu lis en ce moment ? C'est avec cette question que Will Schwalbe brise la glace chaque fois qu'il accompagne sa mère, Mary Anne, à ses séances de chimiothérapie. Car pour lui, éditeur new-yorkais, comme pour elle, fondatrice de la bibliothèque universitaire de Kaboul, lire, c'est le contraire de mourir ; lire, c'est vivre.
John Irving, J. R. R. Tolkien, Khaled Hosseini, Irène Némirovsky, Thomas Mann, Colm Tóibín, Harold Pinter, Maurice Sendak... À travers leurs lectures communes, mère et fils dépassent pudeur et chagrin et échangent sur la famille, l'amour, la mort, la vie, et la magie de ces livres qui nourrissent notre regard sur le monde et nous font goûter, le temps de quelques pages, à une forme d'immortalité.
« Une célébration de la vie et des livres qui l'enrichissent. »
Booklist
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SCHWALBE Will
LE PARFUM DE CES LIVRES QUE NOUS AVONS AIMÉS, Belfond, 2013, 398 pages
Un roman remarquable dont le sujet principal est une femme remarquable qui a rayonné tout autour d'elle autant dans son milieu familial, social, son pays et même à l'étranger par l'aide qu'elle a accordé aux réfugiés et expatriés.
Cette femme admirable a joué un rôle d'aide, de support financier et de travail auprès d'une multitude d'organismes, d'associations, de centres d'éducation et de bibliothèques.
Tout au long de sa vie, les livres ont joué un rôle important, voire même primordial dans sa vie, dans le rayonnement de sa vie et dans ses activités personnelles.
Elle a même mis sur pied un projet d'aide financière pour l'élaboration et la distribution de livres en Afghanistan ainsi que la construction d'une bibliothèque permanente dans ce pays grâce à des levées de fonds.
Parmi sa participation à des oeuvres culturelles et sociales: il y a une Léproserie, d'innombrables levées de fonds d'oeuvres mondiales, le Darfour, la Bosnie sous les bombes, un poste à Cambridge, à Harvard, administratrice d'un collège et du Rehab Center et j'en oublie maints d'autres.
Atteinte d'un cancer, elle et son fils Will, l'auteur de ce livre, décident de créer un club de lecture, de choisir des livres ensemble, d'avoir des rencontres au sujet des livres lus, de faire rayonner les livres autour d'eux, de s'approprier les connaissances de ces livres et de les partager.
Tout au long de la lecture de ce livre nous recueillons des noms d'auteurs, des titres de livres , des résumés, des appréciations qui sont, pour nous lecteurs, sans prix..
Un livre important sur le cheminement d'une femme atteinte d'un cancer qui malgré la maladie continue à jouer les rôles qu'elles jugent importants pour poursuivre sa vie et surtout aider à propager la culture et l'évolution des humains grâce aux livres.
Un sujet touchant, une démarche acharnée pour la propagation des livres, de la lecture, de la culture dans le monde.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
" Les livres recentraient son esprit, l'apaisaient, la faisaient sortir d'elle-même; la télévision agaçait ses nerfs."
" La permanence n'est pas, l'impermanence n'est pas."
" Le traitment est possible, mais pas la guérison."
" C'est une chose que les livres font pour nous, Ils aident à parler."
" Le monde est compliqué. On ne peut avoir une seule émotion à la fois."
" Nous osmmes tous là les uns pour les autres."
" On peut être bourru ou brusque en retant bon. La bonté tient davantage à ce que l'on fait qu'à la manière dont on le fait."
" Toutes les grandes religions partagent l'amour des livres, ou de la lecture, de la connaissance."
Pour en savoir davantage:
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Le témoignage profondément touchant d'un homme confronté au cancer de sa mère, doublé d'un essai passionnant sur les livres, leur capacité à guider des choix de vie, à créer une réelle intimité entre les gens et à insuffler poésie et beauté dans le quotidien le plus dur.
Déclaration d'amour à la littérature et aux écrivains, hommage passionné à une mère, une oeuvre d'une grande délicatesse sur l'extraordinaire capacité des livres à nous ouvrir à l'autre, à guider nos choix de vie, et à insuffler beauté et poésie dans le quotidien le plus difficile.
Qu'est-ce que tu lis en ce moment ? C'est avec cette question que Will Schwalbe brise la glace chaque fois qu'il accompagne sa mère, Mary Anne, à ses séances de chimiothérapie. Car pour lui, éditeur new-yorkais, comme pour elle, fondatrice de la bibliothèque universitaire de Kaboul, lire, c'est le contraire de mourir ; lire, c'est vivre.
John Irving, J. R. R. Tolkien, Khaled Hosseini, Irène Némirovsky, Thomas Mann, Colm Tóibín, Harold Pinter, Maurice Sendak... À travers leurs lectures communes, mère et fils dépassent pudeur et chagrin et échangent sur la famille, l'amour, la mort, la vie, et la magie de ces livres qui nourrissent notre regard sur le monde et nous font goûter, le temps de quelques pages, à une forme d'immortalité.
« Une célébration de la vie et des livres qui l'enrichissent. »
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Un roman remarquable dont le sujet principal est une femme remarquable qui a rayonné tout autour d'elle autant dans son milieu familial, social, son pays et même à l'étranger par l'aide qu'elle a accordé aux réfugiés et expatriés.
Cette femme admirable a joué un rôle d'aide, de support financier et de travail auprès d'une multitude d'organismes, d'associations, de centres d'éducation et de bibliothèques.
Tout au long de sa vie, les livres ont joué un rôle important, voire même primordial dans sa vie, dans le rayonnement de sa vie et dans ses activités personnelles.
Elle a même mis sur pied un projet d'aide financière pour l'élaboration et la distribution de livres en Afghanistan ainsi que la construction d'une bibliothèque permanente dans ce pays grâce à des levées de fonds.
Parmi sa participation à des oeuvres culturelles et sociales: il y a une Léproserie, d'innombrables levées de fonds d'oeuvres mondiales, le Darfour, la Bosnie sous les bombes, un poste à Cambridge, à Harvard, administratrice d'un collège et du Rehab Center et j'en oublie maints d'autres.
Atteinte d'un cancer, elle et son fils Will, l'auteur de ce livre, décident de créer un club de lecture, de choisir des livres ensemble, d'avoir des rencontres au sujet des livres lus, de faire rayonner les livres autour d'eux, de s'approprier les connaissances de ces livres et de les partager.
Tout au long de la lecture de ce livre nous recueillons des noms d'auteurs, des titres de livres , des résumés, des appréciations qui sont, pour nous lecteurs, sans prix..
Un livre important sur le cheminement d'une femme atteinte d'un cancer qui malgré la maladie continue à jouer les rôles qu'elles jugent importants pour poursuivre sa vie et surtout aider à propager la culture et l'évolution des humains grâce aux livres.
Un sujet touchant, une démarche acharnée pour la propagation des livres, de la lecture, de la culture dans le monde.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
" Les livres recentraient son esprit, l'apaisaient, la faisaient sortir d'elle-même; la télévision agaçait ses nerfs."
" La permanence n'est pas, l'impermanence n'est pas."
" Le traitment est possible, mais pas la guérison."
" C'est une chose que les livres font pour nous, Ils aident à parler."
" Le monde est compliqué. On ne peut avoir une seule émotion à la fois."
" Nous osmmes tous là les uns pour les autres."
" On peut être bourru ou brusque en retant bon. La bonté tient davantage à ce que l'on fait qu'à la manière dont on le fait."
" Toutes les grandes religions partagent l'amour des livres, ou de la lecture, de la connaissance."
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Le témoignage profondément touchant d'un homme confronté au cancer de sa mère, doublé d'un essai passionnant sur les livres, leur capacité à guider des choix de vie, à créer une réelle intimité entre les gens et à insuffler poésie et beauté dans le quotidien le plus dur.
Déclaration d'amour à la littérature et aux écrivains, hommage passionné à une mère, une oeuvre d'une grande délicatesse sur l'extraordinaire capacité des livres à nous ouvrir à l'autre, à guider nos choix de vie, et à insuffler beauté et poésie dans le quotidien le plus difficile.
Qu'est-ce que tu lis en ce moment ? C'est avec cette question que Will Schwalbe brise la glace chaque fois qu'il accompagne sa mère, Mary Anne, à ses séances de chimiothérapie. Car pour lui, éditeur new-yorkais, comme pour elle, fondatrice de la bibliothèque universitaire de Kaboul, lire, c'est le contraire de mourir ; lire, c'est vivre.
John Irving, J. R. R. Tolkien, Khaled Hosseini, Irène Némirovsky, Thomas Mann, Colm Tóibín, Harold Pinter, Maurice Sendak... À travers leurs lectures communes, mère et fils dépassent pudeur et chagrin et échangent sur la famille, l'amour, la mort, la vie, et la magie de ces livres qui nourrissent notre regard sur le monde et nous font goûter, le temps de quelques pages, à une forme d'immortalité.
« Une célébration de la vie et des livres qui l'enrichissent. »
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LE PARFUM DE CES LIVRES QUE NOUS AVONS AIMÉS, Belfond, 2013, 398 pages
Un roman remarquable dont le sujet principal est une femme remarquable qui a rayonné tout autour d'elle autant dans son milieu familial, social, son pays et même à l'étranger par l'aide qu'elle a accordé aux réfugiés et expatriés.
Cette femme admirable a joué un rôle d'aide, de support financier et de travail auprès d'une multitude d'organismes, d'associations, de centres d'éducation et de bibliothèques.
Tout au long de sa vie, les livres ont joué un rôle important, voire même primordial dans sa vie, dans le rayonnement de sa vie et dans ses activités personnelles.
Elle a même mis sur pied un projet d'aide financière pour l'élaboration et la distribution de livres en Afghanistan ainsi que la construction d'une bibliothèque permanente dans ce pays grâce à des levées de fonds.
Parmi sa participation à des oeuvres culturelles et sociales: il y a une Léproserie, d'innombrables levées de fonds d'oeuvres mondiales, le Darfour, la Bosnie sous les bombes, un poste à Cambridge, à Harvard, administratrice d'un collège et du Rehab Center et j'en oublie maints d'autres.
Atteinte d'un cancer, elle et son fils Will, l'auteur de ce livre, décident de créer un club de lecture, de choisir des livres ensemble, d'avoir des rencontres au sujet des livres lus, de faire rayonner les livres autour d'eux, de s'approprier les connaissances de ces livres et de les partager.
Tout au long de la lecture de ce livre nous recueillons des noms d'auteurs, des titres de livres , des résumés, des appréciations qui sont, pour nous lecteurs, sans prix..
Un livre important sur le cheminement d'une femme atteinte d'un cancer qui malgré la maladie continue à jouer les rôles qu'elles jugent importants pour poursuivre sa vie et surtout aider à propager la culture et l'évolution des humains grâce aux livres.
Un sujet touchant, une démarche acharnée pour la propagation des livres, de la lecture, de la culture dans le monde.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
" Les livres recentraient son esprit, l'apaisaient, la faisaient sortir d'elle-même; la télévision agaçait ses nerfs."
" La permanence n'est pas, l'impermanence n'est pas."
" Le traitment est possible, mais pas la guérison."
" C'est une chose que les livres font pour nous, Ils aident à parler."
" Le monde est compliqué. On ne peut avoir une seule émotion à la fois."
" Nous osmmes tous là les uns pour les autres."
" On peut être bourru ou brusque en retant bon. La bonté tient davantage à ce que l'on fait qu'à la manière dont on le fait."
" Toutes les grandes religions partagent l'amour des livres, ou de la lecture, de la connaissance."
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Le témoignage profondément touchant d'un homme confronté au cancer de sa mère, doublé d'un essai passionnant sur les livres, leur capacité à guider des choix de vie, à créer une réelle intimité entre les gens et à insuffler poésie et beauté dans le quotidien le plus dur.
Déclaration d'amour à la littérature et aux écrivains, hommage passionné à une mère, une oeuvre d'une grande délicatesse sur l'extraordinaire capacité des livres à nous ouvrir à l'autre, à guider nos choix de vie, et à insuffler beauté et poésie dans le quotidien le plus difficile.
Qu'est-ce que tu lis en ce moment ? C'est avec cette question que Will Schwalbe brise la glace chaque fois qu'il accompagne sa mère, Mary Anne, à ses séances de chimiothérapie. Car pour lui, éditeur new-yorkais, comme pour elle, fondatrice de la bibliothèque universitaire de Kaboul, lire, c'est le contraire de mourir ; lire, c'est vivre.
John Irving, J. R. R. Tolkien, Khaled Hosseini, Irène Némirovsky, Thomas Mann, Colm Tóibín, Harold Pinter, Maurice Sendak... À travers leurs lectures communes, mère et fils dépassent pudeur et chagrin et échangent sur la famille, l'amour, la mort, la vie, et la magie de ces livres qui nourrissent notre regard sur le monde et nous font goûter, le temps de quelques pages, à une forme d'immortalité.
« Une célébration de la vie et des livres qui l'enrichissent. »
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SCHWALBE Will
LE PARFUM DE CES LIVRES QUE NOUS AVONS AIMÉS, Belfond, 2013, 398 pages
Un roman remarquable dont le sujet principal est une femme remarquable qui a rayonné tout autour d'elle autant dans son milieu familial, social, son pays et même à l'étranger par l'aide qu'elle a accordé aux réfugiés et expatriés.
Cette femme admirable a joué un rôle d'aide, de support financier et de travail auprès d'une multitude d'organismes, d'associations, de centres d'éducation et de bibliothèques.
Tout au long de sa vie, les livres ont joué un rôle important, voire même primordial dans sa vie, dans le rayonnement de sa vie et dans ses activités personnelles.
Elle a même mis sur pied un projet d'aide financière pour l'élaboration et la distribution de livres en Afghanistan ainsi que la construction d'une bibliothèque permanente dans ce pays grâce à des levées de fonds.
Parmi sa participation à des oeuvres culturelles et sociales: il y a une Léproserie, d'innombrables levées de fonds d'oeuvres mondiales, le Darfour, la Bosnie sous les bombes, un poste à Cambridge, à Harvard, administratrice d'un collège et du Rehab Center et j'en oublie maints d'autres.
Atteinte d'un cancer, elle et son fils Will, l'auteur de ce livre, décident de créer un club de lecture, de choisir des livres ensemble, d'avoir des rencontres au sujet des livres lus, de faire rayonner les livres autour d'eux, de s'approprier les connaissances de ces livres et de les partager.
Tout au long de la lecture de ce livre nous recueillons des noms d'auteurs, des titres de livres , des résumés, des appréciations qui sont, pour nous lecteurs, sans prix..
Un livre important sur le cheminement d'une femme atteinte d'un cancer qui malgré la maladie continue à jouer les rôles qu'elles jugent importants pour poursuivre sa vie et surtout aider à propager la culture et l'évolution des humains grâce aux livres.
Un sujet touchant, une démarche acharnée pour la propagation des livres, de la lecture, de la culture dans le monde.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
" Les livres recentraient son esprit, l'apaisaient, la faisaient sortir d'elle-même; la télévision agaçait ses nerfs."
" La permanence n'est pas, l'impermanence n'est pas."
" Le traitment est possible, mais pas la guérison."
" C'est une chose que les livres font pour nous, Ils aident à parler."
" Le monde est compliqué. On ne peut avoir une seule émotion à la fois."
" Nous osmmes tous là les uns pour les autres."
" On peut être bourru ou brusque en retant bon. La bonté tient davantage à ce que l'on fait qu'à la manière dont on le fait."
" Toutes les grandes religions partagent l'amour des livres, ou de la lecture, de la connaissance."
Pour en savoir davantage:
"Le témoignage profondément touchant d'un homme confronté au cancer de sa mère, doublé d'un essai passionnant sur les livres, leur capacité à guider des choix de vie, à créer une réelle intimité entre les gens et à insuffler poésie et beauté dans le quotidien le plus dur.
Déclaration d'amour à la littérature et aux écrivains, hommage passionné à une mère, une oeuvre d'une grande délicatesse sur l'extraordinaire capacité des livres à nous ouvrir à l'autre, à guider nos choix de vie, et à insuffler beauté et poésie dans le quotidien le plus difficile.
Qu'est-ce que tu lis en ce moment ? C'est avec cette question que Will Schwalbe brise la glace chaque fois qu'il accompagne sa mère, Mary Anne, &
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LE PARFUM DE CES LIVRES QUE NOUS AVONS AIMÉS de Will SCHWALBE. Belfond, 2013, 395 pages
25/10/2014 18:33
SCHWALBE Will
LE PARFUM DE CES LIVRES QUE NOUS AVONS AIMÉS, Belfond, 2013, 398 pages
Un roman remarquable dont le sujet principal est une femme remarquable qui a rayonné tout autour d'elle autant dans son milieu familial, social, son pays et même à l'étranger par l'aide qu'elle a accordé aux réfugiés et expatriés.
Cette femme admirable a joué un rôle d'aide, de support financier et de travail auprès d'une multitude d'organismes, d'associations, de centres d'éducation et de bibliothèques.
Tout au long de sa vie, les livres ont joué un rôle important, voire même primordial dans sa vie, dans le rayonnement de sa vie et dans ses activités personnelles.
Elle a même mis sur pied un projet d'aide financière pour l'élaboration et la distribution de livres en Afghanistan ainsi que la construction d'une bibliothèque permanente dans ce pays grâce à des levées de fonds.
Parmi sa participation à des oeuvres culturelles et sociales: il y a une Léproserie, d'innombrables levées de fonds d'oeuvres mondiales, le Darfour, la Bosnie sous les bombes, un poste à Cambridge, à Harvard, administratrice d'un collège et du Rehab Center et j'en oublie maints d'autres.
Atteinte d'un cancer, elle et son fils Will, l'auteur de ce livre, décident de créer un club de lecture, de choisir des livres ensemble, d'avoir des rencontres au sujet des livres lus, de faire rayonner les livres autour d'eux, de s'approprier les connaissances de ces livres et de les partager.
Tout au long de la lecture de ce livre nous recueillons des noms d'auteurs, des titres de livres , des résumés, des appréciations qui sont, pour nous lecteurs, sans prix..
Un livre important sur le cheminement d'une femme atteinte d'un cancer qui malgré la maladie continue à jouer les rôles qu'elles jugent importants pour poursuivre sa vie et surtout aider à propager la culture et l'évolution des humains grâce aux livres.
Un sujet touchant, une démarche acharnée pour la propagation des livres, de la lecture, de la culture dans le monde.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
" Les livres recentraient son esprit, l'apaisaient, la faisaient sortir d'elle-même; la télévision agaçait ses nerfs."
" La permanence n'est pas, l'impermanence n'est pas."
" Le traitment est possible, mais pas la guérison."
" C'est une chose que les livres font pour nous, Ils aident à parler."
" Le monde est compliqué. On ne peut avoir une seule émotion à la fois."
" Nous osmmes tous là les uns pour les autres."
" On peut être bourru ou brusque en retant bon. La bonté tient davantage à ce que l'on fait qu'à la manière dont on le fait."
" Toutes les grandes religions partagent l'amour des livres, ou de la lecture, de la connaissance."
Pour en savoir davantage:
"Le témoignage profondément touchant d'un homme confronté au cancer de sa mère, doublé d'un essai passionnant sur les livres, leur capacité à guider des choix de vie, à créer une réelle intimité entre les gens et à insuffler poésie et beauté dans le quotidien le plus dur.
Déclaration d'amour à la littérature et aux écrivains, hommage passionné à une mère, une oeuvre d'une grande délicatesse sur l'extraordinaire capacité des livres à nous ouvrir à l'autre, à guider nos choix de vie, et à insuffler beauté et poésie dans le quotidien le plus difficile.
Qu'est-ce que tu lis en ce moment ? C'est avec cette question que Will Schwalbe brise la glace chaque fois qu'il accompagne sa mère, Mary Anne, à ses séances de chimiothérapie. Car pour lui, éditeur new-yorkais, comme pour elle, fondatrice de la bibliothèque universitaire de Kaboul, lire, c'est le contraire de mourir ; lire, c'est vivre.
John Irving, J. R. R. Tolkien, Khaled Hosseini, Irène Némirovsky, Thomas Mann, Colm Tóibín, Harold Pinter, Maurice Sendak... À travers leurs lectures communes, mère et fils dépassent pudeur et chagrin et échangent sur la famille, l'amour, la mort, la vie, et la magie de ces livres qui nourrissent notre regard sur le monde et nous font goûter, le temps de quelques pages, à une forme d'immortalité.
« Une célébration de la vie et des livres qui l'enrichissent. »
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SCHWALBE Will
LE PARFUM DE CES LIVRES QUE NOUS AVONS AIMÉS, Belfond, 2013, 398 pages
Un roman remarquable dont le sujet principal est une femme remarquable qui a rayonné tout autour d'elle autant dans son milieu familial, social, son pays et même à l'étranger par l'aide qu'elle a accordé aux réfugiés et expatriés.
Cette femme admirable a joué un rôle d'aide, de support financier et de travail auprès d'une multitude d'organismes, d'associations, de centres d'éducation et de bibliothèques.
Tout au long de sa vie, les livres ont joué un rôle important, voire même primordial dans sa vie, dans le rayonnement de sa vie et dans ses activités personnelles.
Elle a même mis sur pied un projet d'aide financière pour l'élaboration et la distribution de livres en Afghanistan ainsi que la construction d'une bibliothèque permanente dans ce pays grâce à des levées de fonds.
Parmi sa participation à des oeuvres culturelles et sociales: il y a une Léproserie, d'innombrables levées de fonds d'oeuvres mondiales, le Darfour, la Bosnie sous les bombes, un poste à Cambridge, à Harvard, administratrice d'un collège et du Rehab Center et j'en oublie maints d'autres.
Atteinte d'un cancer, elle et son fils Will, l'auteur de ce livre, décident de créer un club de lecture, de choisir des livres ensemble, d'avoir des rencontres au sujet des livres lus, de faire rayonner les livres autour d'eux, de s'approprier les connaissances de ces livres et de les partager.
Tout au long de la lecture de ce livre nous recueillons des noms d'auteurs, des titres de livres , des résumés, des appréciations qui sont, pour nous lecteurs, sans prix..
Un livre important sur le cheminement d'une femme atteinte d'un cancer qui malgré la maladie continue à jouer les rôles qu'elles jugent importants pour poursuivre sa vie et surtout aider à propager la culture et l'évolution des humains grâce aux livres.
Un sujet touchant, une démarche acharnée pour la propagation des livres, de la lecture, de la culture dans le monde.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
" Les livres recentraient son esprit, l'apaisaient, la faisaient sortir d'elle-même; la télévision agaçait ses nerfs."
" La permanence n'est pas, l'impermanence n'est pas."
" Le traitment est possible, mais pas la guérison."
" C'est une chose que les livres font pour nous, Ils aident à parler."
" Le monde est compliqué. On ne peut avoir une seule émotion à la fois."
" Nous osmmes tous là les uns pour les autres."
" On peut être bourru ou brusque en retant bon. La bonté tient davantage à ce que l'on fait qu'à la manière dont on le fait."
" Toutes les grandes religions partagent l'amour des livres, ou de la lecture, de la connaissance."

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LES RÉVOLTÉS DE CORDOUE, roman historique d'Ildefonso FALCONES, ROBERT LAFFONT, 2011, 865 PAGES
07/11/2014 20:04
FALCONES Ildefonso
LES RÉVOLTÉS DE CORDOUE, roman historique, Robert Laffont, 2011, 865 pages
Grand roman historique, qui se situe en Espagne des années 1568 à 1612, dans le sud de l'Espagne, dans les Alpujarras, les villages blancs de Sierra Nevada, montagne de l'est de l'Espagne.
Deux personnages démesurés hantent ce roman; celui de Hernando Ruiz alias Ibn Hamid et celui de Fatima, la femme d'une vie, d'un amour immuable.
Un roman qui nous plonge dans des modes de vie du XVIe siècle qui nous deviennent familiers, dont nous devenons à la lecture, partie prenante.
Nous découvrons les façons de vivre pour certains, de survivre pour d'autres dont les conditions de vie sont diamétralement opposées.
J'ai accepté de plonger dans ce roman bouleversant et j'en suis sorti ébranlé tant l'auteur nous entraîne dans une course effrénée, excessive que devient la survie d'un homme, d'une société, d'une croyance religieuse, brimée par celles au pouvoir tant politique que religieuse. Nous sommes à l'époque épurative de l'INQUISITION catholique en Europe.
Un roman remarquable, un auteur pas seulement brillant mais considérable par le style historien de son écriture.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
www.livresentete.vip-blog.com
" Ma famille, mon clan fut parmi les plus nobles et importants de Grenade."
" Les Maures massacrent les Chrétiens qui leur avaient fait renier leur dieu Allah! soixante ans auparavant."
" La mort est une longue espérance."
" Les janissaires constituaient une caste privilégiée. Ils se consacraient au pillage des villages monfies."
" ...avant qu'Ubaid l'égorge et lui arrache le coeur."
" ...où les esclaves des riches Maures étaient habituellement des Noirs guinéens."
" Et l'Islam ? Le mot en soi ne signifiait-il pas " soumission à la volonté de Dieu."
" Aucun chrétien n'est venu en aide à un bébé maure malade et innocent. Qu'ils soient maudits!
" La nervosité peut seulement nous conduire à l'erreur."
" ...la prétendue évangilisation d'un peuple entier, baptisé de force."
" Chrétiens et musulmans croient au même Dieu, le Dieu d'Abraham."
" Cette Église qui se considère miséricordieuse prétend assassiner ou réduire en esclavage des milliers de personnes."
Pour en savoir davantage:
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Dans la seconde moitié du XVIe siècle, soumis par l'Inquisition espagnole,
les Maures se préparent à la révolte. À leur tête, Hernando, dit « le nazaréen »...
Après le succès de La Cathédrale de la mer, le nouveau roman d'Ildefonso Falcones.
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En cette année 1568, tandis que l'Inquisition continue à soumettre de son talon de fer la vie politique, religieuse et culturelle des royaumes espagnols, dans les montagnes et les vallées des Alpujarras, au sud de la Péninsule, l'heure de la révolte a sonné.
Écoeuré par les injustices, les expropriations et les humiliations, les musulmans se dressent contre l'oppresseur afin qu'on reconnaisse leurs droits civils et religieux.
Parmi eux, Hernando, dit « le nazaréen », né d'une Mauresque violée par un prêtre, qui rêve d'unir sa vie à celle de l'incandescente Fatima, est entraîné dans un combat redoutable qu'il fera sien et qui le forgera.
Après l'échec de l'insurrection, contraint de vivre avec sa famille une existence difficile, bravant le danger permanent, il va consacrer toutes ses forces et son intelligence à rendre à sa culture et à sa religion la dignité et le rôle qu'elles méritent.
Dans cette saga riche en péripéties et rebondissements, Ildefonso Falcones, comme pour La Cathédrale de la mer, traite de thèmes dont l'écho se prolonge aujourd'hui encore : le droit à la différence, la tolérance religieuse et la dignité des peuples.
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EN ATTENDANT BABYLONE, roman d'Amanda BOYDEN, 2010, 433 pages
21/11/2014 22:38
BOYDEN AMANDA
EN ATTENDANT BABYLONE,roman, Albin Michel, Terres d'Amérique, 2010,433 pages
Roman dont l'action se déroule à la NOUVELLE-ORLÉANS, U.S.A., à une époque bouleversée, celle du passage de l'ouragan KATRINA. À la Nouvelle-Orléans dont la situation géographique de l'extrême sud des États-Unis. dénote une population hétéroclite de Blancs, de Noirs, d'immigrants, de travailleurs saisonniers, touristiques, hôtelliers, de dealers, de consommateurs de drogues et de sexe, nous donne une vision profonde, élargie de la civilisation américaine.
Une population d'hommes au travail, de femmes à la maison, d'hommes sans emploi, de femmes au travail, d'adolescents aux études pour se former un avenir, d'enfants de familles démunies, d'humains prêts à tout pour survivre.
Un roman qui ne nous laisse pas indifférent, qui nous fait part d'une réalité que nous pouvons à peine concevoir.
Un roman sociologique, une auteure à découvir pour l'habileté de son écriture.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
" Nous aimons un lieu qui ne peut être sauvé par des digues.Nous sommes des losers de génie. Nous n'avons rendez-vous avec Katrina que dans un an."
" Rod doe. Bite anonyme. Ha.Ha."
" Miles et Ella disent que la Nouvelle-Orléans est collante."
" La seule pensée de ces gens, de terroristes, le révulse."
" Ed doit travailler à accepter les personnes en surpoids.Sa pratique de pleine conscience l'aide à se ressaisir."
" Les problèmes raciaux et culturels peuvent être tout à fait distincts."
" On a tendance à voir peur de ce qu'on ne comprend pas."
" La clairvoyance est le privilège et le fléau de l'âge."
" Marrant, comme tout revient."
Pour en savoir davantage:
"Sur Orchid Street, dans un quartier populaire de La Nouvelle-Orléans, l'automne tourne en rond, il fait encore chaud et poisseux. On croise le vieux couple formé par Cerise et Roy. Ils ont une maison bien coquette et une fille, Mary, vraie pique-assiette qui les inquiète un peu. Il y a aussi cette drôle de Philomenia : elle préfère qu'on l'appelle Prancie et n'apprécie pas du tout l'installation d'une famille d'origine hindoue à deux pas de chez elle. Un peu plus loin, apparaît Fearius, le dealer, puis Ed et Ariel, qui ne s'entendent plus très bien depuis quelque temps... Amanda Boyden les accompagne tous, entre le barbecue et la préparation de mardi gras. Un ouragan - un de plus - appelé Ivan est annoncé, mais ils n'ont pas peur.
A travers la vie quotidienne d'une poignée de voisins, la romancière nous fait ressentir les palpitations d'une ville boueuse et fascinante, qui sent l'alcool et la graisse de beignets. Il suffit d'un accident idiot pour que tout dérape dans cette cité vibrante de musique quand les fanfares passent dans les rues... En attendant Babylone n'est pas la simple chronique d'un « lieu qui ne peut être sauvé par des digues », mais le roman d'une ville étouffante et sensuelle en train de se fissurer. A La NouvelleOrléans, la menace n'est jamais loin, et tous les habitants d'Orchid Street le savent, ils y sont préparés, instinctivement, depuis toujours
En savoir plus sur http://www.telerama.fr/livres/en-attendant-babylone,
« Parmi les vivants peu se plaignent, et parmi les autres encore moins ». Cette phrase de Mark Twain, extraite de La vie sur le Mississipi, ouvre ce « Roman ». Elle évoque les habitants des rives du fleuve, où les maisons sont comme posées sur une terre si glissante que les puits, les caves et les tombes sont rares. Tout ce qui est en profondeur serait interdit ou difficile. Voire.
Nous entrons de plain-pied dans la vie d’une jeune famille d’Orchid Street, Uptown, Nouvelle Orléans, récemment installée. D’où viennent-ils ? On ne sait trop. Ariel, la mère, dirige un hôtel. Ed, le père, est au foyer, proche de leurs deux enfants, Miles et Ella.
Ils regardent leurs voisins, Gupta, universitaire indienne, Cerise, septuagénaire amoureuse de son mari Roy, Philomenia, femme mûre qui soigne froidement un époux mourant, sans se savoir plus malade que lui, Sharon, mère d’une abondante famille dont deux garçons sont dealers.
Une chronique du quotidien, traversée de drames
Amanda Boyden fait porter son récit par des femmes, seuls personnages dont nous soyons invités à partager la vie intérieure, et l’ambivalence. Cerise est glacée par l’indélicatesse de sa fille Marie. Sharon supporte sans illusions les infidélités de son mari, la délinquance de ses fils, les maternités précoces de ses filles et son travail d’aide-soignante. Ariel souffre d’une relation conjugale devenue fraternelle. Nous nous laissons prendre par ces vues furtives des vies de chacun. Philomenia, un peu perdue, tente d’entrer chez ses voisins en leur offrant, pas toujours opportunément, des gâteaux délicieux. C’est finalement le Tokyo Rose qu’elle investit. Elle y nourrit les piliers de bar, dont Ed commence à faire partie. De ces quatre familles saisies à des moments différents de l’existence, nous saurons au fond peu de choses." www.chroniquedelarentreelitteraire.com
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EN ATTENDANT BABYLONE, roman d'Amanda BOYDEN, 2010, 433 pages
21/11/2014 22:38
BOYDEN AMANDA
EN ATTENDANT BABYLONE,roman, Albin Michel, Terres d'Amérique, 2010,433 pages
Roman dont l'action se déroule à la NOUVELLE-ORLÉANS, U.S.A., à une époque bouleversée, celle du passage de l'ouragan KATRINA. À la Nouvelle-Orléans dont la situation géographique de l'extrême sud des États-Unis. dénote une population hétéroclite de Blancs, de Noirs, d'immigrants, de travailleurs saisonniers, touristiques, hôtelliers, de dealers, de consommateurs de drogues et de sexe, nous donne une vision profonde, élargie de la civilisation américaine.
Une population d'hommes au travail, de femmes à la maison, d'hommes sans emploi, de femmes au travail, d'adolescents aux études pour se former un avenir, d'enfants de familles démunies, d'humains prêts à tout pour survivre.
Un roman qui ne nous laisse pas indifférent, qui nous fait part d'une réalité que nous pouvons à peine concevoir.
Un roman sociologique, une auteure à découvir pour l'habileté de son écriture.
Gilles Lagrois, Auclair, Québec
" Nous aimons un lieu qui ne peut être sauvé par des digues.Nous sommes des losers de génie. Nous n'avons rendez-vous avec Katrina que dans un an."
" Rod doe. Bite anonyme. Ha.Ha."
" Miles et Ella disent que la Nouvelle-Orléans est collante."
" La seule pensée de ces gens, de terroristes, le révulse."
" Ed doit travailler à accepter les personnes en surpoids.Sa pratique de pleine conscience l'aide à se ressaisir."
" Les problèmes raciaux et culturels peuvent être tout à fait distincts."
" On a tendance à voir peur de ce qu'on ne comprend pas."
" La clairvoyance est le privilège et le fléau de l'âge."
" Marrant, comme tout revient."
Pour en savoir davantage:
"Sur Orchid Street, dans un quartier populaire de La Nouvelle-Orléans, l'automne tourne en rond, il fait encore chaud et poisseux. On croise le vieux couple formé par Cerise et Roy. Ils ont une maison bien coquette et une fille, Mary, vraie pique-assiette qui les inquiète un peu. Il y a aussi cette drôle de Philomenia : elle préfère qu'on l'appelle Prancie et n'apprécie pas du tout l'installation d'une famille d'origine hindoue à deux pas de chez elle. Un peu plus loin, apparaît Fearius, le dealer, puis Ed et Ariel, qui ne s'entendent plus très bien depuis quelque temps... Amanda Boyden les accompagne tous, entre le barbecue et la préparation de mardi gras. Un ouragan - un de plus - appelé Ivan est annoncé, mais ils n'ont pas peur.
A travers la vie quotidienne d'une poignée de voisins, la romancière nous fait ressentir les palpitations d'une ville boueuse et fascinante, qui sent l'alcool et la graisse de beignets. Il suffit d'un accident idiot pour que tout dérape dans cette cité vibrante de musique quand les fanfares passent dans les rues... En attendant Babylone n'est pas la simple chronique d'un « lieu qui ne peut être sauvé par des digues », mais le roman d'une ville étouffante et sensuelle en train de se fissurer. A La NouvelleOrléans, la menace n'est jamais loin, et tous les habitants d'Orchid Street le savent, ils y sont préparés, instinctivement, depuis toujours
En savoir plus sur http://www.telerama.fr/livres/en-attendant-babylone,
« Parmi les vivants peu se plaignent, et parmi les autres encore moins ». Cette phrase de Mark Twain, extraite de La vie sur le Mississipi, ouvre ce « Roman ». Elle évoque les habitants des rives du fleuve, où les maisons sont comme posées sur une terre si glissante que les puits, les caves et les tombes sont rares. Tout ce qui est en profondeur serait interdit ou difficile. Voire.
Nous entrons de plain-pied dans la vie d’une jeune famille d’Orchid Street, Uptown, Nouvelle Orléans, récemment installée. D’où viennent-ils ? On ne sait trop. Ariel, la mère, dirige un hôtel. Ed, le père, est au foyer, proche de leurs deux enfants, Miles et Ella.
Ils regardent leurs voisins, Gupta, universitaire indienne, Cerise, septuagénaire amoureuse de son mari Roy, Philomenia, femme mûre qui soigne froidement un époux mourant, sans se savoir plus malade que lui, Sharon, mère d’une abondante famille dont deux garçons sont dealers.
Une chronique du quotidien, traversée de drames
Amanda Boyden fait porter son récit par des femmes, seuls personnages dont nous soyons invités à partager la vie intérieure, et l’ambivalence. Cerise est glacée par l’indélicatesse de sa fille Marie. Sharon supporte sans illusions les infidélités de son mari, la délinquance de ses fils, les maternités précoces de ses filles et son travail d’aide-soignante. Ariel souffre d’une relation conjugale devenue fraternelle. Nous nous laissons prendre par ces vues furtives des vies de chacun. Philomenia, un peu perdue, tente d’entrer chez ses voisins en leur offrant, pas toujours opportunément, des gâteaux délicieux. C’est finalement le Tokyo Rose qu’elle investit. Elle y nourrit les piliers de bar, dont Ed commence à faire partie. De ces quatre familles saisies à des moments différents de l’existence, nous saurons au fond peu de choses." www.chroniquedelarentreelitteraire.com
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